
Di 29 jan. 2023
Dent rouge par le col des Pauvres
Dent Rouge.
Et pourtant tout avait bien commencé…un coorganisateur nommé Guillaume qui ressemblait à Brad Pitt…selon les messages et photo échangés par messagerie la soirée précédant la sortie. Votre serviteur jaloux comme poux et complexé comme je ne sais quoi, fut en même temps soulagé et déçu quand au matin, il découvrit dans le train Lausanne-Bex, que de un, le dis Brad n’avait rien d’un Pitt, de deux l’épatante naïveté rarissime de votre dévoué, de trois que le ridicule n’a jamais tué personne.
Ce qui ne m’empêcha pas daller discrètement bouder quelques minutes dans les luxueuse toilettes ferroviaires. Mais je sort de la trace. Dans un élan diplomatique indéniable et louable comme pour effacer la supercherie, le dis Guillaume en montant dans le bus pour les Plans, s’enduisit copieusement de crème solaire indice 200 et avec l’empressement de celui qui cherche à se faire pardonner me proposa le partage de la grosse noix d’enduit solaire (une tradition Lausannoise semble t’il) Devant sa peine à l’étaler et la pâleur soudaine que pris sa figure , je dus à regret décliner sa généreuse proposition.
Sur ces quelques détails de moindres importance, nous entamâmes une montée victorieuse vers les divines hauteurs du vallon d’Euzanne orienté nord et bien à l’abris de l’astre solaire (indice 200, blancheur extrême, rappelez-vous) Ce fut une équipe joyeuse et affamée qui arriva au col des Pauvres (c’est qui le cartographe…) Après un richissime pique-nique et un essai de masque solaire aluminium dernier cri, la montée vers le sommet ne fut plus que du bonheur en bleu et blanc.
Après le selfie sommital traditionnel et dans un même élan nous plongeâmes avec volupté dans les dernières parcelles de poudreuse recouverte de givre divin. Des cuisse en feux pour certaines et des courbes orgasmiques pour d’autre, du tricotage entre les mélèzes dans cette lumière du jour finissant et ce givre (oui je me répète…) métamorphico-magique firent de cette descente un pur moment de plénitude.
Nous nous laissâmes glisser direction cacao, café et vin chaud en attendant le bus précis et ponctuel. Un train spécial nous attendait en gare de Bex et dans ce joyeux babille typique des fins de journée de ski réussie, nous ne pûmes retenir quelques pieds de nez et autre geste d’une audace des plus folle lorsque nous aperçûmes le gros bouchons, que dis-je l’occlusion, déjà en place sur l’autoroute du Chablais.
Quelques verrées plus tard, nous nous séparâmes de Guillaume et Isabelle, puis Hélène et enfin Fanny, Clara et votre serviteur. Merci à toute et tous pour votre joie de vivre et particulièrement merci à Hélène et Guillaume pour l’organisation.
Vincent








Di 29 jan. 2023
Noiraigue-Le Couvent
Entre Noiraigue et la Cabane Perrenoud, l’admirable paysage de montagne enneigée récompense l’effort qu’on consacre à la montée des 14 contours. La neige bien froide crisse sous les raquettes, les arbres sont recouverts de neige, les arbustes de givre. Sur le plateau du Creux-du-Van, le brouillard porté par la bise se déchire et les lunettes de soleil sont tirées des étuis. Un bouquetin mâle solitaire nous regarde passer, puis semblablement deux chamois. Côté Est du Creux, le brouillard se fait à nouveau dense. Depuis la Baronne, la piste de ski de fond nous guide jusqu’à la Cabane. Chaleur du poêle, accueil amical et soupe bien chaude requinquent les corps et les esprits. Départ pour rejoindre la ferme Vers-Chez-Amiet. Un sac à dos est oublié, vite récupéré. Dans le brouillard, on se perdrait facilement sans l’ami GPS. Direction sud-est à travers les pâturages boisés, des Prés Cornu aux Prés Cretegny, puis Bellevue et le petit sommet du Truchet (1369m). La ligne droite tracée sur la carte n’en est pas une sur le terrain. Charme d’un itinéraire qui fait la part belle à la lecture des creux et des bosses, des bois et des prés. Le soleil réapparaît. Les sapins étincellent. Les appareils de prise de vue crépitent. Virage en direction nord, descente par les Prises Gaille, croisement avec la piste de ski de fond, traversée de la ferme Vers chez Sulpy, et voici enfin Le Couvent. La course a été longue et éprouvante pour les articulations. On rêve d’une descente à ski une prochaine fois ! Le Bus des Neiges, dont la conductrice a aimablement adapté son horaire au nôtre, nous redescend à la gare de Couvet. Merci à toutes et tous de cette belle journée et bonne humeur partagées. Marie-Claude








Ve 27 jan. 2023
Pointe d'Euzanne (2326m)
L’aventure commence au café à Bex, seule femme, la serveuse incite fortement un membre à m’offrir le croissant. Choc et fou rire, encore merci, hi.
La suite, c’est une montée entourée de grands sportifs, qui papotent toute la montée sur le chemein de forêt, de vrais pipelettes, hi.
Des convertions au milieu des mélèzes, dans une belle neige, offrent un peu de sueur à certains… et nous ammène devant un panorama éblouissant avec en deuxième plan, un joli croissant de lune. Une pause thé et fruits secs, la dernière avant le sommet.
Des convertions sur le triangle de neige qui nous mène au sommet de la pointe d’Euzanne, magnifique et vertigineux. Nous profitons d’un magnifique panoram avec devant nos yeux, tout près, le grand et le petit Muveran, la dent Favre et d’autres encore. Après les sandwiches et le thé, on s’équipe pour la decsente avec très peu de place et le vide au dessous, faux pas déconner, deux ski c’est mieux pour descendre.
Une neige magnifique pour descendre, un peu de carton, un peu de dure et surtout une tonne de poudre… comme moi, je vole pas sur la neige, je souffre un peu des cuisses et genoux à brasser toute cette neige… d’autres planent sur la neige…
et ne pas oublier, la bière artisanale à la Brasserie des mines à Bex.
Encore un joyeux anniversaire à Pascal.
et merci à notre super guide et son adjoint ( je déplore une petite réflexion sexiste quand même, hihih), à l’écoute de son équipe et même pas besoin de réclamer les pauses thé-biscuit, elles arrivaient à point nommé. Merci pour cette joyeuse et magnifique sortie. Bises
Janine



Ve 27 jan. 2023
Ärmigchnubel en traversée
Une traversée, c'est toujours une superbe course : monter par la vallée de kandersteg et redescendre dans le kiental, forcément une belle promesse si la météo et la neige sont de la partie.
Dans le train qui nous emmène au départ les discussions sur la météo vont bon train: jour blanc ? Brouillard? Ou grand beau ?
Au départ à mitholz grand beau (mais froid) du coup on ne traîne pas. La montée d'abord à l'ombre est magnifique avec les cascades de glace et cette neige immaculée.
Lorsque nous arrivons au soleil après 2h de montée il est temps d'apprécier la première pause. Nous réaliserons plus tard que ce fut aussi la dernière en effet, 30min plus tard en nous retournant nous voyons les nuages monter de la vallée donc pour éviter le jour blanc à la descente on accélère. Sous le sommet la bise se joints au soleil pour nous frigorifier empêchant le pique nique. Juste le temps de faire la photo et nous entamons la descente dans une poudreuse non tracée
Oui vous avez bien lu : soleil neige poudreuse non tracée. Mais où est l'erreur ? Simplement l'absence de sous couche : les virages magiques sont ponctués des scrrrrr caractéristiques mais pas se quoi gâcher la bonne humeur.
Enfin nous arrivons au passage clé de la course, un couloir raide étroit mais court. Par chance, les nuages nous atteignent juste au moment où nous avons trouvé son entrée. Le temps de voir Suzanne descendre en petit virages, les autres descentes s'effectueront dans le secret de chaque skieur même si le dérapage semble avoir été la technique favorite de la majorité.
Fin de l'histoire.
Enfin non, ensuite s'ensuivit un supplice pour les skis / un slalom spécial ski caillou qui nous ramène à une route
Dans le dernier champs, les techniques sont variées : qui ski normalement, qui ski lentement en essayant de deviner la position des cailloux. Personnellement j'opte pour la descente à pied: aussi rapide et préservant les skis des requins.
Nous arrivons à 14h45 à kiental, le temps d'engloutir nos pique niques et de sauter dans le bus: la bière attendra Berne!
Un grand merci à Laurence et Suzanne pour ce bon ski (mis à part la fin) et ces beaux paysages !








Ve 27 jan. 2023
Marche puis visite du « Festival des Lumières » Mo
Fêtes de lumières à Morat
Sortie un peu hors des sentiers battus, quoique!!!
Le chemin, nous l’avons emprunté après un court trajet en train. La vingtaine de participants a marché au bord du lac dans la forêt dénudée entre Sugiez et Morat juste avant la tombée de la nuit. Puis avec le plan reçu, chacun a pu déambuler dans la ville selon ses envies et au gré des couleurs et des musiques douces de la fête.
L’ambiance feutrée et agréable nous a permi d’apprécier toutes les performances des différents artistes.
Le retour s’est fait en train avec des souvenirs plein les yeux.
Les participants






Je 26 jan. 2023
Sortie raquettes
Le Mont-Châteleu
Nous partons à l’assaut du Mont-Châteleu petite butte à 1300m dans la forêt au Nord-Ouest de la Brévine. Il fait frais dans le village mais on est loin des températures polaires que l’on a pu y croiser. La neige est tombée la semaine dernière. Le terrain est encore blanc ; le parcours 241 de SuisseMobile est suffisamment damé par les promeneurs précédents pour que seule une minorité de participantes choisisse de chausser les raquettes pour éviter de les porter le temps de la balade.
Très vite nous nous enfonçons dans la forêt de pins en direction du Vieux Châteleu. Quelques panneaux didactiques nous informent des essences d’arbres que nous croisons. Le sorbier des oiseleurs d’ordinaire si caractéristique est méconnaissable sans son feuillage lancéolé et ses fruits globuleux. La neige à bien chargé les arbres et les cristaux de givre ont envahi les branches dénudées. Nous sommes plongées dans le royaume féerique de Narnia à deux pas de chez nous.
Pourtant on redescend vite sur terre face à la stèle posée par le Souvenir Français en mémoire des passeurs-résistants qui, au péril de leur vie, ont transporté du courrier et guidé les clandestins vers la Suisse durant la seconde guerre mondiale.
Poursuivant notre chemin un autre hommage est rendu, à travers une succession de panneaux explicatifs, à Michel Hollard, espion au service de Londres qui franchit la frontière une centaine de fois pour porter des renseignements à l’ambassade d’Angleterre à Berne.
Arrivées au point culminant de notre randonnée nuages et brouillard de concert nous masquent le panorama. On ne s’y attarde pas et poursuivons la boucle qui nous ramène au Châteleu-Loge. Une halte boisson à l’aller, une halte pique-nique au retour. Le terrain y est dégagé. Manque juste le soleil !
Sur le retour nous passons quelques bornes de pierre qui délimitent la frontière franco-suisse depuis 1766 et regagnons la Brévine d’un pas alerte. Nos mains se réchauffent autour d’une boisson chaude et d’un dessert pris dans les locaux fraîchement transformés de l’Hôtel de ville. On a le temps de faire plus ample connaissance avec les nouvelles inscrites au Club avant l’arrivée du car postal.
Un grand merci à Marielle et Geneviève pour l’organisation de cette agréable sortie qui nous a fait voyager dans le temps.
Nathalie








Ma 24 jan. 2023
Cours de ski de fond (3/4)
Le cours s’est déroulé à la Vue des Alpes.
Une belle neige froide était encore présente, mais cette fois un épais brouillard s'est invité!




Lu 23 jan. 2023
Ski de rando au Grammont (2171m)
Course déplacée à la Pointe de Bellevue, soleil magnifique et poudreuse !
Le récit va suivre








Lu 23 jan. 2023
Ski de piste aux Portes du Soleil
Cinq Jeudistes prennent la route lundi matin, répartis dans les voitures d’Etienne et Rolf (merci à eux). Un café nous est offert à notre arrivée à l’hôtel Fleur-de-neige où, depuis quatre ans, avons nos habitudes.
Passons le lundi du côté de Super-Châtel et Torgon. Pour la 1ere fois, dans l’histoire des semaines de ski de Jeudistes en France, constatons que les super-seniors (plus de 75 ans) devront bourse délier: 24 euros/jour pour le domaine des Portes du Soleil. Le fait qu’il soit franco-suisse l’explique, vu l’intransigeance financière des Helvetes. Finalement ne formerons qu’un seul groupe à ski. Les plus rapides, à l’image de Rolf, mettront la pédale douce, les plus lents s’accrocheront vaillamment, tel notre doyen octogénaire Lachat, qui ne lâchera rien. Ainsi cinq jours durant arpenterons-nous le domaine skiable jusques à ses confins, soit Planachaux, les Gets, Abondance. Par un temps magnifique, un air ambiant frisquet, plus du genre très piquant que tropical, sur des pistes bonifiées par les chutes de neige de la semaine précédente.
Seul point noir, dans cet univers blanc: deux installations donnant accès à Avoriaz étant fermées, il nous fallut recourir aux bus-navettes, y laissant une bonne heure chaque jour, tels des pendulaires montagnards.
Comme ces dernières années avons beaucoup apprécié la cuisine raffinée, gastronomique, l’amabilité du personnel et le confort des lieux. Même si, l’économie d’énergie en étant la cause, toute la semaine la piscine fut bâchée (et bibi fâché!). Restait heureusement le bien cosy jacuzzi….
Un grand merci à vous - Alfred, Étienne, Yves et Rolf - qui avez su créer une ambiance si joyeuse, amicale et chaleureuse.
Comme d’hab, les absents ont eu grand tort.
Qu’ils se rassurent et qu’on se le dise: une séance de rattrapage est prévue en janvier 2024!
Roger Schwab
PS: Merci à Roger pour les photos, mises en ligne par Alfred








Di 22 jan. 2023
Les Monts Telliers (2951m)
Vu le froid glacial et la bise forte annoncés, nous ne sommes pas allés aux Monts Telliers, mais nous avons fait une randonnée à ski du côté de la Berra. Départ de Plasselbschlund par un itinéraire non indiqué sur swisstopo : nous étions seuls au monde pour la montée jusqu'au Cousimbert, dans des paysages hivernaux de toute beauté. Dans la zone de protection de la faune, nous avons suivi un itinéraire autorisé, dans une tempête de neige. Descente dans le Plasselbschlund avec une belle quantité de neige fraîche, mais malheureusement sans beaucoup de visibilité...








Sa 21 jan. 2023
Gantrisch (2176m),Bürgle (2165m),Gemsflue (2154m)
Récit de la course du 21.01.2021
C’est de bon matin qu’est partie de l’Underi Gantrischütte, l’équipe composée d’Adeline, Anne-Lise,
Valérie, Baptiste et Laurent menée par Jeanda et Benjamin. Benjamin a secondé au pied levé Jeanda
qui a repris le lead de la course.
La bande s’est donc mise en route en direction du Morgetepass, dans le but d’atteindre ensuite le
Bürgle. Le maigre espoir que le temps tourne au beau s’est estompé au fur et à mesure de
l’ascension du col, pour finalement totalement disparaître durant les derniers 100 mètres avant d’y
arriver. En effet, le dernier passage, en fort dévers latéral s’est fait avec un fort vent de face et une
visibilité quasi-nulle.
Arrivé au col, la sage décision a été prise de redescendre en direction de la voiture en raison de la
visibilité exécrable qui ne montrait aucun signe d’amélioration. Les participants ont tout de même pu
profiter d’une jolie descente avec des conditions de neige fantastiques et d’un repas dans un cadre
tout à fait atypique : une étable inoccupée pendant l’hiver !
Un grand merci aux accompagnants ainsi qu’à la malheureuse organisatrice initiale de cette sortie.








Sa 21 jan. 2023
Cours avalanches pratique pour chef de courses








Sa 21 jan. 2023
La Motte Sommet W (1940m)








Ve 20 jan. 2023
Tête de la Payanne (2452m) (VS)
Poudreuse de rêve, mais grand froid : ressenti -23 degrés! Tout le monde a fait preuve de cours et de résilience pour supporter le froid.
Vue panoramique splendide.
Information: depuis la mise en place du nouveau télésiège de Bruson, il n’est plus possible d’acheter un billet de montée, il faut descendre plus bas jusqu’au tire-fesse où on peut acheter un billet. Attention, les prix ont doublé.








