
Me 23 avr. 2025
Au fil de l'Areuse et l'usine électrique des Moyat
Jolie sortie dans un paysage printanier parmi les feuillages et mousses d’un vert tendre apaisant et les primevères, hépatiques, violettes et gesses colorées.
Nous commençons notre marche par une montée jusqu'à la Ferme Robert, puis décidons d’une petite rallonge jusqu’à la Fontaine Froide pour ensuite descendre à l’usine électrique des Moyats au-dessus de Champ-du-Moulin.
C’est là que débute notre tournée des lieux. Grâce à notre guide de l’entreprise Vitéos, nous découvrons les importants travaux réalisés à partir de 1884 soit pour utiliser l’eau de l’Areuse ou pour exploiter les différentes sources et nappes phréatiques de la région. Nous visitons l’usine électrique avec ses forces motrices, la source nacrée, l’aqueduc d’eau potable de la Chaux-de-Fonds et celle de Neuchâtel puis nous poursuivons vers le détailleur de Combe-Garot pour terminer la visite à la galerie de Pré-Dernier. Nous apprenons que les sources de la rive gauche de l’Areuse alimentent en eau la ville de La Chaux-de-Fonds et celles de la rive droite cela de la ville de Neuchâtel. Visite riche et intéressante!
Nous poursuivons notre route le long de cette rivière connue loin à la ronde pour arriver à Boudry.
Merci à tous les participants pour leur intérêt et relevons que la visite est gratuite, ce qui est rare de nos jours?








Ma 22 avr. 2025
Schartenflue (760 m) - Dornach
Le récit de ces deux belles journées en terres bâloise et soleuroise suivra...








Lu 21 avr. 2025
St-Ursanne et le Clos du Doubs







Ve 18 avr. 2025
La Berra (1719m) et ses crocus
La Berra étant couverte de neige, une course de remplacement a été proposée. Rendez-vous à Chambrelien pour une montée au château de Rochefort, puis aux Rochers de Tablettes. De là redescente en direction de La Tourne, puis sur Rochefort et Chambrelien. Météo s’améliorant d’heure en heure, belle vue sur la Berra enneigée au loin depuis le point de vue panoramique au-dessus de Rochefort. Belle rando, joyeuse ambiance et un verre pour terminer au bistrot Le Loco de la gare qui a aimablement ouvert pour nous !








Je 17 avr. 2025
De Rossens à Corbières

Je 17 avr. 2025
Montreux - Le Cubly
9 Jeudistes partent de la gare des Brenets sous la pluie en direction de la Douane par un chemin original.
De là, nous allons à la recherche des fritillaires aux abords du marais de Goudebas, puis nous longeons la rivière la Rançonnière.
Et voilà que ça monte vers la Caroline et la tour de Jürgensen (construit en 1870 et rénové en 1970) et son brumeux panorama.
Depuis Chatelard, nous entamons la montée vers l’Augémont et commençons sous un épais brouillard, un gymkhana pour trouver
La Saignotte, ferme des aïeux Isely. Il nous reste 10 minutes ( X4 ) afin d’accéder à la cabane des Recrettes, pour un repas bien mérité.
Le retour aux Brenets, se fait par la sauvage combe à l’ours et un arrêt à la boulangerie.
Parcours de 15,5km, maitrisé en 04h35, dénivelé +- 657m
Merci beaucoup à Jacques Isely pour les boissons offertes et les souvenirs de la Saignotte, ainsi qu’au super job de notre adjoint Philippe Fabbri.
Félicitations à toute l’équipe pour leur courage et pour leur compréhension à cette étonnante reconnaissance.








Sa 12 avr. 2025
De Bergun à Zernez Grisons:Piz Forun; Piz Kesch
Après un réveil très matinal et quelques heures de train, nous arrivons à Bergün, dans les Grisons, sous un soleil radieux. Notre randonnée débute par de la marche sur quelques km ainsi que sur un quad, qui nous a pris en stop, pour arriver jusqu'à la neige.
L'aventure ne fait que continuer car nous varions entre skis aux pieds ou marche sur des branches le long d'un ruisseau.
Arrivés à la Kesh hütte, à 2625m, nous ne voyons pas le temps passer entre les rires et le jeu "mayer".
Dimanche matin, quelle déception, le Piz Kesh, à 3418m, que nous voyions si bien hier, est camouflé dans le brouillard. Nous gravissons le "Piz Happy, à 2626m", pour redescendre sur Davos et malheureusement écourter notre sortie: la météo nous annonce de la neige pour les deux prochains jours.
Fort heureusement, l'aventure est faite de plans B, nous nous retrouvons donc le lendemain pour crapahuter sur l'arrête des Sommêtres. Que de rebondissements également mais nous terminons notre journée autour d'une délicieuse fondue, sur le même fond sonore qui a résonné tout le wkd, c'est-à-dire des rires et des rires.
Un grand merci à Gilles, "Jean-d'aventure" et la fine équipe pour cette sortie mémorable.
Aline et Nadine








Sa 12 avr. 2025
Pic Grandval, Pic Crémine et Pilier Est (Moutier)
Belle escalade au pic Grandval et, plus soutenue, au Pic Crémine. Beau temps! Bravo à Maximilien et Karla qui ont repris l’escalade en tête après une assez longue pause.






Ve 11 avr. 2025
Rosenhorn (3688m)
Deux jours en montagne : entre la joie du Mittler Tierberg et la sagesse face au brouillard
Notre projet initial de gravir le majestueux Rosenhorn ayant été contrarié par une météo incertaine, nous nous sommes rapidement tournés vers un plan B tout aussi séduisant : le Steingleitscher. L'approche à skis fut agréable, glissant sur une neige portant déjà quelques traces de passage, jusqu'à ce qu'une section plus abrupte se dresse devant nous. Là, les skis ont cédé leur place aux crampons, nos pas devenant plus lents mais plus assurés sur la pente raide. Une fois cette difficulté négociée avec prudence, le plaisir de rechausser les skis fut immédiat, nous lançant à l'assaut du Mittler Tierberg. Le ciel, d'abord hésitant, s'est finalement dégagé, baignant le paysage d'une lumière magnifique. La montée s'est déroulée dans une ambiance conviviale, chaque pas nous rapprochant de notre objectif. La récompense au sommet fut à la hauteur de nos efforts : un panorama grandiose s'offrait à nos yeux. La descente du Mittler Tierberg fut parsemée de quelques surprises dues au travail du vent sur la neige, nous demandant une légère adaptation de notre technique, mais nos chefs, connaisseurs du terrain, avaient su choisir les meilleures lignes pour un plaisir maximal. La journée s'est achevée dans la chaleureuse atmosphère de la Tierberglihütte, où un repas savoureux et des échanges animés ont scellé cette belle réussite.
Le lendemain, l'appel des cimes du Sustenhorn et du Gwächtenhorn était toujours présent, malgré un épais brouillard enveloppant la montagne dès notre réveil. Animés par l'espoir d'une éclaircie, nous avons quitté la cabane à pied avant de chausser les skis au pied du glacier. L'ascension a débuté dans une ambiance ouatée, la visibilité réduite ajoutant une dimension mystérieuse à notre progression. Cependant, nos espoirs se sont rapidement dissipés avec la persistance et même l'intensification du brouillard, rendant toute progression sur le glacier potentiellement dangereuse. La décision de faire demi-tour fut prise à regret, la sécurité primant sur notre désir d'atteindre les sommets. La descente sur le glacier nous a ramenés à la pente délicate franchie la veille, que la nuit et le changement de conditions avaient rendue encore plus exigeante. C'est avec une concentration accrue que nous avons négocié ce passage. Le retour vers notre point de départ s'est ensuite déroulé sans incident.
Ces deux jours en montagne ont été une véritable illustration de la nature versatile de cet environnement. Nous avons goûté à la satisfaction d'un plan B réussi et appris l'importance cruciale de la sagesse et de la prudence face aux caprices de la météo. Une expérience enrichissante, où l'aventure se niche parfois autant dans l'atteinte d'un sommet que dans la décision responsable de renoncer.








Ve 11 avr. 2025
Arête des Sommêtres
Les Sommêtres.
Partis pour faire le déplacement en transports publiques, en chemin pour la gare, on apprend que le train par lequel doit nous rejoindre Katia, est bloqué au milieu de nulle part, retard indéterminé. Une heure, un café et trois tours de quartier plus tard, il semble que le train reparte, mais en sens inverse ! On laisse Katia élaborer d’autres plans et on file chercher une voiture pour rejoindre Joëlle au Noirmont. Départ différé, mais enthousiasme intact vu la journée radieuse !
L’arête, vous la connaissez, on ne va pas s’attarder, si ce n’est pour dire que le rasoir est toujours aiguisé !
Une reprise facile pour réexercer les bonnes manœuvres sous l’œil bienveillant et patient de Carlos. En conclusion, toujours se rappeler que le nœud le plus important en montagne est le neurone !
Nous n’avons pas su la fin de l’histoire pour Katia, mais on lui souhaite d’avoir quand même pu profiter de sa journée. La nôtre s’est terminée en douceur, par une mélodie de guitare qui nous a accueillis au sommet de l’arête.
Merci à Joëlle et Carlos pour cette cordée en trio, qui pourrait devenir une classique du lieu !
Iris Stauffer








Ma 8 avr. 2025
Le chêne de Bosses, Châtillon
Belle journée pour découvrir le Chêne des Bosses et marcher jusqu’à Moutier sous un soleil magnifique.
Merci à tous les participants!





Lu 7 avr. 2025
Les éoliennes de St-Brais
Belle journée ensoleillée dans le Jura et au bord du Doubs.
Merci à toute l’équipe de votre présence.








Je 3 avr. 2025
De St-Luc à Zinal (Brunegghorn et Bishorn)
TurtBrunTracBisZin
Jour 1
De St-Luc à la Turtmannhütte
Une météo radieuse s’annonce pour cette course de 3 jours dont un fameux 4'000.
Départ de la troupe en train à 6h39 de Neuchâtel. Nous récupérons 2 participants à Yverdon-les-Bains et une 9ème co-équipière nous rejoint à Sierre. Nous sommes au complet et montons en car postal jusqu’à St-Luc. Arrivée vers 10h et premier petit portage à travers le joli village du Val d’Anniviers. Et hop, on emprunte les remontées mécaniques jusqu’en haut de Bella Tola ; sympa l’entrée en matière de ces trois journées !
A 3'000 m. d’altitude le ciel est bleu, le soleil brille et les pistes de ski sont immaculées mais ce n’est pas tout, aujourd’hui nous devons rejoindre la Turtmannhütte. Alors en route pour une longue descente jusqu’à 2'000 m. d’altitude puis nous peautons enfin et débutons notre première jolie montée. Une pause pic-nic s’impose et plus tard, au lieu-dit Frilistafil, alors que la cabane approche, nos chefs de course décident de profiter de ce temps printanier pour affiner nos connaissances en mouflage : mise en scène afin que chacun puisse tester ses apprentissages et les différents nœuds de huit, guide, double pêcheur et papillon. En effet, vendredi et samedi des traversées de glaciers se présentent et nous imposent de connaître ces spécificités. Quel bon récapitulatif !
Nous nous remettons en route pour aller déguster une bière fraiche et bien méritée à notre première cabane. C’est à 16h sur la terrasse de la Turtmannhütte à 2'519 mètres d’altitude que nous faisons santé. Repas à 18h30 et extinction des feux à 21h.
Tania
Jour 2 : Turtmannhütte – Brunegghorn – Cabane de Tracuit
Après une nuit requinquante, nous partons pour une longue journée qui nous mène à la cabane Tracuit, via le Brunegghorn. Pas le temps de s’échauffer ! Il faut chausser ses crampons et mettre les skis sur le sac afin d’affronter le couloir de Gässi qui nous permet de rejoindre le Brunegggletscher. Arrivés sur le plateau, un magnifique environnement glacier nous attend. Au sommet, un panorama à 360° s’offre à nous avec une vue époustouflante sur le Weisshorn. S’ensuit une descente cartonnée jusqu’au glacier de Tourtemagne. Avant d’entamer un dernier effort, une pause s’impose pour reprendre quelques forces. C’est sous une chaleur estivale que nous débutons notre dernière ascension de la journée avec vue imprenable sur les magnifiques séracs. L’arrivée à la cabane de Tracuit se fait sous un ciel sans nuage et la vue sur la couronne des 4000 est incroyable ! Cette magnifique journée brillamment emmenée par Monica (et Jérôme) se termine dans la bonne humeur et avec en guest star, le bien nommé Inoxtag qui ne manque pas de se joindre à nos chants afin de souhaiter un joyeux anniversaire à Jérôme !
Maryline
Jour 3 : Cabane de Tracuit – Bishorn – Zinal
Les émotions fortes commencèrent dès le petit déjeuner ! Pour certain.e.s , ce fut par un selfie avec Inoxtag et pour notre cher chef de course Jérôme, nouvellement baptisé Lord Iron, ce fut par des vœux amicaux pour son anniversaire !
Toute l’équipe se mit en route pour le Bishorn. D’abord avec les couteaux, puis sans, puis en cordées de 3 (pour l’exercice et aussi pour ne pas se faire surprendre par une crevasse désobéissante), pour finalement remettre les couteaux, afin de mieux tenir sur nos lattes, surtout en compagnie d’un vent formant de belles spirales de neige en-dessus de nous. La montée jusqu’à 4151m se fit en douceur, admirant les paysages à couper le souffle, contents d’être entouré.e.s par des chef.fe.s de course consciencieux.ses et pédagogues (on n’a pas manqué de râler devant des jeunes qui nous dépassaient tout en marchant sur notre corde). Les émotions fortes ont bien sûr été aussi au rendez-vous au sommet. Toute l’équipe s’est émerveillée du panorama de la couronne impériale !
Il ne restait plus qu’à descendre ! C’était plus vite et simple dit que fait. Notre descente de 2548m nous a gardé son lot de surprises, avec une douce neige tant qu’il y en avait, puis un labyrinthe-aventure dans les rhododendrons pour chercher la dernière neige. Celui-ci nous a amené vers un magnifique troupeau de (vieux) bouquetins et un pont digne de l’Himalaya. Les derniers kms de skating devinrent presque une partie de plaisir ! Un gentil chauffeur de car nous a déposé devant l’épicerie de Zinal. Nous avions juste le temps de faire des provisions gourmandes pour notre voyage du retour.
Un immense merci à Jérôme et Monica pour cette course inoubliable et leur soin dans leur accompagnement, sans oublier Jeanda grâce à qui une troisième cordée put vivre cette belle aventure !
Laurence








Je 3 avr. 2025
Düdingen Fribourg en longeant le lac Schiffenen
En partant du barrage de Schiffenen, nous longeons le lac jusqu’à l’ermitage de la Madeleine.
En passant par le pont de Grandfey sur la Sarine, nous reprenons le train à Fribourg Poya.








Di 30 mar. 2025
Arolla - Nacamuli - Chanrion - Les Dix - Arolla
*Arolla - Nacamuli - Chanrion - Les Dix – Arolla / 4 jours*
Départ d'Arolla le dimanche, on se retrouve à 8h30 pour le café au Tea-Room des Raccards à Evolène. Pour être sûr de ne pas l'oublier dans le frigo le matin (ce qui ne lui est évidemment jamais arrivé), Gilles décide d'y acheter son sandwich pour midi. Laurent et Jon en font de même. Nicolas et Jean-Marc ont quant à eux préféré blinder leur sac de sandwichs pour les 4 jours à venir, quitte à renoncer à la paire de chaussettes de rechange.
*Jour 1: Arolla -> Refuge de Nacamuli (IT)*
Montée du glacier d'Arolla en direction de Nacamuli, c'est parti! Arrivés au col Collon, le vent souffle fort, la neige est glacée. On renonce à monter la Vierge. C'est peut-être mieux ainsi. On descend alors directement sur le Rifugio Nacamuli. "Rustique" nous avait-on avertis. C'était bien dire, une vraie cabane de montagne comme on les aime ! Les toilettes : un cube en plein vent glacial, une grille et un trou. Les cloches sonnant au vent, il s'agissait simplement de bien viser. Tâche pas évidente pour chacun, il suffisait de le constater sans y mettre les pieds dedans.
L'accueil des deux gardiens italiens était très chaleureux. Délicieux souper en 4 plats cuisiné par Giorgio dans cette petite cabane: quel chef! À chaque plat, au rythme enjoué des "Ma, vous n'allé pas fairrre cé pétit rrreste !" de Marco, les panses étaient bien remplies pour passer une nuit bien fraîche. De plus, avec ce vent glacial et puissant, le défi était de taille : faire confiance aux sphincters ou oser durant la nuit braver les vents pour se rendre aux WC ?
*Jour 2: Nacamuli -> Chanrion*
Au matin, le réveil sonne à 5h30. Fausse alerte, c'est Nicolas qui avait oublié de désactiver son alarme habituelle. On se rendort. La veille, les discussions étaient vives: déjeuner à 8h ou à 7h30? Laurent nous sauve de ce dilemne en tranchant : déjeuner à 7h45!
La montée sur le col est rude, froide, vent fort, pente raide glacée. Dans les flocons qui volaient à l'horizontale, Laurent annonce y avoir "perdu des plumes". Cette montée aura mis Gilles un peu grinche pour toute la journée. La bouteille de rouge ouverte à l'apéro - même si les habitués y auraient préféré du blanc - aura eu raison de tous les maux, ramenant la bonne humeur dans tout le groupe. Et pour une bonne raison : l'anniversaire des 45 ans (environ...) de Laurent ! La salle remplie a entonné alors un "Joyeux anniversaire", lumières éteintes, bougie sur le brownie - qu'il partagera en 5 parts, avec son grand cœur légendaire. Laurent recevra même un bisou de la gardienne, sous le regard presque jaloux de nous quatre.
Achetez les fix Fritschi. Même si on les critique et qu'on ne jure que par ATK, achetez les fix Fritschi. Ça critique, ça critique, usant de noms fort peu élogieux, parce que les fix fermeraient mal, ou que ça se casserait tout le temps, alors qu'au final, il ne manquait simplement qu'un tour de vis pour que tout fonctionne parfaitement. Et le lendemain, quelle autre marque de fix fermait mal ? Et on a le toupet d'accuser un peu de glace innocente sous le soulier... Bref, on a bien rigolé.
*Jour 3: Chanrion -> Cabane des Dix*
Depuis Chanrion, montée sur le glacier du Giétro, coûteaux presque tout du long, par le col de Lire Rose d'abord. Pic Nic dans la cuvette sous un ciel bleu et un doux soleil. Puis, on attaque le col du Mont Rouge, au haut duquel il sera finalement nécessaire de faire 50m de portage. Arrivés sur le glacier, l'équipe est prête pour le Mont Blanc de Cheilon. Une arrivée massive de nuages denses va finalement remettre le projet en question. On décide d'y renoncer, par manque total de visibilité. Arrivés tôt à la cabane, on se désaltère d'une bonne bière, d'un thé, ou d'une Calanda pour les adeptes. Sieste pour certains, on se retrouve à 17h30 pour l'apéro: cette fois-ci avec un coup de blanc d'abord, juste ordre des choses ! L'équipe est bien formée, complice et enjouée, les discussions passionnées vont bon train.
*Jour 4: Cabane des Dix -> Arolla*
Au réveil, le temps est toujours venteux, neigeux et brouillardeux. À regret, on renonce définitivement à l'ascension du Mont Blanc de Cheilon, et on renonce même au retour par le col des Ignes. Retour direct par le Pas de Chèvres, sur lequel s'encolonnent en nombre les randonneuses et randonneurs qui ont toutes et tous opté pour le retour sur Arolla. Au sommet du Pas de Chèvres, ce n'était pas le moment de sortir le pic nic: les grésilles dans le vent tempétueux nous maltraitaient les joues. Arrivés en bas, la météo douce et clémente contrastait vivement avec le col qu'on venait de passer.
Pour conclure ce beau périple, on prend un café à la yourte.
Les joues rosies et les muscles des jambes rappelant les cols franchis, c'est avec de chaleureuses poignées de main que les membres du groupe se saluent.
Merci à Laurent d'avoir organisé cette magnifique sortie, nous emportant avec ton enthousiasme communicatif. Merci à Gilles pour ton accompagnement et le précieux partage de ta grande expérience. Et merci à chacun pour ces beaux moments partagés!
Récit : Jean-Marc Varidel








