
Je 15 mai 2025
Course A : Au sud du lac de Thoune
Org. Alfred Strohmeier, Jacques Isely
21 Jeudistes se sont rendus en train et bus à Därligen sur la rive sud du lac de Thoune. Après une montée de 250 mètres, effectuée en une petite heure, nous arrivons à l’hôtel-restaurant Meielisalp. Une magnifique vue se dégage en direction de Thoune, avec des vues sur le Niesen et le massif du Stockhorn. Nous prenons le café et autres bibines sur la terrasse. Merci à François Godet de partager sa fête d’ anniversaire en nous offrant les consommations. Nous reprenons la randonnée sur des chemins variés dans la forêt et à travers des pâturages pleins de fleurs. Les jolis sentiers sont entrecoupés de passages sur du dur, ce qui permet de converser sans fixer ses pieds. Peu de temps après le pont suspendu sur le Spiessigraben, nous arrivons à notre place de pique-nique. C’est un peu tôt, mais nous choisissons le confort des bancs. Pleins d’énergie, nous reprenons la randonnée. Encore quelques montées et nous arrivons au point culminant du parcours. Nous entamons ensuite la descente, parfois assez raide, mais c’est effectivement plus joli de descendre la gorge du Gröbelbach plutôt que de suivre la pente douce du Panorama Weg. Encore 20 minutes sur le bord du lac, et nous voici à Faulensee See (ce n’est pas un pléonasme, car il y a aussi Faulensee Dorf), où nous attendons patiemment le bateau. Naviguer tranquillement jusqu’à Thoune est la cerise sur le gâteau. Les vues sur le Niederhorn, le Niesen, le Stockhorn, mais aussi sur les belles maisons, châteaux et cultures du bord du lac sont magnifiques et reposantes. Malheureusement, les Bernoises restent cachées par des nuages. Puis nous prenons le train à Thoune et arrivons à Neuchâtel, contents de cette belle journée ensoleillée dans le ciel et dans les cœurs.
Un grand merci à Jacques Isely qui m’a secondé et qui s’est occupé de l’achat du billet collectif, en surmontant les aléas de la bureaucratie ferroviaire avec patience.
Merci à tous, pour l’ambiance joyeuse et amicale.
Alfred
PS : 13.5km et +/-620m en 4h15








Je 1 mai 2025
Reuchenette - Montoz - La Heutte
Course A : 1.5.2025 Reuchenette – Montoz – La Heutte
Rdv : 07h40 Halle de la gare de Neuchâtel
Départ du train Neuchâtel 07h53 voie 5 - Bienne – Reuchenette-Péry à 08h30.
Reuchenette – Rière Prau – Les Planchettes – La Verrière – Cabane La Rochette – Montoz - Métairie de Malleray – Werdtberg – La Vanne – Reuchenette.
Retour en train Reuchenette-Péry 15h30 – Bienne - Neuchâtel à 16h07.
T2, 16.4 km, +/-928 m, 5h45 au total.
C’est à Péry-Reuchenette que nous descendons du train. Le restaurant La Fontaine nous accueille pour le café traditionnel. Merci beaucoup à Freddy Moret de nous offrir les boissons et les croissants. L’itinéraire de montée suit de bons sentiers en partie raides. Les arrêts-boissons sont les bienvenus. Arrivés sur la crête, proche de la cabane La Rochette, nous suivons le chemin jusqu’au sommet du Montoz que nous atteignons à 11h40. Nous cassons la croûte tout en admirant la vue et en appréciant le calme. Il fait chaud, le ciel est bleu, que demander de plus. Pour le retour nous revenons par La Rochette et continuons sur un large chemin jusqu’à La Werdtberg. Puis un sentier descend jusqu’au-dessus du village de la Heutte. Là nous devons choisir soit de continuer jusqu’à la gare sans possibilité de boire un verre, soit de prolonger le parcours d’un km jusqu’à Péry-Reuchenette où nous pouvons acheter une boisson au magasin Volg. La seconde solution est privilégiée ! Le train de 15h30 nous ramène à Neuchâtel.
Adrien Ruchti et André Pahud.








Je 17 avr. 2025
Montreux - Le Cubly
9 Jeudistes partent de la gare des Brenets sous la pluie en direction de la Douane par un chemin original.
De là, nous allons à la recherche des fritillaires aux abords du marais de Goudebas, puis nous longeons la rivière la Rançonnière.
Et voilà que ça monte vers la Caroline et la tour de Jürgensen (construit en 1870 et rénové en 1970) et son brumeux panorama.
Depuis Chatelard, nous entamons la montée vers l’Augémont et commençons sous un épais brouillard, un gymkhana pour trouver
La Saignotte, ferme des aïeux Isely. Il nous reste 10 minutes ( X4 ) afin d’accéder à la cabane des Recrettes, pour un repas bien mérité.
Le retour aux Brenets, se fait par la sauvage combe à l’ours et un arrêt à la boulangerie.
Parcours de 15,5km, maitrisé en 04h35, dénivelé +- 657m
Merci beaucoup à Jacques Isely pour les boissons offertes et les souvenirs de la Saignotte, ainsi qu’au super job de notre adjoint Philippe Fabbri.
Félicitations à toute l’équipe pour leur courage et pour leur compréhension à cette étonnante reconnaissance.