Je 19 jan. 2023
Le Meix-Musy






Je 19 jan. 2023
Raquettes ou à pied: Saignelégier - Pré-Petitjean
Course A (Raq), 19 janvier 2023 : Saignelégier – Pré-Petitjean
La neige est enfin au rendez-vous, et contrairement aux prévisions, le soleil est de la partie. Il fait froid, -10°C au départ de la course, -4°C au retour, mais en l’absence de vent, et en marchant d’un bon pas, nous n’avons eu froid à aucun moment. 12 Jeudistes sont au rendez-vous pour profiter de cette journée de carte postale. Nous avons de plus le plaisir d’accueillir un nouveau, Bernard Prébandier, habitant Bôle. Après le café au Centre sportif de Saignelégier, nous partons donc à 13 en direction de l’Etang des Royes. Le coin est tellement féérique qu’Alfred ajoute une boucle imprévue dans le trajet. Nous arriverons donc avec du retard au restaurant Auberge de la Gare le Pré-Petitjean. Excellent accueil, bon repas et un service d’une rapidité remarquable, puisqu’en 1h15, nous avons eu droit à la soupe, au rôti de bœuf, et au café, sans parler du blanc et rouge habituels, le tout pour le prix de 32.-. Restaurant à recommander absolument.
Nous avons parcouru environ 15km en 4h45, dénivelé environ 200m.
Merci à Jean-Pierre Baer d’avoir assumé le rôle de photographe. Une photo de son crû est jointe, vous pouvez découvrir les autres dans la Galerie du site WEB.
Merci à Pierre, notre ancien président, de m’avoir secondé et de nous avoir remmenés sur le chemin le plus court au point de départ.
Bienvenu au nouveau, Bernard Prébandier. Nous lui souhaitons du plaisir lors des sorties à venir.
Merci à tous pour la belle ambiance d’amitiés
Alfred
---
Alfred Strohmeier, alfred.strohmeier@gmail.com
Fixe : +41 32 725 51 68 / Mobile : +41 79 241 64 49







Ma 17 jan. 2023
Mini-camp de ski de fond
Mardi 17 janvier, 10h30 à La Vattay : 12 Jeudistes se retrouvent, à l’heure, dans ce magnifique centre de ski nordique. Il a neigé et il neige encore. Par trois itinéraires différents, nous sommes tous à bon port. Et le plaisir de recevoir un “p’tit nouveau” en la personne de François Seewer, qui nous vient du Vallon. Excellent skateur, François fait baisser la moyenne d’âge et se révèlera être un excellent camarade. Bienvenue à lui.
Départ pour une première boucle, de 10 km et retour au resto du centre. Après le repas, une deuxième boucle est au programme, mais la neige, qui tombe drue, nous incite à renoncer et c’est le départ pour notre camp de base : l’hôtel du Pré-Fillet. Accueil sympathique par les membres de la famille Grosrey, qui nous héberge depuis près de 10 ans.
Installation et premier briefing-apéro. Programme du lendemain : Lajoux – Chalet de la Frasse et retour par la Combe-à-la Chèvre. Un de nos grands classiques ! Mais la neige continue de tomber, en abondance : on commence donc par le café, qui donne le courage nécessaire pour affronter les éléments ! La trace a été faite, mais tôt ce matin. Autant dire qu’il n’en reste rien. Et c’est du ski “sauvage” pour toute la journée. Après s’être restaurés au mythique chalet de La Frasse, c’est le retour à Lajoux. Par la Combe à la Chèvre pour les plus intrépides et la trace de l’aller pour les autres. Une journée à 22 km, dans des conditions difficiles.
Jeudi matin : soleil et -20 degrés ! Programme un peu allégé pour tenir compte des séquelles de la veille. Et aussi parce que la boucle prévue, au départ de l’hôtel, n’est pas encore complètement tracée. En quelques minutes, nous nous déplaçons à la porte des Trois-Cheminées. Et c’est le départ pour une très belle balade dans ces Hautes-Combes du Jura. La trace est variée, le paysage superbe. Le Berbois nous accueille très chaleureusement pour la pause de midi. Et c’est la boucle par la Borne au Lion, les Closettes et la bien nommée Bellecombe. Une magnifique journée, à 16 km. Moins fréquenté que sa voisine Les Rousses ou la réputée Chapelle-des-Bois, le site des Hautes-Combes du Jura a vraiment tout pour plaire aux amateurs de nordique.
Vendredi, toujours beau et froid. Arrêt à La Serra, sur le domaine des Rousses, pour une dernière boucle d’une douzaine de km avant la dislocation et le retour.
Merci à tout pour l’excellente ambiance et la bonne humeur qui ont régné tout au long de ce mini-camp








Ma 17 jan. 2023
Cours de ski de fond (2/4)
Le cours s’est déroulé à la Vue des Alpes. Une belle neige froide est arrivée juste a temps!
Un grand merci au Centre Nordique d’avoir refait les pistes juste avant le cours!






Sa 14 jan. 2023
Walliser Wispile 1982 m et Staldenhorn 2262 m
Suite aux conditions d’enneigement et métérologique, nous avons hélas du changer notre programme. Nous avons proposé à nos participants, un plan B sur un jour.
Le Wiriehöre de puis Riedli ( Avec aide du télésiège 😉)








Sa 14 jan. 2023
Cours ski hors piste
Roger nous a annoncé que nous partirions pour Grimentz-Zinal…. un peu loin pour un cours d’une journée, non ? Plusieurs d’entre nous se sont posé cette question, mais aucun n’a regretté d’être venu à cette journée tant pour la qualité de la neige, que pour la qualité du cours et du parcours.
Pour nous mettre en confiance et en jambe, Roger nous a proposé de débuter par quelques pistes faciles avec un passage obligé ;) au family snow park. Puis un peu de théorie. Riches des bons conseils personnalisés au niveau de chacun, nous sommes partis nous exercer dans les petits champs de neige fraîche entre les pistes. Le peu de monde, nous a permis de jolies descendes avec le sourire. Après un pique-nique au soleil (non, là, j’exagère le ciel était changeant avec plus de nuages que de soleil, mais il ne faisait pas froid !) nous voilà prêt à mettre en pratique hors des pistes nos apprentissages du matin (là aussi, j’exagère, personnellement, il me faudra bien des jours d’entraînement pour me défaire de mes mauvais plis et prendre les bons !). Quelle magnifique descente depuis les hauts de Zinal à Grimentz par le lac de Moiry ! C’est après deux heures dans ce magnifique paysage à exercer nos virages, la position de nos genoux et de nos hanches, que nous avons pu lever nos verres à cette journée. Merci Roger, et merci toute l’équipe pour la bonne humeur !
Laurence Bernauer / 17.01.2023







Ve 13 jan. 2023
Balade et bains thermaux Schinznach Bad
Par une météo pas très réjouissante, nous nous dirigeons en train jusqu’à Aarau. La troupe de 9 vaillantes randonneuses parfaitement équipée se met en route pour longer les rives de l’Aar que nous suivrons en traversant des zones naturelles protégées. Nous admirons le travail intensif des castors et observons de nombreux oiseaux : fuligule morillon, héron, canard, foulque.
La promesse d’un bain chaud nous fera vite avaler les 16 kilomètres de cette randonnée sans difficulté.
Les bains thermaux de Schinznach qui possèdent la plus puissante source d’eau sulfureuse de Suisse nous accueillent pour un délicieux moment de détente agrémenté de rayons de soleil imprévus mais bienfaisants.






Je 12 jan. 2023
Le Landeron - Ins (Anet)





Je 12 jan. 2023
Course en raquettes : Les Bois - Le Peu-Péquignot
Cette course devait initialement s’effectuer en raquettes. Suite au manque de neige elle a été réalisée à pied.
11 jeudistes se sont réunis dans le hall de la gare de Neuchâtel pour prendre le train. Après 50 minutes, ils ont atteint le village des Bois. La course a débuté direction N par Chez Chailat pour atteindre le haut de la Combe Girard (Point 940). De là, direction NE, une montée nous amène sur la crête que nous suivons en alternant de jolis passages en forêt et sur des pâturages qui ouvrent la vue sur les fermes de la Combatte du Pas et des Barrières, ainsi que sur les 3 éoliennes du Peuchapatte. Au lieu-dit Haut-la-Fin près du Noirmont, nous quittons la crête pour rejoindre le hameau du Peupéquignot. L’équipe de l’Auberge du même nom nous accueille chaleureusement avant de nous servir un délicieux et copieux repas. Nous repartons ensuite en direction de la gare du Boéchet en suivant en partie la piste des cavaliers du Creux-des Biches. La course s‘est entièrement déroulée sans pluie.
Distance : 12 km, T1, +/- 290 m, en 3h30’ au total.
Merci à tous pour la sympathique ambiance et à Jacques pour son soutien dans l’organisation de cette sortie.
Jean-François Zürcher








Ma 10 jan. 2023
Cours de ski de fond (1/4)
Avec peu de neige et des conditions de piste incertaines, nous avons commencé par le cours de fartage.
Merci Alex, de Passion Vélo, pour cette démonstration de fartage, astuces et conseils!

Sa 7 jan. 2023
Cours HIVER 2023
Cours hiver 2023 Bourg-st-Pierre
Les participants sont accueillis le samedi à 8h30 au Bivouac de Napoléon par un café croissant.
Ensuite départ pour le parking du Grand-St.-Bernard et les 7 groupes sont constitués.
Ce matin le temps est ensoleillé mais il y a beaucoup de vent froid, la neige bien dur et gelée, voire très glacée.
Chaque moniteurs a pris son groupe et commence par un contrôle du matériel, ensuite les moniteurs partent faire la formation directement dans le terrain.
Les participants apprennent à faire des conversions, mettre les couteaux, mettre les peaux de phoques, mettre les skis sur le sac et marcher en pente raide, faire des recherches de victime avec leurs DVA et doivent sonder et pelleter, chaque exercice est répéter pour mieux les assimilé, tous cela en faisant une petite sortie au soleil le samedi.
Le soir retour à l’hôtel et prise en charge des chambres pour ensuite avoir une présentation sur le site du CAS Neuchâtel et les particularités des courses de montagne à ski de rando, ensuite Jérôme fait un Quiz qui est fait en sorte de concours ou les participants ont des questions sur les avalanches, le bulletin, degrés de pente, etc., 3 vainqueurs ont gagné quelques lots.
Dimanche le temps à changer, venteux, neige, tempête et tous à nouveau montent au St.Bernard faire différents exercice dont un qui ne sera pas nommé ici pour garder les suspens pour les prochaines années.
Bravo aux participants qui partent content avec pleins de nouvelles connaissances et ont eux aussi beaucoup de plaisirs.
Un énorme bravo aux moniteurs.








Ve 6 jan. 2023
Avant sommet de la Pointe de Chemo - versant SE
Dent du Grand Lé – Remplacement Avant sommet de la Pointe de Chemo – Versant SE






Sa 31 déc. 2022
Nouvel-An Zinal, Pte. Tourtemagne, Omen Roso
Samedi 31 décembre 2022 : Jean-Da nous donne rendez-vous à 9h30, à la boulangerie de Vissoie. Tous les participants au week-end sont déjà attablés au tea-room lorsque nous arrivons, sirotant thé et café. Nous avons tout juste le temps de faire un tour de table de présentation et un petit échange autour du degré d'avalanche. Les conditions de faible (bel euphémisme...) enneigement ne rendent pas la tâche facile à notre chef de course. Aujourd'hui il opte pour une montée au sommet de l'Illhorn par le rando-parc de Chandolin. Le départ est donné, trois voitures et un camping-car se lancent à la recherche d'une place de parc alors que le village est déjà bien occupé par les touristes en vacances dans le petit bourg de montagne. On s'équipe, sans se presser. Nous avons le temps aujourd'hui, car le dénivelé n'est pas trop important, environ 800 m de montée. C'est très bien, une petite journée qui nous permettra de faire connaissance les uns les autres. Après un check DVA, on se lance dans l'ascension. Jonas profite de cette petite course pour chausser sa paire de skis télémark, ce qui interpelle les plus intéressés à cette pratique relativement peu connue de nos randonneurs. Le parcours est sympa, traverse l'Alpage de Chandolin en passant bien en-dehors du domaine skiable. L'avantage du rando-parc est que l'on pourra redescendre par les pistes, ce qui devrait nous éviter les attaques de sournois requins de roche à peine recouverts. Lorsque la pente se redresse, Jean-Da profite de nous faire un exposé démonstratif sur la bonne pratique de la conversion: « La jambe amont s'ouvre et fait pivoter le ski dans la nouvelle direction de la trace, perpendiculairement à la pente. Les bâtons ouverts permettent un transfert de poids afin de basculer vers l'avant et plier l'autre jambe qui va ramener le ski aval à côté du premier ». La neige quelque peu alourdie par le réchauffement et la déclivité suffisent à embourber certains lors de l'exercice suivant la démonstration. Mais dans l'ensemble, les participants s'en sortent bien ! Nous poursuivons notre montée par des pentes assez soutenues par moments, jusqu'au Pas de Illsee. Un petit thé chaud, puis nous attaquons l'ascension de l'arête finale soufflée et dégarnie, sinuant entre les cailloux. L'arrivée au sommet est récompensée par une vue à 360 degrés des sommets avoisinants comme des plus éloignés. L'air est bon, il fait un temps clément ainsi nous sortons les sandwichs. Jean-Da rencontre un ami qui prend la photo de groupe, 12 clubistes à 2717 m. La journée se poursuit par quelques remontées en ski-lift pour les détenteurs du Magic Pass qui souhaitent profiter un peu des pistes. Certains préfèrent remettre les peaux pour engranger du dénivelé supplémentaire, tandis que les plus épicuriennes se laisseront appâter par le soleil bienfaisant qui inonde la terrasse de la Cabane de l'Illhorn. Que la journée est belle, on se croirait au printemps. Jonas profite de ces quelques descentes pour faire chauffer ses cuisses en tirant des fentes sur la neige tantôt poudreuse dans les pentes encore vierges de traces, tantôt ramollie sur les pistes orientées à l'ouest. Vers 15 heures, nous nous retrouvons tous pour boire un vin chaud sur la terrasse et savourer la bonne ambiance qui émane du groupe. Nous remercions Jean-Da pour l'organisation de cette journée bien agréable avant de redescendre aux voitures qui nous conduiront à notre pension « Les Liddes » à Zinal pour les festivités du Réveillon. Une douche et hop, on descend au « Bar E Vox » pour l'apéro ! Emmanuelle et Jonas
1er janvier 2023: Pointe de Tourtemagne (3082m) + 1390m Voilà une année qui commence merveilleusement bien ! Après avoir fêté comme il se doit la veille au soir, 13 clubistes sont prêts à partir du Prilett à 10h du matin. Heure parfaitement raisonnable pour un 1er janvier, mais qui n'a pas empêché notre cuisinier de commenter abondamment – avec humour biensûr - le fait qu'un chef de course nommé Quidort l'a fait lever pour préparer notre petit déjeuner... Nous montons le long de la piste et gardons les couteaux plus longtemps qu'à l'accoutumée car le manque de neige nous empêche de zigzaguer dans la forêt. Nous suivons une portion de la route menant à l'hôtel Weisshorn et nous séparons en trois groupes au moment de la quitter pour remonter un ravissant vallon. Les six conversions rapprochées qui s'en suivent sont l'occasion de quelques chutes, puis la pente s'adoucit et nous débouchons sur le Tsa du Toûno, où nous cherchons le meilleur emplacement pour notre traditionnel "land-art" de Bonne année! Après avoir poursuivi notre montée jusqu'à environ 950 m de dénivellé depuis le parking, le groupe se scinde en deux: pour six clubistes l'appel de la tarte aux myrtilles de l'hôtel Weisshorn se fait plus fort que celui du sommet. Les sept autres continuent et sont récompensés par la vue depuis le sommet, agrémentée de Mauler rosé. Merci Jonas!!! La descente est juste un peu tardive pour échapper à quelques passages croûtés, la neige ayant déjà retendu, mais nous ne boudons pas notre plaisir aux endroits où la neige est bonne. Quoi qu'il en soit, attention aux cailloux ! La fin sur la piste est l'occasion de vérifier si les carres sont bien aiguisés... et pour certains de déguster – enfin – leur pique-nique une fois arrivés en bas
Christine
3ème jour. Grimentz – Basset de Lona – Col des Becs de Bosson-
Grimentz
Ce n’est pas la forme Ninja ce matin, la fatigue se fait quelque peu sentir
même si cette nuit a été plus longue que la précédente ! Nous nous
armons donc de courage pour attaquer les 1400m de dénivelé
annoncés. L’objectif est d’atteindre la cabane des Becs de Bosson pour
y prendre un gâteau si celle-ci est ouverte. Démarrage en douceur sur
un chemin entre épines de mélèzes et plaques de neige. On croche et
décroche quelques fois les skis jusqu’à trouver plus régulièrement de
quoi faire une trace. Petite pose proche du barrage de Moiry où les
montagnes se reflètent dans le lac: splendide ! Une pause plus longue
nous attend un peu plus haut au pied d’un chalet d’alpage où la vue est
féerique : il ne manque que les licornes ! Nous reprenons la route pour
un premier col où nous apercevons (enfin) la cabane qui nous semble
encore bien loin. Il était prévu un retour à 16h à nos voitures, nous n’y
serons pas ! Les chefs de course revoient l’itinéraire ; on avertit les amis
qui attendent pour le souper, on réorganise la garde des enfants et on
reprend des forces. Si certains rêvent de pizzas ou de tacos, on fait
plutôt le fond du sac à pique-nique. Puis dernière partie de cette longue
journée alternant plats et montées, particulièrement éprouvante même
pour les plus en forme. Nous accueillons sous les applaudissements les
derniers qui, étant malades, ont fait preuve de beaucoup de force
mentale pour arriver au bout de cette longue rando (finalement 1600 m
de dénivelé et 20 km). C’est accompagné des pisteurs que nous
redescendons sur les pistes bien gelées. Nous terminons par un rapide
apéro bien mérité et tant pis pour l’horaire déjà dépassé. Ces trois jours
avec cette équipe de ouistitis étaient un magnifique cadeau de début
d’année ! Et pour ceux qui s’étonnent du vocabulaire de ce texte, un clin
d’œil aux jeux de nos soirées était nécessaire !
Marylin








Me 28 déc. 2022
La Dent de Morcles (2969m)
La section neuchâteloise survivra au
changement climatique
L’inéluctabilité du changement climatique n’entame pas l’optimisme de Jeanda !
En toute circonstance, le CAS section neuchâteloise sait faire preuve d’une
adaptabilité redoutable.
Arrivés au point de départ, le chemin jadis enneigé ne l’était plus. Qu’importe,
nous chaussâmes nos skis et nous nous élançâmes d’un pas hardi.
Jeanda, ayant longuement étudié la mélèziologie, élabora une théorie des plus
audacieuse stipulant que, envers et contre tout, les aiguilles de mélèzes
glissent tout aussi bien voire mieux que la neige.
En toute confiance nous le suivîmes d’aiguilles en neige et nous constatâmes
avec exaltation et allégresse que son hypothèse pouvait être largement
validée. Quelques hectomètres plus haut, nous rencontrâmes la neige, blanc
manteau qui porta nos pas jusqu’au pied du Mont-Rogneux. La mesure et la
prudence face au risque d’avalanche nous retinrent d’atteindre le sommet.
Découvrant une poudreuse d’une qualité exceptionnelle, nous nous
délectâmes de soyeuses courbes pour une descente enivrante et jouissive.
Harassés mais heureux, nous regagnâmes la voiture, rassurés que le CAS
puisse encore pratiquer le ski de randonnée de nombreuses années en
l’absence de neige.
Florent








Sa 24 déc. 2022
Noël partagé au Paradis
Après quelques modifications de l’organisation et des inscriptions dernièree minutes… Nous nous retrouvons une jolie équipe variée, afin de partager des mets délicieux et raffinés.
Une branche de sapin, des bougies, des sourires, des rires, un repas festif… une soirée magnifique et drôle partagée dans cette jolie et chaleureuse cabane! Merci Michaël pour le chauffage… Merci Yann pour la superbe entrée, Merci Philippe pour cet apéro, Merci Myung pour la deuxième entrée, Merci Albertino pour les filets de perche, Merci Sylviane pour le dessert fruité, Merci Fabienne pour le limoncello, ET MERCI TOUS pour ce noël ensemble. Une délicieuse tresse fumante a accompagné le magique levé de soleil… C’est le luxe en cabane. Nous avons profité de tous se ballader au soleil au dessus du brouillard afin de digérer un peu le festin et les rencontres diverses et riches.