Sa 29 mar. 2025
Le Tarent 2548 m

Ve 28 mar. 2025
Haute Route Aletsch Nord-Sud de la foule au safran
Nesthorn
Réveil 3h pour nos aventuriers après une nuit assez chaude et imprégnée des poireaux de la soupe de la veille. Après le déjeuner et les derniers préparatifs, nous nous lançons dans la descente des échelles, équipés de nos crampons, et regagnons nos chères spatules qui nous ont attendus vaillamment toute la nuit. Nous attaquons alors la redescente a skis de l’Oberaletschgletscher pour rejoindre le pied du Beichgletscher, lampe frontale sur la tête et seuls au monde, les quelques loupiotes visibles au loin se dirigeant vers le roi du coin, l’Aletschhorn.
Nous commençons donc l’ascension du glacier, direction le Gredetschjoch et, surtout le Nesthorn. Le jour commence à poindre, et le glacier nous dévoile petit à petit ses impressionnants séracs. A un certain point la montée se fait plus raide et nous décidons de nous encorder. Quelques équipées se font voir derrière nous dont une qui nous rattrape, et Lucie notre cheffe de course, qui en a marre de (leur) faire la trace, se propose de les laisser passer pour qu’ils fassent leur part du boulot. Finalement sans un merci ils se dirigent vers le Breithorn tandis que nous poursuivons notre chemin vers notre col.
Nous sommes tout juste dans l’horaire, le soleil brille et les conditions sont topissimes, mais Olivier notre co-chef de course et Michel décident qu’ils n’iront pas plus loin. Après quelques tergiversations, les trois autres décident qu’ils ne peuvent pas ne pas tenter le sommet par de telles conditions, ce malgré l’heure qui tourne et la perspective de se faire maudire par le reste de l’équipe. Ils attaquent donc cette belle arête, bien aidés par de belles marches déjà présentes et une neige molle à souhait. Le sommet est atteint à 12h26 et nous nous assurons à la belle croix qui y trône fièrement pour observer le magnifique panorama de ce sommet central et idéalement situé. Sans perdre de temps (malgré l’arrêt photo toutes les 5 min de Lucie), nous redescendons en direction du col pour rejoindre nos deux compères dont on espère qu’ils ne nous insultent pas de tous les noms (« mais on leur offrira des glaces, et tout ira bien… »). Ces derniers ayant eu la bonne idée d’attaquer les rappels vers le Gredetschtal sans nous attendre, nous les y rejoignons non sans peine.
Une fois le pied sur le glacier, nous pouvons rechausser les skis pour entamer la looongue descente à travers ce vallon marqué par les coulées régulières venant des couloirs adjacents. Après une alternance de carton, de soupe, de neige potable et de grosse purée collante, nous atteignons le bas de la vallée, et nous traversons un looong tunnel à pied et skis sur l’épaule pour regagner les hauts de Mund. Croyant être au bout de nos peines, nous réalisons que le prochain bus passe dans 1/2h, et que l’arrêt n’est en fait pas tout à fait là.
Une course effrénée commence alors, chaussures de skis encore aux pieds pour certains, du plomb plein les pattes pour tout le monde, à travers les hameaux et jardins sous l’œil médusé des autochtones, nous regardant courir comme des dératés à travers les champs. Le bus sera bien envahi par nos skieurs acharnés, et même le train à Brig sera attrapé plus vite que prévu. Une fin à l’image de cette sortie, intense et pleine d’émotions.
Un grand merci à nos chefs de course pour ce beau moment de partage!








Ve 28 mar. 2025
Gauli
Trois jours au Col du Simplon : une aventure alpine inoubliable
Notre projet initial était de partir dans la région du Gauli, dans les Alpes bernoises, mais la météo capricieuse nous a contraints à changer de destination. Après quelques discussions et l’analyse des conditions, nous avons décidé de nous orienter vers le Col du Simplon, un ancien chemin muletier aménagé au milieu du XVIIe siècle par Gaspard Stockalper, détenteur du monopole du sel, et devenu par la suite un passage historique ouvert par Napoléon Bonaparte au début du XIXe siècle dans le but de faciliter le transport militaire entre la France et l’Italie.
Jour 1 : Le Bortelhorn, une première ascension sous un ciel radieux
Le vendredi, nous avons mis le cap sur le Bortelhorn, également appelé Punta del Rebbio (3 193 m). En chemin, nous avons fait une halte à la Bortelhütte, où nous avons laissé notre matériel d’arête, étant donné l’heure avancée de la journée. Nous avons poursuivi notre ascension jusqu’au col sous un ciel d’une clarté parfaite, offrant un panorama exceptionnel sur les sommets environnants.
Bortelhütte: Cabane d'hiver, toujours ouverte (non gardée). Elle n'a que 4 places donc il vaut mieux se renseigner avant.
La descente a été un pur plaisir, avec une neige de printemps idéale, souple et agréable à skier. Après cette belle journée, nous avons rejoint l’hôtel Simplon-Blick, où nous avons été chaleureusement accueillis. La nourriture y était excellente, de quoi nous requinquer pour la suite de notre aventure.
Jour 2 : Un itinéraire modifié et une descente mémorable
Le samedi matin, la météo s’annonçait plus incertaine, avec un ciel couvert et quelques centimètres de neige fraîche tombés durant la nuit. Nous avions initialement prévu d’aller au Galehorn, et en montant, nous avons constaté que nous n’étions pas les seuls à avoir eu cette idée : une foule de randonneurs avait choisi le même itinéraire, sans doute en raison des conditions.
Avec une visibilité réduite, nous avons finalement décidé de changer de cap et de nous diriger vers le col du Böshorn. Après une descente agréable, nous avons remarqué que nous avions encore un peu d’énergie et avons entrepris l’ascension du Magehorn. De là, nous avons profité d’une superbe descente sur un itinéraire de raquettes, serpentant à travers la forêt jusqu’à Gampisch, près du Alte Spittel.
Ce bâtiment, construit en granit, servait de refuge pour les hôtes et les voyageurs de commerce. A l'époque, un sentier muletier passait par le col du Simplon, dont certains tronçons sont encore praticables aujourd'hui. Ce sentier est aujourd'hui connu sous le nom de Stockalperweg. Il devait servir d'abri aux hommes, aux marchandises et aux animaux de mule. Les tissus et les épices étaient transportés dans un sens, la laine et la viande séchée, entre autres, dans l'autre.
La remontée vers l’hôtel, avec l’idée d’une bonne bière en récompense, nous a permis de clôturer cette journée sur une note gourmande et conviviale.
Jour 3 : Une ascension incertaine, mais une récompense spectaculaire
Le dimanche matin, nous nous sommes réveillés dans un épais brouillard, ce qui a semé le doute quant à notre objectif du jour : le Monte Leone. Notre confiance était moyenne, mais nous avons décidé de tenter notre chance en direction du col du Breithorn, notre point de décision pour poursuivre ou faire demi-tour.
En approchant du col, le vent semblait fort, mais comme prévu dans la prévision, une fois au sommet, nous avons été accueillis par un ciel d’un bleu éclatant et une totale accalmie. Cette découverte nous a poussés à poursuivre notre ascension vers le Monte Leone. La vue au sommet était incroyable, et nous avons eu la chance de trouver des conditions parfaites sur l’arête en neige, sans le moindre souffle de vent.
Après cette réussite, nous sommes redescendus vers le col, espérant déguster des frites bien méritées à l’hôtel. Malheureusement, la cuisine était fermée… mais nous nous sommes consolés avec un délicieux gâteau.
Ces trois jours ont été une magnifique aventure, ponctuée de moments de partage et de belles descentes. La montée au Monte Leone restera un souvenir impérissable, concluant en beauté cette escapade alpine.
-- Carlos








Je 27 mar. 2025
Chemin des Adonis, Jeudistes B
Org. Hansueli Weber et Jean-Claude Schnörr
Six Jeudistes de 72-92 ans participent à cette virée. Ils se lèvent tôt et viennent en transport public Neuchâtel – Saxon.
Café croissant dans la Locomotive et nous gagnons de la hauteur dans une foule bigarrée -aussi fada que nous- pour découvrir les Adonis. La balade se fera néanmoins au calme, croisant par-ci, par là un couple ou des randonneurs.
Après le torrent des Croix et sa chute d’eau le chemin nous mène à flanc de côteaux sur un sentier herbeux, parfois très exposé, à travers un terrain steppique avec des chênaies qui alternent avec des champs d’abricotier en fleur, des sous-bois fleuris avec des cerisiers sauvages en fleurs et des touffes d’adonis en abondance de part et d’autre du chemin. Nous sommes en plein au moment de la floraison luxurieuse.
Petite escapade vers la Croix de Vison/Charrat et ascension vers la Gîte : Voici un immense champ d’abricotiers centenaires avec leur écorce noir et tous en fleurs. La bise du plateau helvétique se mue en vent valaisan et les fleurs d’abricotier dansent comme des tatouillards. Pique-nique sur un banc avec un verre de blanc.
Le retour se fait sur les chemins goudronnés à travers des cultures d’abricotiers et de vignes : la taille est très diverse et le sol aride, pauvre et très en pente. Nous profitons de l’expérience professionnelle de notre vigneron neuchâtelois.
Le verre de l’amitié se fera à la Locomotive et une heure plus tôt que prévue nous rentrons à casa. Coût 52.- CFF.
Merci aux donateurs de café, croissant, vin blanc, bière et al.
Merci au co-organisateur Le premier des trois Jean-Claude
T2, 3h15, 11km, 500 de dénivelé.








Me 26 mar. 2025
Lenzburg - Boniswil








Sa 22 mar. 2025
Haute-route des alpes URI, de Realp à Engelberg
Haute Route des Alpes Uri, de Real à Engelberg - 22-26 mars 2025
Jour 1
Dans le train qui nous emmène à Realp, les chefs de course Gilles et Roger sont clairs : La météo n’est pas au beau fixe, il pourrait neiger et y avoir du foehn. On démarre la haute route mais ce n’est pas certain qu’on la finisse ! Le passage clé sera le Lochberg, le deuxième jour, qu’il serait trop risqué de traverser en cas d’accumulations de neige soufflée. Ceci n’entame pas le moral des 6 participant.e.s, très reconnaissant.e.s que les chefs de course soient prêts à tenter le coup.
Le programme de ce premier jour est simple : montée directe de la gare de Realp à la Albert-Heim Hütte, située sur un magnifique promontoire 1000 m plus haut. Ceci est assez vite réglé, ce qui nous laisse du temps pour prendre nos quartiers dans cette cabane tout confort et faire plus ample connaissance autour de l’apéro (enfin, pour les rares participant.e.s qui ne se connaissent pas, le groupe comptant notamment 5 chef.fe.s de course du CAS Neuchâtel…).
Jour 2
La météo à l’aube est conforme aux prévisions : il neigeote, il fait gris et il y a du vent. On attaque cette longue étape chaudement habillés et bien protégés des intempéries. Bien trop chaudement, le temps étant en réalité plutôt doux et humide. Et comment enlever un collant en pleine ascension ? En se déshabillant quasi complètement au beau milieu des montagnes, bien sûr !
Arrivés sur la crête qui mène au Lochberg, les premiers rayons de soleil commencent à percer le brouillard. L’ambiance est absolument féérique, mais il s’agit de rester concentrés pour gravir ski sur le sac cette arrête escarpée, entre blocs de granit et neige fraîche.
Le temps de retirer les peaux, le ciel s’éclaircit. Verdict : les conditions sont parfaitement sûres, on peut attaquer la loooongue descente sur le Göscheneralpsee dans des conditions inespérées, avec même plusieurs passages en poudreuse !
La bonne humeur règne lors du pique-nique au soleil, on est maintenant confiants de pouvoir mener cette haute route à bout.
La traversée jusqu’à la Chelenalphütte est longuette, mais quelques descentes hasardeuses en peaux égaient le parcours. Après un bon souper, les gardiens nous font goûter leurs tavillons et bardeaux maison en nous expliquant la différence entre génépi et iva pour la rénovation de toits…
Jour 3
Grand ciel bleu au réveil, c’est idéal pour attaquer l’ascension du point culminant de cette haute route, le Sustenhorn (3502 m). Malheureusement, les nuages font leur apparition à mi-parcours, et une partie de la montée se fait dans la purée de pois. Petite frayeur à la Süstenlimi quand l’un d’entre nous perd un ski et qu’on le voit filer dans le brouillard. Le ski esttrès vite localisé quelques centaines de mètres plus bas, ouf ! Nouveau coup de chance, à l’approche du sommet tout se dégage, et on profite longuement d’un panorama incroyable. La descente à ski à proximité des séracs, sur plus de 1600 m de D-, est tout simplement grandiose. Elle se termine sur une jolie moquette parfaitement revenue.
Après une bonne douche chaude (!) et une après-midi au soleil de Steingletscher, on se fait initier à quelques jeux de société, mais les règles du Duduche sont un peu complexes pour nos cerveaux fatigués 😊.
Jour 4
Nouveau réveil sous le ciel bleu… du moins pour ceux qui ne sont pas réveillés depuis de nombreuses heures dans leurs lits au confort très relatif.
Aujourd’hui encore quelques nuages apparaissent durant notre ascension, qui démarre crampons aux pieds. La visibilité reste bien suffisante pour rejoindre le sommet du Fünffingerstock, la trace étant souvent entourée de majestueuses formations rocheuses. Quelques photos et high fives au sommet plus tard, on attaque la descente par quelques dizaines de mètres assez « spicy », comme diraient les remuantes californiennes qui font le même parcours que nous depuis quelques jours. La suite de la descente est tout aussi belle, dans quelques centimètres de neige souple sur un fond lisse et plus dur. Reste plus qu’à remonter à la Süstlihütte par un système d’échelles.
C’est notre dernier soir, nous sommes le seul groupe à la cabane, et l’apéro a tendance à durer un peu plus qu’à l’accoutumée, alors que les parties de Ligretto sont très disputées. Mais par le plus pur fruit du hasard, les parties sont presque toutes remportées par la même joueuse…
Jour 5
Au programme du jour : montée au Grassen, avant de redescendre sur Engelberg prendre le train du retour. On a été très chanceux jusque-là, ça ne sera pas le cas pour ce dernier jour : toute la montée se fait dans le brouillard, qui s’épaissit au fil des minutes. Il se met même à neiger assez fort et on n’y voit vraiment plus grand chose ; décision est donc prise de renoncer quelques centaines de mètres avant le sommet. La descente se fait « aux instruments » et prudemment. Quel gâchis, car tout laisse penser qu’elle doit être exceptionnelle en bonnes conditions. Le tout dernier bout se fait à pied et sous la pluie, c’est vraiment l’heure d’aller manger (ou pas) à Engelberg la fondue dont on rêve depuis 5 jours...
Un grand merci à toute l’équipe, vraiment top, et aux chefs de course qui ont su gérer cette haute route de main de maître et en toute sécurité dans une ambiance particulièrement agréable. On reviendra l’année prochaine !








Je 20 mar. 2025
De Aesch à Flüh, en passant par Mariastein
Ce sont 15 jeudistes matinaux qui se sont retrouvés à la gare de Neuchâtel à 7 :10 pour se diriger vers Laufon après changement à Bienne. Les explications du chef de course, Alfred Strohmeier, ont permis aux participants de se réveiller complètement et de parfaire leurs connaissances de l’histoire de Soleure et de la région bâloise depuis la fin du moyen-âge en savourant la tresse offerte par Alfred. Le train régional nous a ensuite conduit à Aesch (BL), où notre marche a débuté. Le temps magnifique nous a permis d’apprécier une montée douce et régulière sous le couvert forestier, qui a culminé au Blauenberg à 824 m. Au passage nous avons pu pique-niquer dans une belle clairière avant d’admirer la borne triangulaire qui marque la frontière entre les cantons de Bâle-Campagne/Soleure et anciennement Berne, puisque le district bernois de Laufon a rejoint Bâle-Campagne en 1994.
Sur proposition de Heinz, soutenu par l’ensemble des participants, Alfred nous a conduits dans la descente des gorges très pittoresques du Chälengraben, avant de retrouver l’itinéraire initial et de rejoindre le monastère de Mariastein, qui est le deuxième lieu de pèlerinage en Suisse, après Einsiedeln. Une visite de l’église baroque a précédé la descente dans la grotte dédiée à Marie avec ses très nombreux exvotos. Au sortir d’une bière bien méritée, le tram nous a mené de Flüh à la gare de Bâle en nous permettant d’admirer une bonne partie de la ville rhénane avant de rejoindre Neuchâtel en changeant à Bienne. Finalement, compte tenu de tous les extras, la marche effective a été de plus de 4h30 et le dénivelé d’environ 686m pour une distance de 17km. Un cameraman/président nous ayant accompagné, de nombreux souvenirs vidéo de cette belle sortie devraient être bientôt disponibles. Encore merci à Alfred !
Phillippe Jeanneret, accompagnateur du jour.








Je 20 mar. 2025
L'Ile D'Ogoz
On n’aurait pas pu rêver d’une plus belle journée ce jeudi 20 Mars pour enfin poser le pied sur l’Ile d’Ogoz.
Ensuite allégrement nous avons fait la randonnée qui nous a menée au Pont de Corbières en profitant de magnifiques coup d’œil le long du parcours.
A sa mise en eau, la retenue submergea prés de 1000 hect de terrain dont 2/3 de terrain productif, et 64 bâtiments.
Chaque année au printemps à pareille époque l’île devient une presqu’île pour quelques semaines. Le Groupe E vide une partie du lac de Gruyère en prévision de la fonte des neiges qui avec la pluie amène deux à trois fois plus d’eau que d’habitude.