Je 27 mar. 2025
Chemin des Adonis, Jeudistes B
Org. Hansueli Weber et Jean-Claude Schnörr
Six Jeudistes de 72-92 ans participent à cette virée. Ils se lèvent tôt et viennent en transport public Neuchâtel – Saxon.
Café croissant dans la Locomotive et nous gagnons de la hauteur dans une foule bigarrée -aussi fada que nous- pour découvrir les Adonis. La balade se fera néanmoins au calme, croisant par-ci, par là un couple ou des randonneurs.
Après le torrent des Croix et sa chute d’eau le chemin nous mène à flanc de côteaux sur un sentier herbeux, parfois très exposé, à travers un terrain steppique avec des chênaies qui alternent avec des champs d’abricotier en fleur, des sous-bois fleuris avec des cerisiers sauvages en fleurs et des touffes d’adonis en abondance de part et d’autre du chemin. Nous sommes en plein au moment de la floraison luxurieuse.
Petite escapade vers la Croix de Vison/Charrat et ascension vers la Gîte : Voici un immense champ d’abricotiers centenaires avec leur écorce noir et tous en fleurs. La bise du plateau helvétique se mue en vent valaisan et les fleurs d’abricotier dansent comme des tatouillards. Pique-nique sur un banc avec un verre de blanc.
Le retour se fait sur les chemins goudronnés à travers des cultures d’abricotiers et de vignes : la taille est très diverse et le sol aride, pauvre et très en pente. Nous profitons de l’expérience professionnelle de notre vigneron neuchâtelois.
Le verre de l’amitié se fera à la Locomotive et une heure plus tôt que prévue nous rentrons à casa. Coût 52.- CFF.
Merci aux donateurs de café, croissant, vin blanc, bière et al.
Merci au co-organisateur Le premier des trois Jean-Claude
T2, 3h15, 11km, 500 de dénivelé.








Je 20 mar. 2025
De Aesch à Flüh, en passant par Mariastein
Ce sont 15 jeudistes matinaux qui se sont retrouvés à la gare de Neuchâtel à 7 :10 pour se diriger vers Laufon après changement à Bienne. Les explications du chef de course, Alfred Strohmeier, ont permis aux participants de se réveiller complètement et de parfaire leurs connaissances de l’histoire de Soleure et de la région bâloise depuis la fin du moyen-âge en savourant la tresse offerte par Alfred. Le train régional nous a ensuite conduit à Aesch (BL), où notre marche a débuté. Le temps magnifique nous a permis d’apprécier une montée douce et régulière sous le couvert forestier, qui a culminé au Blauenberg à 824 m. Au passage nous avons pu pique-niquer dans une belle clairière avant d’admirer la borne triangulaire qui marque la frontière entre les cantons de Bâle-Campagne/Soleure et anciennement Berne, puisque le district bernois de Laufon a rejoint Bâle-Campagne en 1994.
Sur proposition de Heinz, soutenu par l’ensemble des participants, Alfred nous a conduits dans la descente des gorges très pittoresques du Chälengraben, avant de retrouver l’itinéraire initial et de rejoindre le monastère de Mariastein, qui est le deuxième lieu de pèlerinage en Suisse, après Einsiedeln. Une visite de l’église baroque a précédé la descente dans la grotte dédiée à Marie avec ses très nombreux exvotos. Au sortir d’une bière bien méritée, le tram nous a mené de Flüh à la gare de Bâle en nous permettant d’admirer une bonne partie de la ville rhénane avant de rejoindre Neuchâtel en changeant à Bienne. Finalement, compte tenu de tous les extras, la marche effective a été de plus de 4h30 et le dénivelé d’environ 686m pour une distance de 17km. Un cameraman/président nous ayant accompagné, de nombreux souvenirs vidéo de cette belle sortie devraient être bientôt disponibles. Encore merci à Alfred !
Phillippe Jeanneret, accompagnateur du jour.








Je 20 fév. 2025
La Sombaille - Les Planchettes
Org. Guy Fehlmann, Jacques Isely
17 randonneurs se sont retrouvés dans le train, destination La Chaux-de-Fonds. Continuation pour la Sombaille dans le Bus 310, bien rempli.
Au café des Jardins , les boissons – Croissants ont été offerts par Laurent Colin, ce dont nous le remercions infiniment..
Départ pour la Joux-dessus sur une route goudronnée et descente vers la combe de la Sombaille par un sentier escarpé et glissant.
De là, nous commençons la montée sur la Grébille et suivons la route jusqu’à Derrière – Pouillerel avec une jolie vue .
Dans la forêt juste avant Les Planchettes, chaque Jeudiste montre son agilité vers un passage délicat occasionné par une coupe de bois.
Après un excellent repas et service impeccable , nous entamons une belle montée (+180m)pour accéder au Maillard.
Par un beau soleil, nous poursuivons notre marche jusqu’à l’arrêt de Bus Blaise Cendrars .
Parcours de 13km en 03h50 , avec un dénivelé de +- 560m. (1,7km en 20min. et dénivelé-80m, jusqu’à la Gare.)
Félicitations à tous et merci pour la super compagnie, ainsi qu’à Jacques pour le job d’adjoint.
Guy








Je 13 fév. 2025
La Brévine - Vieux Châteleu
Org. Jean-François Zürcher, Jacques Isely
Ce sont 10 jeudistes qui se sont retrouvés à Champ Rond à Bôle avant de se rendre à La Brévine pour prendre le café. Une fois équipé pour se protéger de la pluie, nous marchons en direction de Chobert, puis traversons la frontière pour retrouver la ferme des Charmottes. Nous poursuivons en direction Nord pour descendre au lieu-dit Petit Châteleu. Là, nous retrouvons le « chemin Michel Hollard » qui a été balisé et documenté récemment par la pose de panneaux explicatifs. Ceux-ci décrivent dans le détail les 98 trajets effectués par Michel Hollard durant la 2ème guerre mondiale pour informer l’ambassade britannique de Berne des projets allemands en France. C’est en particulier grâce à lui que les Anglais ont pu détruire les bases de lancement des V1 qui pointaient sur Londres. Nous suivons ce chemin pour remonter en direction de l’Auberge du Vieux-Châteleu. Après un petit détour dans une clairière enneigée qui nous a permis de nettoyer nos chaussures… nous arrivons au restaurant juste avant une forte averse de neige. Le retour aux voitures s’est effectué rapidement en suivant le sentier qui longe la frontière avant de retrouver le quartier de Chobert puis La Brévine.
Distance parcourue 8.6 km, +/- 310 m en 3h00.
Merci à Jacques pour m’avoir efficacement secondé et à tout le groupe pour sa bonne humeur, malgré les conditions météorologiques peu favorables.
Jean-François