Je 22 déc. 2022
Communal du Locle, Grand Sommartel, la Sagne
Course A 22.12.2022: Communal du Locle, Petit Sommartel, Grand Sommartel, la Sagne
8 courageux se sont retrouvés au Communal du Locle. Nulle part la moindre trace de neige. A travers champs et forêt, avec du vent et quelques gouttes, nous montons jusqu’au Petit Sommartel et de là au « Grand » du même nom pour y déguster la fameuse langue de bœuf du jeudi. Une fois rassasiés par de bonnes portions, nous partons en direction de l’est, cette fois-ci avec le vent dans le dos, ce qui est bien plus agréable. Au point 1256, nous profitons de la belle vue sur Le Locle et la Chaux-de-Fonds. Retour comme prévu à la Sagne, où nous prenons le train pour rentrer dans nos pénates, contents d’être sortis malgré un temp maussade.
Un grand merci à Jean-Pierre Baer. pour son assistance efficace et à tous les participants pour la belle camaraderie.
Alfred







Di 18 déc. 2022
Initiation ski de randonnée
C’est avec un temps magnifique en arrivant au Jaunpass que nous commençons notre parcours d’initiation au ski de randonnée. Après quelques explications sur le matériel, nous mettons les peaux de phoques et entamons notre ascension en pente douce. Nous réalisons quelques exercices de conversion, puis continuons notre randonnée à un rythme tranquille et continu le long de l'arrêt du Hundsrügg. Le cadre est splendide, et la neige est parfaitement poudreuse. Nous mettons ensuite les couteaux pour nous familiariser avec cette technique. Nous reprenons notre souffle avant la dernière ascension jusqu’au sommet à 2024 m. Le temps de manger un morceau et de profiter de la vue, et déjà nous entamons la descente dans la poudreuse. Plusieurs manipulations pour mettre et enlever les peaux prennent du temps au débutants que nous sommes. Nous arrivons toutefois à descendre avec plus ou moins de facilité. Avec 650 m de dénivelé positif suivi de la première descente de la saison, nous sommes fiers et heureux d’arriver en bas. Un pot au bistrot nous permet de nous remettre de nos émotions et de faire le bilan de la journée. C’était une vraie initiation à cette activité magnifique, qui nous a donné envie d’en faire plus. Au plaisir de se revoir lors des prochaines sorties !
Clara Zemp








Di 18 déc. 2022
Wildstrubel Mittelgipfel depuis Engstligenalp
Le danger avanlanche éant marqué au niveau de Engstligenalp – Wildstrubel, l’itinéraire à été changé pour effectuer Adelbonden Ahorni – Bunderspitz, soit environ 1100 m de dénivelé. La journée fut ensoleillé et l’enneigement faible. La montée était très jolie avec des changements de paysages, forêt, prés, éboulis. La partie supérieure 2546 à 2300 m était complètement pellée avec beaucoup de cailloux, entre 2300 et 2000 m la poudreuse était au rendez-vous, entre 2000 et 1800m le manque de neige et les éboulis ont rendu le ski fort désagréable, au dessous de 1800 m, sur les prés, le ski était très agréable et ludique.
Le danger avanlanche éant marqué ...
Ve 16 déc. 2022
Aération des peaux : Diemtigtal/Simmental
La course a été déplacée au samedi 17 décembre en raison d’une mauvaise météo.
Nous sommes allés au Bäderhorn (2008m) à partir du Jaunpass. Il y avait suffisamment de neige à partir de 1400m, mais peu de neige dans les pentes sud raides au début de la descente depuis le sommet.
Beau temps agréablement chaud, après un départ dans un brouillard à couper au couteau.
JM







Lu 12 déc. 2022
Fondue de fin d'année dans un chalet du CAS
Quel bonheur d'émerger du brouillard pour notre dernière sortie Lundis X de l'année et sa traditionnelle fondue!
Nous sommes 17 clubistes à partir des Cluds, un premier groupe de 11 passant d'abord par le sommet du Chasseron et un 2ème groupe de 6 allant directement à la cabane des Illars.
Comme la neige est suffisamment épaisse et poudreuse, nous chaussons les raquettes dès le départ.
Après une heure de jolie montée au soleil et le plaisir de croiser deux chevreuils, le groupe 2 arrive à la cabane ; comme il est encore tôt, nous décidons d'aller à la rencontre du 1er groupe, en suivant la crête direction Chasseron. Mais comme « Soeur Anne ne voyant rien venir, à part la neige qui poudroie », nous rebroussons chemin pour retrouver François, gardien aux Illars, et commencer les préparatifs de la fondue.
Nous sommes bientôt tous réunis pour déguster l'apéro et ses gâteries, suivi des 4 caquelons d'excellente fondue et des douceurs amenées par les participants, dont les sublimes biscuits aux amandes d’Odile, dont vous trouverez la recette ci-dessous.
Après la photo de groupe au soleil, devant la mer de brouillard que nous allons malheureusement retrouver, la descente se fait tranquillement jusqu'aux Cluds.
Merci à Catherine et à tous les participants pour la bonne humeur et au plaisir de vous revoir l'année prochaine. Et merci aussi à Odile pour
Nadia
Biscuits aux amandes
Mettre dans une casserole :
75 gr de beurre
7 cuillères à soupe de sucre
5 cuillères à soupe de crème à café
1 cuillère à soupe de miel
Porter à ébullition, retirer du feu et incorporer 150gr d’amandes effilées.
Etaler sur la plaque du four garnie d’un papier sulfurisé. Puis mettre au four préchauffé à 180° pendant 12 à 15 mn suivant la couleur désirée.
Régalez-vous!
Merci aux organisatrices, aux photographes et à tous les participants-tes pour nous avoir régalé de délicieux salés pour l’apéritif et de savoureux desserts.
Odile








Lu 12 déc. 2022
Ski de piste aux Ménuires
Ski aux Ménuires du lundi 12 au vendredi 16 décembre 2022
10 Jeudistes sont partis lundi matin dans 3 voitures bien remplies pour se rendre aux Ménuires. Après un bref arrêt café, nous y arrivons comme prévu autour de midi. Hélas, Jean-François a eu un pneu crevé peu avant l’arrivée. Rapide comme toujours, Willy est allé le récupérer lui et son passager au garage. Après des pizzas et salades, nous profitons de partir skier, car le soleil rayonne. Nous profitons donc de quelques belles descentes. Le soir, comme les jours à venir, nous nous rendons dans un restaurant de la station. Les jours à venir, le temps est quelque peu mitigé : nuages bas, jour blanc et quelques flocons par ci par là. Mais cela n’empêche pas les cracks du groupe A de descendre de nombreuses pistes. Le groupe B préfère une pause de ski le mercredi en faisant une longue randonnée d’un peu plus de trois heures. Et déjà, nous sommes vendredi matin. Cette fois-ci, même les plus convaincus estiment qu’il vaut mieux renoncer au ski, car la station est dans les nuages. Nous partons vers 09 :30 et comme les restaurants prévus pour le dîner sont tous les deux complets, il ne nous reste que le Marché au Relais de la Côte, dans un état assez étonnant, car en travaux. Nous arrivons à domicile vers 14 :30.
L’ensemble du séjour s’est bien passé, pas d’accident, une belle ambiance amicale. Un grand merci aux trois vaillants conducteurs, au coorganisateur et caissier Yves, et à toute l’équipe.
Alfred

Sa 10 déc. 2022
Mont Fourchon
De Solalex en direction du Col des Chamois
Beau temps, -10°, danger d'avalanches 3= neige fraîche / neige ancienne dès 2000 à toutes les expositions
Première course de l’année dans le but d’aérer les peaux. La destination initiale était le bien connu Mont Fourchon en ce début de saison. Après de nombreux rebondissements météorologiques, la course est reportée d’un jour. Nous optons pour un plan D, et oui D (!), merci aux chefs de courses pour leur persévérance face aux conditions compliquées.
Cap sur le Col des Chamois depuis le parking de Cergnement Solalex pour cette première sortie de l’année. L’équipe est constituée de 7 personnes. Les deux chefs de courses Jérôme et Monica, Pierre, Christine, Alexandre, Cristina et le soussigné. Pascal retenu par une formation et Maud malade manquent à l’appel. Le col des Chamois est une longue course. Vu l’enneigement précaire, nous doutons d’arriver au but. Néanmoins la neige fraiche tombée les deux jours précédents, nous permet d’espérer une descente agréable même si le fond n’est pas encore là. Prudence requise à la descente !
Les conditions hivernales étaient parfaites, magnifiques paysages du début à la fin. Les conifères remplis de neige. A la cabane Barraud nous avons renoncé à poursuivre en direction du Col des Chamois. Nous avons préféré jouer avec la poudreuse d’une belle pente vierge et ensoleillée en direction de La Poyerette. La neige était tellement bonne et légère que nous sommes remontés une deuxième fois pour en profiter. Après le pique-nique au soleil en contemplant le massif des Diablerets, nous sommes redescendus par le vallon de montée. Après un arrêt obligatoire à la très bonne crêperie Bretonne du plateau de Cergnement nous nous sommes sépares pour revenir sur Neuchâtel.
Nicolas








Me 30 nov. 2022
Onnens-Vaumarcus et sylviculture
Vaumarcus-Onnens
Mercredi 30 novembre : c’est un jour maussade, mais non pluvieux, éclairé tout de même par les dernières feuilles jaunes ou ocres encore agrippées aux arbres de la forêt. Nous avons marché de Vaumarcus à Onnens en passant par les gorges de la Vaux dont les berges raides sont couvertes de magnifiques langues-de-cerf et avons rejoint ainsi, sur les hauteurs, Martial de Montmollin, ingénieur forestier, qui nous a accueilli avec un généreux café-croissant et nous a présenté la station expérimentale qui se situe dans son arrondissement.
Au vu du dérèglement climatique, de l’augmentation de la température subséquente, plus importante en Suisse que la moyenne mondiale (une prévision d’une augmentation de 1° au niveau mondial, se traduit par une augmentation de 2° en Suisse), un certain nombre de questions se posent : quel est l’avenir de nos essences forestières ? Par quelles essences exotiques peut-on ou doit-on les remplacer ? Les arbres sont essentiels non seulement pour agrémenter nos promenades en forêt et favoriser la biodiversité, mais aussi pour la possibilité de leur exploitation– sait-on par exemple que l’utilisation du béton dans la construction nécessite des coffrages en bois en quantité comparable à celle du béton ? En réalité la grande difficulté consiste à planifier la plantation d’essences qui, d’une part doivent pouvoir s’adapter au climat actuel et qui, d’autre part, doivent pouvoir résister, se développer et constituer nos forêts jusque dans les 100-200 prochaines années.
Les expériences menées sur les plantations au sud de Mutruz incluent des essences telles que le Hêtre d’Orient (originaire des rives sud de la Mer Noire), le Tilleul argenté (originaire de l’Europe du Sud-Ouest), la Pruche de l’Ouest et le Thuja géant (tous deux originaires de la côte ouest des USA et du Canada), le Sapin de Turquie (originaire d’Anatolie du nord et proche du sapin de Nordmann - celui qui égaie nos Noëls !), et finalement le Cèdre du Liban (originaire d’Anatolie du sud). Certaines essences se sont très bien adaptées, notamment la pruche et le thuja. Les arbres vivant en symbiose avec des champignons, le sapin de Turquie a eu de la peine à démarrer entre autre car il n’aurait pas trouvé dans notre sol les espèces de champignons qui lui conviennent. Le cèdre a mal vécu la transplantation à racines nues, il a été replanté en container; il présente aussi un problème de dessèchement du bourgeon terminal. Toute la surface expérimentale est clôturée pour éviter l’abroutissement par les chevreuils dont le nombre sera peut-être un jour régulé par les meutes de loups…
La marche s’est poursuivie dans les bois jusqu’à Mutrux, puis par le contournement des Bioles en passant par de charmants sentiers tel celui de l’Epinette…Une journée magnifique, extraordinairement riche grâce à la présentation de Martial de Montmollin que nous remercions très, très chaleureusement !
Et surtout un très grand merci aux initiatrices et organisatrices, Danièle et Doris.
Denise








Ve 25 nov. 2022
Souper fin d'année dames
Pour une dizaine de dames la mise en appétit s’est faite au travers d’une petite marche de 8,7 km en partant de Dombresson direction les Vieux Prés puis les Planches pour ensuite revenir au point de départ. Le paysage nous a offert encore des prairies bien vertes et des magnifiques vues sur le Val de Ruz.
Les autres participantes sont venues rejoindre le groupe pour l’apéro et le souper. Toutes ont mis les mains à la pâte (c’est le cas de le dire!) soit pour préparer un apéro, une salade ou un dessert et évidemment pour réaliser chacune leur pizza au feu de bois. Un délice à voir les sourires et les assiettes vides.
Nous remercions les maris des organisatrices qui ont eu bien chaud devant le four!!!
Bravo à tous et à l’année prochaine...








Je 24 nov. 2022
Alte Aare Weg : Aarberg – Büren an der Aare
Course A du 24 novembre 2022 : Alte Aare Weg
Aarberg – Büren an der Aare
13 Jeudistes ont participé à cette randonnée. Déplacement en train jusqu’à Aarberg. Le café-croissant dans la vieille ville au tea-room Steffen a été apprécié par tout le monde. Ensuite en route pour le pont en bois d’Aarberg, puis en suivant l’ancienne Aar jusqu’à Studen. Un excellent repas nous y attend au restaurant Florida dans un cadre confortable, avec une jolie vue sur une mare et des flamants roses. L’ancien cours de l’Aar étant à 50m, la reprise du chemin est facile. Nous arrivons avec un peu d’avance à Büren an de Aare, pour y reprendre le train, qui nous conduit à Neuchâtel, avec des changements à Lyss et Kerzers.
Temps nuageux dans l’ensemble, avec quelques gouttes à peine remarquées, et quelques percées bien timides du soleil. Température agréable pour une randonnée.
Nous avons parcouru environ 18.5 km en 4h30.
Merci aux participants pour la belle ambiance amicale et à Jean-Pierre Baer d’avoir œuvré comme photographe et de m’avoir secondé efficacement.
Alfred
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Alfred Strohmeier, alfred.strohmeier@gmail.com
Fixe : +41 32 725 51 68 / Mobile : +41 79 241 64 49








Sa 19 nov. 2022
"Sécurité et culture du débriefing" pour CdC

Ve 18 nov. 2022
Boudry - ferme Robert et retour
Pourquoi partir par un temps de pluies? Parce que les lunettes de soleil et la crème solaire ne sont pas nécessaires!
Une veste de pluie, des chaussures étanches et éventuellement un parapluie suffisent.
Toute l’équipe a apprécié la marche dans les feuilles, voir les gorges de l’Areuse depuis les hauteurs et partager ce moment en toute simplicité.
Un peu humide mais heureuses!
Les 9 randonneuses








Me 16 nov. 2022
La Jougnenaz
Sentier de la Jougnenaz:








Di 13 nov. 2022
Randonnée Môtiers - La Brévine
Nous avons commencé notre randonnée par un dimanche matin brumeux à Fleurier et non comme initialement prévu depuis Môtiers. Lorsque nous sommes arrivés au début du sentier sur la route de Belle-Ile, le brouillard s'est dissipé pour laisser place à une journée claire et ensoleillée. Nous avons grimpé dans la forêt qui surplombe la ville. Nous nous sommes arrêtés pour une courte pause et admiré le soleil briller sur la ville et les petites nappes de brouillard qui subsistaient encore sur Môtiers et Couvet. Nous avons croisé des cyclistes enthousiastes, s'arrêtant respectueusement pour nous laisser passer avant de tenter leur chance sur les chemins escarpés et couverts de feuilles.
A la sortie de la forêt, nous avons aperçu des métairies avec des chevaux et des ânes. Simone nous a demandé si nous étions intéressés à visiter le glacière Monlési. Tous motivés, nous avons poursuivi notre chemins jusqu’à ce glacier souterrain auquel on ne peut accéder qu'en descendant dans une grotte naturelle qui s'enfonce directement dans le sol de la forêt. Une fois au fond de cette grotte, on utlise une lampe de poche pour passer sous le plafond rocheux et accéder à la glacière.
Après être remonté à la surface, il était temps de pique-niquer ! Nous avons trouvé un endroit ensoleillé dans la clairière de la forêt et écouté une histoire intéressante de Marie-Claude, la fois où elle a été contactée par un couple fan du Seigneur des Anneaux cherchant des traces de séjour de Tolkien dans les montagnes suisses, ce qui fut effectivement le cas à la cabane Bertol en 1911 !
Après le pique-nique, nous avons continué notre chemin dans un forêt boueuse et à travers des pâturages parsemés de métairies en direction du lac de Taillères. Le lac était magnifiquement calme, troublé seulement par un homme essayant de monter sur un hoverboard aquatique. Nous avons continué jusqu’à la dernière étape du voyage, la Brévine où nous avons pris un bus pour nous ramener à Neuchâtel.
Une randonnée rafraîchissante, magnifique et ensoleillée, loin au-dessus du brouillard. Merci à Simone et Isabelle d'avoir organisé cela - qui plus est un week-end !
Gillian








Ve 11 nov. 2022
Vicques Moutier par le Mt Raimeux
Organisation Nathalie Veber
Chouette randonnée d’automne, dans le Jura, débutant par la visite de l’église de Vicques, d’apparence très moderne et pourtant construite il y a 61 ans, par l’abbé Paul Monnin. La luminosité est très belle, les vitraux très bien intégrés. Le clocher situé à quelques mètres de l’église comporte 3 cloches, assez bruyantes qui semblent avoir bien dérangé les villageois. Départ pour le cabanon du Rai’Meuh, à Rebeuvelier, où sont proposés des produits de terroir, permettant à chacune de se servir de délicieuse tartelettes ou biscuits, très appréciés. Petit détour pour admirer le château Raimontpierre, devenu propriété agricole privée, non visitable. Nous abordons la montée au Mont Raimeux, d’abord dans des pâturages, puis en forêt, et atteignons la tour, située à 1302 mètres. De son sommet, la vue est très belle sur tous les alentours. Un feu préparé par deux randonneurs nous aurait permis de giller quelques cervelas, que nous n’avions pas! Nous ne tardons pas trop au pique-nique, il fait assez frais, et entamons la descente d’abord le long de pâturages, en direction de Raimeux de Grandval, puis en forêt, sur un tapis épais de feuilles de hêtres dénudés, se partageant le sol avec de beaux pins; descente entre deux parois rocheuses impressionnantes permettant l’escalade. Nous atteignons Grandval, puis Belprahon, enfin Moutier. Belle ambiance détendue tout au long de cette randonnée de 18 km et 920 mètres de dénivelé appéciée de toutes. Merci Nathalie pour son organisation.
Christiane