Me 19 mar. 2025
Sortie raquette dans le Jura
Jolie randonnée facile sur les traces de Friedrich Dürrenmatt . Parcours agréable à flanc de coteaux entre vignes et forêts qui nous a fait traverser les jolis villages vignerons de Tüscherz, Twann et Ligerz. Pique-nique au soleil devant la petite église de Ligerz .
Descente depuis Prêles en transports publics








Lu 17 mar. 2025
Lundi tout est permis - Wildstrubel en traversée
Un lundi au soleil...ou le fabuleux voyage vers le Grossstrubel...
Départ à l'heure ou les gars des bureaux sont encore le nez dans leur petit déjeuner, la tête embrumée des rêves de la nuit.
Après 3-4 changements de train, de bus...(on ne compte plus)... nous voilà à Engstligenalp...!!
Un ptit tour en télécabine et nous voilà arrivés sur ce plateau tout enneigé, majestueusement enveloppé de blanc...Nos chefs de courses nous mettent gentiment en mouvement...cap sur le sommet...on serpente sur la trace de Camille, toute en rondeur et en douceur...
La montée est progressive, c'est un réveil en douceur..avant un ptit coup de concentration sur une traversée étroite et un peu expo, crampons aux pieds, skis au dos pour arriver au frühstück platz...avec la récompense.. un grand soleil et la vue dégagée...
Pendant une ptite pause, on mate la descente.. hehe .. pas tracée, ptite poudre.. ca s'annonce bien!...La progression se poursuit le long d'une falaise au beau caillou jaune et brun foncé...
D'un coup, le mouvement s'accélère, Cristel met le turbo, suivie par Erich pour atteindre le sommet... Ah le sommet!... Cristel et Jérôme font des essais de poses artistiques... chacun son inspiration et le catalogue photo s'enrichit!
Puis la descente.. mi brouillard, mi dégagé... un ptit coup de concentration à nouveau dans un couloir avec des bouloches d'avalanches puis Jérôme se débride dans des slaloms endiablés entre les sapins...on a du mal à suivre! Et enfin l'arrêt de bus.. et le bus, juste pour nous!!! .. mais quelle classe cette organisation les chefs de course!!!
Au retour, Erich nous fait le plaisir d'un cours sur les équipements de train, les espacements de rails et la puissance électrique.. et on se laisse bercer par toute cette complexité...
Merci Camille et Jérôme nos chefs de course et merci l'équipe.. Erich, Diane, Cristel, Nicolas, Hélène... C'était encore un beau lundi au soleil!…
Hélène








Di 16 mar. 2025
Mont Rogneux 3083 m








Di 16 mar. 2025
Skis rando à Bivio avec guide
3e semaine de ski de rando à Bivio
Lundi gros brouillard sur Bivio, toutefois le guide nous propose d’aller du côté de Maloja pour trouver ciel bleu et soleil. Jolie montée jusqu’au Piz dal Sasc 2720 m. Le pas du guide glisse en silence dans l’immensité blanche. La descente ne s’avère pas être de la tarte…. un peu de poudreuse et beaucoup de neige cartonnée, donc de grandes bananes et quelques chutes sans gravité. Quelle belle journée!
P. et B.
Mardi depuis le col du Julier montée au Piz Lagrev 3161m. Derniers mètres dans une pente à 45 degrés, on a bien transpiré! Mais quel bonheur de se trouver au sommet avec une vue incroyable à ne plus savoir où donner de la tête! Ensuite il ne restait plus qu’à laisser aller les skis dans une neige poudreuse à APPRÉCIER ET AVALER SANS FIN!
Mercredi très jolie et belle journée au Motta da Sett 2637 m. 1100 m. de dénivelé et 18 km. Sommet magnifique puis incroyable descente dans une neige immaculée pour rejoindre le chemin du Septimer côté Val Bregaglia avant de remonter au col pour une longue glissade jusqu’à Bivio. Il n’y a que notre guide Siffredo qui puisse nous trouver de tels endroits de RÊVE.
Jeudi arrivée en haut des téléskis avec une foule de randonneurs à croire qu’on se trouvait au pied de l’Everest! Au sommet du Piz Turba 3017 m. vent froid et … ohhhh miracle notre guide trouve à nouveau des pentes vierges pour notre plus grand plaisir! Avant de clore la semaine Catherine nous offre un concert de cor des Alpes, génial!
Que dire de plus???? QUE DU BONHEUR!!!!
CT








Sa 8 mar. 2025
D'Hérens en Anniviers








Ve 7 mar. 2025
Traversée La Fouly Champex Lac
Traversée La Fouly-Champex, 25km, 2800m D+, 2900m D- en 3 jours.
A l'heure où je pense à mon récit de course, je suis accroupi dans le jardin, cueillant de la dent de Lion pour faire une bonne salade de saison... alors que ce matin, nous prenions le petit déj face au massif de l'Aiguille du Tour dans la confortable cabane du Trient.
Tout commença mardi 4 mars, lorsque Jérôme nous envoie un beau descriptif de la course avec tout le matériel à prendre et des vivres pour la soirée au local hiver. On se répartit les 1,5 kg de linguine, 3 pots de sauce tomates, près d'un kilo de fromage, du pain de seigle, de la viande séchée, sachets de thé, café, des allumes-feu … et des allumettes ! Nos sacs contiennent de quoi passer une soirée inoubliable à la cabane de Saleina,z mais aussi pour faire cette traversée des 5 cols et ses 5 glaciers, des cordes, crampons, piolets, vis à glace, poulie … j'en passe et des meilleurs !
Ce vendredi matin, tout se passe comme prévu. On arrive à Orsières avec un peu d'avance, mais il manque Sylvia? Voilà qu'elle nous informe qu'elle a loupé son train à Doué! Elle saute alors sur la première voiture qui passe en suppliant de la mener là où nous sommes. Arrivée juste à temps, elle se débarrasse de ses baskets et voilà que le bus pour la Fouly nous embarque pour notre raid.
Nous prenons place pour un cappuccino à l'hôtel du Glacier, partager un briefing de nos 2 chefs de courses. Jérôme nous présente le parcours prévu pour les 3 jours, sur 3 extraits de cartes imprimés. Il nous fait part de son plan du week-end, des prévisions météo, du bulletin d'avalanche et des passages-clé. Tous les signaux sont au vert, le groupe est en forme, à 13h on devrait être au col des Essettes 3109m, premier passage-clé de la traversée. Et nous serons on time !
C'est alors qu'on se lance dans l'aventure chargés comme des mules. Le temps est clair, une légère brise nous pousse en haut de cette première pente de l'A Neuve. Au soleil, le vent cesse et la chaleur nous écrase presque, on en profite pour un lunch au pied du premier couloir à franchir pour le col des Essettes. Le bureau des guides avait informé notre chef de course que ce n'était pas la première brèche à grimper mais la suivante. Cela sera confirmé une fois repartis et, effectivement, le passage ne se voyait pas depuis le bas. C'est alors qu'après bien quelques conversions en couteaux et les 50 derniers mètres, skis sur le sac, que nous découvrons un autre angle de vue de cette traversée. On dépeaute et nous nous élançons dans une descente qui aurait pu être trop belle tant la neige était poudreuse et bien stabilisée. Cependant, notre itinéraire profitait de suivre la courbe de niveau pour rejoindre le col de Crête Sèche sans repeauter. Aïe aïe aïe, en voilà un beau passage clé, ce col-là ! On poursuit en dérapage une pente mesurant dans les 45-50°. On pourra s'offrir du bon ski une fois passé le 3ème col... Mais avant cela, on repeaute pour 300m de montée, incluant un passage final bien expo. Pour le franchir, nous serons assurés par le haut par Monica qui nous moulinera chacun. Mais voilà que le ressort du stopper de la fixation de Jean-Da casse juste-là, il ne peut plus mettre son ski sans un bricolage de fortune réalisé avec créativité. Nous arrivons à faire la traversée de la pente très exposée qui nous permet d'atteindre directement la cabane par le haut.
La cabane de Saleinaz est un sacré frigo à cette période de l'année. N'étant pas gardiennée, nous devons faire le feu pour fondre la neige qui nous permettra de (sur)vivre. C'est alors qu'on se remémore les principes fondamentaux de la vie: se chauffer, se nourrir, boire et se reposer (car dormir dans un frigo, c'est pas gagné). Malgré la rapidité de Monica pour allumer le feu, le poêle fera cuire nos pâtes en 3h. Pendant ce temps, c'est autour du feu qu'on s'échangera nos histoires de vie tout en se rappelant qu'on est vite peu de chose lorsqu'on a froid. Confort primaire, magnifiques échanges, humour et bienveillance.
On se met à table à 19h avec au menu des linguine alla rabbiatta e pomodore, parmiggiano à volonté, arrosé d'un Gamaret-Garanoir de Bonvillars sorti du sac de Jonas. Pendant que nos 4 visiteurs français patientent sur un peu d'eau bouillante pour faire gonfler leurs sachets lyophilisés. Alors qu'il faut rallumer la lumière toutes les 5 minutes, l'ambiance est bien détendue et de franches rigolades animent la soirée. Après une sommaire vaisselle au PQ, Jérôme sort des petits billets de sa poche pour un Time's up au sujet de "la montagne". Vous connaissez? Des mots doivent se faire deviner par une définition, puis par un mot, puis par un mime. Allez mimer le Mont-Blanc ou le Cervin, le sauna, le front froid, l'Abalakov ou le Président du CAS Neuchâtel !!! des rires s'entendent encore par-delà les cimes...
On s'installe dans nos couchettes, même tenue de jour que de nuit. Nous respecterons nos quarts pour alimenter le feu, garder le local un poil tempéré et nous permettre de cuire de l'eau au déjeuner. Au petit matin, c'est au tour de Sylvia de vider son sac de victuailles. Pain de seigle, fromages, viande séchée, et j'en passe, complètent la table du matin. Mais où sont donc mes sachets de thé "pomme-cannelle" !? demande Jean-Da. Nous avons une petite pensée pour ces français qui se sont servis pensant que c'était en libre accès ...
Fred manie mieux le balai qu’il ne fait glisser ses peaux qui sabotent toute sa montée du glacier de Saleinaz. Et oui, faut pas lever les skis quand la neige est chaude et collante, sinon c'est bon pour porter le double de poids. Bref, blague à part, ce Fred nous aura bien régalé par son humour heureux.
Ce récit est un peu longuet, mais c'est 3 jours qu'il faut raconter... alors je continue !
C'est au tour de Jean-Da de passer devant pour ce samedi de surprises. La traversée du glacier de Saleinaz nous offre des paysages grandioses. Après la Fenêtre du même nom franchie au piolet, nous contemplons la suite du parcours pour atteindre le pied de l'Aiguille du Tour. Cinq d'entre nous la gravissons moyennant une belle grimpe par l'arête Nord. So geil, comme dirait Sylvia. C'est génial, on est en chaussures de ski sur le rocher au milieu de ce massif du Trient, tout entouré de neige et de sommets voisins. J'adore cette ambiance ! On se soutient les uns les autres, se motivant pour arriver à franchir quelques pas un peu durs ou exposés. Une fois au sommet, on met les crampons, on s'encorde tout en profitant du panorama. Redescendre l'arête requiert toute notre attention avant de retrouver nos skis au pied du col et rejoindre la Cabane du Trient. La bière fait sourire les visages cramés par le bonheur de l'expédition en montagne. On est à 3000m et le confort s'offre autour d'un bon repas chaud. Fatigués, nous ne jouerons pas à Time's up, mais nous passerons une bonne nuit de sommeil.
Dimanche, le ciel est voilé, il est annoncé du foehn de plus en plus fort et un changement de météo pour la soirée. Le programme nous ramène à Champex par le Col des Ecandies. Ah quelle est belle la descente au bord des séracs du glacier qui s'écaille dans la pente. Au pied du Col des Ecandies, le gardien de la cabane a installé une via ferrata pour monter la brèche. Quel boulot! Chapeau! Merci Olivier, nous voilà en sécurité pour achever notre périple. C'est par une descente qui ne restera pas forcément mémorable d’un week-end orienté plutôt montée, Jérôme dixit, que nous rejoignons le Relais d'Arpette, malheureusement fermé tout l'hiver 2025. Dommage, on se console en visitant le tea-room de Champex avec ses tartes aux framboises et autres délicieuses confiseries. Encore un chouette moment de convivialité autour du café. Le prochain bus étant dans plus de 2h, le gérant nous propose un taxi qui pourrait nous ramener en plaine. On a le temps de faire un bon débriefing et d’enchaîner par l'apéro … c'est qu'on est en Valais, faudrait pas l'oublier.
Nous avons tout de même gravi 5 cols avec chaque fois leur lot de difficultés. Lors du débriefing, nous pouvons saluer la qualité de nos chefs de course, Jérôme et Jean-Da, qui nous ont rappelé de rester humble face à la montagne. Il faut toujours prendre un temps de réflexion, un temps d'arrêt avant chaque difficulté. J'ai beaucoup apprécié cette traversée, ne connaissant que très peu cette région. Je remercie vivement les chefs de course pour leur partage d'expérience. A la prochaine !
Jonas
Participants : Fred Kohli, Jonas Mayor, Monica Estoppey et Sylvia Osterwalder
PhotoVidéôMontage:
TransFoulyChampex.mp4








Ve 7 mar. 2025
A la découverte des versants en face du Mont-Blanc
3 Jours polysportifs (ski de rando, skating, course à pied, gainage, yoga et Ping-Pong)
Jour 1: Finhaut – Barrage d’Emosson – Pte de la Terrasse – Col de Terrasse – Le Buet
Retrouvailles matinales à la gare de Neuch direction Finhaut( pas le temps de dormir dans ́le train, participants au taquet)
Nous commençons par un portage de ski direction le barrage d’emosson. Nous chaussons les skis après 250m de D+ et nous effectuons une longue traversée direction le col de la terrasse.
Vue splendide et dégagée sur le massif du mont blanc et ses alentours.
Nous avons eu la chance également de skier sur le barrage qui offrait une vue idyllique et sommes allés jusqu’au sommet de la pointe de la terrasse et son fameux pylône. La descente se fait par une pente raide et bien gelée puis nous descendons jusqu’au Buet où un petit apéro nous attend ;-)
Nous retrouvons ensuite notre logement au ski rock et finissons cette magnifique journée par du gainage stretching avant un délicieux repas.
Jour 2: Le Buet – Mont Buet
Journée la plus longue de notre périple de 3 jours: Objectif le mont Buet à 3096 m soit 1800m de D+ depuis le camp de base
Nous commençons l’ascension par des gorges bucoliques et magnifiques. Le soleil nous atteindra que 2 heures plus tard pour ne plus nous quitter de la journée. Nous arrivons tous au sommet en avance sur l’horaire et une belle descente nous attend avec de la belle neige. La fin du parcours nous offre une piste de bobsleigh fréquentée et très technique.
Les plus motivés repartent pour un footing de décrassage pour arrondir ́les 2000m de D+. Nous nous retrouvons ensuite pour un apéro puis quélques parties de ping pong.
Bonne ambiance et bcp de rires.
Jour 3: Haut du télécabine de Vallorcines – Col de Balmes – Les Grandes Otanes (par la pente NE)
Nous commençons la journée par une descente de skating pour rejoindre Vallorcine et changer de versant.
Nous montons en cabine puis nous traversons les pistes dans une ambiance venteuse
Nous nous adaptons à la météo et modifions nos plans. Nous redescendons dans une magnifique poudreuse direction Trient et remontons pour Les grandes Otanes.
Nous pique-niquons seuls au sommet face à un majestueux paysage et nous régalons les pu/a pilles
Nous redescendons encore une fois direction le trient par une couloir bien raide mais poudreux avant de rerepeauter direction l’aiguillette.
Nous redescendons par les pistes et les chemins forestiers de moins en moins enneigés.
Un verre de fin pour clôturer ces magnifiques 3 jours multi sports avec de beaux paysages et beaucoup de rire.
Merci à tous!








Ve 7 mar. 2025
Escapade au Val Bedretto
Le départ est fort matinal le vendredi 7 mars pour les participants à la sortie au Val Bedretto (Tessin). Après un petit détour impromptu d’un des deux convois via le contournement de Zurich, des retrouvailles manquées au restoroute du Gothard - incontournable avec sa sculpture en bois de Guillaume Tell - toute l’équipe se retrouve finalement au fond du Val Bedretto, à All’ Acqua. Bonne surprise, l’enneigement y est largement suffisant pour démarrer skis aux pieds sous un soleil radieux.
Le parcours débute en forêt, puis se poursuit sur une jolie trace en direction du Passo San Giacomo qui marque la frontière entre la Suisse et l’Italie. Un p’tit œuf de Pâques en chocolat
sorti du sac de Sébastien pour chacun·e d’entre nous donne immédiatement le ton de cette balade: convivialité et partage. Après avoir gravi la Punta di Elgio (Helgenhorn en allemand) qui culmine à 2837 m, nous dévalons les pentes jusqu’au but du jour, le sympathique refuge italien « Maria Luisa » au bout du lac de barrage Toggia. 1200m de D+ pour cette première journée et quelques virages en poudreuse alimentent notre bonne humeur… ça s’annonce bien. Le refuge est « 5 étoiles » : intérieur cosy, chauffé au poêle à bois, tireuse à bière… Et choix parmi plusieurs plats pour le repas du soir ! On ne boude pas notre plaisir.
Après un petit-déjeuner « à l’italienne » (vive les gâteaux spongieux et les gaufrettes au citron emballées !), nous chaussons nos skis pour une journée ensoleillée, chargée en dénivelés et en manips de peaux. Premier col, le Bocchetta di val Maggia (2634m) qui marque le retour en Suisse. De là nous glissons sur l’ancien glacier Cavagnöö, sous les pentes du Marchhorn, pour remonter au col de Formazzora. À chaque col s’offrent à nous de superbes points de vue avec des successions de chaînes de montagnes qui se découpent dans un ciel toujours azur. On ne se lasse pas de plonger le regard dans cette immensité de bleu, de blanc… Toujours sous le patronage du majestueux Basòdino. Troisième col, le Passo Grandinagia, où l’on explose le record de conversions en pente raide. Quatrième passage de col, une petite échancrure entre le Poncione Cavagnolo et le Poncione Valleggia, qui se termine avec une partie de portage dans une pente à plus de 45 degrés ! Le téméraire Christian prend le pari de monter le plus haut possible skis aux pieds, belle gageure. Les cuisses chauffent et la fatigue commence à se faire sentir. Heureusement, nous sommes parfois récompensé·e·s de nos efforts par de belles pentes où la neige est encore poudreuse, offrant du « beau ski » !!! On travaille le style… Tintin/Christian, notre reporter photographe, immortalise chaque instant d’un nouveau selfie de groupe, pour notre plus grand plaisir… Enfin vient la dernière montée sur le Passo della Cima di Lago, et il n’y a plus qu’à se laisser glisser jusqu’à la Capanna Cristallina du CAS Tessin-Bellinzone…. 1600m de D+ et une quinzaine de kilomètres pour cette journée, nous sommes bien fatigués mais ravis. Attablés pour savourer un apéro bien mérité, nous ne nous lassons pas d’admirer le bronzage tout à fait particulier de Sébastien.
La Capanna Cristallina est une cabane qui a déjà vécu plusieurs vies, comme le relate une rétrospective historique détaillée affichée dans l’entrée. Elle est gardiennée par Manu,
sympathique et attachant homme de 40 ans aux commandes depuis 7 ans. Manu, seul en cuisine (ses aides l’ayant abandonné pour fêter le carnaval à Airolo) nous régale de salade
mêlée en entrée, soupe, lasagnes et dessert. Heureusement, ce samedi soir il pourra compter sur Christian, Cédric et Jérôme qui sont tout heureux de passer en cuisine pour l’aider au
service ! C’est une logistique incroyable, un vrai tour de force de gérer à l’année cette cabane de 100 places. En fin de soirée, Manu nous rejoint pour nous raconter sa vie de gardien et nous vanter les mérites de son dernier joujou, un rutilant engin noir et bleu… une motoneige flambant neuve !
Dimanche et déjà dernier jour de notre virée, nous quittons la cabane pour monter en direction de la Cima di Lago, 2832 m, joli sommet fort fréquenté, avec une vue imprenable.
La dégradation annoncée de la météo s’accélère… Notre ciel bleu se voile… et déjà nous amorçons le retour avant que le temps ne tourne trop. Dernière petite remontée en direction du
Poncione Val Piana pour entamer la descente finale à travers le val du même nom, jusqu’à Ronco où nos deux chefs de courses ont laissé une voiture. On partage un dernier verre, avant
de reprendre la route direction Zur… heu non Lucerne !
Un week-end organisé de main de maître, avec de la bonne humeur, du bon ski et des traversées magnifiques dans ces montagnes tessinoises ! Personne n’a envie de rentrer et on se
dit tous qu’on devra revenir. Il reste plein de jolis coins à explorer…
Immense MERCI à nos 2 chefs de courses, Jérôme et Sébastien pour l’organisation et la gestion de ce week-end, et à toutes et tous pour l’ambiance chaleureuse et amicale.
Chefs de course : Jérôme Wieser et Sébastien Winkler
Participant·e·s : Hélène, Emmanuelle, Christian, Cédric & Joëlle.
Récit rédigé par l’équipe féminine !





Je 6 mar. 2025
Vaumarcus-Fresens-Bevaix-Boudry
Par une belle journée et avec une équipe pleine d’entrain nous avons avons traversé une jolie campagne avec vue sur le lac et les Alpes.
A Fresens, découverte de son vieux puit, nous avons croisé quelques guêpes vu le menhir et pris le pique-nique en compagnie d’un imposant bloc erratique au milieu d’une jolie forêt. Au dessous de la Rouvraie une grande partie du groupe à eu la curiosité de descendre voir deux grottes, puis en remontant un vieux cimetière abandonné au milieu d’une forêt nous à interpellé!
Nous sommes remontées sur le Domaine du Cerf à travers la forêt pour enfin rejoindre le joli Bourg de Boudry et l’Areuse.
Merci à vous toutes d’avoir participé au pied levé.