Je 6 fév. 2025
Les Attis - Mt. Racine - Les Hauts Geneveys
6 février 2025 Course A pour Jeudiste. Raquettes.
C’est par le car postal de la ligne B380, allant de Neuchâtel au Locle, que tous sont arrivés à 8h01 à l’arrêt Les Petits Ponts, les Attis. La météo n’est pas formidable : la visibilité est réduite à cause du brouillard, le vent du sud-est souffle et il fait froid. Les raquettes sur le sac, nous marchons direction nord-est, passons par la Pourie, la Combe-des-Fies, le point 1333, et arrivons proche de la métairie du Grand Coeurie (invisible tant il y a de brouillard). Nous mettons les raquettes et poursuivons par la métairie de la Grande Sagneule et montons sur la crête. Là, le vent est plus fort. Nous longeons la crête pour atteindre le Mont Racine sans faire d’arrêt. Arrivés à une ferme sans nom aux Grandes Pradières, nous profitons de cet abri pour casser la croute…vite fait. Puis, nous continuons par la loge des Pradières Dessus, les Grandes Pradières, lieu de tirs de l’armée, où nous remettons les raquettes sur la sac. Le cheminement se poursuit à travers la forêt pour arriver à la gare des Hauts-Geneveys. Bravo aux courageux participants pour avoir affronté ces conditions très hivernales.
15 km, +520 m, - 715 m, 6h15 avec les arrêts. 13 personnes.
Adrien Ruchti





Je 30 jan. 2025
Les Breuleux
Organisateurs : Jacques Isely et Jean-François Zürcher
Jeudi 30 janvier 2025
Vu les conditions d’enneigement, la course B prévue en raquettes aux Breuleux et au Mont Crosin s’est transformée en randonnée T1 (par conditions difficiles). Le matin 11 jeudistes ont parcouru 9 km, +/- 190 m, en 2h35 au total.
Après le café à l’hôtel de la Balance, nous sommes partis avec un temps nuageux et de légères pluies partielles. La randonnée était variée sur routes, chemins, sentiers et à travers de beaux pâturages. Des parties enneigées, verglacées, boueuses avec quelques clôtures parfois en barbelé ne nous ont pas posé problèmes.
De retour à l’hôtel de la Balance, nous avons été accueillis pour le repas de midi. Contrairement aux prévisions des jours précédents, la pluie s’est mise à tomber sérieusement. La démocratie a décidé de donner congé pour l’après-midi aux organisateurs et de prolonger agéablement les discussions à table.
Merci aux participants et à Jean-François pour avoir apprécié cette aventure!
Jacques








Je 23 jan. 2025
Les Franches-Montagnes / SkF & Raq
Valangin - Montmollin - Vauseyon, (re)découverte de la forêt de Peseux
Bien sûr on a regretté la neige disparue, mais la course de remplacement a permis à chacun de (re)découvrir la forêt de Peseux. Un départ retardé nous a permis d'éviter complètement les pluies matinales et la brusque amélioration météo vers midi a dégagé le ciel et a même amené le soleil.
Après le café au Relais du Château à Valangin offert par notre nouveau membre Gerhard (remreciements), la randonnée commence par la montée au Gibet de Valangin où sont évoquées les atrocités de la justice médiévale. L'itinéraire conduit ensuite successivement par la forêt de Peseux et par la Serroue jusqu'à Montmollin et le restaurant de la Gare où l'assiette du jour nous est servie. L'après-midi, retour vers l'Est selon un itinéraire plus au sud nous conduisant, après une descente finale dans le gorges du Seyon, jusqu'à Vauseyon où le groupe se disloque.
Merci à Roland pour sa contribution à la conduite de la course et à toute l'équipe pour le bon déroulement.
Heinz








Me 15 jan. 2025
Mini camp de ski de fond
Mercredi 15 nous nous retrouvons à La Vattey. Deux groupes se forment pour parcourir différentes distances. Nous nous retrouvons à midi pour un repas “d’usine”. L’après midi certains repartent à l’assaut des pistes tandis que d’autres allaient rejoindre l’hôtel.
Jeudi 16: Ski de fond dans la forêt du Massacre au depart de Lajoux, et retour par la combe des Chèvres . A nouveau 2 groupes qui se retrouvent pour le repas de midi.
Vendredi 17: ski de fond au départ des Trois Cheminées pour atteindre la Borne au Lion et le chalet de la Pesse où les 2 groupes se retrouvent pour un repas.
Samedi 18 : ski dans la forêt du Risou où différentes distances sont parcourues selon les capacités et les envies.
Tout c’est bien passé et à part quelques chutes sans gravités, tous sont rentrés en pleine forme








Je 9 jan. 2025
Les Cernets, SkF & Raq
Ce que la météo annonçait depuis une semaine est malheureusement arrivé, deux jours de tempête pour mercredi et jeudi. En conséquence, la course a été reprogrammée en sortie raquettes seulement. Ainsi ce jeudi, après le café offert par Jacques en guise de sésame jeudiste, 14 raquetteurs se sont retrouvés vers 10h au départ de l'itinéraire raquettes en boucle de 7.5 km aux Cernets, un itinéraire officiellement balisé et inventorié par l'office du tourisme*.
Bien que les balises eussent fait cruellement défaut, l'équipe parcourut la boucle sans se perdre et put jouir de ce beau parcours sous un ciel toujours pluvieux mais relativement bienveillant. Au moment de rejoindre le restaurant des Cernets pour le repas, chacun rangea instinctivement ses raquettes directement dans les voitures, l’idée de poursuivre encore l'après-midi l'expérience humide et venteuse du matin s'étant collectivement évanouie.
Un grand merci à Étienne pour la coorganisation et à Gilbert et Roland pour leur disponibilité à participer à la coorganisation d'une sortie mixte SkF/Raq malheureusement abandonnée.
Heinz
*https://www.j3l.ch/fr/V2362/a-faire/sport-loisirs/raquettes-a-neige/les-cernets