Lu 7 nov. 2022
Bovernier - Etiez
En ce 7 novembre 2022, un lundi-X de rêve s’annonce avec soleil, ciel bleu et montagnes fraîchement saupoudrées de neige. La rando concoctée par Geneviève et Marielle peut débuter.
Topographie : il y en a eu pour tous les goûts. Montées dans les vignes, dans des forêts de chênes, de châtaigniers, de pins ou de mélèzes. Montées en douceur, en zigzag et sans zigzag (on n’oubliera pas le tronçon « direttisima »), replats, passage du col du Tronc, descente et grande descente !
Culture : nous avons marché le long d’un ancien chemin d’évacuation des mines de fer et d’autres minerais qui trouent le Mont Chemin. Quelques vieux rails, un wagonnet, des galeries qui paraissent très longues et qui sont très sombres, tout cela donne une petite idée de ce que fut cette exploitation, encore en activité durant la Seconde Guerre mondiale.
Ambiance : relax mais sportive. La petite butte au col du Tronc qui a servi de décor à notre pause avait des allures de paradis : mélèzes jaunes, température idéale, vue sur les Combins, gros cailloux invitant à la sieste… On aurait bien prolongé le séjour !
Merci aux organisatrices et à toutes les participantes
Isabelle








Je 3 nov. 2022
Val d’Hérens et les mélèzes en feu
2022_11_03 Jeudistes A, Val d’Hérens : les mélèzes en feu
Dernier jour d’automne ensoleillé de 2022. Le matin du soleil et couvert l’après-midi, par 5⁰C, sur sol sec, 6 Jeudistes et un invité parcourent le flanc est du Val d’Hérens en dessus d’Evolène.
T2, ↑↓850m, 11,5km et 4h30 sans pauses.
Evolène(1370m)-Volovron-Mayens de Cotter (2110m)-Villa-La Fauchère-Evolène.
5 Jeudistes font le déplacement de 180km en voiture en deux heures depuis Robinson avec arrêt café au Relais du Grand St-Bernard (40,-/pers.) Ils seront gratifiés par l’accueil chaleureux et un deuxième café croissant au soleil sur la terrasse au mazot de Louis-Marie Boulianne à Volovron.
C’est lui qui nous conduit sur un tracé mythique, par moment raide, mais en grande partie couverte d’un tapis d’aiguilles de mélèzes jaunes. Les mélèzes sont seulement en partie, et seulement dans le bas dégarnis. Nous traversons aussi des forêts mixtes : épicéas, pins, quelques arolles. En lisière et le long des chemins des épine-vinettes, des églantines et genièvres. Sur les quelques prairies paissent les génisses d’Hérens et nous contemplons chaque raccard. Vue splendide sur toute la fourche de la Borgne d’Arolla et de Ferpècle et les cimes alentours. En fin d’après-midi, toujours au sec les montagnes se voilent de nuages lourdes. En adret, la gauche de la Borgne, et toutes les forêts du fond de la vallée sont bigarrées de jaune.
Merci au conducteur et co-organisateur.
NB : Plus jamais je n’organiserai une telle sortie en automobile, car le chemin retour a été très pénible avec tous ces fous du volant.
Hansueli Weber








Je 27 oct. 2022
Krauchthal-Bolligen
Ciel bleu sans nuages et sans le brouillard qui, ce jour-là, a collé de manière tenace au lac de Neuchâtel. Température estivale qui nous a même permis de déguster une glace au soleil. Nonobstant les feuilles mortes qui recouvraient le sol on se serait cru en été.
Au programme: des habitations troglodytes, une antenne Radio-TV, et… la recherche d’un éléphant… il faut s’attendre à tout avec le CAS!
Dans des falaises de grès impressionnantes au dessus de Krauchthal, deux maisons sont construites dans le rocher. Ce site est habité depuis la moitié du XVIe siècle et ces maisons sont répertoriées parmi les plus extraordinaires de Suisse. L’une d’elles fait “Bed and Breakfast”: avis aux amateurs.
Nous poursuivons à travers pâturages et forêts jusq’à l’antenne de Bantiger d’où la vue à 380° nous permet d’admirer, entre autres, les Alpes bernoises, les Préalpes fribourgeoises et la chaîne du Jura.
Après un pique-nique au soleil, nous poursuivons notre chemin et faisons un détour pour voir, sur un promontoire, les ruines de Geristein et repérer un éléphant, un gros paraît-il, avec une immense trompe! nous avons bien cherché, croyant voir ici un oeil, là une tête ou encore la forme d’une trompe, mais pas d’éléphant entier… la photo existe pourtant sur le net!
On retiendra encore les nombreuses marches d’escaliers rendues parfois glissantes par les feuilles mortes qui les recouvrent et les charmants Hoflädeli qui jalonnent la fin du parcours.
Merci aux deux organisatrices pour cette rando originale.








Me 26 oct. 2022
Les mélèzes dorés du Lötschental
Les mélèzes dorés du Lötschental, mercredi 26 octobre
Lundi, un courriel de Christelle nous informe que les mélèzes sont ‘à point’. Deux jours plus tard, nous partons de Kippel-Altersheim (soit “home pour personnes âgées” ; nous avons eu peur un instant que ce soit notre destination définitive !) pour une grimpette de 700 m à travers forêts et prairies, croisant au passage de jolies vaches à cornes et des chèvres à longs poils noires et blanches.
À Lauchernalp, nous rejoignons le Lötschentaler Höhenweg en direction de Fafleralp et passons par de jolis hameaux perchés, des forêts de mélèzes dorés et un lac tout vert dénommé Schwarzsee. L’imposant Bietschhorn qui culmine à près de 4’000 m est tout blanc et impressionnant avec son glacier. Pour fêter son anniversaire, Mary-Jeanne nous offre un pot et un délicieux cake aux pommes transporté dans son sac à dos à Flafleralp. Puis nous fonçons sur Blatten pour prendre le bus du retour. Très belle journée, de l’or des mélèzes plein les yeux avec un joli soleil en prime !
Merci Christelle notre GO.
Patricia








Me 19 oct. 2022
Randonnée autour de Charmey
Sur les hauts de Charmey, 19 octobre 2022
Après un trajet en voiture, notre randonnée démarre au pied des remontées mécaniques de Charmey (887m). Nous commençons l’ascension dans les bois et passons au pied de la dent de Vounetse (que personne ne souhaite gravir) pour atteindre le sommet de la télécabine à 1610 m.
La vue depuis Vounetse vaut simplement le détour avec son superbe panorama sur les Préalpes fribourgeoises en toile de fond. On profite également du splendide coup d’œil sur le Moléson.
Après une pause pick-nick sous un soleil radieux, nous entamons la descente de 10 km. Nous traversons la forêt puis nous passons à proximité de la chartreuse de la Valsainte pour atteindre les pâturages de Charmey qui bouclent notre tour.
Merci à Nathalie et Barbara pour cette magnifique journée et la bonne compagnie du groupe.
Anne-Laurence








Lu 17 oct. 2022
VTT dans le Jura
VTT JURA du 17.10.2022
Il y a très exactement 1 an, le 18 octobre 2021, André nous avait fait découvrir un parcours VTT autour de La Sagne, et je terminai le récit de course en disant « Des journées comme ça, on en reprend tout de suite ! ».
Eh bien, rebelote !
En ce lundi 17 octobre, tous les ingrédients étaient à nouveau réunis pour vivre une balade en VTT très réussie : une journée splendide avec des couleurs automnales, une température estivale, et quasi la même équipe des toujours jeunes retraités.
Cette fois-ci, sur un beau circuit d’un peu plus de 30 km, ce sont les hauteurs du Val-de-Ruz que notre GO a choisi de nous faire (re)découvrir.
Partant du parking de Tête de Ran, les 9 participants ont d’abord entamé une longue descente sur des chemins blancs, en direction des Hauts-Geneveys. Contrairement à une course classique en montagne, on commence par descendre : gare à la deuxième partie du circuit, car il faudra regagner tout le dénivelé perdu.
Longeant la voie CFF en direction de Fontainemelon, le groupe est ensuite remonté gentiment tout le long du Val-de-Ruz, tantôt en lisière de forêt tantôt sur des chemins forestiers, en passant sur les hauts de Cernier, Chézard, Dombresson, pour rejoindre Les Planches, peu avant Le Pâquier. Si, jusqu’à ce lieu, le parcours vallonné était plutôt aisé, la suite a mis les mollets à contribution, car c’est à partir de là que l’on entame la remontée en direction des crêtes.
Une pause pique-nique ravigotante est bienvenue vers Le Putteret, sous la caresse du soleil ; puis il faut ensuite réchauffer les jambes pour reprendre la montée jusqu’à Derrière-Pertuis. De là, via des pâturages parsemés de beaux arbres séculaires et 20 minutes de « pousse-vélo » sur un chemin forestier encombré de hautes herbes, nous atteignons la Grande Berthière, laissant entrevoir une très belle perspective en direction du Chasseral.
Un peu plus haut, sur les crêtes en direction de Montperreux, c’est une vue très vaste et remarquable que nous découvrons : la Chaux-de-Fonds, Saignelégier, les Franches Montagnes avec ses parcs éoliens de Mont Crosin et de Mont Soleil, et même, au loin, le Grand Ballon d’Alsace : le jeu en vaut la chandelle !
Dès ce moment, on sent l’écurie … Il ne nous reste plus qu’à rejoindre le col de la Vue des Alpes, puis le parking de la Tête de Ran : après un peu plus de 4 heures depuis le départ, la boucle est bouclée.
A nouveau, et c’est maintenant une tradition et un plaisir renouvelé, nous terminons ce beau périple sur la terrasse du chalet de Doris et André, où nous partageons le verre de l’amitié accompagné de produits du terroir, avec un coup d’œil magnifique sur la chaîne des Alpes, tout ceci gracieusement offert par nos hôtes : qu’ils en soient chaleureusement remerciés !
Pour la fine équipe : Philippe C.








Di 16 oct. 2022
Arête des Sommêtres
Première étappe du jour, comme pour toute course du CAS qui se respecte : un café au tea-room du Noirmont. La météo est radieuse et les cordées joyeuses; notre chef de course adjoint est déjà passé au refuge à l'extremité est de l'arête des Sommêtres pour y déposer la fondue de fin de crapahutage. Du coup on ne traîne pas et on se met en chemin !
L'arête des Sommêtres est le cadre idéal pour s'exercer au différentes techniques de progression en cordée (marche à la corde courte, marche en corde tendue, assurage depuis un point fixe ou autour d'un béquet, pose de dégaines là où il n'y a pas de spits); et il y a vraiment un petit peu de tout : un ou deux passages (un peu) verticaux, un rappel, un “rasoir”, de la grimpe en montée comme en descente, et des paysages splendides tout du long.
Nous arrivons au point culminant de l'arête en début d'après-midi, le vent s'est levé et il souffle fort, on s'abrite sur la place de grill du refuge. Et là, on découvre qu'on n'a pas juste une fondue, mais une fondue STERCHI : tonnerre d'applaudissement pour Jérôme !
Un grand merci à notre cheffe de course Monica pour l'excellente organisation de cette journée et à tout le monde pour la bonne humeur et le bon moment de grimpe passé ensemble !
Tobias
Participants: Isabelle Choffat Casaburi Grégoire Veber Tobias Barblan et Erik Camposilvan
Chefs de la course: Monica Estoppey Rüegg & Jérôme Fer








Je 13 oct. 2022
De l'Etivaz au col du Pillon
Du col du Pillon à l’Etivaz
Jeudi 13 octobre 2022. Nous profitons d’une météo clémente avant une perturbation annoncée en soirée.
Notre randonnée débute au col du Pillon (1546m) avec une heure de retard suite à une panne de train avant Lausanne. Nous passons par la lac Retaud puis Isenau pour atteindre le col de Seron (2152m) peu avant 13h au pied de la magnifique Cape au Moine et La Pare. Après une pause pic-nic nous entamons la descente de 1041 mètres en passant par l’alpage de Tourmalay pour rejoindre la vallée de l’Eau Froide dans le village de L’Etivaz. Un détour était indispensable à la fromagerie pour quelques achats de produits du terroir avant le retour.
Un grand merci à Geneviève et Marielle pour l’organisation et la bonne compagnie du groupe.
Anne-Laurence








Lu 10 oct. 2022
Widdergalm (2174m)-Schafarnisch (2109m)
Après un petit café pris à Zollhaus, notre randonnée au départ de Chänel-Gantrisch peut commencer. Le Widdergalm est déjà dans notre ligne de mire ; il sera notre première cible (euh ! cîme) de la journée. Comme d’habitude nos organisateurs ont suivi la météo de près pour que le déplacement en vaille la peine et se déroule en toute sécurité, c’est-à-dire en l’absence de brouillard et de pluie. La montée s’avère tranquille jusqu’au Chüeharnisch. Puis les bâtons sortent progressivement du sac car la terre se fait plus humide et la pente plus raide sur le versant Nord que nous attaquons. Les chamois sont eux aussi de sortie dans la région et nous charment de leurs cabrioles et échappées sur les pentes pierreuses. On se réjouit de les savoir toujours vivants en cette période de chasse.
Deux cents mètres plus haut nous atteignons un replat qui nous dévoile un merveilleux panorama. De là il faut éviter de suivre directement la crête et la contourner dans un premier temps en prenant une sente non indiquée altitude 2040m. Le passage nécessite d’être attentifs et non sensibles au vertige. Un pied devant l’autre nous nous rapprochons progressivement de la crête et du sommet. Le Widdergalm est un magnifique perchoir pour admirer avec netteté Kaiseregg, Schafharnisch, Märe et voir plus loin les Vanils, les Gastlosen, le Stockhorn...
Le pique-nique englouti nous revenons sur nos pas jusqu’au Chüeharnisch pour grimper le sommet d’en face. La montée est régulière et sans difficulté. Depuis le Schafharnisch nous contemplons les trois arêtes du Widdergalm, magnifique trièdre dont le nom Inuit connu de Jean-Claude m’échappe. Quelques nuages nous le masquent par intermittence. Nous poursuivons notre course en revenant légèrement en arrière. Le sentier vers Chummli contourne le Schafharnisch par le sud. Il alterne pierres plates et pentes plus herbeuses. Dans un rayon de soleil les couleurs de l’automne, qui ont atteint les arbres, magnifient la roche et les contours de l’Holzerhore. La descente finale depuis le chänelpass s’effectue à travers la forêt et les pâturages désertés.
Le choix du parcours, l’ambiance générale, la présence des chamois, les feuillages orangés, la verrée au Gantrischli ont fait de cette randonnée une pure merveille. Un grand merci de toute l’équipe et moi-même à Jacques et Jean-Claude pour le bon moment que vous nous avez offert.
Nathalie








Di 9 oct. 2022
Les Roches d'Orvin
Départ 7h58 de Neuchâtel pour Bienne puis petite marche jusqu’au funiculaire où la première difficulté se présente: celle de trouver des toilettes publiques, il y a bien des boissons et snacks à vendre mais pas de quoi soulager la vessie de certains et ce n’est pas les dames qui étaient les plus demandeuses 😂.
Arrivés à Macolin à 8h52, nous voilà partis pour notre excursion dominicale qui s’annonce ensoleillée on l’espère. Première pause à 10h15 avant l’ascension principale. Après une bonne heure nous finissons la zone T3 et tout s’est bien passé. Au début Gregoire râlait un peu mais finalement nous sommes tous bien arrivés au sommet. La pause de midi a été décalée de quelques centaines de mètres afin d’être à l’abri du vent. Le brouillard ne s’est pas levé et nous avons dû attendre la descente sur Orvin pour trouver une percée et du soleil. Il est 15h30 donc après 5h45 de marche, 900 mètres de dénivelé et 18km, on prend un verre à la Bragarde avant de prendre le car de 16h20 sur Bienne. En résumé: ce fut une journée magnifique avec des guides bienveillantes. Sylviane








Je 6 oct. 2022
Lac de Moron, Belvédère du Châtelard, 1030 m
Extrait du rapport de course :
Le Belvédère du Châtelard (1080 m) une première pour 12 d’entre-nous ! Un parcours varié et intéressant côté français du Lac de Moron. La course s’est déroulée dans la douceur automnale, ponctuée par les traits d’esprit des marcheurs. La transmission de savoirs enrichit les connaissances de chacun (géographie, géologie, énergie hydraulique, problématique des fuites d’eau du Doubs et de la sécheresse). Le débriefing se fait sur la terrasse du Bar du Port au débarcadère des Brenets.
Grand merci à Willy qui offre les cafés-croissants le jour de son anniversaire au restaurant du Saut-du-Doubs (CH). Merci pour le verre de l’amitié et autres friandises offerts au pique-nique par un traditionnel duo. Merci à tous de votre gratifiante participation.
Nombre de participants : 15 y compris les organisateurs, Philippe Chapuis et le sous-signé.
Jacques Isely








Me 5 oct. 2022
Dent de Combette
Après deux reports pour cause de mauvais temps, cette randonnée a enfin pu se dérouler dans des conditions de rêve en ce 5 octobre 2022. Grand beau temps, forêts d'automne colorées, sommets alpins saupoudrés de neige et petite équipe très sympathique : tout était au rendez-vous pour nous faire passer une merveilleuse journée ! Et elle l'a été : après une montée au sommet de la Dent de Combette dont la dernière partie nécessite d'être "à son affaire", la randonnée s'est fait plus tranquille et contemplative avec la descente sur la crête du Rocher des Rayes. On a même eu chaud, pas comme en été certes, mais suffisamment pour apprécier une bonne bière sur une terrasse panoramique à Charmey en fin de course !
Merci à toute l'équipe pour avoir partagé cette magnifique journée d'automne indien avec moi !
Christelle