Lu 3 mar. 2025
Rando dans le Risous
Après un voyage en train et en bus jusqu’à Le Soliat (la Golisse) à la Vallée de Joux, nous allons prendre le café avant d’attaquer la montée sur le hameau du Soliat puis du chalet de la Capitaine. Nous passons vers l’observatoire (astronomie) de la Vallée. Dès l’entrée de la forêt, nous mettons les raquettes, car la neige est bien présente durant toute notre traversée du Risoux. Vers 12h, nous sommes au chalet de la Jaique où nous attend une bonne soupe sur une terrasse bien ensoleillée. Vers 13h, nous continuons notre course le long du mur frontière jusqu’à la cabane du Rendez vous des Sages. C’est ici que le passsage de la frontière avec l’aide de passeur Combier, se faisait pour les Juifs , pour se réfugiés en Suisse car ils étaient percécutés par les allemands pendant la 2ème guerre mondiale. Depuis se refuge, nous entamons la descente sur le chalet de la Thomasette par des petits chemins et nous visitons plusieurs pettis abris. Vers 16h, nous arrivons à la gare du Brassus, où nous prenons le train pour Neuchâtel. Nous vous remercions pour votre participation, de la bonne ambiance durant cette belle journée ensoleillée et à bientôt pour une prochaine course. André et Adrien.








Di 2 mar. 2025
Skis rando à Bivio avec guide
Org. Willy Buss & Etienne Perrottet
Une semaine de ski à Bivio – Authenticité et plaisir en montagne
Un ciel sans nuage, un soleil généreux, et une neige préservée au cœur de paysages grandioses. Une équipe passionnée de montagne, mêlant expérience et découverte. Un hôtel familial accueillant, où les journées s’achèvent autour d’un bon repas et de discussions animées. Une semaine sans fausse note, où le plaisir simple de la montagne s’est mêlé à la convivialité du groupe.
Merci à tous, et en particulier à nos organisateurs, Willy et Étienne, ainsi qu’à notre guide hors pair, Sifreddo, dont les connaissances et la bienveillance ont fait de cette semaine une réussite.
Dimanche 2 mars 2025 – Voyage et premiers pas à Bivio
Journée de route avec une pause déjeuner à Thusis, où une bonne boulangerie-confiserie nous permet de reprendre des forces. Nous arrivons en début d’après-midi à Bivio et, portés par la météo radieuse, nous partons explorer la vallée. Certains découvrent le petit Volg du village, d’autres testent déjà le sauna de l’hôtel. À 18h, tout le monde se retrouve pour l’apéritif et le premier repas, délicieux, qui marque le début d’une belle semaine de partage.
Lundi 3 mars 2025 – Première sortie sur les skis
Au petit-déjeuner, nous faisons la connaissance de Sifreddo, notre guide pour la semaine. Peu après, direction le col du Julier pour y laisser les voitures. La montée est douce et progressive, nous menant au Munt Cotschen (2863m) après environ 600 mètres de dénivelé. Nous savourons notre pique-nique face aux sommets, comme nous le ferons chaque jour.
La descente sur la Veduta est agréable, bien que quelques cailloux demandent une vigilance accrue. Une chute est vite arrivée ! Comme le veut la tradition, nous partageons un verre avec le guide avant que nos chauffeurs, grâce à la voiture du guide, aillent récupérer les véhicules restés au col. Chacun profite ensuite de son temps libre : ski de fond, sauna ou simple moment de repos avant l’apéritif.
Mardi 4 mars 2025 – Un sommet inoubliable
Après une journée d’échauffement, place à une sortie plus ambitieuse avec 1300m de dénivelé, bien que 700m soient gagnés grâce au téléski. L’ascension est splendide et variée, l’impression de voyager à chaque pas.
La vue sur Juf ravive des souvenirs chez les montagnards expérimentés du groupe, et bientôt, nous atteignons le Piz Turba (3018m). Certains franchissent les derniers mètres encordés par sécurité. Au sommet, le panorama est tout simplement grandiose.
Après un moment chacun pour soi à l’hôtel, Philippe propose une session théorique sur la stratégie de sauvetage en cas d’avalanche, une initiation aussi utile qu’intéressante. Merci à lui !
Mercredi 5 mars 2025 – Une descente mémorable
Objectif du jour : une descente orientée sud, annoncée exceptionnelle… et qui le sera, même pour les plus sceptiques !
Mais avant d’en profiter, il faut monter. 400m de dénivelé depuis l’hospice du Julier jusqu’à la Fuorcla Grevasalva (2688m). L’ascension se fait à l’ombre, balayée par un vent glacial, digne d’un congélateur géant. Une fois au col, Sifreddo, toujours aussi inspiré, trouve une neige d’une qualité insoupçonnée. Un vrai régal, merci à lui !
En bas, nous faisons halte au célèbre restaurant Plaun de Lej, réputé pour ses poissons. Après un verre bien mérité, nous avons même la chance de visiter les bassins où nagent ceux qui seront servis dans les jours à venir.
Pendant que les chauffeurs repartent chercher les voitures, Philippe entraîne le reste du groupe dans un champ de neige parfait pour tester différentes techniques de recherche de victimes d’avalanche. Une mise en pratique concrète et précieuse.
Jeudi 6 mars 2025 – Apothéose sur les cimes
Dernière journée sur les skis, et quel itinéraire ! Un voyage à travers une géologie variée, aussi fascinante que changeante.
Nous partons une nouvelle fois de l’hospice du Julier, cette fois vers le nord. Une longue montée nous mène au Piz Surgonda (3195m). Comme mardi, la crête finale est escarpée, mais cette fois chacun marche pour soi!
Le sommet nous offre une vue spectaculaire, balayée par un vent soutenu qui nous empêche de nous attarder. La descente est belle, parfois un peu cartonnée, mais toujours plaisante.
De retour à Bivio, nous partageons un apéro-riche avec notre guide, l’occasion de le remercier et de commencer à revivre les souvenirs de cette magnifique semaine.
Conclusion – Une semaine réussie
Authentique, calme et dépaysante, cette semaine a tenu toutes ses promesses. Entre sommets majestueux, descentes inoubliables et moments de convivialité, chacun repart avec des souvenirs plein la tête.
Un grand merci à tous ceux qui ont contribué à cette belle aventure, en particulier à Willy, Étienne et Sifreddo, pour leur organisation impeccable et leur passion contagieuse. Vivement la prochaine !
Laure vW








Sa 1 mar. 2025
Autour du Grand-St-Bernard
Ce week-end c’est le 1er mars, mais pour nous il n’y aura pas de marche de la commémoration, mais une sortie à ski de randonnée au Grand-Saint-Bernard.
Le weekend commence donc vendredi soir au moment de mettre le réveil pour être fin prêts en gare de Neuchâtel à 6h09 😲
Les yeux se décollent petit à petit et le groupe se forme au gré des changements à Lausanne, Martigny, Sembrancher, Orsières, pour enfin arriver à Bourg-Saint-Bernard. Sur le chemin, on a retrouvé nos chefs de course Christelle et Julian qui eux se sont permis une petite grasse matinée sur place (certainement le privilège des chefs de course 😉)!
Le groupe est au complet, mais la météo est plus bouchée que prévue. Après un dernier point météo on décèle une éclaircie du côté de la Combe de Drône et on change donc de plan pour partir dans cette direction.
Le groupe avance en direction du ciel bleu (quand on l’aperçoit) mais le brouillard monte derrière et semble nous rattraper. Nous arrivons vers 2500m d'altitude et pour pas risquer une descente à l'aveugle le groupe dépeaute et redescend pour un pique nique un peu plus bas. On repeaute ensuite pour la dernière montée de la journée. Dans le brouillard, chacun suit le chemin indiqué par les poteaux jusqu’à atteindre enfin l’Hospice du Grand-Saint-Bernard.
Après un bon thé offert et quelques douceurs, chacun vaque à ses occupations diverses et variées (Uno, Puzzle, lecture, prière avec nos hôtes ou même visite du musée de l’hospice). Le repas est servi à 19h15 et nous sommes très bien reçus avec une délicieuse soupe, un ragoût de bœuf copieux avec ses légumes et même du gâteau au chocolat. Après ce repas et une journée d’environ 10km et 1000m de D+ nous sommes tous fins prêts pour une bonne nuit!
Le lendemain à 7h30, réveil en fanfare par la musiques pieuse mais aussi très rythmée! Petit-déjeuner copieux, préparation du matériel et à 8h45 c’est le départ. Un grand soleil et un ciel bleu s’annoncent pour cette journée. Nous quittons l’hospice en longeant le lac du Grand-Saint-Bernard et nous passons la frontière, ça y est, nous sommes en Italie ou « a casa » pour certain(e)s!
On suit une petite route enneigée puis on met les peaux après être passé dans une galerie et avoir marché quelques mètres car celle ci n’était pas enneigée jusqu’au bout… 🙂
On attaque la première montée du jour en direction de la Fenêtre d’En-haut. Une fois passée nous descendons au dessus de quelques lacs gelés, puis nous remettons les peaux pour remonter jusqu’au Col de l'Arpalle puis jusqu’à celui du Névé de la Rousse. Nous ne passerons pas par la Gouille du Dragon (et non pas la couille comme l’indique le panneau de tourisme pédestre, gratté par des petits malins 😀 ) et nous enlevons nos peaux pour la dernière fois de la journée.
Nous entamons alors une longue descente le long du torrent de l’A. La neige est un peu croutée, les cuisses chauffent et les virages sont parfois pas évidents, mais pendant ces presque 1900m de D- les paysages sont magnifiques, on en prend plein la vue et on se régale!
Après un pique-nique au soleil, on repart et on suit un chemin dans la combe jusqu’à la forêt. Là le chemin passe à l’ombre et il faut parfois pousser un peu mais c’est toujours aussi beau. On sort ensuite de la forêt et on aperçoit Liddes, où l’on doit prendre notre bus. Quelques derniers virages et après avoir slalomé entre les zones dépourvues de neige, il nous faut déchausser et longer la route une dizaine de minutes pour remonter jusqu’au village de Liddes. Chaussures en mode marche et skis sur le sac à dos, le groupe se lance à pied dans la dernière petite côte. Un jour de retard et pas si longue, mais on l’aura eue notre marche du 1er mars!! 😉
Le temps d’un verre avec toute l’équipe, un petit debriefing du week-end et le bus est là. Il est temps de rentrer, de splendides paysages plein la tête!
Merci à nos chef-fe-s de course Christelle et Julian pour ce magnifique week-end!! 😀
Hugo








Lu 24 fév. 2025
Boucle en raquettes depuis Les Plans à l'Auta Chia
Récit de course suivra
Course de remplacement à cause de manque de neige à l’Auta Chia :
Col de Jaun au Hundsrügg et retour. 8 participants-tes – 11 km – +/- 710m en 4h10 de marche. Belle couche de neige entre 0,5 – 1m, neige dur le matin et mouillée lors de la descente dans l’après-midi.
Tous les commentaires indroduits pour les photos ont disparu, c’est le miracle du site CAS !!
JF








Di 23 fév. 2025
Skis rando à Bivio avec guide
Ski de randonnée à Bivio - 23-28 février 2025
Jour 1, le 24 février
Après un copieux petit-déjeûner à l'hôtel Solaria, départ en douceur à 8h30 pour le parking de la Veduta Hospice du Julier (2237m). De là, plusieurs sommets sont atteignables. Aujourd'hui, ce sera le Piz da las Culuonnas à 2960m. On traverse la route, on s'équipe, tandis que le sac de "Ondirapaki" reste sur le parking ! L'oubli réparé, direction Sud jusqu'au Leg Grevalsalvas à la suite de notre guide Siffredo. La neige est durcie, peu abondante. Depuis le lac, on bifurque direction Est, puis on fixe les couteaux et le sommet est atteint en 3 heures. Vue splendide. Le regard balaie les sommets du sud-est au sud-ouest, de la Bernina au Piz Badile. Pique-nique au soleil et descente prudente, pas vraiment élégante mais efficace, jusqu'au pt 2082 de la route du col du Julier. Sur la fin, on se délecte de quelques virages sur la moquette comme une cerise sur la tourte (miam !). Adrien et Marie-Claude
Jour 2, le 25 février
Ce jour-là, la météo n'était pas au beau fixe: brouillard et vent sont annoncés. Cela ne nous décourage pas. Nous partons de l'hôtel vers 08h15 à 1769 m pour Uf da Flüe à 2775 m. Après le passage du ruisseau à Val Beiva où nous saluons le paysan, ses chèvres, cabris et son bouc imposant, nous entamons la montée avec peu de neige et croutée. Dans la pente, nous observons de magnifiques bouquetins qui entament déjà leurs combats printaniers. Avant le col du Stallerberg, nous découvrons un beau plateau avec quelques flocons, dans une ambiance de grande solitude jalousement gardée par un gypaète. Vers 12 h, nous atteignons le sommet venteux de Uf da Flüe après avoir pu jeter un regard sur Juf. Après un pique-nique rapide, nous entamons la descente avec des conditions de neige variées. De la poudre, du carton et de la neige dure nous font osciller entre euphorie et prouesses d'équilibre. Heureux de cette randonnée, vers 15 h, nous partageons le verre de l'amitié avec notre guide accompagné ce jour de Daniela gardienne de cabane (l'été prochain à Sasc Furä). André et Pascal
Jour 3, le 26 février
Mercredi la journée commence par une grasse matinée jusqu’à 7h30 car les prévisions météo sont mauvaises. Avant le départ depuis l’hôtel notre guide Siffredo nous fait la leçon : soyez disciplinés et restez les uns derrière les autres pour ne pas vous perdre dans le brouillard. Nous traversons les pistes de ski en direction de l’Alp Tgavretga. L’ambiance est lunaire, c’est plat, c’est blanc. Nous cheminons longuement jusqu’à la croix du Pass da Sett (col du Septimer à 2300m). Le brouillard est encore plus dense et le vent s’est levé. Siffredo décide de ne pas tenter le sommet (Motta da Sett à 2637m) et nous rebroussons chemin. La descente se fait en mode « école de ski » par jour blanc, en suivant les traces de la montée. Petite sortie méditative pour s’aérer et digérer la pizza et la coupe Danemark du jour précédent ! Maude et Judith
Jour 4, le 27 février
Montée depuis La Veduta (2230 mt) pour une journée qui s'annonce ensoleillée avec une excellente visibilité qui permet d'admirer les montagnes et le paysage qui nous environnent, et rejoindre peu à peu le soleil. En nous retournant, nous pouvons voir le Piz Coluonnas, gravi le premier jour et l'itinéraire suivi pour atteindre ce sommet. Il y a comme de la magie dans l’air, un merveilleux silence. Près du sommet, notre guide creuse un chemin sous une corniche qui questionne certaines : est-ce pour la beauté du geste ? Nous apprendrons que c'est pour nous éviter des conversions multiples. Du Piz d’Emmat Dadaint (2929m), magnifique vue à 360 degrés sur les grand sommets grisons comme le Badile, la Bernina, le célèbre Biancograt. Vraiment la semaine se termine en beauté, avec une descente géniale et une neige incroyablement facile à skier pour 1100m de dénivelé négatif jusqu'au Plan da Lej au bord du Silsersee. Belle dernière course avec une équipe incroyablement sympathique et drôle!
Kathrin et Noëlle Christine








Di 23 fév. 2025
Rote Totz (2847m)
Course déplacée dans la région du Simplon en raison du mauvais temps prévu (brouillard, faibles précipitations) dans les Alpes bernoises. Nous sommes montés au Galehorn depuis Engeloch.








Sa 22 fév. 2025
Landvogtehore (2616m)








Ve 21 fév. 2025
Cours de sécurité - ski de rando- 2 jours Arolla
En raid à ski, des petits détails peuvent avoir de fâcheuses conséquences; Savez-vous réparer une fixation cassée? Savez-vous assurer un participant pris de panique dans un couloir glacé? C'est pour y répondre que Monica a proposé, en avant première, 2 jours de cours de sécurité à ski avec le guide Neuchâtelois Yann.
L'objectif: permettre au chef de course d'assurer la sécurité du groupe en toutes circonstances. Ce cours se fait habituellement sur une semaine tellement le programme est dense.
RDV est donné à 9h à Arolla ce samedi. Yann nous explique que nous allons directement pratiquer sur le terrain. En haut de la remontée des Fontanesses, un participant se rend compte de l'oubli de ses peaux; Le premier atelier est tout trouvé: tout à tour chacun propose et teste sa solution pour évoluer sans peaux. Pendant ces 2 jours Yann nous conseillera sur le matériel et techniques rudimentaires à avoir pour procéder aux menues réparations, "scotch à vaches" en tête!
Très vite la pente se raidit, trop pour des conversions. Nous évoluons près de la pointe du Pas de Chèvres, à 3000m sous un soleil radieux, en portage à ski, crampons/piolet et remontée sur corde fixe improvisée. La clé pour ces passages très raides est l'ancrage des skis dans la neige et la pose d'une rad line de 30-40m. En groupe de 8, chaque manipulation en passage clé rallonge inexorablement la durée de la course. Ce 1er jour, trop concentrés dans la descente du couloir de glace et de pierre, nous ne nous en rendons compte que redescendus à 17h30 à la yourte du bas des pistes d'Arolla.Que d'enseignements aujourd'hui ! L'hôtel du glacier nous propose ensuite une hospitalité (et une raclette) inégalable.
Au 2ème jour Monica et Thierry dirigent la course, et Yann profitera de chaque instant, de chaque erreur, pour partager son expérience. Du haut de la Cassorte, à 3300m, nous appliquons les enseignements de la veille dans la pente glacée à 45° du versant W. Le panorama est magnifique sur la cabane des Dix, la dent blanche, le Cervin, le Pigne d'Arolla, le Weisshorn...tant de beautés !
Yann nous rapellera sans cesse que prudence est mère de sureté et que, sous fond de méthode 3x3, si le chef de course est en difficultés, si trop de passages s'avèrent difficiles, si trop de participants sont en difficulté, alors vous n'êtes probablement pas dans la bonne course. L'avis du groupe est unanime, ce cours est un atout indéniable pour les chef de course de la section, nous ne pouvons qu'approuver ce format, et bien sûr remercier chaleureusement Monica pour son organisation et son sourire !
Joffrey








Je 20 fév. 2025
La Sombaille - Les Planchettes
Org. Guy Fehlmann, Jacques Isely
17 randonneurs se sont retrouvés dans le train, destination La Chaux-de-Fonds. Continuation pour la Sombaille dans le Bus 310, bien rempli.
Au café des Jardins , les boissons – Croissants ont été offerts par Laurent Colin, ce dont nous le remercions infiniment..
Départ pour la Joux-dessus sur une route goudronnée et descente vers la combe de la Sombaille par un sentier escarpé et glissant.
De là, nous commençons la montée sur la Grébille et suivons la route jusqu’à Derrière – Pouillerel avec une jolie vue .
Dans la forêt juste avant Les Planchettes, chaque Jeudiste montre son agilité vers un passage délicat occasionné par une coupe de bois.
Après un excellent repas et service impeccable , nous entamons une belle montée (+180m)pour accéder au Maillard.
Par un beau soleil, nous poursuivons notre marche jusqu’à l’arrêt de Bus Blaise Cendrars .
Parcours de 13km en 03h50 , avec un dénivelé de +- 560m. (1,7km en 20min. et dénivelé-80m, jusqu’à la Gare.)
Félicitations à tous et merci pour la super compagnie, ainsi qu’à Jacques pour le job d’adjoint.
Guy