Ma 24 déc. 2024
Noël à Perrenoud
Noël à la cabane Perrenoud
Quelle super bonne idée de la part d’Albertino d’organiser un repas de Noël à la cabane Perrenoud.
Et en plus, cerise sur le gâteau, avec des conditions de neige et de météo incroyables ! Cela faisait de nombreuses années que nous n’avons pas connu un Noël sous la neige.
8 clubistes sont partis de la Porrette en raquettes, emportant les provisions nécessaires avec eux, aux alentours de 16h30 le 24 décembre pour cheminer, et faire la trace, dans un paysage enneigé et immaculé. En cours de route, nous avons admiré le coucher de soleil et sommes arrivés à la tombée de la nuit à la cabane Perrenoud.
Nous avons juste eu temps de décharger les provisions et nous installer, que l’apéro nous tendait déjà les bras devant un feu dans le poêle.
Ensuite Albertino, nous a régalé avec un repas de Noël « poissons ». Après le dessert, deux courageux ont entrepris une randonnée en raquettes munis de leur lampe frontale.
Le lendemain matin, après avoir admiré le lever de soleil sur la mer de brouillard avec les Alpes en toile de fond et englouti un solide petit-déjeuner, nous sommes partis pour une balade en raquettes jusqu’à la Grand Vy et retour par les crêtes. A relever que le PAC (Plan d’Affectation Cantonal) du Creux du Van, maintenant en vigueur, restreint drastiquement les possibilités de balade et qu’il n’y a actuellement aucun balisage en place… donc à chacun d’être attentif pour éviter d’être en infraction.
De retour à la cabane, Albertino, nous a concocté sa célèbre paëlla. En fin d’après-midi, nous avons rejoint en raquettes nos véhicules à la Porrette et chaque participant a regagné son foyer avec le souvenir d’un Noël réussi à tous points de vue. Encore un grand merci à Albertino pour cette super organisation et aux participants pour leur bonne humeur.
Yves Bovay








Je 12 déc. 2024
Sugiez - Biberenbad - Galmiz
15 Jeudistes se retrouvent dans le train direction Sugiez. A l’hôtel de la gare, nous prenons le café offert par notre nouveau membre Denis Pellaud, que nous le remercions infiniment.
Départ pour notre marche vers Bellechasse, ou nous suivons la Bibera par un chemin rectiligne jusqu’à Chiètres. Après le passage sous l’autoroute et l’évitement d’Agriswil, nous rejoignons
la Biber, afin d’atteindre Biberenbad. Après un repas copieux et un bon dessert (compris au menu que le Jeudi),nous entamons notre périple plein de zig-zag et quelques bosses direction Galmiz.
Randonnée de 18,6km, parcourue dans la grisaille en 04h30, avec un dénivelé de +- 250m .
Retour en train pour Chiètres et arrivée comme prévue,16h27 à Neuchâtel.
Merci au coorganisateur Pierre-Alain, ainsi qu’à l’équipe pour la super et agréable compagnie.
Guy








Lu 9 déc. 2024
Ski de piste aux Ménuires
Récit : Ski de piste des Jeudistes du lundi 9 au vendredi 13 décembre 2024 aux Ménuires
12 Jeudistes ont participé à la petite semaine de ski aux Ménuires, station française située dans les 3-Vallées, constituées des villages de Courchevel, Méribel et Val-Thorens. Par un temps radieux et avec de la neige magnifique, nous avons skié du lundi après-midi jusqu’au vendredi midi. Il y a eu pour tous les goûts, les caïds dépassant 70km en une journée, alors que d’autres se délassaient sur des pistes bleues. Nous commencions les soirées par l’apéritif. Mardi, Frédéric Ecklin l’a offert à l’occasion de son 79e anniversaire, mercredi, ce fut le tour de Dominique Gouzi, qui, en atteignant 75 ans, pouvait enfin et dès ce jour profiter du tarif super-sénior pour les remontées mécaniques. Un grand merci à ces généreux donateurs et tous nos vœux de santé et de nombreux jours de plaisir sur les lattes ! Rolf, le GO de service, a égayé et animé les apéritifs par des jeux collectifs. Un jour, il a fallu humer des arômes présents dans des vins ; nous avons pu constater que certains avaient plus de nez que d’autres, et nous ne parlons ici pas de vins. Le lendemain, nous avons dû identifier des logos d’entreprises et d’autres organisations. Si Lufthansa, Amazon et Nestlé et bien d’autres étaient faciles à reconnaître, il y en avait qui étaient moins évidents à deviner. Mais chatGPT nous est venu au secours, ce qui prouve que les Jeudistes sont des vrais geeks. Après l’apéritif, nous avons soupé dans divers restaurants du site, toujours dans une belle ambiance joyeuse. Après la journée de ski intensif et quelques heures conviviales passées ensemble, nous étions contents de rejoindre nos chambres pour une nuit de repos bien mérité. Aussi bien le voyage aller, départ à 8 heures à Boudry, que celui de retour se sont très bien passés : environ 4h30 à l’aller avec quelques ralentissements du côté de Genève et avec un arrêt café vers Annecy, que le retour effectué en 3h30 environ. Un grand merci aux quatre conducteurs, Rolf, Dominique, René et Jean-Pierre, de nous avoir conduits sains et saufs. Merci à Jean-Pierre B. d’avoir œuvré comme photographe et d’avoir confectionné une jolie vidéo. Merci à Rolf d’avoir assumé le rôle de coorganisateur, d’avoir tenu la caisse et d’avoir organisé des jeux. Merci à Gilbert par ceux qui avaient besoin d’un rafraîchissement de technique de ski et d’encouragements. Merci à tous pour la belle compagnie joyeuse, conviviale et sportive.
Alfred
PS : Jean-Pierre Baer a confectionné une jolie vidéo que vous pouvez visionner par le lien ci-dessous. Un grand merci à lui et félicitation pour ce travail bien fait :
https://www.mycloud.ch/l/L0071308D3C501E5E1BC0A7C048907FA23F8AC199CE9D7570F03F145BB0DF4CDD