Lu 3 oct. 2022
Le mont Sujet par le sentier des sculptures
Nous nous regroupons à St Blaise à 9h et nous poursuivons notre route avec 3 véhicules jusqu’à Lamboing. La proximité de la randonnée a l’avantage d’un départ plus tardif que d’habitude !
Au parking du sentier des sculptures les 11 participants sont rejoints par une membre adepte des transports en commun.
Le chemin que nous suivons se dirige gentiment vers le sentier des sculptures. Nous pouvons admirer les 3 premières magnifiques œuvres en bois, sculptées par des professionnels de l’école de sculpture de Brienz. Le sentier en zig zag devient un peu plus raide et tout en marchant, nous n’oublions pas d’admirer toutes ces créations en bois et parfois en pierre. Sur une plateforme en bois des photos avec des sujets de la région nous font oublier qu’il n’y a pas de vue, parce que cachée par les arbres.
Une place de pique-nique à la fin du parcours, dans la forêt, nous invite à une pause banane. Le soleil n’est pas loin, mais a de la peine à percer l’épaisse couche de brouillard. Dans l’espoir de trouver le soleil plus haut, nous continuons d’autant plus qu’une fine bruine commence à mouiller nos têtes.
En vain, le sommet du Mont Sujet à 1382m est dans le brouillard. La vue n’est pas au programme aujourd’hui.
Un peu plus loin, nous trouvons une place à l’abri de la bise pour la pause de midi. Un magnifique tapis vert mousseux s’offre à nous en guise de chaise. Sur le sol bien mouillé, personne ne songe à faire la sieste.
Nous poursuivons notre descente et enfin nous apercevons le lac, et en y regardant mieux 3 lacs ! Ne dit-on pas que le plateau de Diesse est dans la région des 3 lacs ?! Il fait meilleur et nos vestes et polaires peuvent retourner dans nos sacs à dos. Monique est ravie de cueillir des champignons pour son souper.
Retour au parking avec le soleil !La participante ne voyageant pas avec nous nous quitte rapidement, l’horaire du bus oblige.
Une belle randonnée avec un paysage enchanteur dû au brouillard. Merci aux 2 organisateurs Monique et Jacques.
Un dernier arrêt au Cheval blanc à Lamboing. Willy offre les boissons. Quelle chance que son anniversaire tombe cette semaine !!!
Susanne








Sa 1 oct. 2022
Applications GPS dans Smartphones
Le cours s’est très bien déroulé malgré une météo humide et quelques bugs détectés sur Suissemobile
Vous pouvez sans autre ajouter vos photos







Lu 26 sept. 2022
L'Erié - Sorniot - Col du Demècre - Portail de Ful
Course de remplacement pour Erié - Sorniot - Col du Demècre
Le temps estival a malheureusement pris fin et une forte baisse de température, la pluie ainsi qu'un peu de neige ont été annoncés dans la région du Grand Chavalard - Col du Demècre pour ce lundi.
Barbara et moi avons donc organisé en vitesse une randonnée de remplacement dans le Jura vaudois, ce qui n’a pas été une mauvaise option après le week-end de la Fête des Vendanges !
08h45 11 participants:tes partent à pied du restaurant d'alpage La Combaz en direction du Chasseron, le temps est sec, mais le ciel est couvert. Par des sentiers balisés partiellement et pour la plupart inconnus, nous traversons la belle crête du Bois de la Vaux et continuons vers les Cernets. Dans la forêt et les champs, il y a d'innombrables champignons, dont certains sont comestibles et les plus beaux malheureusement indigestes, voir toxiques !
Quasiment à midi pile nous atteignons la cabane CAS Les Illars et nous installons confortablement pour le pique-nique sur la terrasse à l'abri du vent, à une table ou sur une table, car il manquait des bancs. Après le repas, marche digestive en descendant vers La Cruchaude et Brelingard, et montée à Mauborget au restaurant Paral'Aile pour une boisson rafraîchissante. C’est le seul restaurant ouvert le lundi à des kilomètres à la ronde. Nous quittons le bistrot avec des sentiments mitigés (chacun sait pourquoi ...) et parcourons encore les kilomètres restants jusqu'à La Combaz, où nous arrivons à 15h avec des vêtements toujours secs, pas une goutte de pluie n'est tombée depuis le matin
Notre Parcours: env 15,7km en 6h15 y.c. pauses, dénivelé +/-590m
Un grand MERCI à Barbara d'avoir co-organisé cette sympathique rando dans le proche Jura vaudois.
Jürg



Je 22 sept. 2022
Moléson village- Moléson- Moléson village
Du Moléson, on y voit ma maison, mais pas que…..les nuages aussi!
Partis avec un soleil radieux et le bleu du ciel, nous arrivons au sommet après une belle montée puis les nuages nous enveloppent et nous bouchent la vue! En conclusion, pas vu nos maisons depuis le Moléson! (avec l’accent svp).
La descente permet d’admirer la Gruyère, son lac et les verts pâturages.
Tous les participant.e.s ravi.e.s d’avoir fait le tour complet de cette grosse montagne!





Me 21 sept. 2022
Dent de Savigny








Ma 20 sept. 2022
4 jours de randonnée dans la vallée d'Aoste
Dans les brumes matinales du 20 Septembre, neuf clubistes se sont retrouvés à Robinson pour le départ d’une excursion de Jeudistes qui s’est transformée, grâce à la participation de quatre dames, en course de section !
Sous la houlette avertie de René, Mary-Jeanne, Claudine, Catherine, Nanda, Jürg, Heinz, Hansueli et Olivier ont vécu quatre jours de rêve où tout a contribué à un succès total.
Il est vrai que Valsavarenche est éloigné, mais la beauté, le calme, la nature intacte de cette vallée lovée au pied du Gran-Paradiso compensent largement l’effort de trouver sa route au travers des méandres d’Aoste…
Une météo exceptionnelle, une lumière douce, rasante, des ombres nettes ont naturellement contribué au succès des quatre randonnées qui nous ont fait parcourir les flancs raides et acérés de la vallée. Tous les jours, marmottes, aigles et bouquetins ont accompagné nos pas, tandis que des hordes de chamois dévalaient, au loin, les pentes rousses ou rouges de myrtillers ayant déjà pris leur parure d’automne.
Au fil des jours, nous avons parcouru plus de 50km et gravi plus de 4’000m de chemins raides mais toujours spectaculaires dans un environnement préservé.
De Breuil, nous sommes montés à l’étang d’Aouille. Nous avons également parcouru la boucle du Grand Collet (2’832m) et ses drapeaux de prière tibétains avec la merveilleuse vallée du Nivolet. Nous avons gravi les contreforts du Gran-Paradiso jusqu’aux refuges Chabod et Vittorio Emanuele, et nous avons passé par le Col Mento vers le lac Djouan, tous joyaux inconnus à découvrir
Les soirées à Hostellerie du Paradis, dégustant les quatre plats du dîner (cinq si on inclut les « shot » de génépi), furent animées et empreintes de rires et de convivialité.
Tout le monde est rentré ravi, de même que le petit groupe qui a opté pour un itinéraire plus simple, avec arrêts gastronomiques.
Un très grand merci à René qui a mené la course avec sûreté et tout impeccablement organisé.
Nous retournerons au Valsavarenche !








Lu 19 sept. 2022
Sulwald - Soustal - Grütschalp
Récit Sulwald-Grütschalp, 19.09.2022
Organisation Werner Frick
Par une belle journée de toute fin d’été, déjà fraîche, nous est proposée cette belle randonnée par Werner Frick, une première pour les lundis X vénérables… En route pour Lautenbrunnen enTP, puis pour le pittoresque télécabine Isenfluh pour Suswald. La montée à travers une belle forêt de sapins, par un agréable sentier s’effectue au pas de montagnard, promis aux vénérables, pour atteindre Suls. Il ne sera pas fait le détour par la Lobhornhütte. Nous poursuivons par une longue traversée à flanc de coteau, avec une vue imprenable sur les trois bernoises, dont l’une ou l’autre restera toujours cachée dans les nuages, puis par la montée au col Sousegg, 2149m point culminant denotre randonnée, et enfin par le pique-nique, bien mérité. Une descente assez raide, un peu plus rapide nous conduit sur un large plateau, passant par Sousläger,puis Läger,enfin à la magnifique forêt de Spryssewald, d’oû nous atteignons Grütschalp, après 4h30de marche.Une grande benne nous descend à Lauterbrunnen. Le pot de fin de randonnéeest pris au restaurant Steinbock. (nous n’avons pas vu de bouquetin de la journée) Merci à Werner pour cette belle journée, très appréciée de toutes et tous, à l’ambiance gaie et chaleureuse. Les vénérables ont encore de beaux jours devant eux, en pouvant jouir de très belles courses, stimulantes. A quand les prochaines !!
Christiane








Je 15 sept. 2022
Aeschiried - Suld - Mülenen
Décision difficile à prendre tant la météo s’annoncait déroutante. C’est finalement avec 5 personnes plus qu’optimistes que j’ai conduit la course, mélange de temps sec, pluie légére et même un peu de soleil.




Me 7 sept. 2022
Haute-Nendaz - Fionnay








Ve 2 sept. 2022
Aguille Sans Nom, arête Sud (3444 m)
WE à Leysin
Vendredi 2 septembre
Dans le train pour Leysin, j’étais tout excité à l’idée de grimper en compagnie de membres du CAS que je n’avais jamais rencontrés. Aussitôt arrivé, je découvre leurs visages souriants: Alexandre, Déborah, Sylvain, Éric et Lucie, la cheffe de course; je les devine curieux et impatients de vivre des aventures inoubliables! Dans les longues voies, avec Éric mon compagnon de cordée, nous débutons fort dans une fissure sous le Nez du Sphinx de la Tour d’Aï; puis, arrivés en haut, nous tirons un un rappel au sec — vite regretté —, car des trombes s’abattent au moment d’enchaîner le deuxième. Un petit pic-nic au sec et on redescend tous en télésiège, tous sauf Éric et Sylvain qui profitent de faire un petit plouf en parapente! Une table animée autour d’une fondue se laissera installer pour la fin de soirée.
Samedi 3 septembre
Le caillou encore mouillé et la météo trop instable, nous optons pour une solution en intérieur à Villeneuve. Sur ces prises aux géométries et couleurs variables, suivant les sages conseils d’Eric, je m’attarde à effectuer les mouvements justes pour améliorer ma technique quelque peu boiteuse. En savourant un dévers compliqué à négocier, je découvre pourquoi l’escalade, alliant mental et coordination, a un si fort goût de reviens-y. Même sensation en bouche lorsqu’Eric me propose de reprendre une dernière tranche d’une délicieuse entrecôte parisienne ovationnée par toute la tablée! Dans ce bivouac luxueux, nous cédons à la tentation d’un sauna bien mérité! Tout n’est pas que détente, car la tondeuse a également dû être réparée.
Dimanche 4 septembre
Un large panorama naturel sur s’offre à nous lorsque nous passons du côté Est de la Tour: le calcaire blanc crée un contraste poignant avec la verdure des pâturages: un délice visuel. Tout le groupe trouve son plaisir à grimper dans ces belles voies assassines. Déborah est la première aux prises d‘une magnifique 6c+, elle est suivie de Lucie et Sylvain. Voulant relever le défi, je me lance en tête et après acharnement sur le crux, je la sors avec le sourire jusqu’aux oreilles!
Une excellente surprise m’a été réservée pour l’apéro: pour ma fête d’anniversaire de “ptit jeune” – 19 ans ce jour-là –, d’après une idée de Déborah, j’ai pu sabrer le champagne avec mon piolet! Que de moments incroyables vécus avec un groupe incroyable!
Lucien








Je 1 sept. 2022
Thyon - Le Chargeur, lac des Dix
Nous avons passé deux magnifiques journées de partage, rires, rencontres, et découvertes de beaux paysages dont on ne se lasse pas.
Merci à toute l’équipe qui a contribué a ces beaux moments.








Me 31 août 2022
Barrhorn 3610 m
Course A Jeudistes au Barrhorn 31 août – 1 septembre 2022
Départ de Colombier à 9h direction le val de Tourtemagne pour l’ascension du Barrhorn (3610m) qui est le plus haut sommet randonnable d’Europe, accessible par sentier balisé. Au départ de Sänntum, Il nous faut deux heures pour arriver à la cabane en passant par les rives du lac de Tourtemagne aux couleurs opales. La météo est agréable et une légère couche de neige tombée la veille recouvre les sommets.
Après une nuit en dortoir, nous commençons notre ascension à 6h15 à la lueur des lampes frontales. Sans réelles difficultés, si ce n’est l’altitude qui se fait sentir avec un seul passage technique au lieu-dit «couloir de Gässi».
En passant par le col du Schöllijoch et l’Inner Barrhorn, nos efforts sont récompensés par un panorama extraordinaire composé de sommets comme le Bishorn, Weisshorn et le Mont Rose....
Il nous reste 1700 m de descente qui nous séparent du parking et nous prenons un autre sentier sur 1 km avant de rejoindre notre chemin initial qui passe par la cabane.
Quel plaisir de randonner avec Adrien et ses amis «jeudistes». Sans s’en rendre compte, ils partagent leur passion de la montagne et nous transmettent leurs précieuses connaissances.
Un grand merci à Adrien pour l’organisation ainsi qu’aux 3 chauffeurs qui nous ont co-voiturés.
Cotation de la course: T3+... +d’amitié +de bonne humeur + de bons souvenirs:)
Anne-Laurence








Ma 30 août 2022
Fronalpstock et Gross Mythen
Mardi 30 au mercredi 31 août 2022 : Fronalpstock et Gross Mythen
Résumé
6 participants, dont 5 marcheurs. Déplacement en voiture, 376km aller-retour, y compris déplacements locaux. Repas du soir au restaurant et nuit à l’hôtel.
Premier jour : Stoos-Chlingenstock-Fronalpstock
Montée à Stoos en funiculaire. Puis montée à pied au Chlingenstock et de là en suivant la crête, entrecoupée de petits sommets, jusqu’au Fronalpstock. Descente en télésiège à Stoos, puis retour en funiculaire aux voitures.
En tout, nous avons effectué 8.43km et sommes montés de 1023m et descendu de 420m, en environ 4h30.
Deuxième jour : Musée à la place du Gross Mythen
Hélas, météo suisse s’est lourdement trompé. Non seulement il pleut au réveil, mais en fait jusqu’au milieu de la journée, et pas seulement quelques gouttes. Y compris pour des raisons de sécurité (chemin T3 dans la falaise), nous renonçons donc de monter au Gross Mythen et nous nous rendons en lieu et place au musée « Forum de l'histoire suisse » à Schwyz. Ensuite, retour en voiture à Neuchâtel, où nous arrivons vers 17 heures.
Récit complet
Mardi 30 au mercredi 31 août 2022 : Fronalpstock et Gross Mythen
Premier jour : Stoos-Chlingenstock-Fronalpstock
6 Clubistes se sont retrouvés le mardi 30 août 2022 à 7:30 à la Mottaz. Trajet en voiture jusqu’à Schwyz en un peu plus de 2 heures, sans bouchon majeur. Café au tea-room Lüönd situé dans le centre commercial Mythencentrum. Jacques encore en convalescence nous quitte pour aller jusqu’à Lucerne, pour y visiter l’exposition consacrée à David Hockney. Le reste de la troupe se rend à la station inférieure du funiculaire montant au Stoos. Montée impressionnante avec une pente atteignant 110%, record mondial paraît-il. Depuis la station supérieure, nous abordons la montée à pied et non en télésiège jusqu’au Chlingenstock. Nous suivons ensuite la crête jusqu’au Fronalpstock. En route, nous profitons d’un joli banc pour pique-niquer. La vue 360° est superbe : à nos pieds : le lac des Quatre-Cantons, le lac de Zoug et jusqu’au Aegerisee ; à niveau : le Righi, le Pilate, le Bürgenstock, etc. et en hauteur : les Alpes uranaises et glaronaises. Arrivés au Fronalpstock, nous avons la belle surprise de retrouver notre ami Jacques, pour nous sustenter sur la jolie terrasse du restaurant.
Pour notre randonnée, le temps a été ensoleillé, et plutôt chaud, avec quelques nuages à l’horizon.
En tout, nous avons effectué 8.43km et sommes montés de 1023m et descendu de 420m, en environ 4h30.
Nous descendons ensuite en télésiège à Stoos, puis rejoignons Brunnen en voiture. Nous y arrivons à l’hôtel Schmid et Alfa, juste avant la pluie. A 19:30, sous une pluie battante, nous nous rendons au restaurant Weisses Rössli pour y souper, dans une ambiance bien joyeuse.
Deuxième jour : Musée à la place du Gross Mythen
Hélas, météo suisse s’est lourdement trompé. Non seulement il pleut au réveil, mais en fait jusqu’au milieu de la journée, et pas seulement quelques gouttes. Y compris pour des raisons de sécurité, nous renonçons donc de monter au Gross Mythen et nous nous rendons en lieu et place au musée « Forum de l'histoire suisse » à Schwyz. L’exposition est très bien faite et, avec beaucoup d’intérêt, nous y apprenons des aspects inconnus de l’histoire de l’Europe et de la Suisse Centrale entre 1200 et 1400. En sortant, il est passé 13 heures et il pleut toujours. Nous nous rendons donc au centre commercial Mythencentrum pour manger notre pique-nique bien au sec, complété par un café-pâtisserie. Ensuite, il est temps d’entreprendre le voyage de retour. Sans encombre, nous arrivons à Neuchâtel après un peu plus de deux heures de route vers 17 heures.
Pluie la majeure partie de la journée, mais route de retour « au sec ».
Merci à Etienne de m’avoir assisté et à tous les participants pour la bonne humeur et l’ambiance amicale et chaleureuse.
C’est promis : La montée au Gross Mythen se fera dès qu’une occasion se présente (beau temps !) en une excursion d’un jour. Que les intéressés s’annoncent auprès du soussigné.
Alfred, alfred.strohmeier@gmail.com








Lu 29 août 2022
De Champéry à Barme par le Signal de Bonavau
Lundi-x. 29.08.2022. De Champéry à Barme par le Signal de Bonavau.
Nous sommes 10 personnes, qui partons depuis Grand Paradis près de Champéry.
Le bon pas de Nadia nous permet de monter tout en appréciant le paysage autour de nous: Dents du Midi et les Aiguilles Blanches de Champéry.
D'abord l'alpage de Rossétan par le Roc Coupé, puis refuge de Bonavau qui était fermé - mais nous avons pu manger notre pique-nique assis autour des tables !! Pour arriver au refuge de Bonavau nous avons passé par le pont suspendu sur la Saufla.
Toujours une magnifique vue sur les montagnes, nous arrivons au Signal de Bonavau et après à l'alpage de Barme. La plupart de nous avons bu un café glacé avec crème fouettée. Comme elle était bonne !!
Descente jusqu’au Grand Paradis pour retrouver les voitures.
Un grand MERCI à Nadia pour cette belle randonnée.
Elsebet