Ma 18 fév. 2025
Lyss- Alte Aare-Safnern
Un mardi matin, le train des randonneuses Yverdon-Bienne, nous cueille quasi l'une après l'autre dans les différentes gares entre Gorgier-St-Aubin et Cressier. L'itinéraire du jour débute à Lyss . Nous rejoignons rapidement l'Are, une petite rivière, bordée d'un côté par l'autoroute et de l'autre, derrière un cordon boisé, de bâtiments d'habitation ou d'industrie. En apprenant que déjà nous sommes dans la réserve naturelle de l'Alte Aare. Afin de suivre ses méandres au plus près, nous quittons parfois le chemin balisé pour prendre des sentiers un brin boueux mais pas aussi pétchants que lors de la reconnaissance. Une confortable cabane forestière nous accueille pour une petite pause juste avant Studen. La cheffe de courses en profite pour étaler sa carte de l'itinéraire de l'Alte Aare en 1869, avant la correction des eaux du Jura. Le lit majeur de l'Are, la zone inondable lors de crues, pouvait s'étendre sur une largeur de quelques 500m à certains endroits; le passage d'une rive à l'autre, d'un village à l'autre, se faisait en bac, la construction de ponts n'étant guère possible. La Thielle (Zihl) rejoignait l'Are à Meienried. Et c'est là que s'effectuait le transbordement des marchandises, passant d'une voie fluviale à l'autre.
Notre joyeuse troupe, traverse des forêts alluviales, longe des étangs, tente de garder les pieds secs quand l'eau coule sur le chemin et le pied sûr en passant d'un bloc à l'autre pour traverser un bras latéral. Pause de midi un brin frisquette au bord du charmant petit lac de Meienried avant d'entamer la boucle autour de l'ancienne Thielle, pour terminer ensuite celle autour du petit lac (une anse de l'ancienne Aare) et quitter ces lieux riches d'un passé peu connu, d'une végétation encore endormie, d'une gente ailée bien discrète par ces temps de bise. Nous filons droit sur Büren an der Aare. Après un coup d'œil à la magnifique place de cette bourgade, les unes se dirigent vers la gare, les autres vers la confiserie.
Danièle








Lu 17 fév. 2025
Tour de la Bannalp
Une toute petite installation nous amène à Chrüzhütte où le groupe s'apprête à faire le premier col, le Banalpass, qui n'est pas si banal.
Une jolie descente d'une heure nous emmène jusqu'au deuxième téléphérique. la cabine est minuscule. On est serré comme des sardines, les skis sont à l'exterieur, avec les sacs à dos, tenus par un élastique!
On profite de pique niquer au soleil avant d'attaquer notre deuxième montée. Le paysage est magnifique et la descente depuis le col de Steinalpe Jochli, est juste sublime. La neige est poudreuse, presque soyeuse.
Après cette belle journée ensoleillée, on redescend dans le brouillard, avec un troisième téléphérique, avant de reprendre le train pour rentrer.
Merci à nos deux chef.fe de course de nous avoir fait découvrir cette partie de la Suisse centrale.
Joëlle et Nadine








Lu 17 fév. 2025
Ski de fond depuis les Cluds
Finalement pas de ski de fond mais plutôt une balade tranquille dans la forêt. La rando a commencé sous un ciel brumeux qui nous a privés d’une jolie vue sur les trois lacs, mais certainement pas de notre enthousiasme. Après une belle montée jusqu’à Enges, nous avons poursuivi notre chemin en passant par le Maley, Voens, St-Blaise, Hauterive et Champ Monsieur. Notre dernière étape avant une pause bien méritée au jardin botanique, où un excellent café nous attendait. Un grand merci à Willy et Sanae pour cette jolie excursion. Daniela






Sa 15 fév. 2025
Ski de Randonnée Becs de Bosson - Sasseneire
Les Becs de Bossons
Départ matinale direction Eison terminus. Bon enneigement pour cette belle et sauvage montée à la cabane.
Bon accueil, magnifique panorama qui invite à rêver. Avec en prime les deux beaux chats noir philosophes.
Après un petit déjeuner tranquille, nous entamons la descente direction La Sasseneire. Bien belle virée dans ce coin de montagne. Et la grande finale crampons aux pieds jusqu’au sommet. N’ayant pas le matos je laisse mes compagnons y aller sans moi.
Belle descente raide par un petit couloir, je me lance en premier, à mi-pente j’effectue un virage un peu long et viens taper dans une accumulation lors de ma courbe suivante, mes appui pour tourner déclenche une petite plaque à vent. Je perds l’équilibre, tous va très vite, elle me tourne dans tous les sens et elle grossit emportant pas mal de neige avec elle. Je me laisse prendre sans résister et arrive à rester en surface et me remettre sur mes skis arrivant ainsi à quitter ça trajectoire…
Pas eu le temps d’avoir peur, j’en retire que j’étais trop confiant, mieux réfléchir à la trajectoire avant de se lancer. Une fois sortis, je fais signe à mes compagnons que je n’ai rien et poursuis la descente jusqu’à un endroit où m’arrêter en sécurité.
La suite descente la descente jusqu’à Grimentz se passe sans encombre.
Merci à Alexandre pour l’organisation et à tous, Matthieu et Grégory pour ces bons moments passés ensemble.
Vincent.








Sa 15 fév. 2025
Le Tarent 2548 m
La Palette, Seeberghore et une motte bonus, comme l’a si bien décrite Silvio.
Rendez-vous avec le soleil au Col du Pillon pour un itinéraire finalement différent du plan initial au Tarent.
Dans l’équipe, un traceur infatigable, un peloton de motivé(e)s et l’innovateur avec des skis électriques, dont la montée fluide n’a pas sapé le moral des autres!
Trois sommets pour le plaisir de la descente dans une poudreuse déployée comme un tapis royal, entre sapins et pentes douces.
Une motte supplémentaire n’aurait pas été de refus, mais les chefs de course avaient prévu de poursuivre la danse au point de départ et réservé un après-ski avec DJ!
Nul doute que cette journée restera un très beau moment de cet hiver.








Ve 14 fév. 2025
Hohgant 2164m
Initialement prévue au Hohgant puis possiblement au Schwalmere, c'est finalement en direction du Walighürli que se dirige l'équipe 100% féminine du jour. La journée commence par un périple en train et bus au cours duquel le groupe se constitue progressivement au fil des étapes, et pendant lequel un atelier-couture s'improvise pour Marcella, sans quoi le scratch de la chaussure de ski serait resté dans le sac... A Gstaad la fine équipe est enfin complète pour le dernier tronçon, en car postal, direction Gsteig. Jusque-là dans le brouillard, on aperçoit enfin quelques coins de ciel bleu en attaquant la montée, d'abord à pied sur quelques centaines de mètres avant de rapidement trouver suffisamment de neige pour la montée dans les pâturages. La quantité de neige fraîche augmente rapidement sous nos lattes et sur les sapins, et le ciel se dégage pour nous offrir un décor de rêve hivernal. Grâce à nos traçeuses de choc qui ont fait leur séance de sport de la journée, on progresse rapidement dans la montée, avec en fond sonore le bruit des hélicoptères venant déposer les héli-skieurs au sommet! Heureusement, entre 2 hélicos, on profite du silence hivernal. Arrivées au sommet, on s'offre une première belle descente de poudreuse en direction des chalets environ 300m au-dessous du sommet pour un pic-nic à l'abri du vent, avant de remonter dans la pente, toujours en traçant dans la neige fraîche (jusqu'à 40cm poudre légère). Cette fois-ci on dépeaute pour de bon pour entamer la descente de pur plaisir dans la poudreuse et au soleil, pour attaquer le retour en bus et trains, avec la belle surprise de profiter d'un wagon "belle-époque", encore un joli décor pour ce début de récupération. La fine équipe se sépare progressivement sur le retour, les visages souriants après cette magnifique journée de ski. Un immense merci aux deux cheffes de course, Laurence et Camille, qui ont organisé et mené cette journée au TOP, et à toute l'équipe pour la bonne humeur ambiante.








Ve 14 fév. 2025
Cressier en boucle par vieille Thielle - Combes -








Je 13 fév. 2025
La Brévine - Vieux Châteleu
Org. Jean-François Zürcher, Jacques Isely
Ce sont 10 jeudistes qui se sont retrouvés à Champ Rond à Bôle avant de se rendre à La Brévine pour prendre le café. Une fois équipé pour se protéger de la pluie, nous marchons en direction de Chobert, puis traversons la frontière pour retrouver la ferme des Charmottes. Nous poursuivons en direction Nord pour descendre au lieu-dit Petit Châteleu. Là, nous retrouvons le « chemin Michel Hollard » qui a été balisé et documenté récemment par la pose de panneaux explicatifs. Ceux-ci décrivent dans le détail les 98 trajets effectués par Michel Hollard durant la 2ème guerre mondiale pour informer l’ambassade britannique de Berne des projets allemands en France. C’est en particulier grâce à lui que les Anglais ont pu détruire les bases de lancement des V1 qui pointaient sur Londres. Nous suivons ce chemin pour remonter en direction de l’Auberge du Vieux-Châteleu. Après un petit détour dans une clairière enneigée qui nous a permis de nettoyer nos chaussures… nous arrivons au restaurant juste avant une forte averse de neige. Le retour aux voitures s’est effectué rapidement en suivant le sentier qui longe la frontière avant de retrouver le quartier de Chobert puis La Brévine.
Distance parcourue 8.6 km, +/- 310 m en 3h00.
Merci à Jacques pour m’avoir efficacement secondé et à tout le groupe pour sa bonne humeur, malgré les conditions météorologiques peu favorables.
Jean-François








Di 9 fév. 2025
Semaine 7 ski de randonnée en Ubaye (France)
Semaine de ski de rando en Ubaye
9 février au 15 février 2025
Org. Simone Füzesséry et Rémi Schneider
Ingrédients pour une semaine de ski rando plaisir en Ubaye :
- Des paysages sauvages à perte de vue ;
- Un guide et un aspirant très pros, attentionnés, à l’écoute et avec une bonne dose d’humour ;
- Un groupe mélangé, motivé, gai et bienveillant ;
- Un gite chaleureux avec une cuisine savoureuse ;
- De la neige fraîche sur les pentes nord à partir d’environ 2300 mètres ;
Nous, groupe de 12 participants, les avons savourés sans modération :
Le premier jour à partir de notre gîte Les Granges au hameau de Fouillouse (commune de St Paul en Ubaye) jusqu’au Col sans nom (800m de dénivelé) et le second jour à l’avant sommet de la Tête de l’Eyssiloun (900 m ou 1150m de dénivelé selon les groupes) ;
Le troisième jour à partir du village de Larche en direction de la Tête de Fer jusqu’au col du Lac froid (1070 m de dénivelé avec une courte descente en rappel) ;
Le quatrième jour free ride à partir de la station de ski de St Anne ; (pour certains 500 m de dénivelé avec cours de ski pour d’autres 1000 m de dénivelé en s’arrêtant juste au-dessous du Grand Clausis) ;
Le cinquième jour à partir du hameau de Maljasset en direction de la Pointe Haute de Mary (1200 m de dénivelé) ;
Et le sixième jour, à partir du col de Vars, sur le chemin du retour, le sommet de la Tête Paneyron (670 m de dénivelé).
Un immense merci aux organisateurs et aux guides Lucas et Léo
Véronique








Sa 8 fév. 2025
Initiation au ski de randonée: Chasseral
Mariannehubel
La sortie d'initiation au ski de randonnée prévue au Chasseral a été déplacée à Grimmialp pour gravir le Mariannehubel (2155 m), en raison du manque de neige. Il s'agit d'une course classée "Facile +" avec 930 mètres de dénivelé, soit 3 à 3h30 d'ascension. Au parking de la Jowa, nous nous retrouvons le samedi à 7h20 : Denise, Clara, Michael et notre chef de course, David. Nous partons tous les cinq dans la même voiture, ce qui nous permet de faire connaissance.
David a soigneusement préparé la sortie, en recherchant des pentes et des conditions de neige adaptées à ce cours d’initiation et à notre niveau. Avec beaucoup de bienveillance et de patience, il nous a guidés, encouragés, et même fait pratiquer les conversions.
C’était une expérience fantastique de monter à travers la forêt pour atteindre, plus tard, des paysages plus ouverts et naturels. Pour moi, c’était la première fois que je participais à une course de ski de randonnée. Afin de préserver mes forces pour la descente, j’ai préféré les attendre au col, tout en m’amusant à les observer monter et descendre, pour ensuite manger ensemble. La météo a été agréable, et même le soleil a fait quelques apparitions pendant notre sortie. La neige était tantôt poudreuse, tantôt un peu cartonnée.
Une fois la sortie terminée, nous avons partagé avec plaisir un verre pour nous réchauffer au bistrot de Grimmialp. Nous étions ravis d’avoir passé un si bon moment ensemble dans une ambiance chaleureuse.
Un grand merci à David pour cette belle organisation !
Pilar Nadal




Sa 8 fév. 2025
Semaine de ski de rando dans le Queyras
Samedi 8.2.25
L’équipe se retrouve à Yverdon et on remplit les voitures en direction des Alpes du Sud!
On fait un stop sur la route vers Grenoble pour faire le plein d’énergie. Puis une voiture pensera naïvement que le col d’Izoard est un bon itinéraire pour rejoindre Molines. Malheureusement des gros tas de neige rendront le rebroussement obligatoire, sous l’œil surpris des amateur·ices de sport d’hiver.
Tout le monde finit par atteindre l’hôtel du Chamois avant la nuit.
Dimanche 9.2.25
La météo s’annonce meilleure que prévue pour cette première sortie ! Notre guide Sylvain nous emmène donc sur un itinéraire découvert jusqu’au sommet « la Lauzière » (2576m) qui offre un magnifique panorama notamment sur le fameux Mont Viso. La descente s’effectue dans une poudreuse de rêve !
Il n’y a que l’arrivée sur le parking gelée, qui est brutale : une mauvaise glissade qui conduit à un nez bien amoché !
Lundi 10.2.25
Les conversions de la vieille ont malheureusement découragé un membre du groupe qui, n’ayant pas récupéré, décide de prendre la route du retour à la maison.
De plus, notre pauvre nez rouge préfère s’accorder un jour de repos et de guérison.
C’est donc une équipe amoindrie qui rejoint le guide pour une sortie depuis Ristolas en direction du pic de Maloqueste. Très chouettes conditions de neige pour la descente!
Pour les gourmand·es, le Pic Ségure (2990m) fut un magnifique complément.
Mardi 11.2.25
La météo n’est pas des plus clémentes, mais au moins ce sont des flocons mouillés, non pas de la pluie, et on part skis aux pieds! Le guide nous emmène dans la forêt des Vallonets qui permet une meilleure visibilité. Les conditions ne sont toutefois pas idéales et deux membres du groupe décident d’écourter la sortie.
En effet, les sabots ne se feront pas attendre! Malgré le petit coup de fartage, ils reviendront au galop, et nous suivront jusqu’au sommet. Nous attaquons la descente dans une neige agréable à skier, mais elle se fera de plus en plus lourde au fil de la descente.
Mercredi 12.2.25
C’est une troupe réduite (2 personnes ont décidé de se reposer) qui s’en va rejoindre le parking du Pont de Lariane pour s’élancer en direction du col de Longet. Le ciel est voilé, mais l’éclaircie prévue à 11h ne fera pas faux bond et offrira quelques rayons de soleil à notre chef de course, Philippe Aubert qui fête aujourd’hui son anniversaire! Arrivés face au Pic Traversier (2882m), notre guide propose que nous tentions le sommet d’hiver. Nous mettons rapidement les couteaux pour assurer le coup. Au sommet, la vue est belle et plutôt dégagée, entravée par contre par une horde de « raquettistes » qui devaient penser que leurs raquettes pouvaient se transformer en tapis volant, tant ils/elles s’approchaient du bord de la corniche. De notre côté nous avons tout d’abord surfé entre les requins, puis terminé la sortie avec des virages dans une neige plutôt pas mal à skier!
Jeudi 13.2.25
Désillusion. Les prévisions météo ont menti et nous voilà parti pour une mission « into the white ». Le sommet de la Gardiole (2786m) restera la chasse gardée de l’épais brouillard qui l’enveloppe. Tout ça ne devrait pas rendre trop jalouse notre malade qui est restée à l’hôtel. Pour les deux qui ont fait durer le plaisir, les nuages se sont un peu effilochés en cours de journée, laissant percer quelques rayons de soleil.
Vendredi 14.2.25
Apollon a demandé à Éole d’écarter les nuages afin de pouvoir rayonner de mille feux lors de cette journée de St-Valentin. Éole s’exécuta, mais jaloux de la beauté d’Apollon, il décida de souffler très fort toute la journée et de rendre l’atmosphère glaciale. Les amoureux·ses de la nature ont tout de même pu se régaler d’une belle journée. De notre côté, toute le monde était de la partie pour savourer la sortie prévue du côté d’Arvieux. La partie la plus pimentée fut l’arrivée au col sans nom (2556m), avec un vent renversant. Encore une fois, la neige était tout à fait correcte pour le ski!
Samedi 15.2.25
Retour au bercail.
Deux membres ont retardé le moment du départ en allant rendre visite au sommet de la Gardiole sous un soleil radieux et un ciel bleu limpide, sans une once de vent. Ceci pendant que le chauffeur visitait le charmant village de Saint-Véran.
Remerciements :
Merci à Sylvain pour les itinéraires, les échanges, les conseils, l’inspiration (et pour la dédicace du topo !).
Merci à Philippe Aubert pour toute l’organisation.
Merci à chaque membre pour votre énergie unique.
Merci aux habitant·es et aux montagnes du Queyras pour l’accueil.
"La montagne, c'est un espace de liberté, d'évasion et de défi."
Catherine Destivelle
Récit de course rédigé par Larissa M.
(Avec écriture inclusive pour ne pas invisibiliser celles dont l’accès à la montagne fut pendant bien trop longtemps refusé)








Sa 8 fév. 2025
Altels (3629 m) et sa si belle face NW








Ve 7 fév. 2025
A la découverte du Toggenburg
Toggenburg, 1er jour
Chère lectrice et cher lecteurs des récits de courses, connaissez-vous la boulangerie Remo Wuest à Galgenen ? Et bien je vous souhaite de la connaître! Ils ont les meilleurs Laugengipfeln du Canton de Schwyz et il s’agit d’un excellent point de rdv pour se faufiler ensuite dans le Wäggital jusqu’à la source du trou du chien (Hundlochquelle). De quel trou me direz-vous? Ce n’est pas le sujet. De ce trou, donc, nous montons presque tout droit à l’est et à l’ombre du Mutteristock pour atteindre le Redertenstock. Descente par l’itinéraire de montée dans des neiges changeantes mais étonnamment bonnes. Zou! Une bière au bord du lac, et du four à Mandelstangen puis « en voiture Simone » pour Wildhaus. Seule ombre au tableau, Pierre est malheureusement absent, cloué au lit.
Benjamin Chapuis
Toggenburg, 2ème jour
Col à l'ouest du Brisi. Nous démarrons à environ 5 km de notre hôtel, à 890 m d'altitude. En regardant les flancs Sud de la vallée, nous nous disons que l'heure est plus aux chaussures de marche ou de trail qu'aux skis... Heureusement les pentes Nord sont enneigées, même s'il faut un peu chercher les taches de neige au début. Les flancs raidissent et donnent du travail à notre traceur qui avance vaillamment dans du sucre posé sur une couche dure. La situation s'améliore au sortir de la forêt, et nous admirons les magnifiques Chufirsten devant nous, depuis un plateau parcouru par une piste de ski de fond.
Nous faisons une pause au croisement de l'itinéraire qui monte au Brisi et sa pente à plus de 30 degrés. Il a beaucoup soufflé pendant la nuit et cela continue. Nous poursuivons en conséquence notre chemin en direction du col. Nous y pique-niquons au soleil avec une vue saisissante, les falaises à notre Sud plongeant presque directement dans le Walensee. Et biensûr au Nord il y a le Säntis !
La descente se termine sur les pistes de ski, avant la terrasse du bien nommé hôtel Sonne.
Christine Grellet
Toggenburg, 3ème jour
Objectif du jour 3 : Isizier Rosswis 2334 m et Eventuent Gross Fulfirst 2384 m au départ de Malbun ! Nous quittons l'hôtel vers 8h30, déjà un peu nostalgiques de ce dernier jour de notre chouette week-end à la découverte du Toggenburg et des cordons bleus (pour certains) du restaurant de l'hôtel Sonne. Il nous faut 45 minutes pour rejoindre Malbun. L'épaisseur de neige est bien mince au départ, mais cela suffira. La température est agréable, le vent modéré, et le soleil joue à cache-cache avec les nuages. La météo nous convient tout à fait ! On s'attendait à pire !
Comme Erich et Patrick nous y ont habitués ce week-end, nous découvrons lors de notre ascension de magnifiques paysages, tellement différents de ceux que nous avons l'habitude de voir dans nos contrées habituelles. Nous rencontrons même une grande famille de lacopedes. Après 1000 m d'ascension, nous atteignons la croix de notre premier objectif. Pas seules au sommet, nous prenons quand même le temps de croquer un sandwich et de faire l'habituel photo de groupe.
La descente se fait dans une neige que nous qualifierons de moyenne, mais au fil du week-end, nous nous sommes habituées à cette neige changeante et finalement, on trouve ça presque pas mal au final. Nous renoncerons finalement à l'objectif n°2, et oui, nous sommes dimanche et la route du retour est encore longue !
Par contre, tradition oblige, des vieilles gloires du CAS Neuchâtel, nous sommes obligés de nous arrêter au bistrot du parking pour des frites au seau ! Et pour le dernier verre de l'amitié avant de reprendre la route. Les temps et les propriétaires ont changé, et les seaux de frites promis par Erich se sont transformés en petits bols ! Un très grand merci aux organisateurs pour cette organisation et ce week-end parfait.
Severine Röösli