Je 7 nov. 2024
Course C : Bâle : vieille ville et campus Novartis
Récit de la course C du 7 novembre 2024 : Bâle : vieille ville et campus Novartis
13 Jeudistes se sont retrouvés à la gare de Neuchâtel pour aller visiter la belle ville de Bâle, où le soussigné a passé les vingt ans de sa jeunesse. Le voyage en train a été l’occasion de rappeler quelques éléments de l’histoire de Bâle (voir ci-dessous pour les intéressés). Comme prévu, nous arrivons à Bâle vers 9:30. Lors d’un court trajet en tram, nous apercevons le monument Strasbourgeois par Bartholdi (celui de la statue de la Liberté) et l’imposant bâtiment de la Banque des Règlements internationaux par Mario Botta. A pied, nous passons devant la joyeuse fontaine du Carnaval de Tinguely, et après avoir contourné la Barfüsserkirche, l’église des franciscains, nous arrivons à la place de la Cathédrale. Nous traversons son immense cloître, dont les murs sont garnis de cénotaphes, y compris celui de Wettstein (voir ci-dessous). L’abside de la cathédrale nous démontre l’origine romane de la Cathédrale. Nous en sortons en débouchant sur la Pfalz (contraction de Palace), promontoire sur le Rhin. De là, nous avons une superbe vue sur le Petit-Bâle, et les deux tours de l’entreprise Roche, les plus hauts de Suisse, pouvant loger chacune deux mille employés. Un arrêt s’impose pour admirer le portail latéral de style roman de la Cathédrale, dit Galluspforte, de la même manufacture que le portail de la collégiale de Saint-Ursanne. Nous traversons ensuite la place de la Cathédrale, occupée temporairement par la foire d’automne de Bâle. A son extrémité, nous jetons un coup d’œil sur la « Haus zur Mücke », où avait siégé le Concile de Bâle, actuellement partie d’un lycée, que le soussigné a fréquenté pendant huit ans. En descendant le Rheinsprung, nous avons l’occasion d’admirer les façades Rococo (ou Louis XV) des palais « bleu » et « blanc », ayant logé autrefois les commerces et résidences de marchants bâlois. Nous traversons ensuite la Mittlere Brücke, le plus ancien pont de Bâle (voir ci-dessous) et longeons le bord du Rhin. Nous arrivons à la jetée de la Fähri qui nous transporte sur l’autre côté du Rhin. Après une montée plutôt raide, nous voilà de retour sur la Pfalz. Entretemps, la cathédrale s’est ouverte, ce qui nous permet d’en découvrir l’intérieur, assez particulier, puisque le chœur est très surélevé. Nous descendons ensuite sur la place du marché et jetons un coup d’œil sur l’Hôtel de Ville, de style gothique-renaissance. Comme toutes ces visites nous ont ouvert l’appétit et fatigué les jambes, nous sommes contents de nous attabler vers 12:15 dans la brasserie traditionnelle le Schnabel (Le Bec), d’autant plus que le temps est bien maussade, il fait froid et il bruine de temps en temps. Le repas est excellent : crème de courge, émincé à la Zurichoise (à Bâle !) avec spätzli et petite tranche de tarte aux prunes. Vers 14:15, nous prenons le tram pour nous rendre au Campus Novartis. Nous sommes impressionnés par la taille de ce site de recherche et de production, et par la qualité architecturale des bâtiments, conçus par des architectes de renom international, tels Marco Serra, Diener & Diener, SANAA, Frank O. Gehry (celui du musée de Bilbao), Tadao Ando, David Chipperfield, et bien sûr Herzog et de Meuron. Mais c’est l’heure du retour. Nous prenons le tram pour nous rendre à la gare principale, puis le train pour retourner plein de souvenir à Neuchâtel, où nous arrivons une demi-heure à l’avance sur l’horaire prévu, soit à 18 heures.
Nous avons marché environ 2h30 et 7km, par un temps maussade, couvert avec bruine.
Merci à Claude R. de m’avoir assisté et d’avoir assumé la fonction de photographe. Une partie est mise sur la Galerie du Club.
Un grand merci à toute l’équipe pour l’ambiance amicale et chaleureuse.
Alfred
Quelques éléments de l’histoire de Bâle
Les Bâlois aiment prétendre que leur ville a été fondée par le général romain Lucius Munatius Plancus en l’an 44 av. J.-C, alors même que celui-ci est à l’origine de Augusta Raurica, non loin de Bâle, et qui vaut une visite. Le nom de Basilea est en fait mentionné pour la première fois lors de la visite de l’empereur Valentinien 1er en 374. Vers 740, donc au temps des Carolingiens, Bâle est le siège d’un évêque, et le restera jusqu’à la réforme. De 1006 à 1648, Bâle fait partie du Saint-Empire romain germanique. En 1019, l’empereur Henri II préside à la consécration à la Cathédrale. En 1225, le prince-évêque fait construire un pont sur le Rhin, un des rares ponts entre Bâle et la mer. Ce pont contribue largement à l’essor économique de la ville. Le 14e siècle est celui des catastrophes. En 1348, la peste emporte plus de la moitié de la population. En 1356, un tremblement de terre réduit en ruines et en cendres la ville. En 1392, le gouvernement de la ville passe aux mains de la bourgeoisie organisée en corporations. Celle-ci acquiert le Petit-Bâle, ainsi qu’une partie de l’actuelle Bâle-Campagne. Depuis cette époque et jusqu’à la réforme, Bâle héberge deux « gouvernements », celui des Bourgeois, et celui du Prince-Evêque, ce dernier avec des terres dans le Jura et en Alsace. Le 15e siècle est l’âge d’or de Bâle. De 1431 à 1448 a lieu le Grand Concile de Bâle. En 1460 est fondée l’Université de Bâle, la plus ancienne de Suisse, puisque les autres universités suisses ne remontent qu’au 19e siècle. Le rayonnement de cette université a été important, puisqu’elle a su attirer au cours des siècles des savants aussi importants que Erasme de Rotterdam, Paracelse, André Vésale, le fondateur de l’anatomie moderne, la dynastie mathématicienne Bernoulli, le philosophe Friedrich Nietzsche, le théologien Karl Jaspers, sans oublier le prix Nobel Tadeusz Reichstein. L’essor économique de ce 15e siècle n’a pas empêché des guerres et batailles aux portes de Bâle, en particulier la bataille de St-Jacques à la Birse en 1444 (donc pendant le Concile) et la guerre de Souabe. Pour garantir sa sécurité militaire, Bâle rejoint en 1501 la Confédération en même temps que Schaffhouse. En 1515, Oecolompade introduit la réforme à Bâle. A la suite de celle-ci, il faut de peu que l’université ferme. N’ayant plus de travail pour peindre ni des autels, ni des portraits, le grand peintre Hans Holbein le Jeune quitte Bâle pour Londres, où il devient le peintre officiel de la cour d’Henri VIII. A la suite de la guerre de Trente Ans, le maire de Bâle, Johann Rudolf Wettstein obtient la reconnaissance juridique de l’indépendance de la Confédération du Saint-Empire romain germanique. Dès 1670, la percée de l’industrie de la soie, et en particulier du ruban de soie, ouvre une nouvelle époque de prospérité. Les métiers de la teinture débouchent sur les industries des colorants et de la chimie pour finalement donner naissance à l’industrie pharmaceutique, représentée de nos jours par Roche et Novartis. En 1798, le Bâlois Peter Ochs, après en avoir préparé la constitution, proclame la République helvétique. On sait que ce type d’état centralisé ne convenait guère aux Confédérés, et las de leurs querelles internes, Napoléon l’a aboli par l’acte de Médiation en 1805. Après le traité de Vienne en 1815, comme les autres « grandes » villes suisses, Berne, Zurich et Lucerne, Bâle rétablit l’ancien régime des Patriciens. Mal lui prend, puisque la campagne se révolte, aboutissant en 1833 à la séparation en deux demi-cantons, Bâle-Ville et Bâle-Campagne. Comme lors d’un divorce, il faut partager la fortune. La cathédrale ne pouvant être déplacée, son trésor revient à Bâle-Campagne, qui s’empresse de le vendre à un marchand français. C’est ainsi qu’on peut admirer le retable en or de la Cathédrale de Bâle au musée de Cluny à Paris. La suite de l’histoire de Bâle est celle de la Suisse, avec la grève générale en 1918, résultant à l’occupation de la ville par des troupes de la Suisse centrale. Pour conclure, j’aimerais encore mentionner que Bâle a accueilli le premier congrès sioniste présidé par Theodor Herzl en 1897, suivi de neuf autres sessions aboutissant à la création de l’Etat d’Israël.