Lu 29 août 2022
Le Moléson depuis Enney








Ve 26 août 2022
Escalade à la Wiwanni Hütte 2471m (VS)
Passage d’un temps perturbé après deux mois de beau temps. La météo a été un participant intrusif au cours du week-end !
Six optimistes clubistes ont toutefois défié les prévisions de mauvais temps pour l’après-midi du vendredi.
Soulagés d’arriver à la cabane sous un ciel radieux, nous nous dépêchons de rejoindre un joli site de voies d’une à deux longueurs proche de la cabane.La météo nous annonce une heure et demie de répit ! Finalement nous grimperons quatre heures avec un peu de bruine occasionnelle. Jérome et Alexandre ajouteront même une voie de 4 longueurs en 5a sur dalle mouillée. Une nouvelle pratique pour mordus !
Le lendemain, nous montons au Wiwanihorn par deux itinéraires superbes bien équipés en bon rocher : Steinadler (14 longueurs, 5b) et Wi Von Fass (11 longueurs, 6a).Bravo à Jon qui a fait son premier 6a en tête en longue voie après avoir commencé l’escalade 5 mois plus tôt.L’arrivée du brouillard vers 13 heures et les grondements de l’orage nous ont obligé à finir rapidement, mais, finalement, nous redescendrons de la cabane sans pluie.
J’adresse une félicitation particulière à tous les participant(e)s pour avoir grimpé en cordée réversible, ce qui m’a grandement facilité la gestion des cordées.
Jean-Michel Oberson








Je 25 août 2022
Stechelberg Obersteinberg Stechelberg
Dame météo nous a particulièrement gâtées pour cette course. Ainsi, nous avons eu la chance de voir beaucoup de cascades, des petits glaciers et les sommets. Dont un qui nous a bien intriguées…..la Jungfrau ! Ce fut pour certaines, la découverte d’une belle région de l’Oberland bernois.
Merci à toute la charmante équipe d’être venue à cette course malgré un réveil très matinal.
Josiane et Hélène








Me 24 août 2022
Cabane de Saleinaz, 2693 m
Mercredi 24 août, ce sont 9 Jeudistes accompagnés de 3 Dames de notre section qui ont quitté Colombier vers 7h30 pour prendre la route vers le Valais.
Après l’arrêt café-croissant à l’hôtel Terminus d’Orsières, en respect de l’interdiction de monter jusqu’à la prise d’eau de Saleinaz, nous nous équipons et quittons le parking « officiel » vers 10h30.
La montée, à un rythme convenant à chacun, reste une course engagée, où les quelques replats ne dépassent pas les 5 mètres. Sentiers raides de bas en haut, passages nombreux équipés de chaînes et marches métalliques, et toujours ce but qui semble nous narguer depuis là-haut.
Après quelques pauses dont une pour manger, tous les participants arrivent vers 16h30, presque groupés, sur la terrasse de Saleinaz, accueillis par nos gardiens Étienne et Yann, avec le traditionnel thé de bienvenue.
Apéro, excellent repas, ciel coloré ponctuent cette soirée sympathique.
Réveil à 7h00, déjeuner et préparatifs pour le retour. Vers 8h30 vient le moment où il faut quitter ce lieu magique, sa couronne de glace et de roc, cet havre où l’on se sent chez soi.
Un peu de nostalgie, un brin d’appréhension et surtout beaucoup de fierté d’y être venu accompagnent nos premiers pas vers Praz-de-Fort.
Nous prendrons notre temps afin de ménager les articulations et franchir avec sécurité les passages équipés.
Pique-nique après 13h00 aux voitures puis arrêt à Orsières pour étancher une soif légitime. Merci aux trois généreux donateurs qui ont offert les glaces et boissons.
Monter à Saleinaz tient un peu lieu de pèlerinage pour les membres de notre section. Au-delà des muscles endoloris et des doutes quant à nos possibilités d’y arriver, c’est le souvenir de ce paysage incroyable et des moments de camaraderie vécus qui resteront longtemps encrés en nos mémoires.
Merci à chacun et chacune, à Étienne pour son aide efficace, et à Jacques, initiateur convalescent de cette escapade valaisanne.
Silvio Nadig








Lu 22 août 2022
De Torgon à Morgins
De Torgon à Morgins lundi-X 22.08.22
Au départ de Torgon-La Jorette, terminus du car postal, nous attaquons la montée à travers des pâturages, étonnament verts, pour atteindre après environ 2h30 le col du Croix. Nous longeons sur la crête la frontière franco-suisse qui ressemble à un chemin des bornes pour atteindre la tête du Tronchey, puis le tour de Don, point culminant de notre rando (1999m) où nous nous arrêtons pour manger.
La vue est belle d’un côté sur la vallée d’Abondance et de l’autre sur la vallée du Rhône et l’extrémité du lac Léman jusqu’au château de Chillon. Les montagnes restent encapuchonnées dans les nuages qui nous refusent la vue sur les Dents du Midi.
Nous continuons sur une crête qui nous rappelle les Aiguilles de Baulmes puis descendons sur Onnaz et le chalet Neuf.
La particularité de cette région c’est la présence de remonte pentes sur tous les versants autant français que suisses. Nous sommes déjà dans le domaine des Portes du Soleil et télé Torgon est en mains françaises, ce qui n’a pas manqué de poser quelques problèmes lors du Covid !








Je 18 août 2022
Circuit Sunnbüel-Üschenegrat-Gällihore
Le circuit Sunnbüel-Üschenegrat-Gällihore a été annulé en raison de la météo défavorable.
Randonnée de remplacement: Aarau-Wasserflue-Salhöhe








Lu 15 août 2022
De Disentis au Maderanertal
1er jour
Après la sécheresse des dernières semaines, quelques orages sont annoncés en Suisse orientale. Tous les seize, nous avons ajouté les protections pluies dans les sacs à dos en espérant ne pas les en sortir ! Traversée de Suisse en train jusqu’à Disentis où deux petits bus nous permettent d’avaler le premier dénivelé sans fatigue jusqu’à Alp Cavrein Sut. De là une longue vallée monte régulièrement à travers des alpages déjà presque automnaux. Quelques framboises puis des myrtilles ravissent les gourmands. De gros nuages noirs motivent une pause durant laquelle, avant les toutes premières gouttes, nous enfilons les protections de pluie. Cette chaude averse parviendra à peine à nous humidifier et bientôt c’est une nouvelle pause pour nous déshabiller. Les pentes herbeuses et les dernières fleurs disparaissent et sont remplacées par un paysage de cailloux et de rochers presque lunaire. Au loin, la cabane Cavardiras (2649 m.) apparait perchée sur une arête entre les cantons des Grisons et d’Uri. Notre petite colonne s’est étirée et les premiers prennent pied sur la terrasse alors que les derniers transpirent dans les dalles. L’accueil de l‘équipe féminine de la cabane menée par Manuela est chaleureux…elles ont même allumé le poêle à bois ! Et déjà, elles s’excusent de ne pas pouvoir nous servir de thé de bienvenue…Il n’y a pas d’eau ! Le glacier situé trop en contrebas n’en fournit plus, les derniers névés ont fondu et les rares précipitations datent de plusieurs jours. La citerne se vide rapidement. La gardienne et ses compagnes rentabilisent l’utilisation de chaque décilitre. Par exemple, l’eau de cuisson des pommes de terre est utilisée pour prélaver la vaisselle puis pour rincer la cuvette des WC (pas de toilettes sèches). Elles se lavent une fois par semaine avec quelques litres d’eau qu’elles versent d’un broc. Elles recueillent l’eau dans une cuvette dans laquelle elles se tiennent debout, leurs vêtements sales à leurs pieds…ainsi douche et lessive se combinent. Elles sont parvenues à réduire la consommation d’eau à 8 litres par client par jour (en plaine nous utilisons environ 160 à 200 litres par personne par jour). Soudain, alors qu’elles s’affairent en cuisine, elles se précipitent dehors avec cuvettes, bassines et casseroles. Il pleut et elles recueillent la précieuse eau qui ruisselle du toit. Elles nous en offriront quelques décilitres pour nous laver les mains aux toilettes. Le repas du soir entièrement préparé et cuisiné à la cabane est délicieux et le « Hüttenkaffee » met un goûteux point final à cette belle journée.
2ème jour
Il a un peu plu cette nuit et un filet coule de la fontaine, petit miracle. L’ambiance est alpine et le ciel limpide. Aujourd’hui, l’effort sera en descente ; moins 1500m ! Le lac alpin formé par la fonte du Brunnifirn montre de jolis jeux de glace. Quelques passages techniques (dalles avec chaines et sentier proche de la verticale) finissent de nous réveiller. C’est gaiement que notre troupe traverse de verts alpages arrosés par les eaux parfois bouillonnantes du Brunnibach qui ont creusé gorges et marmites. Ravitaillement sucré à la cabane Hinterbalm (1817 m) avant de reprendre la descente. Les cascades, les fleurs alpines et de petits personnages en bois nous divertissent et adoucissent le parcours si astreignant pour nos genoux ! Pause méritée, tout en bas, à Blindensee (1374m) et sa « fontaine à sirops ». Enfin, ça monte. Nous rejoignons le « Höhenweg du Maderanertal » avec des vues grandioses sur les cascades qui bondissent dans une fumée de gouttelettes de l’autre côté de la vallée…là où nous nous trouvions tantôt. Bientôt, nous dégustons un thé et des bières sur la terrasse panoramique de la cabane Windgällen (2034 m.) adossée au bastion rocheux du même nom. Les discussions vont bon train et ne s’interrompent qu’à la nuit tombée après un copieux repas « rondes » et plateau de fromages. Du jamais vu en cabane.
3ème jour
Petit déjeuner royal. C’est sous l’œil des vaches et de quelques chèvres curieuses que le retour s’amorce (1200 m de descente et quelques 300m de montée). Le chemin d’altitude offre des coups d’œil sur la vallée si verte, les alpages perchés sur des abruptes falaises, le lac de Golzeren. Les raides descentes alternent avec des faux-plats, les myrtilliers laissent la place aux framboisiers, les fleurs alpines aux pâturages. A Golzernegg (station d’arrivée du téléphérique de Bristen), profitant d’une pause non planifiée, quelques-uns achètent du miel de montagne, miel qui nous remplira la bouche de l’arôme des fleurs et les yeux de belles images. Les derniers kilomètres traversent une forêt enchanteresse. Les fougères et les mousses me transportent par magie dans une forêt tropicale…en clignant des yeux, j’entrevoie même des pumas et des perroquets (et oui, j’ai de l’imagination). Et enfin LE télécabine de Waldiberg (il alimente nos conversations depuis hier). Deux cabines ouvertes « vintage » suspendues à des fils de la grosseur de gros spaghetti vont nous projeter 400m plus bas. Emotion assurée !
Par la suite, la descente en car postal jusqu’à Amsteg, nous rappelle que nous vivons dans un pays riche qui soigne ses infrastructures. Les travaux de soutènement et de drainage de la route zigzagante accrochée à la montagne exigent des moyens techniques et humains herculéens !
En résumé : Trois jours dans des paysages variés et grandioses dans une région hors du monde (alors que le tunnel du Gotthard passe presque sous nos pieds), où le randonneur est roi et où l’alpiniste, le grimpeur, le botaniste, le cristallier, le poète,…, trouveront leur bonheur aussi.
Merci à Mary-Jeanne secondée sur le terrain par Philippe d’avoir rendu cette sortie possible et merci à tous pour la joyeuse et solidaire ambiance.
Danielle








Sa 13 août 2022
Tour des Muverans








Me 3 août 2022
Säntis-Alpstein deux jours
Säntis en 2 jours
Joli groupe de Dames en partance pour le pays d’Ida.
Toute une aventure; départ à l’aube de Neuchâtel pour arriver à Wasserauen et prendre un téléphérique qui nous amène à Ebenalp. On commence de marcher jusqu’à Schäfler, c’est tranquille. Pour la suite; Ida nous a concocté un programme digne d’un T4 +
Direction le Säntis en passant par Öhrli, puis Höchniden ou les choses plus que sérieuses commencent avec échelles, câbles jusqu’au sommet du Säntis. On boit un verre puis on repart par le Lisengrat, arête vertigineuse et très belle pour arriver juste à temps pour le souper à la cabane du Rotsteinpass.
Le lendemain, départ toujours sur du T4+ pour crapahuter en direction de Altmann puis en direction du Fahlensee où Ida plonge dans le lac suivie des Dames toutes contentes d’enfin se rafraîchir.
Un p’tit jus bienvenu à Bollenwees et descente en passant par le Sämtisersee (presque à sec) pour arriver enfin (avec le bout qui tue) jusqu’à Brülisau.
Retour sur Neuchâtel avec une belle découverte de l’Appenzellerland.
Merci à Ida de nous avoir emmenées sur ses sentiers bien escarpés et de toute beauté de ton coin de pays.
A une prochaine pour de nouvelles aventures.
Patricia, Sanae, Elsebet, Malgorzata, Berta, Sylvia, Anne-Laurence, Maud, Christiane, Jacqueline, Barbara.








Lu 1 août 2022
Alpinisme - L'Évêque : Voie normale, 3717 m
Lundi 1 août - Jegihorn, Alpendurst
C’est en train et de bon matin (de très, très bon matin) que la plupart des participants et chefs de course à la sortie initialement prévue dans le district d’Hérens pour l’ascension de l’Evêque se sont rendus à Saas-Grund, point de rendez-vous de ces deux jours d’excursion.
Le groupe de participants, composé de Iris, Tania, David et Laurent était encadré par Abson et Carlos.
Après un bref passage à la Weissmieshütte, le petit groupe s’est dirigé au pied de l’Alpendurst, longue voie de 300m, 13 longueurs et cotation 4c. Il faut savoir que pour les trois participants à cette sortie d’escalade, Tania, David et Laurent la réalisation d’une longue voie était une première ! Et quel choix pour une première ! Longue voie magnifique dans un cadre grandiose.
Le groupe s’est donc élancé, non sans appréhension dans l’ascension de cette voie dont le but final est le sommet du Jegihorn. Les cordées étaient composées de Carlos, Tania et Laurent pour la première et d’Abson et David qui les talonnaient.
Les passages aux premiers relais étaient pour le moins… Confus… cordes emmêlées entre les deux cordées, longes empêchant la progression du premier de cordé, etc… Les grimpeurs et grimpeuses ont dues rivaliser d’ingéniosité et ont parfois brièvement débattus pour trouver la meilleure solution permettant de mettre l’ensemble de l’installation dans un ordre impeccable. Puis ces moments hésitants se sont améliorés au fil des relais et les cordés ont finalement atteints une organisation efficace leurs permettant d’atteindre une bonne vitesse de croisière.
Après 4 heures de progression sur un rocher magnifique, le sommet est enfin atteint et le baptême réalisé pour les 3 nouveaux participants heureux d’avoir accomplis cette escalade !
Après une bière bien méritée sur la terrasse de la cabane, les participants ont partagé un souper pour le moins suisse-allemand : des saucisses fourrées de fromages accompagnées de pâtes et haricots. Le personnel de la cabane, très sympa lâche même quelques desserts supplémentaires aux gourmants.
Après ce souper très sage, l’équipe se couche de bonne heure afin d’affronter dans la meilleure forme possible la journée du lendemain.
Laurent
Mardi 2 août - Lagginhorn. Arête WSW, voie normale.
Rien de tel pour motiver une équipe à l’initiation d’une arête que d’annoncer le déjeuner à 5h du matin ! Cela permet de voir déambuler sous les étoiles quelques lampes frontales plus matinales. D’admirer l’aube colorer d’un trait orange le massif des Mischabels. De sentir rapidement la chaleur monter sous l’effort, même dans la fraîcheur de l’ombre.
Vu le temps magnifique, le parcours ne présentait pas de difficulté particulière ce jour-là. La progression se fait en suivant des cairns ou un itinéraire de bouquetin, mais toujours dans les cailloux, beaucoup de cailloux, que des cailloux, jusqu’au sommet ! Malgré la fréquentation assez importante de cette arête, pas de chute de pierre conséquente. Plutôt rassurant de voir que les montagnards peuvent aussi avoir le pied danseur.
Malgré les 4010 mètres, il n’a pas été nécessaire d’utiliser les crampons et le piolet. Une pensée s’impose à la croix du sommet pour feu le glacier.
Encordés pour la première partie de la descente, nous avons rejoint la cabane Weissmies 6h30 plus tard, ravis de cette ascension guidée par deux personnes au dynamisme et à l’enthousiasme contagieux ! Merci à Abson et Carlos d’avoir imaginé une magnifique solution de remplacement à la course d’alpinisme prévue, finalement non praticable cette année.
Iris








Sa 30 juil. 2022
Gross Diamanstock 3162m








Ve 29 juil. 2022
Des Grisons au Tessin en passant par la Greina
La Greina, 3 jours de trek
Une joyeuse équipe de 6 Gazelles et 1 Gazou s’en vont découvrir une région fort fort lointaine entre les Grisons et le Tessin.
1er jour.
Avec une heure de retard dû à des problèmes de train, nous partons de Vrin en direction de la Cammona da Terri en passant par le col de Diesrut. Petite baignade ( pour les plus courageux-se) juste avant la cabane.
2eme jour.
De la Camona da Terri, nous nous dirigeons vers le Piano della Greina, un très joli plateau marécageux et unique par sa flore et son environnement qui nous laisse béats d'admiration. L’objectif du jour était le Piz Terri, mais un brouillard tenace nous a dissuadés d’atteindre son sommet à 3149 m.
Arrivée à la Capanna Motterascio, petite pause gâteaux et bières avant de repartir au petit lac voisin pour une baignade.
3eme jour.
De la Capanna Mottetrascio, nous sommes passés par Crap la Crussch, puis avons bifurqué quelques mètres avant le Passo della Greina pour aller voir une jolie arche de rochers et descente en suivant le Brenno della Greina. Pause baignade dans la rivière puis gâteaux et cafés à la Capanna Scaletta.
Descente finale pour Campo (Blenio) et dernière baignade avant de prendre le bus pour le retour.
Les Gazelles : Elsebet, Catherine, Florence, Anne, Patricia et notre Gazelle cheffe Christelle.
Le Gazou : Christian.