Ve 7 fév. 2025
3 jours à Sankt Antönien (Grisons)
1er jour.
L'équipe s'est donnée rendez-vous dans une auberge bien charmante dans le petit village de Sankt Antönien pour un café afin de faire connaissance. Objectif du jour: le Schafberg.
L'expédition a démarré en longeant un cours d'eau avant de mettre pied sur des pentes douces et régulières. La vue était très belle et donnait sur les sommets qu'on aura l'occasion de découvrir les jours suivants. Pour le midi, nous profitons d’un spot 5* sur la terrasse de la Carschinahütte. Il ne manquait plus qu'une bouteille de Rivella!
À l'approche du sommet, nous avons eu les prémices des talents de Thierry pour faire la trace. Arrivée au sommet, session shooting photo avec notre photographe officielle Clarisse avec ce panorama incroyable à 360°.
La redescente en direction de notre auberge se fait à travers un enchaînement de petites buttes ludiques. La qualité de la neige quant à elle restait bien à désirer.
Le soir venu, nous avons pu profiter des conseils de nos experts en œnologie autour d'un repas étonnement frugal. La seule présence d'une cuillère aurait dû nous alerter sur la suite des hostilités.
2ème jour.
Il faut bien dire que le petit-déjeuner détonnait grandement avec le repas de la veille. C'est la panse bien remplie que nous avons attaqué une longue traversée gelée pour rejoindre l'ascension du Rotspitz. Nous avons chargé notre speedy-Norman de partir à la poursuite d'un randonneur au loin afin de trancher le débat concernant la présence de scotch sur ses fesses.
Nous avons été obligés de mettre les couteaux pour réaliser les derniers mètres jusqu'au sommet, mais la vue en valait la peine. Descente express pour atteindre le lieu du pique-nique avant de remettre les peaux pour entamer le deuxième objectif de la journée: le Schollberg. La pente semblait plus impressionnante de loin, mais une fois dedans, le rythme régulier adopté par le groupe a permis d'atteindre le sommet sans problème.
Nous avons pu faire quelques beaux virages sur le haut. Cela a été fortement apprécié après toute cette neige croutée, même si notre cher doyen Patrick ne semblait pas avoir été importuné par ces terrains taquins en nous offrant toujours le spectacle de ses virages sautés!
Arrivé à l'auberge, Julien nous a fait découvrir le mystérieux contenu de sa gourde en récompense. Puis nous sommes allés détendre nos muscles dans le hotpot et nous avons terminé étonnement plus cuit que la polenta du soir! Mais la dégustation du Röteli a grandement diminué notre peine.
3ème jour.
La dernière journée a débuté par une session de yoga norvégien donnée par Maryline, notre spécialiste des pays scandinave. Nous avons tous été convertis aux pays scandinaves après seulement 3 jours en sa présence, quel exploit!
L'ascension vers le Spitzenbüel s'est fait sans encombre grâce aux traces taillées au piolet par Thierry! Technique surprenante, mais très efficace! S'en est suivi une descente puis une nouvelle ascension vers le Gämpiflue, interrompue par une pause pique-nique. Les derniers mètres ont été plus délicats, les conditions de neige dure nous ont empêchés de poser les pieds sur le vrai sommet.
La descente a permis de rencontrer presque tous les types de neige, ce qui a permis à Gary d'affiner sa technique de descente avec... un plâtre au pouce! Tel le gypaète, notre ami Jo ne se laissait pas beaucoup photographier, mais nous avons réussi à immortaliser quelques traces de son passage!
Afin de terminer la boucle, la troupe s'est séparée après un dernier café dans l'auberge de St Antonin qui nous avait accueilli le premier jour.








Je 6 fév. 2025
Les Attis - Mt. Racine - Les Hauts Geneveys
6 février 2025 Course A pour Jeudiste. Raquettes.
C’est par le car postal de la ligne B380, allant de Neuchâtel au Locle, que tous sont arrivés à 8h01 à l’arrêt Les Petits Ponts, les Attis. La météo n’est pas formidable : la visibilité est réduite à cause du brouillard, le vent du sud-est souffle et il fait froid. Les raquettes sur le sac, nous marchons direction nord-est, passons par la Pourie, la Combe-des-Fies, le point 1333, et arrivons proche de la métairie du Grand Coeurie (invisible tant il y a de brouillard). Nous mettons les raquettes et poursuivons par la métairie de la Grande Sagneule et montons sur la crête. Là, le vent est plus fort. Nous longeons la crête pour atteindre le Mont Racine sans faire d’arrêt. Arrivés à une ferme sans nom aux Grandes Pradières, nous profitons de cet abri pour casser la croute…vite fait. Puis, nous continuons par la loge des Pradières Dessus, les Grandes Pradières, lieu de tirs de l’armée, où nous remettons les raquettes sur la sac. Le cheminement se poursuit à travers la forêt pour arriver à la gare des Hauts-Geneveys. Bravo aux courageux participants pour avoir affronté ces conditions très hivernales.
15 km, +520 m, - 715 m, 6h15 avec les arrêts. 13 personnes.
Adrien Ruchti





Me 5 fév. 2025
Bundstock 2756m
...en attente du rapport de Deborah !





Ma 4 fév. 2025
Cornettes de Bise
Rendez vous pris à 6h30 sous le pont de Boudry avec Jérôme, Camille, Susanne et Josselin. Après un soucis de parking vite résolu, nous récupérons Jonas à Bavois et Mathieu au café à Vouvry. Direction Miex avec l'espoir de partir ski au pieds. Perdu! Il fait beau, il fait chaud, il n'y a pas de neige au départ. C'est ski et veste sur le sac que nous avalons les 200 premiers mètres de dénivelé. Enfin, la neige reprend ses droits et nous sortons les vestes au lac du Tanay dans un paysage magnifiquement hivernal. La montée se poursuit à un rythme agréable sous un ciel toujours bleu.
En arrivant sous la falaise des Cornettes de bises, Jonas trace au soleil le plus longtemps possible avant de nous faire mettre les skis sur le sac, le casque sur la tête et le piolet à la main pour passer le passage clé qui passe finalement très bien grâce aux marches réalisée par notre super chef de course.
Un bouquetin nous accueille à notre arrivée en France. Le soleil étant aussi de la partie, nous pouvons rechausser moyennant les couteaux. S'en suit une remontée rapide de la pente somitale. Rapide mais ponctuée de conversions relativement raides pour moi et c'est après 4h30 de montée et 1430m de dénivelé et 3ème tentatives pour Jérôme que nous atteignons la croix somitale. Là vue est à couper le souffle, en tout cas, c'est le cas pour Eol : l'absence de vent nous permet de multiplier les photos et de prendre le pique nique face au Mont Blanc et au Grand Combin. On s'essaye à nommer quelques sommets du panorama.
La pente somitale se ski dans une neige tout juste détendue, une belle entrée en matière. Pour plat de résistance, Jonas pose une corde sur le spit juste sous la falaise pour nous permettre de descendre skis aux pieds en dérapant, se tenant à la corde les 30m bien raides. Bien calés en bas de cette pente, nous levons la tête : Jérôme récupère la corde, skie la pente à 45° et saute les 2m de barre rocheuse! Splendide! Félicitations à lui!
Place au dessert: 400m de descente dans une neige de printemps moquette 4*. Sous le col de Chaudin, Jonas fait la course avec un chamois. Si à la descente il y a match, le chamois remonte sur le versant opposé à une vitesse folle alors que nous continuons la descente: remonter avec lui nous traverse l'esprit tellement la neige est bonne mais il est déjà 15h. Le temps de remonter, puis redescendre il serait 16h30/17h et seule Camille a pris sa frontale... On finit la descente dans une neige bien froide et encore légère, puis la route enneigée et...à 300m du parking, on remet les skis sur le sac pour finir cette magnifique journée.
Ambiance au top, Soleil, ciel bleu, neige fabuleuse, course complète techniquement et quasiment personne mis à part nous!
Vive les mardis skis!








Ma 4 fév. 2025
La Grand-Joux-Le Locle raquette
La randonnée était prévue en raquettes, mais la faible couche de neige nous a permis de l’effectuer sans. En bus, nous avons quitté un dense brouillard, persistant depuis plusieurs jours, pour atteindre la Grande Joux par une journée ensoleillée, sans aucun nuage, et une température presque printannière.Quel cadeau! La marche sur neige damée par les randonneurs des jours précédents était des plus agréable. Au Petit Sommartel nous attendait une place de pique-nique rêvée, à la vue dégagée, où nous avons dégusté en dessert le délicieux cake d’Ida. Avons ensuite atteint le Grand Sommartel, puis ammorcé la descente sur le Locle, en forêt, puis sur des pâturages recouverts de taupinières, qui nous ont embourbées comme rarement.Ce fut une très belle journée, une belle équipe, de la bonne humeur!
Christiane








Lu 3 fév. 2025
Initiation ski de randonnée dans le Jura
Sortie au Bürgle du lundi 3 février, organisée par Philippe Aubert et Dominique Gouzi
Déçue de n’avoir pu participer au cours Hiver de janvier, je me suis rapidement inscrite à cette sortie d’initiation au ski de randonnée proposée par Philippe Aubert et Dominique Gouzi.
Elle devait avoir lieu dans nos montagnes du Jura… et faute de neige je craignais qu’elle ne soit annulée !
Lorsque la confirmation d’inscription m’arrive et qu’il est mentionné que la recherche d’une nouvelle destination dans les Préalpes est en cours, je suis ravie ! C’est ma première sortie de ski de randonnée avec le CAS Neuchâtel !
Je connais déjà Dominique par le cours DVA suivi en décembre 24 dans les pâturages verts jaunes de la cabane Perrenoud… et également Philippe par le biais du Parc Chasseral et de Neuchâtel Rando.
Au parking de Saint-Blaise je fais la rapide connaissance des trois autres femmes inscrites, Elsbeth, déjà rencontrée au cours DVA, Noëlle Christine et Catherine. Peu après 8h nous sommes sur la route en deux voitures direction Düdingen, Plaffeien ; une bien agréable pause boissons et « petit coin » me permet d’écouter les unes et les autres et réaliser qu’en fait nous avons toutes déjà plus ou moins de pratique ! Ce que nous recherchons principalement est de faire une course facile, dans la détente et le plaisir, bien encadrées par nos responsables de course. Ils pensent à renommer leur proposition…
Dès Schwefelbergbad nous sortons enfin du brouillard et stationnonsquelques virages plus loin à notre base de départ, la Untere Gantrischhütte.
Préparatifs au soleil, ça commence au mieux. Après l’incontournable contrôle de mise en fonction de nos appareils DVA, notre colonne se met en mouvement. Le rythme donné par Philippe me convient tout-à-fait ; nous progressons dans la vallée encore à l’ombre en direction du col de Morgete.
Dans tous les couloirs environnants nous apercevons maintes traces ; plus aucune « page » vierge de visible. Peu m’importe, ce n’est de loin pas mon but de laisser ma signature et c’est de toute façon trop raide pour mes débuts ! Je ne doute pas que j’arriverai une fois ou l’autre avec mes collègues au sommet prévu, le Bürglen, par contre ce qui me préoccupe c’est ce passage au loin juste au-dessous du col… ça m’a l’air bien raide, en fort dévers et les skieurs que j’y aperçois ne se déplacent pas aussi aisément qu’avant…
Pause pour mettre les couteaux. Un exercice disent-ils, mais peut-être aussi utiles plus loin…
Je constate que cela rend mon avance moins fluide (pas très agréable en fait) mais cela me rassure pour la suite car une fois posé, le ski ne bouge plus.
Juste derrière Philippe je m’engage quelque peu tendue dans cette pente qui s’accentue toujours plus ; il choisit de faire une trace au-dessous de celle très marquée… Ohlà… Je m’applique à poser mes skis exactement sur ses traces mais ce n’est pas mon poids qui va les marquer davantage pour mes collègues… Un petit pas après l’autre. Merci les couteaux !
Un mètre au-dessous du passage du col je vois Philippe faire une nécessaire conversion... Ce n’est pas l’endroit idéal pour m’exercer ! J’écoute mon guide bienveillant qui me rappelle dans le détail ce qu’il me faut faire.
Le col franchi, le soleil, la vue… le soulagement d’y être ! En attendant mes collègues j’exerce mes conversions ; presque à plat c’est tellement évident et facile…
Pause bien méritée avant la prochaine partie d’ascension; nous observons une coulée de neige appelée « gueule de baleine » et apprenons que la couche n’est toujours pas stabilisée, qu’il faut s’en méfier.
Couteaux enlevés, nous repartons. Cette fois-ci sur le versant bien ensoleillé, chic ! Il nous reste un petit dénivelé de 200m.
Peu après le départ une participante souhaite que l’on remette les couteaux car les traces déjà maintes fois parcourues sont parfois gelées. Philippe l’encourage à essayer encore et il trace ailleurs. Plus loin la neige est cartonnée ; je m’imagine la descente… elle sera difficile !
Sommet du Bürglen en vue, quelques skieurs sont assis juste en contrebas. Nous comprenons vite pourquoi en voyant s’envoler la neige…
Accueillie par une belle bourrasque qui me déstabilise, je suis Philippe sur les quelques mètres carrés du sommet arrondi. Quel magnifique panorama ! Weisshorn tout au loin ? oui !
Après les myriades de photos de groupe partiel puis au complet grâce à un jeune skieur bien entraîné qui s’est proposé comme photographe (nous avons pu constater son rythme à la montée !), nous nous affairons à enlever les peaux puis nous installer pour le pique-nique. Nos guides sont déjà installés alors que nous faisons à notre rythme… certaines se demandant si elles auront encore le temps de manger avant de repartir ! Heureusement il n’y a aucune pression de temps.
Je retiens qu’il faut éviter d’exposer les semelles noires de mes skis au soleil si je souhaite pouvoir glisser au mieux ; j’apprécie grandement ce genre d’information pratique.
Une personne présente nous informe qu’il est prévu de placer des panneaux solaires sur ce versant… De quoi réfléchir au bien-fondé du projet.
Philippe et Dominique se demandent par quel côté descendre pour nous faciliter la vie pas si facile à notre niveau de skieuses hors-piste… Mes premiers virages sont crispés… puis je reprends peu à peu confiance en mes capacités.
Pas mal finalement cette poudre ! Nous descendons une très belle pente à côté de la gueule.
Le passage du col nous permet d’exercer les dérapages… ma tension est brièvement réapparue… puis nous pouvons nous lâcher pour une nouvelles séries de virages dans une très belle neige !
Un exercice de recherche de victimes d’avalanche nous occupe un bon moment, au soleil, dans une neige qui rend les déplacements rapides difficiles… Répéter, répéter pour ancrer dans nos têtes et nos corps.
Encore quelques virages et un peu de gymkhana au milieu des arbres et nous sommes de retour au parking.
Je suis enchantée de ma sortie. Un grand merci à Philippe et Dominique ainsi qu’à mes co-aventurières Elsbeth, Catherine et Noëlle Christine. Ce fut une très belle expérience, enrichissante sur le plan humain et technique ! J’en redemande !
A bientôt.
Denise








Di 2 fév. 2025
Hohniese / Bündihore (2454m)
Après une organisation rapide pour les transports, il est décidé que 2 véhicules iront séparément pour se retrouver au parking au-dessus de la scierie au lieu-dit Chirelsagi.
Au réveil, nous apprenons qu'un "wrong start" a eu lieu à Neuchâtel suite à une batterie récalcitrante. Mais l'efficacité d'un dépanneur joviale ne fera perdre que 30 minutes à la voiture partant de Neuchâtel.
Rendez-vous est donc pris au restoroute de Münsingen, puis nous allons en convoi au lieu de rendez-vous initial avec un retard relatif.
Mais notre chef de course Gilles a la crainte d'un parking sur-occupé. Ce qui s'avère être le cas. En effet, ce beau temps en ce dimanche de début février a attiré du monde pour aller faire les courses qui s'offrent au départ du parking dans cette vallée du Diemtigtal. Nous trouvons néanmoins à nous garer un peu en contrebas du parking le long de la route.
Après s'être équipé, avoir fait le check DVA, nous nous élançons pour une montée le long de la vallée pendant 1h15 jusqu'au stand de tir. Ces premiers km nous permettent de nous mettre dans le rythme et de faire plus ample connaissance avec nos collègues du jour. C'est très agréable même si la montée se fait principalement à l'ombre.
Après un arrêt ravitaillement rapide au stand de tir, au pied du magnifique cirque qui s'ouvre devant nous, avec au sommet le Cheibehore, le Winterhore et la Männiflue, nous entamons la montée par un chemin régulier qui va nous amener à un bel alpage en plein soleil, où un nouvel arrêt ravitaillement a lieu. Nous sommes au 2/3 de la montée. Après avoir pris quelques forces, la montée finale se présente à nous, sous un soleil radieux.
Après une dernière heure d'effort, nous atteignons le sommet pour embrasser un panorama superbe sur le Kandertal, sur les montagnes aux alentours qui dominent le cirque précédemment cité (et que nous tutoyons presque en termes de hauteur). Au loin nous apercevons les 3 Bernoises, les lacs de Thoune et de Brienz, et même le Chasseral s'offre à nous avons son beau manteau blanc.
Après une photo au sommet, le repas est avalé en dissertant sur l'humour suisse, et spécialement les deux Vincent, avec un groupe de jeunes alsaciens fort sympathiques et fans de ces humoristes romands.
La descente se fait par le même chemin car redescendre par le côté est dans la vallée qui abrite le Meiefallseeli aurait été trop périlleux et il aurait sans doute fallu beaucoup marcher en fin de descente.
Les conditions de neige sont très bonnes ce qui permet un ski d'excellente qualité. Puis nous retrouvons nos véhicules vers 14h30 ce qui nous permet d'aller encore boire une verre, offert par Carlos, merci à lui, au Gasthof Adler à Latterbach, pour nous remémorer les images de cette très belle course et les beaux moments que nous avons passés ensemble. Merci à chacun pour sa participation et merci à Gilles de nous avoir amené au sommet de façon sûre et experte.
Fred