Je 10 oct. 2024
Mont Girod - combe Fabet
A 07h26, les 14 Jeudistes partent en train jusqu’à Moutier et le bus pour Moutier Cimetière( pas de visite)
Au Derby, nous prenons un café – croissant, offert par Willy Buss qui fête ses (4X) 20 ans, dont nous le remercions infiniment.
Départ pour notre marche en s’engageant dans la forêt de la Foule et les gorges de Court, tout en faisant attention à la glissade.
Depuis Court, nous commençons à grimper pour accéder aux pâturages du lac Vert, dont on aperçoit un petit peu ce bassin caché par la végétation.
Passage délicat prés de la ferme de Mont Girod, afin d’éviter la boue crée par nos amis les vaches. Encore un petit effort avant de pique-niquer au point de vue.
Après le casse-croûte et le joli panorama des gorges de Court , de Moutier et ses alentours, nous descendons sur Perrefitte en passant par la combe Fabet.
Grâce à un parcours bien maîtrisé, nous avons le temps de prendre une boisson au restaurant de l’étoile , qui est offert par notre nouveau membre
Denis Trachsel, que nous remercions beaucoup . Retour en bus et en train sans problème, pour arriver à Neuchâtel à 16h32.
Parcours de 17,2km en 04h45 (dénivelé + 650m et – 620m) ; journée fraîche , quelques gouttes de pluie et un petit peu de soleil.
Merci à toute l’équipe pour la super ambiance, et à notre co-organisateur Jean-Mi.
Guy








Sa 5 oct. 2024
Cours premiers secours: Pratique (2/2)
Cours de Premiers secours du 5 octobre 2024
Le cours s’est déroulé dans la ferme de Misaël, ambulancier ES, qui nous accueille avec le café ! Il est notre instructeur bénévole pour la soirée et la journée de cours, avec Adrien, organisateur non moins bénévole depuis plusieurs années. Nous sommes entre de bonnes mains ! La pratique se compose de plusieurs ateliers : approche de la personne blessée (la stimulation verbale, douloureuse, et la respiration), massage cardiaque (5 séries de 30… exigeant pour les épaules), déplacement-transport d’une personne, appel de secours, sécurité à l’approche d’un hélicoptère (attention à la couverture de survie en alu qu’il faut fixer au blessé… sinon danger pour l’hélico), mises en situation d’accidents, bandages-immobilisations de membres blessés, pharmacie de secours. Les informations données et les exercices pratiqués ont bien mobilisé l’énergie des participants. Leur enthousiasme a aussi été nourri par d’intéressants retours d’expériences de Misaël et d’Adrien. Une soirée et une journée de formation instructives et à refaire de temps en temps pour maintenir ses réflexes aiguisés et se tenir au courant des nouveautés dans le secours en montagne. Merci à nos organisateurs ! Marie-Claude






Je 26 sept. 2024
Course A : Au sud du lac de Thoune : Därligen Fa
C’est bien dommage que nous n’ayons pas pu faire la course prévue au programme, Därligen-Feulensee. Mais que cela ne tienne, 10 courageux se sont retrouvés à Saint-Blaise pour monter en car postal et par un parcours inhabituel jusqu’à Enges, en raison des travaux routiers. De là, nous sommes descendus à Frochaux, avons suivi le chemin par Entre-Roche, longé le Ruau de Saint-Blaise, pour arriver au bord du lac, ce qui nous a permis d’admirer les roues en mouvement de Botta. Nous avons suivi le bord du lac jusqu’à la Ramée, où nous avons pris le pique-nique dans la bonne humeur, et à l’abri. Après nous avoir sustenté, nous avons longé le lac jusqu’à la Tène en empruntant le nouveau chemin, magnifiquement aménagé, qui traverse la propriété de Préfargier. Nous avons continué en suivant le Thielle, bifurqué vers Wavre, longé le Loclois, pour arriver finalement à Saint-Blaise.
Nous avons parcouru environ 18km, sommes descendus de 460m, monté de 80m, le tout en 4h30, sans les pauses.
La température a été agréable pendant toute la course, et il a même fait doux. Le matin a été quasiment sec, mais après le pique-nique, la pluie est tombée sans discontinuer.
Merci aux participants pour la bonne humeur et l’ambiance amicale. Une fois de plus, même par mauvais temps, on éprouve du plaisir de se retrouver et de randonner ensemble. Merci aussi à mon coorganisateur Jacques I., comme toujours fidèle au poste.
Alfred