Lu 25 juil. 2022
Engstligenalp à Sunnbühl par le Chindbettipass
Lundi-X
Après 3 heures de voyage, nous arrivons enfin à Engstligenalp, notre point de départ. Le décor vaut le déplacement. La journée s’annonce magnifique sous un beau soleil. Nous traversons une plaine entourée de montagnes rocheuses avant d’entamer la montée au Chindbettipass. Le bon pas d’Adrien nous permet de monter tout en apprécient le paysage. Il est midi quand nous arrivons au col. Le vent s’est levé et les vestes qui sont restées au fond du sac pendant la canicule sont les bienvenues. Après le pic-nic nous longeons une paroi en direction de l’Engstligengrat et du Schwarzgrätli, le paysage a complètement changé, on se croirait dans un pays aride, la vue est magnifique. Depuis la crête nous apercevons la Gemmi et le Daubensee. Descente au Schwarenbach, petit arrêt boisson, mais pas de café, le temps presse si nous voulons respecter le timing. Il reste environ 1 heure pour arriver à Sunnbühl. La météo a changé, et les quelques gouttes qui tombent nous obligent à accélérer le pas, ce qui nous permet de profiter de la terrasse avant l’arrivée du bus.
Ah, j’oubliais de mentionner les belles chaussettes avec des diamants de Sanae. J’espère que quelqu’un les a prises en photos !!!!
Merci à Adrien et André pour cette magnifique randonnée.
Barbara








Di 24 juil. 2022
Visite à la Cabane des Audannes
Dimanche 24 juillet 2022, tour du Grand Chavalard
Rendez-vous est pris à 9h à Ovronnaz en ce dimanche caniculaire à la station inférieure du télésiège nous permettant de nous rendre à Jorasse.
Quatre participants : Christian, Anne-Lise, Patrick et votre serviteur accompagnent la cheffe de course, Christelle.
Nous mettons environs une heure et demi pour nous rendre au col de Fenestral. Suite à cela nous faisons une pause bien méritée à la cabane éponyme où, pour certains la tarte aux pommes, pour d’autres le crumble, permettent de reprendre des forces pour la suite de la randonnée.
De la cabane nous pouvons admirer le Mont-Blanc sous un angle assez inhabituel.
Nous reprenons notre chemin par une descente sur un chemin agréable jusqu’à Sorniot. A partir de Sorniot, nous montons afin de rejoindre un chemin à flanc de coteau depuis lequel nous pouvons admirer le Grand Combin mais également la vallée du Rhône. La vue, il faut bien le dire, est époustouflante.
Nous nous arrêtons un instant sur un banc installé au bord du chemin, qui nous permet d’admirer derechef le Grand-Combin ainsi que le Bishorn et le Weisshorn. Christelle me rend attentif au fait qu’il ne faut pas que je perde ma fourchette (réminiscence d’une course d’arête dans le Jura)
Nous poursuivons notre chemin jusqu’à l’Erié et la cabanne de la Lui d’Août où nous pouvons nous désaltérer (nous recommandons le thé froid maison).
Finalement, nous continuons notre chemin qui doit nous permettre d’atteindre la station supérieure du télésiège pour redescendre sur Ovronnaz. Le soussigné, qui pensait prendre la voie rapide ou voie des airs pour redescendre, utilisera finalement aussi le télésiège.
Nous nous quittons l’esprit plein de belles images d’une journée des plus agréables passée entre clubistes.Encore un grand merci à la cheffe de course de nous faire partager ces merveilleux moments et de nous avoir consacré un peu de son temps pour le réaliser.
Michael Ledermann








Ve 15 juil. 2022
Visite à la Cabane du Mont Rose








Je 14 juil. 2022
Breccaschlund
Nous ignorons les activités balnéaires offertes par les installations lacutres du Schwarsee. Ce ne sera donc pas baignades, paddles et canoe mais une belle montée de 800m pour rejoindre la ferme alpage de Untere Euschels et le Ripettli point d’entrée dans la vallée du Breccaschlund. Le Breccaschlund (“gueule de la Brecca”) a été faconné par les glaciers il y a des millénaires et laisse un paysage de falaises calcaires dominant un vaste décor de prairies d’alpage richement fleuries. nous rejoignons notre pont de départ en longeant l’alpage des Cerniets une pause incontournale pour les randonneurs à skis qui se dirigent vers le col des chamois. Un accueil chaleureux nous est réservé à l’auberge de Hubel Rippa avec vue plongeante sur le lac Noir. Une belle journée de canicule allégée par l’ombre rafraichissante de la forêt dense qui descend jusqu’aux rivages du lac.








Je 14 juil. 2022
Iffigenalp - col du Rawyl








Lu 11 juil. 2022
Cabane Gspaltenhorn en boucle depuis Griesalp
Parcours env. 17km – +/-1380m en env. 8h20 y.c. pauses
Un petit récit de course suivra sous peu
Série de photos : Jürg








Je 7 juil. 2022
Meiringen-Engelhornhütte-Grande Scheidegg-Grindelw
Départ en train aux aurores pour Meiringen, la petite ville de l’Oberland bernois qui se revendique à l’origine des douces meringues. De là, nous sautons dans un car postal jusqu’à Reichenbach, puis dans un pittoresque petit funiculaire en bois qui nous conduit directement à la fameuse chute de 120 m. de haut choisie par Conan Doyle pour mettre en scène la mort de Scherlock Holmes. Nous remontons le canyon de la rivière en haut duquel une terrasse offrant un joli promontoire au dessus de Meiringen nous fait de l’œil pour une 1ère halte afin de booster nos énergies avant de cheminer en direction de Rosenlaui…où nous cédons à nouveau à une irrésistible terasse: celle de l’hôtel historique du Rosenlaui. Cet établissement, qui accueille des clients depuis 1771, mais dont la reconstruction après un incendie remonte à 1862 pour une partie et 1905 pour son agrandissement, est resté dans son jus depuis lors et cultive un charme fou. Son écrin, sauvagement romantique, n’est pas le moindre de ses atouts.
Juste au-dessus se trouvent les gorges du Rosenlaui où l’eau sculpte depuis des millénaires une sorte d’œuvre d’art fantastique ponctuée de cascades et tourbillons. À leur sortie, nous amorçons la grande montée par un petit sentier escarpé vers la cabane de Engelhornhutte. La météo un peu grisouille ne nous laisse entrevoir le glacier en retrait de Rosenlaui que par bribes, mais le paysage est néanmoins superbe. Peu avant la cabane, de grands rochers plats nous évoque un lapiaz. L’ensemble des Engelhorne qui surplombe la cabane est spectaculaire et offre un terrain de jeux prisé aux alpinistes que ns croisons ds la cabane.
Après une soirée agrémentée d’un apéro sur la terasse, puis d’un savoureux repas dans la chaleureuse petite salle à manger et une nuit calme, nous repartons le lendemain par l’autre sentier passant par la salle de bains panoramique, judicieusement placée à une petite centaine de mètres de la cabane! Ce sentier impécablement entretenu est bordé de toutes les nuances de fleurs et les derniers nuages s’évanouissent pour nous révéler dans son intégralité un paysage somptueux, tout en nous offrant une météo idyllique.
Arrivées à Schattenhalb, nous traversons au point 1302 le Rychenbach et longeons un ensemble de beaux greniers pour nous diriger vers Schwarzwaldalp aux sons du chant des oiseaux et de celui du klaxon des cars postaux qui relient Meiringen à Grindelwald. De là nous attend une dernière montée vers la Grosse Scheidegg en admirant le magnifique coup d’oeil sur le Wetterhorn. Depuis une Grosse Scheidegg très animée par une faune de toutes sortes - vaches, chèvres, chiens, randonneurs, cyclistes et touristes de toutes nationalités- nous descendons sur la volière de l’Alpenvogelpark qui recueille et soigne les oiseaux blessés. Le retour se fait ensuite en car jusqu’à Grindelwald où nous prenons le train pour Neuchâtel avec une myriade de saisissants souvenirs en tête.
Un grand merci chaleureux à Odile, notre cheffe de course, et à son acolyte Doris, pour cette rando tellement superlative en paysages et curiosités de toutes sortes que les touristes anglais, si nombreux dans la région, n'hésiteraient pas à qualifier de royale ;))
Catherine








Sa 2 juil. 2022
Cours d´initiation à la via ferrata
Le récit suivra…








Ve 1 juil. 2022
Looherehürli et Pfaffli








Ma 28 juin. 2022
Champery - Barme - La Berthe
Mardi 28 juin
Champéry-Barme-La Berthe
Départ avancé d’une heure, car la météo est annoncée pluvieuse dès 15h00. On part donc à 9h36 de Champéry direction Roc Coupé en passant par la très belle cascade de la Saufla (souffle).
Puis Rossétan et la passerelle Belle Étoile pour arriver à Bonavau où nous avions tellement envie d’un café. Le berger nous a annoncé un orage à partir de 15h00 qui n’est pas venu, du coup, nous sommes allées au Signal de Bonavau pour redescendre Sous la Dent du même nom en direction de Barme où la Cantine des Dents Blanches nous accueille pour la nuit et un délicieux risotto.
Le long du chemin, une flore très variée identifiée par Maud nous émerveille.
Mercredi 29 juin
Plateau de Barme- Champéry
Départ du plateau de Barme pour une jolie montée dans la forêt et arrivée sur l’arrête de Berroi. Nathalie nous a lu avec un don de conteuse les différents panneaux du chemin des contrebandiers, de vrais filous, jusqu’à la Berthe. Tout le long du chemin, nous avons admiré une multitude de fleurs multicolores. Puis descente jusqu’à la douane du col du Cou pour revenir à la Barme et poursuivre sur Champéry avec une pause baignade de pieds le long du parcours. Tout cela avec des conditions météo idéales.
Merci à Patricia et Barbara pour leur organisation méticuleuse.








Ma 28 juin. 2022
Moiry : de L'Europe à l'Afrique
9 clubistes ont été séduits par la belle et surprenante proposition d'Armand et de JiCé de partir en balade entre l'Europe et l'Afrique... à pied !
Le lieu de départ de notre randonnée n'était pas Gibraltar, mais le barrage de Moiry, au fond du Val d'Anniviers, où, en ce matin du 28 juin, le temps est à la pluie. Rapidement nous quittons l'Europe pour remonter le temps de plusieurs centaines de millions d'années, bien avant que nos chères Alpes ne se forment, et cheminer... au fond d'un ancien océan, au milieu de roches métamorphiques telles que les calcschistes, ou magmatiques comme le basalte. Dans la montée à la cabane de Moiry, l'orage reprend de plus belle, mais heureusement le refuge n'est plus très loin, et c'est sans même nous en apercevoir que nous foulons les gneiss granitiques de l'ancien continent africain. L'après-midi, penchés sur les cartes géologiques, nous découvrons d'une manière plus scientifique la fabuleuse histoire géologique de la région, où l'ancienne plaque européenne a été recouverte par l'ancienne plaque africaine. La vue depuis la cabane nous donne aussi l'occasion d'observer des phénomènes géologiques plus récents, comme les moraines ou la fonte et le retrait du glacier de Moiry, qui peuvent eux s'observer à l'échelle de temps humaine...
Le lendemain, le soleil brille et nous avons le loisir de ponctuer notre retour en Europe de nombreux arrêts pour observer le terrain et écouter les explications de JiCé. La jolie serpentinite a été particulièrement admirée, à tel point que plusieurs en ont rapporté un échantillon dans leur sac à dos. Après une nouvelle traversée de l'Océan Thétys, l'arrivée en Europe nous donne l'occasion d'observer des roches continentales étonnantes telles que brèche ou cornieule. Mais nos gosiers ont soif, et nous décidons finalement de revenir en 2022 pour déguster une bonne bière sur la terrasse du restaurant du barrage de Moiry.
Un grand merci à Armand et à JiCé pour l'initiative et l'organisation de cette randonnée et à tou-te-s les participant-e-s pour votre agréable compagnie lors de ce magnifique voyage dans l'espace et dans le temps.
Christelle








Lu 27 juin. 2022
La Berra depuis La Valsainte
Tracé en accéléré en raison menaces météos sans arret jusqu’au pic nic dans nature puis Joux d’Allière restauration minimale.Magnifique vue à La Berra et visite chapelle Valsainte après présentation histoire des Chartreux .
WB




Sa 25 juin. 2022
Galengrat Verschneidung, 3586 m
La pluie et la neige annoncées par MétéoSuisse le vendredi soir en dessus de 3200m dans la région de la Furka nous font revoir notre copie avant même d’être partis. Nous devions faire le Galenstock (3586 m) par la Galengrat-Verschneidung dans la journée de samedi, c’est finalement vers un objectif moins ambitieux que nous nous tournons pour ce premier jour dans cette magnifique région des Alpes Uranaises.
Samedi 25 juillet : Chli Bielenhorn – Schildkrötengrat
C’est vers les sept heures que nous nous retrouvons donc Lucie, Manu, Jonas et moi à Neuchâtel pour le départ. Le temps du trajet, nous arrivons au col de la Furka un peu après neuf heures et demie. Le sol est presque sec et aucune trace de la neige annoncée la veille à l’horizon. Après quelques débats sur la longueur de corde à prendre, nous partons donc en direction du Chli Bielenhorn corde de 50m dans le sac. Nous arrivons au pied de la Schildkrötengrat une heure et demie d’approche plus tard. Lucie et Jonas partent devant, nous les suivons Manu et moi. Nos deux cordées avancent rapidement et c’est environ deux heures plus tard que nous arrivons au sommet de l’arrête. Le temps de manger notre pique-nique, nous redescendons en faisant le détour par la Sidelenhütte. Sur le chemin nous saluons un autre groupe du CAS Neuchâtel, dans la région pour le cours de grimpe alpine. Retour à la voiture puis direction la Jugendherberge de Hospental où nous passerons la nuit.
Dimanche 26 juillet : Gross Furkahorn - Arête ESE
Les prévisions météorologies étant à la pluie en fin de journée, nous ne tenterons pas le Galenstock le dimanche. Nous nous levons tout de même aux alentours des cinq heures pour profiter au mieux de la journée. Après une rapide approche au travers de névés, nous attaquons l’arête sur le coup des huit heures trente. Nous grimpons toute la matinée en deux cordées et tirons chacun à notre tour des longueurs pour finalement arriver au sommet aux alentours de treize heures. Quelques gouttes nous font peur sur le coup des midis mais c’est finalement sans encombre que nous redescendons au pied de la voie et que nous rejoignons notre point de départ.
Merci à Lucie et à Manu pour cette superbe sortie !
Sylvain








Sa 25 juin. 2022
Trailrunning dans la Vallée de Chamonix
Ein Schönwetterfenster am Wochenende 25-26 Juni 2022 konnte perfekt ausgenutzt werden.
Eine motivierte Truppe von 5 Trailern und einer flotten Dame erreichte Samstag morgen Les Marecottes. Gleich ging es steil bergauf zum Stausee Lac d Emosson. Nach einer Pause auf der Sonnenterrasse ging es auf geschmeidigen Trails weiter nach Le Buet hinab. Dann folgte der Schlussanstieg zum Refuge de la Pierre a Berard 1924m. Die ausgebuchte Hütte war auch Ziel vieler Steinböcke in unmittelbarer Umgebung.
Am Sonntag morgen liefen wir talauswärts und erreichten die Strecke des Mont Blanc Marathons. Mit einer Stunde Vorsprung vor den schnellsten Marathonläufern liefen wie von Le Buet Richtung La Flegere. Auf halber Strecke wurden wir von den Eliteläufern eingeholt. Unter Aplaus und Anfeuerung liefen wir gemütlich bis nach Chamonix.
Tossende Stimmung auf der Strecke und vor allem im Zielbereich von Chamonix machten dieses CAS Wochenende zu einem sehr sportlichen Wochenende (Tag 1: 25km, 2300hm; Tag 2: 24km, 1500hm)








Je 23 juin. 2022
Les pyramides de Gypse du col de la Croix
Très jolie sortie avec une chouette équipe de Dames emmenées ‘tambour battant’ par Nathalie.
Départ Les Diablerets; arrivées avec le train de 9h30, nous partons le long d’une jolie rivière en direction du Col de La Croix. Notre montée est quand même assez raide dans la forêt. Elle est ponctuée d’arrêts photos car les salamandres noires sont de sortie ainsi que de gros escargots.
Nous arrivons au Col de La Croix à 1778 m.
Un petit chemin nous emmène à la découverte des Pyramides de gypse, c’est vraiment très particulier cette roche blanche.
Nous repartons pour une pause pique-nique à un joli col pour basculer en direction du Lac des Chavonnes. Descente dans un terrain un peu humide où les orchis sont magnifiques.
Puis le Col de Bretaye, direction les Bouquetins puis Villars-sur-Ollon par un petit chemin bucolique agrémenté d’une très belle exposition photos.
La flore est exceptionnelle en ce moment; orchis, rhododendrons, anémones, raiponces, centaurées, etc…
On arrive à Villars-sur-Ollon, une petite glace et hop dans le bus pour le retour et …l’orage arrive.
Top journée, merci à notre GO Nathalie.
Patricia
Les participantes : Bárbara, Josiane, Christiane, Elsebeth, Malgo








Lu 20 juin. 2022
Les quatre trésors de Crémines
Arrivés à la gare du Zoo de Crémines nous commençons par longer le Zoo où nous pouvons apercevoir quelques animaux, avant de partir à la découverte du Canyon des glaces (1er trésor !) où par la canicule nous apprécions sa fraîcheur.
Nous poursuivons ensuite en direction d'un If millénaire (2ème trésor !) de plus de 1500 ans et d’environ 4,5m de diamètre, appelé aussi la Vieille Dame de Crémines.
Nous continuons en direction du Bärenloch (la grotte des ours, 3ème trésor !) où nous avons une merveilleuse vue sur la vallée dans un somptueux cadre rocheux.
Nous finirons par le Wolfenschlucht (La gorge des loups, 4ème trésor !) où a été tué le dernier loup il y a environ 100 ans, mais il peut toujours refaire son apparition !
A la sortie des gorges nous rejoignons la route où un arrêt de bus nous attend pour nous reconduire en direction de la maison avec de beaux souvenirs et belles découvertes.
Philippe Jacot








Di 19 juin. 2022
Gorges de Covatannaz et Aiguilles de Baulmes


Sa 18 juin. 2022
Initiation VTT parents/enfants
Super cours en très petit comité…. Celui-ci c’est déroulé sous un magnifique soleil !