Sa 1 fév. 2025
Schwalmere (2777m)
"Et si nous allions au Faulhorn? Jamais fait, moi non plus. C'est pas mal: il y a plein de possibilités, on peut mettre prendre le bus pour démarrer notre aventure à 2000m. Feu! On y va!"
Un degré 3, l'envie d'apporter du plaisir et l’en de nous faire plaisir nous ont menés, Guido et moi, à abandonner notre idée de traverser au Kiental depuis Isenfluh pour proposer une alternative originale : Winteregg suivi du Faulhorn et plus si entente. Bien nous en a pris.
Le Winteregg offre une montée sereine et scénique avec les Bernoises, le Schreckhorn et notre cible initiale qu’est la Schwalmere en arrière plan. Cette montagne plate invite également à une descente variée, pentue puis joueuse.
Le Faulhorn fait un peu pitié, pelé par le vent, connecté par la piste de luge. Il ne faut pas se fier aux apparences. Le Faulhorn se mérite et il a beaucoup à offrir: p.ex. une belle et longue descente sur Grindelwald par Bussalp, ou encore une bascule au nord pour une traversée jusqu'à Axalp. Nous avons choisi cette dernière option. Elle débute par un chouette couloir, assez long dans une neige dure, puis revenue et ensuite poudreuse pour nous emmener aux abords du terrible Fangisalpbach, défendu par une armée d'éboulis, de sapins et de vernes. Nous en sommes venus à bout, surtout grâce à la vaillance et au flair de Guido (merci Guido) pour repeauter dans un endroit aussi féerique que glacial, j'ai nommé le Bödeli. 300m de montée et nous voilà sur les pistes d’Axalp qui se terminent dans le brouillard.
Après avoir loupé un bistrot sympa sur les pistes (argh) stressés que nous étions d'attraper le dernier bus de 42 – qui n'était finalement pas le dernier bus et qui était à 17 – nous nous sommes rattrapés et avons squatté le Lädeli d’Axalp, bu une chope à Brienz suivie d'une autre dans le wagon-restaurant. C'est bien les transports publics.
Quelle belle, longue et magnifique journée. Merci à toute l'équipe pour votre confiance, vos sourires et votre bonne humeur!
Benjamin








Sa 1 fév. 2025
Initiation à la cascade de glace








Ve 31 jan. 2025
Ski de fond en Haute Engadine - Pontresina
Jour 1
Départ de Neuchâtel de bonne heure, presque sans cheffe de course... heureusement elle est arrivée à la gare et s'est engouffrée dans le train à la dernière minute ! Quelques changements de trains plus tard, nous arrivons en début d'après-midi à l'auberge de jeunesse de Pontresina. Nous nous partageons en deux groupes : les "classiques" et les "skateurs-euses" pour une première virée qui nous conduit jusqu'à Samedan pour les unes, jusqu'à Bever pour les autres. Christelle
Jour 2 :
Pontresina, Celerina, Bever, Val Bever, Spinas , au retour détour par Bever jusqu'à Zuoz , d'où retour par train .
Un peu de neige fraiche le matin, couvert et froid, améliorations durant journée. Magnifique Val Bever longeant la ligne de train de l'Albula . Montée en pente douce dans les forêts enneigées jusqu'à Spinas, on mange en plein air avec couvertures ..Val Bever 10 kms , mais total course 26 kms .Groupes skating et classique parcours quelque peu différents. Ne pas rater Val Bever, inoubliable!! Willy et Heinz.
Jour 3 : Val Rosegg
Nous partons vers 9.30 par un froid glacial pour la montée au Val Roseg. Belle montée douce, au début le long de la rivière Ova da Roseg et ses beaux ponts, puis à travers la magnifique forêt d’arolles. Ce n’est qu’au-delà du restaurant que nous trouvons enfin les premiers rayons du soleil qui nous réchauffent. Après une bonne halte avec soupe grisonne, capuns et pâtisseries à gogo, nous redescendons pour un après-midi en liberté ! Christine, Claudine et Geneviève
Jour 4 : Morteratsch
Le dernier jour c’est la cerise sur le gâteau, la découverte de l’intérieur du Glacier de Morteratsch. A ski de fond (skating ou classique) ou bien en train depuis Pontresina jusqu’à la gare de Morteratsch, le long de l’Ova de Bernina puis à ski ou à pied jusqu’au début actuel du glacier le long de l’Ova de Morteratsch, et finalement pour tous à pied à la découverte des grottes glaciaires. Les grottes sont féériques avec des plis de glace au plafond et d’immenses blocs de glace ou de glaçons arrimés au sol. L’une d’elle est même traversante. À découvrir sans tarder…
Le retour se passe avec des étoiles dans les yeux, à pied, à ski puis en transports publics jusqu’à Neuchâtel. Un grand merci à Patricia et à Sanae organisatrices. Véronique








Ve 31 jan. 2025
Pointe de Chemo SE par Chamosentse (2626m) /Ovronn
Décidément, cette Pointe de Chemo n’a guère envie de nous accueillir. Initialement prévue le 9 janvier 2025, nous avions dû renoncer à cause d’une météo exécrable. Mais pas question de se résigner ! Nous avons proposé une nouvelle date… Hélas, rebelote : le risque d’avalanche était à 3, et les nuages s’étaient invités à notre journée.
Toujours déterminées, nous avons opté pour un plan B : le classique Walighürli. Cet itinéraire reste sûr lorsque le risque d’avalanche est marqué, et les reliefs (forêts, vernes et chalets) offrent une précieuse aide en cas de jour blanc. Cette option s’est révélée parfaite pour ce dernier jour de janvier. De gros flocons nous rappelaient que l’hiver n’était pas terminé, créant une atmosphère sereine, et nous avons pu tracer de belles courbes dans une neige agréable.
Tout le monde semblait ravi.
Séverine et Susanne








Ve 31 jan. 2025
Sortie en raquette "nouvelle lune"
Une belle sortie qui avait pour but non pas d’admirer la vue, mais d’admirer la nuit! Une jolie couche de neige nous a permis de chausser les raquettes sur tout le parcours dans la région de Tête de Ran et nous avons profité à fond de la nuit avec tous nos sens en éveil. Ceux-ci nous ont permis de marcher sans l’aide des lampes, de ressentir les différentes textures de neige sous nos raquettes et de reconnaitre les bruits de la nuit. Une riche ballade!
Mazal





Je 30 jan. 2025
Les Breuleux
Organisateurs : Jacques Isely et Jean-François Zürcher
Jeudi 30 janvier 2025
Vu les conditions d’enneigement, la course B prévue en raquettes aux Breuleux et au Mont Crosin s’est transformée en randonnée T1 (par conditions difficiles). Le matin 11 jeudistes ont parcouru 9 km, +/- 190 m, en 2h35 au total.
Après le café à l’hôtel de la Balance, nous sommes partis avec un temps nuageux et de légères pluies partielles. La randonnée était variée sur routes, chemins, sentiers et à travers de beaux pâturages. Des parties enneigées, verglacées, boueuses avec quelques clôtures parfois en barbelé ne nous ont pas posé problèmes.
De retour à l’hôtel de la Balance, nous avons été accueillis pour le repas de midi. Contrairement aux prévisions des jours précédents, la pluie s’est mise à tomber sérieusement. La démocratie a décidé de donner congé pour l’après-midi aux organisateurs et de prolonger agéablement les discussions à table.
Merci aux participants et à Jean-François pour avoir apprécié cette aventure!
Jacques








Di 26 jan. 2025
Bäderhore (2008m)
Ski de Rando Bäderhore… pas assez de neige pour la traversée prévue… Christelle nous propose un tour du côté des Mosses.
On se retrouve pour le café au col, on s’équipe et direction Pra Cornet par la piste de ski de fond avec objectif Col du Tarent.
Belle montée avec 10 cm de jolie neige fraîche, le vent fait tourbillonner la neige, le paysage est magnifique, il fait froid bien froid, une équipe de freeriders s’éclate dans un couloir bien engagé, les randonneurs ont le sourire, la vie est belle en montagne !
L’équipe s’accroche au glissement des spatules de Christelle et à son rythme.
On arrive aux gros rochers avant la montée finale en direction du col du Tarent.
Patricia décide d’attendre là en profitant des rayons de soleil.
Isabelle, Maud, Luc et Alexandre suivent Christelle presque jusqu’en haut.
La descente se passe bien avec objectif la Buvette de Pra Cornet, grande motivation pour une pause bien méritée.
Bien jolie alternative proposée par Christelle. Un grand merci.
Patricia








Ve 24 jan. 2025
Mauerhorn
Mercredi la sentence tombe: rendez vous en tete de train vendredi matin à 5h32.
Double réveil mis en place, les yeux pleins de sommeil, on se retourne et les langues se délient après le café à Berne.
A Ferden Dorf, la météo est belle et la route de départ rail tracke permettant un début de montée efficace. Malheureusement au bout de 30min, Susanne décide de faire demi tour ne se sentant pas bien. La parité 4 femmes 4 hommes est maintenant rompue mais cela ne nous empêche pas de continuer à remonter le chummunäbritz aussi appelé "vallon où il fait froid" à cause du vent et de l'ombre omniprésente.
Qui dit froid, dit montée rapide pour ne pas se refroidir : on tient les 400m/h et les courtes pauses nous permettent de nous retourner pour observer la vue.
On atteint le Galmpass après 4h de montée : la vue s'ouvre et nous recevons des rayons de soleil bienvenues. 15min plus tard, après 1600m de d+ nous touchons au but! Quelle belle vue sur notamment le Weisshorn ! Mais le vent nous empêche de prendre le pique nique ou d écrire dans le gipfelbuch. On enlève les peaux et Benjamin a le plaisir de faire la trace sur les 10cm de neige fraiche sur fond dur. Excellente ! Jamais raide, toujours bien enneigé nous prenons beaucoup de plaisir !
Après une pause au soleil, remise de peaux, un dernier bout de descente et 1km de marche sur la route nous voilà au bistrot attendant la benne pour Gampel. Comme les horaires de cette dernière ne nous permettait pas de prendre notre bus, Eric négocie une benne spéciale pour nous, qui nous permet d'arriver à 18h28 à Neuchâtel
Merci Eric et Benjamin pour l'organisation de cette superbe course!
Merci Joëlle Tommy Camille Laurence et Susanne pour cette belle journée
A bientôt
Josselin








Ve 24 jan. 2025
Galmschibe (2425m)
Suite au changement de date dû au mauvais temps, nous partons à quatre au Galmschibe.
En arrivant au parking nous constatons que la neige censée être tombée la veille n’est pas là.
La première partie dans la forêt est assez sportive, nous devons souvent porter nos skis.
À la sortie de la forêt la neige est au rdv et le soleil aussi. Après 2-3 petits arrêts boisson et quelques conversions nous arrivons au sommet. La dernière partie se fait à pied, ceux qui ne connaissaient pas décident de monter. En attendant, nous mangeons au soleil avec devant nous un magnifique panorama sur les montagnes bernoises. Nous descendons tranquillement, heureusement il y a assez de neige avant de prendre le chemin qui nous conduit jusqu’au parking. Un petit verre s’impose avant le retour à la civilisation. Il faut dire que nous n’avons croisé personne toute la journée!
Merci Christelle pour ta disponibilité et aux participants pour cette belle journée.
Barbara




Je 23 jan. 2025
Le sentier des Bornes
Plan B – Sous le soleil des vignes
Le sentier des vignes, de Bienne à La Neuveville, nous a offert une magnifique échappée de 15 km. Entre lac scintillant et villages pittoresques, la météo nous a gâtés bien au-delà de nos espérances.
Merci à toutes pour votre belle énergie.
Geneviève et Daniela






Je 23 jan. 2025
Les Franches-Montagnes / SkF & Raq
Valangin - Montmollin - Vauseyon, (re)découverte de la forêt de Peseux
Bien sûr on a regretté la neige disparue, mais la course de remplacement a permis à chacun de (re)découvrir la forêt de Peseux. Un départ retardé nous a permis d'éviter complètement les pluies matinales et la brusque amélioration météo vers midi a dégagé le ciel et a même amené le soleil.
Après le café au Relais du Château à Valangin offert par notre nouveau membre Gerhard (remreciements), la randonnée commence par la montée au Gibet de Valangin où sont évoquées les atrocités de la justice médiévale. L'itinéraire conduit ensuite successivement par la forêt de Peseux et par la Serroue jusqu'à Montmollin et le restaurant de la Gare où l'assiette du jour nous est servie. L'après-midi, retour vers l'Est selon un itinéraire plus au sud nous conduisant, après une descente finale dans le gorges du Seyon, jusqu'à Vauseyon où le groupe se disloque.
Merci à Roland pour sa contribution à la conduite de la course et à toute l'équipe pour le bon déroulement.
Heinz








Lu 20 jan. 2025
Turne (2079m.) et Puntel (1921m.) en traversée
La course initialement prévue n’a pas pu avoir lieu en raison du faible enneigement de la région. Elle a été remplacée par une autre traversée de Engstigenalp (en dessus d’Adelboden) à Kandersteg en passant par le col du Chindbettipass et la Rote Totz. Vu les conditions météo annoncées nos cheffes de course avaient même un plan C qui n'a pas été nécessaire. Nous avons donc pris deux trains, des bus puis une télécabine pour arriver à Engstigenalp. Tout cela sans pause-café au grand dam de Patrick 😉, dans le but de ne pas nous faire surprendre par les nuages annoncés. La montée au col de Chindbettipass était très venteuse avec quelques traverses bien gelées qui nous ont fait amortir nos couteaux, ainsi que quelques exercices de conversion pour parfaire notre technique. Nous avons trouvé un endroit abrité au sommet du col, ce qui nous a permis de pique-niquer sans avoir trop froid. Puis nous sommes descendus dans une combe afin de remonter sur la Rote Totz. Nous ne sommes pas allés jusqu’au sommet vu les mauvaises conditions de neige. Pour finir nous avons effectué une longue descente puis parcouru un faux plat le long d’une vallée pour atteindre Sunnbüel et ainsi débuter notre retour en télécabine, bus puis train.
Merci aux participants (Joëlle, Patrick et Pascal) ainsi qu’à nos cheffes de course au top (Laurence et Suzanne) pour cette belle journée.
Florent








Lu 20 jan. 2025
Ski de fond dans le Jura
Un grand merci à Heinz pour cette journée au-dessus du brouillard !
Noëlle Christine Berthod








Sa 18 jan. 2025
Col des Martinets 2621 m
Ce matin-là, le soleil brillait généreusement sur la vallée, éclairant les sommets enneigés des Alpes vaudoises. L'air était frais, mais l'enthousiasme était palpable, tout comme le désir de profiter pleinement de cette journée en montagne. Après un changement de destination pour chercher un terrain plus élevé, nous nous retrouvions finalement à Ovronnaz, prêts pour l'ascension de la Dent de Morcles. Le parking d'Ovronnaz était déjà bien fréquenté à notre arrivée, signe que beaucoup d'autres avaient eu la même idée.
Nous avons quitté le parking vers 8h50, et avons attaqué la montée en suivant la combe, un itinéraire classique mais toujours aussi agréable. Le tracé était bien marqué, mais il fallait tout de même être attentif à certains passages où la neige était dure. Manu nous a marqué un bon rythme, comme d’habitude, et nous avons rapidement trouvé notre cadence. Le temps était agréable, et la neige tenait bien sous nos skis.
À mesure que nous prenions de l’altitude, la vue sur le Massif des Dents du Midi s’ouvrait de plus en plus, chaque sommet enneigé semblant nous inviter à poursuivre l’ascension. Cependant, au fur et à mesure que nous nous rapprochions du sommet, le vent s’intensifiait. Un vent froid balayait les crêtes, soufflant fort au sommet du Col de Fenestral.
Vers midi, après une montée constante et régulière, nous atteignions enfin la Dent de Morcles. Nous avons déposé nos skis quelques mètres avant le sommet. La vue était magnifique, comme prévu, mais le vent fort qui soufflait nous a rapidement poussés à redescendre pour trouver un peu plus de tranquillité.
La neige, bien que correcte pour la montée, était parfois soufflée et cartonnée sur certaines sections. Nous avons décidé de descendre par le Grand Cor pour ensuite remonter à l'arête sud de la Tête Séri. Nous avons poursuivi notre descente, pour finir par regagner la même combe de montée, avant de rejoindre les pistes d’Ovronnaz.
Finalement, nous avons terminé notre journée vers 14h15. La journée s’est clôturée autour d’un verre dans une boulangerie, où nous avons partagé nos impressions de la journée et échangé sur les petits défis rencontrés. Malheureusement, il n'y avait pas de frites !! ;-)
Une belle journée en montagne, avec des conditions variées mais globalement acceptables. Le vent a ajouté un peu de piquant à l'aventure, mais rien ne pouvait gâcher cette sortie à la Dent de Morcles.
Carlos


Ve 17 jan. 2025
Tour de Famelon
Seeberghore et Palette d'Isenau :
Le manque de neige au Sépey nous a fait renoncer à la Tour de Famelon. Nous sommes 7 à nous retrouver à l'arrivée du bus au col du Pillon, la majorité du groupe s'étant déplacé en transports publics.
La montée se fait par le col du Voré, où le soleil a tôt fait de nous réchauffer. Nous dépeautons à Chalet Vieux pour descendre en direction du lac d'Arnon, qui nous gratifie d'un beau paysage avec sa surface gelée. La neige est poudreuse et la forêt nous indique qu'il est temps de nous arrêter et de repeauter. La montée au Seeberghore se déroule sans encombre et nous arrivons au sommet après les dernières conversions.
Début de descente prudent dans cette pente un peu plus raide et déjà bien tracée, puis nous retrouvons les joies de la poudreuse avant un pique-nique aussi apprécié qu'ensoleillé, contre un chalet au point 1712. Toute la sympathique équipe, bien homogène, est motivée à remonter à la Palette d'Isenau, d'où nous rejoignons à nouveau le col du Pillon par celui du Voré.
Un grand merci à notre cheffe Camille et à toute l'équipe pour cette magnifique journée, avec une pensée toute particulière pour la co-organisatrice qui a du renoncer pour se soigner.





Ve 17 jan. 2025
Bunderspitz (2546m)
Grâce aux transports en commun, l'équipe se forme petit à petit: Maud, Alexandre, Valentine, Barbara, Mariannes et Josselin montent à Neuchâtel, Susanne monte à Ins et, après un café à Berne, Philippe complète le groupe dans le train pour Frutigen.
Les discussions vont bon train sur la quantité de neige: d'après White Risk, conditions ideales avec 20 à 50cm de neige depuis le départ. Cependant la réalité nous rattrape au moment de chausser: c'est plus 2cm à 5cm en dessous de 1400m…
Mais cela n'entame pas la bonne humeur qui n'a d'égale que le bleu du ciel! On monte tranquillement le plus souvent 2 par 2 en discutant de tout et de rien : comment aller en Afrique sans prendre l'avion?
Vers 2000m, le froid qui se fait sentir et la crainte d'une neige verglacee a la descenge ont raison de Maud et Barbara qui redescendent avec Alexandre avec pour mission de nous trouver un itinéraire de descente skiable (l'itinéraire de montée étant définitivement trop pauvre en neige)
Le reste continu. On sort bientôt de l'ombre pour un soleil qui nous rechauffe tout en défaillant la neige et c'est ski aux pieds que nous atteignons le sommet. La, soleil, ciel bleu, vue superbe et pas un souffle de vent!
Nous prenons le temps et le pique nique. Vient le temps de la descente, jusqu'à 1800m, la neige est finalement super avec de belles courbes à tracer !
Puis grâce a un coup de téléphone à Alexandre, nous obtenons un itinéraire skiable et une information cruciale: 50min avant le départ du bus.
La descente est menée sans précipitation mais sans traîner et c'est avec 5min d'avance que le groupe se réforme à l arret de bus.
Merci Susanne pour cette belle journée en montagne
Merci à tous pour votre bonne humeur, votre joie d'être là et ce bon moment!