Je 12 sept. 2024
First depuis Elsigenalp
Mail de dimanche soir 8 septembre : Jeudi 12 septembre, plutôt que brouillard et neige au First d’Adelboden, je propose une bonne aération et une sympathique métairie près de chez nous :
RDV 8h40, Chambrelien, gare. De là, à pied au Grand Coeurie via Tablettes : 3 h, 8 km, +800 m/-180 m.
Après-midi : du Grand Coeurie aux Geneveys-sur-Coffrane, gare : 2 h, 7 km, +190 m/-640 m (en grande partie sur chemin blanc).
Inscriptions: jacques.isely@gmail.com jusqu’à mardi en précisant pour le saucisson au feu de bois, roesti, salade, CHF 19.— ou pour la fondue 200 gr, CHF 21,—
Le prix des boissons est très raisonnable et le café nous est offert.
Il fera plus froid. J’espère que nous pourrons passer entre les gouttes. Prenons quand même le parapluie !
Déroulement de la course : comme prévu et dans la bonne humeur habituelle. Cf. photos.
PS 1 : Agréable surprise en arrivant au Grand Coeurie. Werner a téléphoné pour nous offrir l’apéro que nous buvons à sa santé !
PS 2 : 8 participants
Org. Jacques








Je 5 sept. 2024
Schwarzwaldalp - Hornseewli - First, Grindelwald
Chers amis,
En raison des conditions météo défavorables, la course A dans la région de Grindelwald, Schwarzwaldalp – Hornseewli – First, a dû être annulée.
12 participants se retrouvent au Temple de Peseux pour suivre une jolie course de remplacement, brève, mais intense proposée par notre ami Pierre Hiltpold. Départ à 8:20, pour monter à Valangin en passant par le gibet de la Seigneurie du même nom. Excellent accueil au Relais du Château, où nous prenons notre pause-café. Nous sommes bien chanceux, car Samuel vient de fêter son anniversaire, et il nous offre café, chocolat chaud, ovomaltine et croissants. Un grand merci à lui. En sortant, quelques gouttes nous mettent en alerte pour nous équiper contre l’averse menaçante. C’était une fausse alarme. Nous entreprenons donc le cheminement prévu en longeant la rive gauche du Seyon pour nous rendre à la Borcarderie, puis direction nord vers Boudevillier, et finalement direction ouest pour rejoindre Serroue, où nous arrivons à midi pile. Grâce à Laurent Colin, un grand merci à lui, nous nous installons confortablement autour d’une table dans la grange de « sa » ferme familiale. Une fois sustentés, nous reprenons la course. Il ne pleut toujours pas, mais les prévisions annoncent de fortes pluies. Nous décidons donc de prendre le chemin le plus court pour retourner à Peseux. Grand bien nous a pris, car à peine arrivés à Peseux, Saint Pierre (je ne parle pas du chef de course) ouvre les vannes.
Course d’environ 4h30, temps couvert, et ciel menaçant, mais sans pluie.
Merci à Pierre d’avoir proposé et conduit de main de maître cette jolie course. Merci à tous pour la compagnie amicale.
Alfred
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Alfred Strohmeier, alfred.strohmeier@gmail.com
Mobile : +41 79 241 64 49

Je 29 août 2024
Kandersteg - Heuberg
Randonnée Jeudistes A du 29 août








Je 15 août 2024
Engstligenalp à Sunnbühl par le Chindbettipass
Le plus beau jour de la semaine pour cette course Jeudistes élargie à la Section ! Soleil, petits lacs, chemin caillouteux et bien raides, vues somptueuses, ambiance chaleureuse ! Merci aux organisateurs André et Adrien !
Course A Engstligenalp – Sunnbühl du 15.08.24.
Par un généreux soleil, nous sommes 15 participants au départ de la gare de Neuchâtel, (certain se trouve déjà dans le train), départ 06h31 pour Berne où nous prenons le café croissant offert par Stéphane, un grand merci et qui effectue sa 1ère course avec les jeudistes. En train jusqu’à Frutigen, puis en car jusqu’au départ du téléphérique pour Engstligenalp (1940 m).
Il est 09h50, quand nous commençons la montée sur le col Chindbettipass (2623 m). Il fait chaud et la montée se fait de plus en plus pentue, surtout sous le col. Nous arrivons vers 12 h au col où nous décidons de pique-niquer. Vers 12h45, nous reprenons notre course en passant au pied des rochers de Chidbettihore jusqu’au pt 2625m. Par un sentier pentu avec passablement de cailloux, nous descendons sur Walliswang (2130 m). Pause boisson bien méritée, car nous devons remonter au col Schwarzgrätli (2381 m) en longeant au pied de la falaise par un petit sentier dans la caillasse sécurisé par des cordes pour atteindre le col. Puis c’est la descente sur Schwarenbach parmi les moutons.
Arrivé à l’auberge, Willy se souvient d’avoir dégusté une excellente tarte à l’abricot mais nous sommes arrivés trop tard, se sera l’occasion d’y revenir.
En 1h, par un large chemin, nous arrivons au téléphérique de Sunnbhül vers 15h30. Nous décidons de nous déshydrater au restaurant du téléphérique. Vers 16 h, nous prenons l’installation pour descendre à la Tallstation puis le car pour nous rendre à la gare de Kandersteg. Retour en train et nous décidons de prendre le train de 18h48 à Berne pour éviter de changer à Ins et qui va directement sur la Chaux-de-Fonds. Ceci nous permet de nous désaltérer, car la journée a été chaude et longue.
Cette consommation est généreusement offerte par Philippe, un 2ème nouveau jeudiste (ancien OJ du CAS NE). Nous souhaitons la bienvenue à nos 2 nouveaux jeudistes et qu’ils profitent des belles courses de notre programme.
Temps de marche 5 h 30 avec 980 m de dénivellation et une distance 14 km.
Merci aux participants pour leur sympathique participation, aux photographes et à Adrien de m’avoir secondé.
André Pahud