Ve 17 juin. 2022
Grassen 2'946m Face Sud en boucle
Suprime manque de participants. La course etais presque 3 semaine avant d’avoir lieu en ligne – pas d’instription 5 jours avant le départ prevue – donc supprime.
Suprime manque de participants. La course etais ...
Me 15 juin. 2022
Le Salève en boucle
A la découverte du Salève
1er jour : mercredi 15 juin :
A force de le voir de loin et de le survoler en arrivant à Cointrin, ça faisait longtemps que
nous avions envie de le gravir : le Salève.
Mary-Jeanne a fait fonctionner son réseau et c’est Marianne du CAS Genève qui sera
notre guide.
Contrairement à ce que nous pensions, le Salève est entièrement français, les Calvinistes
genevois ayant refusé d’annexer, quand ça s’est présenté, un territoire catholique et
pauvre !
Nous apprenons aussi que le Salève n’est pas une petite montagne mais s’étend SW-NE
sur plus de 20km et qu’il y a un petit et un grand Salève.
Au départ de Veyrier, nous observons l’immense balafre de la carrière de 70ha. Certains
ont proposé de peindre les rochers pour les vieillir d’une patine ! Nous attaquons la
montée dans la forêt par le Pas de l’Echelle : 12 épingles et plusieurs rampes d’escaliers
plus tard nous faisons un crochet par le chemin des voûtes, une des nombreuses barres
horizontales de calcaire qui offre de jolies voies d’escalade et un premier point de vue
sur Genève.
Après le pique-nique, nous poursuivons la montée en direction du Petit Salève, nous
faisons halte au point de vue du camp des Allobroges avant de redescendre à Monnetier.
Qui pouvait deviner qu’un charmant village se lovait dans cette combe ?
Le soleil cogne, les gourdes sont déjà vides, heureusement qu’un charmant habitant
nous propose de les remplir. Il faut savoir qu’il n’y a pas d’eau en surface dans le Mont
Salève, ce qui l’a assurément protégé d’un développement touristique plus étendu.
Nous n’étions pas au bout de nos peines et de la transpiration, nous poursuivons la
montée sur l’ancienne voie désaffectée du chemin du funiculaire qui a été très vite
supplanté par le téléphérique. Il en reste quelques gares en triste état , un tunnel et des
éléments métalliques ancrés dans le sol, certainement des vestiges de la crémaillère. La
pente, par endroits, dépasse les 10%.
C’est avec soulagement que nous atteignons à Pré Berger le chalet du CAS Genève.
L’apéro préparé par Marianne et le cake de Mary-Jeanne, suivis par le repas que nous
partageons en terrasse sont très appréciés.
Nuit calme et réparatrice malgré une petite lumière verte qui veillait sur nous !
2ème jour : le jeudi 16 juin :
Après un copieux petit déjeuner au soleil, nous reprenons la route en direction de la
Grange Gaby, la Croisette, le Trou de la Tine et les falaises de la Corraterie, les personnes
sensibles au vertige s’abstiennent, mais c’est un magnifique balcon sur le Léman et le
Genevois. Nous nous engageons ensuite dans la grotte d’Orjobet, entretenue par le CAS
Genève et débouchons sur un promontoire idéal pour le pique-nique où nous
découvrons de magnifiques lis martagon.
Depuis là une longue descente bien raide, que nous avons appréciée sèche, nous conduit
en plaine.
La chaleur s’intensifie et à la frontière de Croix de Rozon, il fait 32 ° .
C’est avec un réél plaisir que nous avons découvert certaines particularités de cette
montagne mythique des Genevois . Parties du N-E, nous sommes redescendues à l’W,
profitant tantôt d’un panorama sur les Alpes, même si le Mont-Blanc est resté bien voilé,
tantôt sur le Jura, Genève et son jet d’eau.
Un tout grand merci aux deux organisatrices.
Geneviève et Marielle








Lu 13 juin. 2022
Dans le Jura sur les traces d'Auguste Quiquerez
Dès la descente du train en gare de Delémont, tout randonneur, pourra faire une belle expérience en suivant le sentier verdoyant d’Auguste Quiquerez, un homme aux multiples facettes et talents. Petit à petit, tout en cheminant le long du parcours, vous découvrirez la vie de cet homme illustre du pays, ses découvertes, ses valeurs humaines jusque dans ses engagements politiques.
C’est par le prisme d’un enfant de la région, Heinz, notre guide et membre actif de notre club alpin, que nous avons été enchantés par la randonnée sur ce sentier didactique baptisé Auguste Quiquerez à quelques jours de l’été, en ce beau matin du lundi de juin.
Dans la fraîcheur de la réserve naturelle du Colliard, bordée par la Birse dans laquelle se jette la Sorne, nous avons été séduits par une biodiversité du lieu et transportés par une atmosphère de calme et de paix.
Tout en nous partageant souvenirs et anecdotes de son enfance, notre chef-guide, nous a emmené jusqu’au château de Soyhières construit en XIe siècle sur une falaise dominant la Birse. Ce château incendié, délaissé jusqu’à la ruine, fut sauvé par la famille Quiquerez, puis passé de mains en mains jusqu’à cette Société des Amis du Château de Soyhières (SACS) dont les membres férus assurent le maintien et nous ont captivés par des récits épiques lors d’une visite guidée mémorable.
L’éloge par les mots n’aurait pas d’égal au plaisir ressenti par l’amabilité de notre guide Pierre et sa femme Ruth. Leur accueil si chaleureux est déjà un souvenir précieux colorant particulièrement cette sortie-rando. En effet, après la visite du château nous avons pu goûter le traditionnel gâteau le Totché jurassien cuisiné à notre intention par Ruth. Puis, avant de reprendre de la hauteur à travers les pâturages, nous avons pris, le café, offert également, près de la tombe d’Auguste, où ses os rangés dans une boîte à biscuits, furent enterrés. Nous nous sommes arrêtés un moment à la Chapelle du Vorbourg, haut lieu de pèlerinage pour ses «miracles». Arrivés au point de vue du Béridier (beau regard en patois jurassien), nous avons bénéficié, à notre plus grande joie quelques tirades, de ce parler local haut en couleur, déclamées face à un panorama en 180°
Sophie Magnin








Sa 11 juin. 2022
Escalade aux Cornettes de Bise








Sa 11 juin. 2022
Fin de semaine grimpe facile








Ve 10 juin. 2022
Longue voie: Le Catogne: Éperon du Dard








Je 9 juin. 2022
Moléson-sur-Gruyères- Moléson-sur-Gruyères en bouc
Course de remplacement de Bienne à Busswill par le Tulipier d’Orpund, situé dans le jardin de l’ancien cloître. Randonnée de 19km sans dénivelé compte tenu des conditions météo peu engageantes en Gruyère et qui s’est naturellement orientée vers les fleurs.
(les images sont antéchronologiques)








Lu 6 juin. 2022
ALFA - Grimpe & Grillades




Sa 4 juin. 2022
Tossen (ou Dossen) (3138m) par le Tossengrat
Changement de course dû à une mauvaise météo dans les alpes.
Nous nous sommes rabattu sur les Sommêtres. Nous avons terminé la sortie en beauté, avec une fondue à la cabane des Sommêtres.




Je 2 juin. 2022
Dans la vallée de l'Hongrin
Les photos de Mary-Jeanne et Malgot, merci !








Lu 30 mai 2022
Crète II - du bleu de la mer aux montagnes blanche
La Crète au mois de juin 2022 pour 10 heureux clubistes
30 mai, voyage: Nous sommes 10 clubistes réunis à la gare de Neuchâtel. Le train part dans 3 minutes, mais une participante manque … ouf, la voilà qui arrive en courant ! Après un vol Edelweiss parfait, nous débarquons à Chania. Accueil chaleureux de nos guides et amis Marianne et André. Un minibus nous conduit à l’hôtel Lucia au centre de la ville. Premier repas crétois au restaurant, mais le gérant a oublié de réserver le menu ! Qu’à cela ne tienne, il y a toujours une solution ! Nos papilles ont été satisfaites.
31 mai, visite et transfert: Le matin, visite du port Vénitien avec ses digues de protection et ses cafés typiques de la région ou nous consommons notre 1er café grec bien corsé suivi d'un indispensable verre d'eau. Sur le quai du port, nous visitons une église avec comme particularités des maillots et des coupes de l'équipe de football locale. Après un dîner léger, typique grec, un transfert en bus jusqu'à Anopoli en 2 heures, situé sur la côte Sud de la Crête, parmi les collines et de beaux paysages. Avant le souper, une visite de la chapelle Agia Akaterina avec un beau paysage sur la mer de Libye. Un excellent souper Crétois nous est servi avec nuit dans notre sympathique auberge familiale.
André et Adrien
1e juin, 1ère rando: Après un délicieux et copieux petit déjeuner à Anopoli, départ en direction de La Chapelle Agia Ekaterini. Celle-ci surplombe une falaise donnant sur la mer. De là, nous entamons une descente de 700 m de dénivelé au milieu des chèvres et des moutons pour arriver sur la plage de Lycos. Quel plaisir de se désaltérer avec une délicieuse limonade à l’ombre des arbres avant de profiter de la première baignade du séjour. Ensuite départ pour une petite grimpette dans la falaise surplombant la mer pour arriver à la plage de Marmara. De là nous entamons la montée des gorges asséchées d’Aradena aux hautes falaises ocres. Les lauriers roses contrastent avec la rudesse du paysage. Les vautours tournoient au-dessus de nos têtes à l’affût de nombreuses carcasses de chèvres. Le parcours se termine par une belle montée au soleil pour rejoindre notre point de départ. L’apéro, la douche et un souper gargantuesque concluent cette journée caniculaire.
2 juin, 2ème rando: Départ d’Anopoli pour Agios Ioannis sur des chemins caillouteux, traversant les ruines de l’ancien village. Trois quars d’heure après notre regard peut admirer au loin la mer. Nous effleurons le village de Livaniana. Une pause s’impose à l’ombre bienvenue d’arbres aux abords de deux chapelles avant d’entamer la descente pour retrouver les gorges d’Aradena. Ensuite nous gravissons la pente opposée au travers d’une forêt de pins. Arrivés au sommet nous suivons une piste puis un chemin qui nous amène à Agios Ioannis. Les maîtres du lieu nous reçoivent avec des boissons fraîches sous une pergola accueillante. Nous logeons dans de jolis bungalows construits entièrement par notre hôte. La vue nous permet déjà d’apercevoir le sommet à gravir le lendemain. À souper, les plats défilent tous meilleurs les uns que les autres.
Christine et Joseph
3 juin, 3ème rando: Après une agréable nuit dans les confortables bungalows de la taverne d’Agios Ioannis, nous nous retrouvons sous la pergola pour un copieux petit-déjeuner . Puis le groupe s’active pour retrouver la lampe frontale de Marie-Jeanne récupérée la veille, mais à nouveau introuvable (retrouvée à notre retour, le soir, dans un sac à main). Puis, après un trajet sur le pick-up de l’aubergiste qui nous amène à Krausia, alt. 1250m nous nous lançons à l’assaut du Zacharokephala alt. 2150m par des sentiers pierreux avec un balisage peu visible en altitude. Vue magnifique depuis le sommet. Retour par le même itinéraire. Longue journée avec vent soutenu par endroits. D. 11,7 km et +/- 900 m
4 juin, 4ème rando: Nous quittons Agios Ioannis après le petit déjeuner sur un sentier bien tracé entre les enclos de brebis pour arriver au bord de la falaise où nous admirons un paysage à couper le souffle. Puis descente par un fantastique sentier qui se tord entre les falaises et les pins maritimes. La sympathique plage invite à la baignage avant le pique-nique et la visite de la chapelle d’Agios Palvos. Au bord de la plage André retrouve, par un heureux hasard, la montre de Jürg perdue il y a plus d’une semaine. Après un arrêt café à la gargote de la plage nous rejoignons Agia Roumeli par un agréable sentier côtier. Hébergement à l’hôtel Pachnes. Journée facile avec baignade bienvenue. D 10,5 km D+ 150m et D- 900m
Willy et Etienne
5 juin, 5ème rando: Les Gorges de Samaria (situées dans un parc national). Nous partons de bon matin pour éviter le flot touristique d’une des curiosités les plus visitées de la Crête. Chaque année environ 250 000 personnes parcourent ces gorges pour la beauté brute de ces parois rocheuses et de la diversité de sa végétation. Nous cheminons dans la plus belle partie des gorges jusqu’au village abandonné de Samaria où nous pique-niquons sous de magnifiques muriers qui portent étonnamment des fruits rouges et des fruits blancs dont nous nous régalons. La descente est rendue moins idyllique par la présence de nombreux randonneurs que nous devons sans cesse contourner. Après des rafraîchissements bienvenus dans le joli village d’Agia Roumeli où nous séjournons pour deux nuits nous profitons d’une baignade dans le bleu azur de la mer.
Gabrielle
6 juin, 6ème rando: Après le délicieux petit déjeuner accompagné par le chant des tourterelles turques, nous quittons Agia Roumeli sur un bateau taxi. La mer est calme, le ciel bleu sans nuage accentue la couleur bleu turquoise de la mer de Libye. Après environ 20 minutes, nous débarquons sur une crique sans nom. En marchant sur le chemin rocheux à côté de la mer, nous trouvons des petites flaques de fleur de sel pour assaisonner nos tomates et concombres du pic-nic de midi, c’est délicieux ! Nous quittons la mer et montons des gorges de Tripiti. La température grimpe à 34 degrés sous le soleil ardent, de temps en temps une brise agréable de la mer nous sauve. Sur le chemin de la descente, un magnifique arbre de laurier nous accueille à côté de la source d’eau où nous partageons la précieuse eau de source avec des guêpes. La descente est agréable avec une magnifique vue de la mer de Libye. A l’arrivé à la plage de Sougia, des limonades fraîches, des bières et une baignade constituent de belles récompenses.
Sanae
7 juin, 7ème rando: Deux merveilleuses journées nous attendent. Moins de dénivelés, une vue sur la côte à couper le souffle et notre point de chute, Paléochora, loin tellement loin qu’on se demande si on y arrivera. Et bien oui. De chemins escarpés en pinèdes nous pouvons admirer les ruines de Lissos tout en profitant de notre dernier point d’eau. Une charmante petite chapelle nous émerveille. Le but à présent c’est le bain et le pique-nique, la mer s’est bien adoucie nous en profitons. A Paléochora nous mangeons notre premier poisson dans un charmant jardin.
8 juin, bateau et transfert: Le lendemain nous refaisons le parcours, de Paléochora à Chora Sfakion, par la mer non sans émotions. Puis notre chauffeur nous ramène à Chania.
Anne-Lise et Odile
9 juin, voyage: Dernier jour et retour en Helvétie. A Chania, au revoir à Marianne et André, et grand merci pour tout, puis déplacement en minibus jusqu’à l’aéroport. A l’enregistrement des bagages, nos billets d’avion (sur le billet figurent le train et l’avion) posent problème au personnel qui n’y comprend rien ! L'employé veut nous enregistrer pour Genève avec transit sur Zurich.
Après 2-3 téléphones , l'enregistrement peut se faire avec la bonne destination. Le vol se passe très bien en respectant les horaires. Arrivé à Zurich, changement de climat, couvert et pluie éparse. Température 20 degrés alors qu'à Chania nous avions environ 32 degrés. Nous retrouvons le climat bien de chez nous. Retour à Neuchâtel la tête pleine d’images du Bleu de la mer aux Montagnes blanches.
André et Adrien
A Marianne et André nous disons un grand MERCI pour tout.








Me 25 mai 2022
Mund à Auserberg par les bisses Gorperi et Undra
Nous sommes huit à prendre le train de 07h00 à Neuchâtel pour Brigue. Anna nous rejoindra à Berne. Le voyage en train se passe agréablement, nous discutons de choses et d’autres, de tout et de rien, et nous voilà déjà à Brig, d’où nous prenons le bus pour Mund, le départ de notre randonnée.
Il est 09h45 lorsque nous commençons à marcher ; Ida, devant, donne le rythme. Ca grimpe tout de suite et les arrêts pour admirer les anciennes maisons sont les bienvenus : tout est soigné, propre, les jardins bien fleuris. Mund est un village très pittoresque.
Le ciel est couvert, gris ; il ne fait pas trop chaud. Au sortir du village nous suivons un chemin bien tracé, caillouteux et malgré une certaine fraîcheur, nous enlevons une couche. Après le hameau de « Bobma », Ida nous propose une petite pause en lisière d’une forêt de pins, sapins et mélèzes. Les cimes des arbres sont hautes dans le ciel. Devant nous s’étend une prairie naturelle parsemée de lys des Alpes, d’orchis jaunes et quelques anémones soufrées. Comme par magie Ida sort de son sac un magnifique cake au caramel qui va régaler chacune d’entre nous. Voilà de délicieux « 10 heures » bienvenus.
Tout au long de cette marche, des moutons noirs et blancs aux cornes recourbées nous saluent. Nous traversons des petits hameaux aux chalets presque noirs ; nous jouons avec les grands jets d’arrosage qui vont nous rafraîchir au passage.
Au point culminant de notre route, nous entamons une descente sur Finnen, par un chemin dans la forêt ; tout y est calme, paisible, avec quelques gazouillis d’oiseaux. A notre étonnement trois lamas rigolos nous regardent passer depuis leur enclos. Tout en descendant nous avons la vue sur la vallée en face qui mène à Zermatt et à Saas Fee.
Enfin le soleil fait son apparition, et la marche devient plus agréable, sur un terrain plutôt plat, et bientôt nous suivons le bisse de « Gorperi » qui descend la pente est du Baldtschiedertal. Son eau est trouble, son débit rapide : le chemin semble facile mais il demande beaucoup d’attention car la pente boisée est très abrupte : il ne faudrait pas y faire un faux pas ! Il y a en particulier un passage vertigineux que nous franchissons avec beaucoup de concentration. Par endroits des tunnels creusés dans la roche facilitent notre cheminement.
Au fond du précipice coule une rivière nommée « Baltschiederbach ». Arrivées au bout de ce bisse vers 13h30 nous prenons notre pique-nique au bord de la rivière. Ensuite nous la traversons et redescendons la vallée de l’autre côté, sur la pente ouest, en suivant un autre bisse nommé « Undra », en direction d’Ausserberg. Nous profitons de la fraîcheur de la forêt et nous nous y arrêtons pour prendre un bain de pieds revigorant. Tout est calme et paisible : la forêt semble enchantée ! Bientôt au loin se dessine le village d’Ausserberg, des prairies naturelles aux fleurs variées annoncent la fin de la forêt. Dans leur enclos, des ânes nous regardent passer. Ils semblent s’ennuyer et rechercher de la compagnie !
A notre arrivée nous traversons le grand village d’Ausserberg pour gagner la gare. Nous attrapons de justesse le train BLS nous emmènera à Berne, via l’ancien tunnel du Lötschberg. La fin du voyage approche : il y a un changement à Berne où nous avons 3 minutes pour sauter dans le train de Neuchâtel, grâce à la détermination des participantes. Il est 18h00 lorsque nous arrivons à Neuchâtel. Les « au-revoir » sont chaleureux, toute l’équipe dans la joie d’avoir passé ensemble une très belle journée, et voilà encore un mot important pour la fin : un GRAND MERCI à Ida, notre cheffe de course, pour cette randonnée magnifique et originale, et son fameux cake au caramel pour nos « 10 heures ».
__Claire-Lise________________________________________________________________