Je 1 août 2024
La Motte - Tète à Bosset
Rapport de la Course A La Motte – Tête à Bosset remplacé par un parcours-reconnaissance Insolite :
Huit Jeudistes se retrouvent au Robinson et discutons d’un nouveau parcours. Suite aux intempéries de Mercredi(20mm), le sentier Sur Champ à La Motte est trop glissant et dangereux.
Il est décidé d’effectué la rando Les Plans sur Bex – Le Trou à l’Ours. Après avoir récupérer une neuvième personne dans la Grande Béroche, nous arrivons à Bex, au Ranch Bar, pour le café
offert par Etienne, dont nous le remercions infiniment. Puis, Les Plans – sur – Bex, départ de la marche le long de l’Avançon de Nant , jusqu’à Pont de Nant. Mais là, un orage impressionnant
se déclare et nous oblige à prendre un nouveau café dans l’auberge communale. Après la tempête, nous démarrons sous une petite pluie momentanée, dans le beau vallon de Nant, avec
quelques franchissements sympas de torrents. La neuvième personne , préférant se ressourcer dans le jardin alpin, nous rejoindra plus tard aux Plans.
Nous abandonnons l’avançon et montons gentiment à notre point insolite qui s’appelle le Trou à l’Ours. Nous chauffons nos biscottos et escaladons les rochers pour passer par le trou du
Petit Ours. BRAVO à tous, c’est réussi. Après la pause « pique – nique « au Cinglo, nous reprenons notre aventure par un chemin digne des collines russes, jusqu’à Euzanne. De là, nous
descendons sans encombre, aux Plans sur Bex . Nous reprenons nos voitures, sans oublier notre neuvième personne. Une boisson à Bex et retour à Neuchâtel.
Parcours T2 et T3(l’insolite) de 13,5km en 04h40, avec un dénivelé de +-740m. Encore désolé pour ce passage scabreux, mais maitrisé par tous.
Je félicite ces grands sportifs et les remercie pour cet engagement et merveilleuse compagnie. Merci aussi à Etienne qui m’a bien aidé, et pour trouver une super randonnée de remplacement.
Fehlmann Guy








Je 25 juil. 2024
Les Bernoises de près ! Course C
Chers amis Jeudistes, quelle escapade magnifique !
Seize participants se retrouvent à la gare de Neuchâtel. Voyage agréable en direction de l’Oberland bernois. Comme prévu, la troupe arrive à Grütschalp pour la marche en direction de Mürren (capitale de la musique des cors des alpes). A Winteregg, deux éclaireurs se rendent en train jusqu’à Mürren pour réserver un endroit près de la place de jeux, derrière le Palace en transformation plus une nouvelle annexe (quel pognon !). Au passage de ce train venu de nulle part en direction de nulle part, l’on jouit d’une vue magnifique sur les Bernoises. Puis c’est le moment du pique-nique, suivi d’un café à l’hôtel Eiger.
Ensuite, retour à pied à Winteregg pour admirer encore une fois ce magnifique panorama et pour un arrêt boissons. Procédant à un contrôle de ses ouailles à la sortie de l’établissement, l’organisateur compte et recompte, constatant un trou dans l’effectif. Bref un participant s’est évaporé. Stupéfaction ! Espérant le retrouver, poursuite jusqu’à Grütschalp puis descente en téléphérique jusqu’à Lauterbrunnen. Nouveau conciliabule et il est convenu d’entreprendre des recherches. Un Jeudiste valeureux remonte pour retourner sur nos pas. Un peu plus tard, le chef de course reçoit enfin un message. L’homme disparu et qui ne répondait pas à nos nombreux appels est dans un train pour retourner chez lui.
Le train qui nous transporte à Interlaken est bondé et nos places réservées occupées. A cette station, plus de train, ce dernier n’ayant pas attendu la correspondance. Après une attente d’une demi-heure, une navette à deux étages bondés nous permet de rejoindre Berne puis le R5 nous conduit à Neuchâtel.
A la suite de ces évènements, il convient de relever combien cette course nous a comblés. Pour moi, c’était une vraie course d’école avec des vues magnifiques sur des paysages de rêve. Un grand merci à Jean-François et Roger qui n’ont cessé à chaque étape de procéder à un recensement des participants.
Michel Kohler








Lu 8 juil. 2024
Journée Différences Solidaires au Creux du Van
Journée magnifique mais pas vraiment une course de section !
Cette journée a été organisée en collaboration avec les associations Différences-Solidaires et Neuchâtel Rando.
Suite à un contact avec Alain Bigey de Differences-Solidaires lors d’une conférence à une assemblée de la section, j’ai discuté avec lui des problèmes qu’il rencontrait lors de ses sorties avec les Joëlettes dans la région. Il m’a tout de suite parlé du Creux du Van où il vient au minimum 5 fois par an. Les passages pour piétons et pour VTT ne sont pas adaptés aux Joëlettes qu’il faut porter avec la personne handicapée! Cette remarque m’a interpellé en tant que président de Neuchâtel Rando et j’ai lancé l’idée d’organiser une sortie commune CAS et Neuchâtel-Rando afin de sensibiliser les milieux concernés à cette problématique.
Cette journée devait se dérouler en Juin 2024 en présence du Ranger du Creux du Van et de représentants des autorités. La météo nous a obligé à reporter cette sortie et la date du 8 juillet n’a pas permi la présence des autorités afin de constater les problèmes. La sortie s’est toutefois déroulée dans une ambiance magnifique et c’était émouvant de voir les sourires de Stéphane et de Romain, même dans les passages difficiles. Les autorités seront sensibilisées par un rapport et par le reportage de la TSR.
Cerise sur le gâteau: La paella préparée par Albertino et André à la cabane Perrenoud!
Merci à toutes et à tous de votre précieuse collaboration et j’espère bientôt pouvoir organiser à nouveau une sortie avec les passages aménagés
Reportage TSR
Philippe Aubert