Je 16 jan. 2025
Morat -Lumières 2025
Festival des Lumières de Morat (du 15 au 26 janvier 2025)








Me 15 jan. 2025
Mini camp de ski de fond
Mercredi 15 nous nous retrouvons à La Vattey. Deux groupes se forment pour parcourir différentes distances. Nous nous retrouvons à midi pour un repas “d’usine”. L’après midi certains repartent à l’assaut des pistes tandis que d’autres allaient rejoindre l’hôtel.
Jeudi 16: Ski de fond dans la forêt du Massacre au depart de Lajoux, et retour par la combe des Chèvres . A nouveau 2 groupes qui se retrouvent pour le repas de midi.
Vendredi 17: ski de fond au départ des Trois Cheminées pour atteindre la Borne au Lion et le chalet de la Pesse où les 2 groupes se retrouvent pour un repas.
Samedi 18 : ski dans la forêt du Risou où différentes distances sont parcourues selon les capacités et les envies.
Tout c’est bien passé et à part quelques chutes sans gravités, tous sont rentrés en pleine forme








Me 15 jan. 2025
Nods - Chasseral
Première sortie 5 étoiles !
Membre du CAS des Diablerets depuis quelques années, je n’en suis pas à ma première sortie de Club. Mais ayant déménagé sur Neuchâtel fin 2024, je faisais ce mercredi ma première sortie avec ma «section supplémentaire». Et pour une première, c’est le tapis rouge qui m’a été déroulé.
18h : pris en charge à deux pas de chez moi pour un covoiturage par Monsieur le Président Jeanda en personne, excusez du peu.
18h30 : arrivée au parking des Savagnières, littéralement au pied de la trace de départ de l’itinéraire. Donc marche d’approche de 20 pas avant de chausser les skis. Rencontre avec les autres participants qui semblent sympathiques. Répartition dans les sacs individuels du fromage, du pain et du vin pour la fondue dont le chef de course s’est occupé de l’achat. J’apprends qu’il est possible de faire une course du CAS sans DVA, et je dépose le mien, entre sentiment de liberté et de sacrilège, dans mes chaussures de ville qui resteront en bas.
18h46 : départ tranquille d’une petite montée facile de 365 mètres de D+. Le vent qui siffle dans les arbres ne nous touche pas. A mi-parcours, on enfile les couteaux pour éviter de déraper sur une neige dure entrelacée par des cailloux bien apparente. Au moment de les retirer, une lune encore quasi pleine se lève au-dessus de la crête du Chasseral. On éteint alors les frontales pour continuer l’ascension en admirant les étoiles dans un ciel totalement dégagé.
20h02 : moment magique où l’antenne du Chasseral apparaît dans un décors de cinéma ; une brume légère remonte le flanc est de la montagne et s’élève dans les airs éclairée par la lune. Chacun tente de capturer ce moment sur son smartphone, mais les yeux et le cerveau en garderont une bien meilleure image.
20h10 : arrivée au Chalet la Cornette. Et là, grosse surprise : alors que l’on s’attendait à cuire notre fondue sur un réchaud à gaz et boire notre thé du thermos, le chalet est éclairé, chauffé par un splendide feu de bois, la table est dressée et l’apéro est servi. Un membre du Ski-Club Chasseral qui est monté dans l’après-midi nous accueille en effet ainsi de la plus belle des manière dans leur cabane. Une quantité improbables de bouteilles de bière, de rouge et de blanc – dont deux délicieuses «Porte de Novembre» de la maison Gilliard – sortent des sacs, de la cave et du grenier. Nous les dégustons avec les chips, les flûtes, olives et autres saucissons artisanaux qui nous attendaient, pendant que je découvre, finalement, les visages de mes camarades du jour, qui se résumaient jusqu’à présent à un prénom, une voix, une paire de lattes et une lumière blanche sur le front.
Pendant ce temps, les cuisiniers préparent la fondue, qui se révélera aussi crémeuse qu’excellente. Nous la dégustons, mieux qu’à la maison, dans des vraies assiettes, avec des verres à pieds et à la lumière des bougies et des frontales, les panneaux solaires n’ayant pas suffisamment capturé d’énergie pour tenir toute la soirée. On a même droit, en dessert, à une exquise tourte de Linz faite maison. Je m'extasie de manière égale de son goût que du fait que sa pâtissière ait réussi à la monter sur son dos sans l'endomager. Avec toutes ces belles victuailles, l'ambiance est radieuse et rieuse. Grâce aux anciens, j’apprends quelques anecdotes hilarsntes et même deux ou trois ragots - qui resteront entre ceux qui les ont partagés ! - mais aussi que la section va fêter ses 150 ans cette année. J’évite de justesse d’être nommé volontaire au sein de la commission ad hoc, mais en tant que «bleu», je ne peux pas échapper à la traditionnelle tâche de rédiger ce compte-rendu de course, que j’accepte de bon cœur.
22h30 : vaisselle faite, chalet rangé et balayé, livre d’or signé, toutes couches enfilées pour faire face à la bise qui s’est levée, nous partons pour une courte mais agréable descente à la frontale. Les lueurs croisées des faisceaux nous permet d’éviter assez efficacement les parties de terre et de cailloux qui jalonnent le parcours. C’est cependant un plaisir particulier de retrouver la piste fraîchement damée des Savagnières et d’y carver quelques virages en toute liberté avant de retrouver les voitures. A la surprise générale, personne ne semble avoir péjoré la semelle de ses skis, qu’ils soient «cailloux» ou «quasi neufs».
23h00 : une gentille participante me re-dépose au pied de mon vélo à la COOP de Vauseyon.
23h15 : je réalise sous la douche que je viens de faire la course CAS la plus luxueuse de ma vie et que, alors que je me sens totalement en mode vacances, je vais devoir régler le réveil pour aller travailler demain.
Un grand merci à Jeanda, au Ski-Club La Cornette, aux sympathiques participants de cette sortie, et au CAS Neuchâtelois pour cet accueil 5 étoiles.
Le standard de qualité neuchâtelois ayant aussi brillamment été posé, que mes futurs chefs de course soient prévenus, je ne m’attends pas à moins bien pour les suivantes ;-)
Récit Xavier








Ma 14 jan. 2025
Autour du Chasseron
Reportée d'une semaine en raison des mauvaises conditions météo (pluie et fort vent), la course s'est finalement déroulée au Hundsrügg en raison de l'enneigement trop faible sur le Jura. Tempête de ciel bleu et vue magnifique, notamment sur la chaîne des Gastlosen, mais on se réjouit que la neige revienne “chez nous” !




Ma 14 jan. 2025
Mariannehebel et Traumluecke
Tous prêt pour cette journée… pas sur...
Dans ma voiture, nous sommes 4, notre super guide et deux trailers, ça discute et moi je stress, j’ai jamais fait autant de dénivelé, et en plus cette année je n’ai pas vraiment randonné… et j’aurai des grands sportifs dans le groupe.
Départ de la randonnée avec un « pas » assez rapide, c’est qu’il fait -10 degré, on met le moteur en marche afin de se réchauffer, l’effet se fait vite sentir et on enlève régulièrement des couches. Chemin facile au départ, puis des conversions, l’arrivée à Mariannehebel va bien, belle neige, soleil. On pique-nique au soleil rapidement. De la bonne neige pour descendre, on se fait plaisir, et on est heureux.
Repautage pour le Traumluecke, jambes mortes à cause de la descente, retrouver la force de monter se fait très tardivement, montée irrégulières, c’est pas confortable, des conversions, des bouts droits raides, tendances à glisser en arrière, faut se cramponner avec les bras aussi… la neige est très froide et glissante du coup, avec des magnifiques cristaux. Une pause thé se fait obligée, et c’est mieux après, un OVOMALTINE et ça repart. Le cadre est magnifique, et le temps aussi et le groupe aussi. Adeline, Florent, Joëlle, Pierre, Christine, Sylvain, Moi et notre super guide Benjamin. On arrive en haut, enlevons les skis pour atteindre le sommet à pieds afin de faire la photo réglementaire.
La descente, du rêve, de la neige poudreuse, des baby sapin pour nous faire faire des virages, une descente vierge, des waouws de tous les côtés, c’est encore meilleur que la descente précédente qui était déjà parfaite.
Une terrasse au soleil, enfin le soleil se couche après 5 minutes, on se cale au chaud afin de manger les portions de frites, réputées.
Tout est bien qui fini bien, merci Benjamin pour cette superbe sortie et merci l’équiiiipe.
Janine








Lu 13 jan. 2025
Le Truchet (1368m) - Lundi-X
Le Truchet (1368m) - Lundi-X
C'est dans le Bus des neiges du Val-de-Travers que débute notre traversée en raquettes de 16 km, 5h30 de marche effective, allant du Couvent à Saint-Aubin.
Dans le Bus, surprise ! Le journaliste de la RTS Romain Bardet nous attend avec son micro et ses questions ! Nous échangeons volontiers au sujet de l'utilisation des transports collectifs pour atteindre le point de départ de nos courses, des possibilités et contraintes que cela représente, des recommandations du CAS à renoncer à la voiture privée pour les courses officielles. Le ton est cordial et, après cette "Matinale", nous partons en direction du Truchet d'un pas vif car il fait très froid. Le soleil se lève derrière la crête et nous réchauffe un peu. Le vent là-haut souffle fort. La vue est belle. On ne s'attarde pas. L'itinéraire se dirige à travers les pâturages en direction nord-est. Sur la carte, c'est tout droit ! Les raquettes crissent sur la neige durcie. Les conversations vont bon train. On traverse les Prés Cretegny, passons un peu au-dessus de la Bolène, puis par les Prés Cornu et les Prés Rougemont, jusqu'à la cabane Perrenoud, rendue célèbre par l'émission de télévision PAJU ! Après un pique-nique tiré du sac et un café-thé de la cabane, nous voici dans la descente raide qui nous mène à la gare de Gorgier Saint-Aubin. On passe par la forêt du Devens et ses menhirs du néolithique avant de se dire au revoir et à bientôt évidemment sur les sentiers de randonnée d'ici et d'ailleurs ! Marie-Claude








Di 12 jan. 2025
Drümännler








Di 12 jan. 2025
Le Truchet (1368m) - Section
Le Truchet (1368m) – Section – 12 janvier 2025
Dimanche passé, je participais pour la toute 1ère fois à une randonnée au sein du club alpin. J'avoue que j'étais un peu soucieuse. Vais-je avoir le rythme, mais surtout, aurais-je le niveau en technique avec mes raquettes, je n'en avais pas fait depuis 6 ans. Nous nous sommes retrouvés par petits groupes, au fil des arrêts, dans le train qui nous conduisait de la plaine à Couvet. Pas de neige en plaine, y en aura-t-il plus haut ? A Couvet, la neige est bien présente. Un mini-bus nous conduit au départ de notre course. Nous croisons dans un champ un renard enroulé sur lui-même. Légèrement enfoui sous la neige qui dort paisiblement. Sa position laisse à penser qu'il ne fait pas très chaud… Pendant le trajet, j'ai pu faire brièvement connaissance avec mes compagnons de route. Je vois beaucoup de bienveillance, de cordialité. C'est très agréable.
La balade commence par une marche sans raquettes. Le ciel est bleu. La neige de plus en plus présente couvre les courbes vallonnées de cette région que j'apprécie tant. Arrive le moment de chausser "nos spatules". Premiers pas, un peu hésitants, par chance, mes pieds s'adaptent rapidement. Premier sommet, le Truchet, je ne l'avais pas trouvé sur la carte. C'est une jolie colline qui nous permet d'avoir un point de vue sur les trois lacs. Les arbres sont blanchis par le froid. Première pause en ces lieux, j'apprends que le groupe des Dames a une tradition, "la pause banane".
Nous repartons de plus belle, en direction de la cabane Perrenoud. Pour ma part, je ne la connais pas . Je me réjouis de la découvrir. Le ciel se couvre légèrement. Les nuages le traversent très rapidement. Le vent s'est intensifié. Nos oreilles ont plutôt intérêt à rester bien cachées. Cette nature est si belle, je ressens une grande sérénité, pas besoin de partir bien loin pour s'évader. Le craquement de nos pas sur la neige rythme la balade. Après une heure trente de marche, je pense, je n'ai pas vu passer le temps, nous atteignons la cabane. Adrien et Marie-Claude, notre cheffe de groupe, semblent bien la connaître. Nous nous restaurons, puis ils nous proposent une visite des lieux. Panneaux solaires, récupération des eaux de pluie avec filtres pour obtenir de l'eau potable, en plus du cachet de ce chalet, les rénovations effectuées semblent vraiment bien pensées.
Une fois la pause déjeuner terminée, nous entamons la descente vers la plaine et les bords du lac de Neuchâtel. J'aime beaucoup les descentes. Je m'amuse intérieurement car cela me rappelle une époque où je tentais de les descendre le plus vite possible. Mais mes chaussures me rappellent à l'ordre... Mes pieds souffrent beaucoup. Ce n'était pas un bon choix de chaussures. Lorsque nous rejoignons la gare de St-Aubin, je suis heureuse de songer au moment fatidique qui me permettra de mettre mes pieds au repos.
Chacun reprend sa route, après un chaleureux au revoir. Une belle randonnée, de belles rencontres. Merci à tous pour cette journée.
Myriam






Sa 11 jan. 2025
Cours HIVER 2025








Ve 10 jan. 2025
Cours HIVER 2025 pour moniteurs
Journée de formation pour moniteurs HIVER avec guide (Josep Solà) à Bourg St Pierre
Le groupe se retrouve au Bivouac Napoléon à 8h30 autour d’un café/croissants pour démarrer cette journée de formation.
L’objectif de la journée est de revoir les notions de base pour ensuite les transmettre à la quarantaine de participants du week-end de cours HIVER qui se déroulera sur le même lieu dès le lendemain.
La matinée se passe au chaud avec une revue des connaissances de base.
Josep adapte avec brio un discours tantôt destiné aux moniteurs ou à transmettre aux participants durant le week-end.
Les sujets sont abordés avec des exemples concrets comme la démonstration d’une avalanche de plaque avec une BD qui simule la pente et des brochures qui glissent dessus sous l’impact de l’index qui simule la pression du skieur déclencheur !
La pédagogie de Josep permet à chacun-ne de parfaire ses connaissances et de saisir des astuces pour les transmettre.
L’après-midi se passe en extérieur dans les alentours du parking de Bourg St Bernard avec à nouveaux des exemples concrets : pelletage, brève analyse d’un profil de neige, sondage et observation du fonctionnement du DVA posé sur la neige. Et oui encore une fois Josep nous montre que c’est en observant le fonctionnement d’un objet qu’on va ensuite adopter un comportement adéquat.
Une journée de formation très réussie qui a permis à chacun de réviser ses connaissances dans une ambiance solidaire, bienveillante et chaleureuse.
Grand merci à Josep pour le partage des connaissances et à Jérôme et Jean-Da pour l’organisation de cette journée.
Joëlle
Participants : Benjamin, Gilles, Monica, Caroline, Laurent, Cyrille, Baptiste, Joëlle. Jean Da et Jérôme
Organisateurs Jean Da et Jérôme




Je 9 jan. 2025
Intyamon - Parcours du Revers
remplacé par une randonnée d’Orpund à Aarberg en raison des conditions météo. Départ sous un soleil inattendu mais nous avons été vite confrontées aux rafales de vent
associées à de belles averses. La vieille Aare déborde sur de nombreux passages et c’est chaussures et chaussettes détrempées qui nous ont décidé à’interrompre notre
itinéraire à Busswil. Un très bel itinéraire qui mérite d’être retenté aux beaux jours et les pieds au sec.








Je 9 jan. 2025
Les Cernets, SkF & Raq
Ce que la météo annonçait depuis une semaine est malheureusement arrivé, deux jours de tempête pour mercredi et jeudi. En conséquence, la course a été reprogrammée en sortie raquettes seulement. Ainsi ce jeudi, après le café offert par Jacques en guise de sésame jeudiste, 14 raquetteurs se sont retrouvés vers 10h au départ de l'itinéraire raquettes en boucle de 7.5 km aux Cernets, un itinéraire officiellement balisé et inventorié par l'office du tourisme*.
Bien que les balises eussent fait cruellement défaut, l'équipe parcourut la boucle sans se perdre et put jouir de ce beau parcours sous un ciel toujours pluvieux mais relativement bienveillant. Au moment de rejoindre le restaurant des Cernets pour le repas, chacun rangea instinctivement ses raquettes directement dans les voitures, l’idée de poursuivre encore l'après-midi l'expérience humide et venteuse du matin s'étant collectivement évanouie.
Un grand merci à Étienne pour la coorganisation et à Gilbert et Roland pour leur disponibilité à participer à la coorganisation d'une sortie mixte SkF/Raq malheureusement abandonnée.
Heinz
*https://www.j3l.ch/fr/V2362/a-faire/sport-loisirs/raquettes-a-neige/les-cernets





Ve 3 jan. 2025
Bonhomme du Tsapi (2802m)
Crêta de Vella depuis "Chez Petit", le 2 janvier 2025.
Randonnée à ski modifiée en fonction des conditions et des prévisions du moment: avancement d'une journée pour "échapper" aux chutes de neige abondantes prévues pour la nuit du 2 au 3 janvier dans la région (qui a entraîné qu'une personne n'a malheureusement pas pu participer) et changement de sommet pour la Crêta de Vella depuis "Chez Petit", ce côté du Val d'Entremont ayant moins été balayé par la tempête des 22-23 décembre que l'autre côté, sur lequel se trouve le sommet initialement prévu, le Bonhomme du Tsapi.
J'étais déjà montée à de nombreuses reprises à la Crêta de Vella depuis Bourg-St-Pierre, la neige tombée jusqu'en basse altitude était l'occasion d'expérimenter l'itinéraire depuis Dranse, ou plutôt depuis le hameau de "Chez Petit" qui nous permet de gagner quelques cent mètres, gain précieux en ce début de saison. L'itinéraire se révèle varié avec un échauffement dans des prairies enneigées, suivi d'une très jolie partie dans la forêt. Vers 2000m d'altitude, les arbres de raréfient et nous abordons la partie "haute montagne" de la course, avec un vent qui va croissant au four et à mesure que nous nous élevons. Au sommet, il faut faire attention à ne pas laisser s'envoler ses affaires, et la décision est vite prise de pique-niquer quelques centaines de mètres plus bas, à l'abri du vent.
Le début de la descente consiste à éviter les nombreux passages de cailloux mis à nu par la tempête, puis nous nous lançons dans une pente plus raide de neige bien compactée par le vent, en prenant soin de laisser quelque distance entre chacun-e de nous. Nous poursuivons jusqu'à l'orée de la forêt pour faire une pause pique-nique à l'abri du vent. La suite de la descente, dans la forêt, est assez ludique entre souches d'arbres, branches et racines à éviter. On ne sait pas trop ce qui se cache sous toutes les bosses qui parsèment le terrain, du coup on skie plutôt sur la retenue.
La dernière partie de la descente se fait dans des prairies recouvertes de 20 à 30 centimètres de neige "de printemps" très agréable à skier... mais la fatigue de la course se fait sentir et émaille les dernières centaines de mètres de descente de quelques chutes heureusement sans conséquence.
C'est autour d'un verre au café-restaurant "La Channe" à Liddes que nous terminons la course. Merci à tou-te-s les participant-e-s pour leur enthousiasme et leur compagnie très agréable lors de cette jolie sortie.
Christelle








Je 2 jan. 2025
St-Luc / SOMMETS & SPA
Jour 1 de l’Illhorn au Schwarzhorn (échappatoire) en renonçant au sommet de la Bella Tola
Fantastique, merveilleux, sensationnel ! Mais quelle chance avons-nous ! » Quelle chance effectivement avons-nous en tant que clubistes à nous mouvoir dans des paysages grandioses, d’une beauté incomparable … et tout cela en bonne compagnie. Cette beauté est parfois sublimée quand un membre d’équipée est encore plus optimiste et enthousiaste que vous-même ; quand à chaque pause ou conversion, il vous est rappelé au combien la montagne est belle. Merci au club de nous offrir l’occasion de faire de si belles rencontres ! Merci à nous, clubistes, d’être qui nous sommes.
Cette première journée nous a vus débuter à un rythme de 5m par seconde, soit 524m de dénivelée en 4’41’’. Nous avons ralenti à 2.5m par seconde sur le téléski du Illhorn pour nous emmener à 5mn du sommet du même nom. C’est là, sous un vent tempétueux, qu’un ski a décidé de prendre la poudre d’escampette. Camille, dans cette pente vertigineuse, a mis son veto et nous a offert un plongeon digne de Dino Zoff pour attraper ce coquin de K2 : wayback to Eric ! La suite du parcours nous a menés à l’Illsee, au Parilet et à l’Unterer Märetschisee pour prendre ensuite plein sud et nous arrêter sous la pente nord de la Bella Tola. C’est là que Jérôme a proposé un jeu de rôle fort instructif avec la même question posée à l’optimiste, au créatif, au pessimiste, au factuel et finalement à l’organisateur : « faut-il se lancer dans cette pente de 35-40° alors que nous sommes en degré 2+ sous un régime de neige fraîche et soufflée sur neige ancienne à couches fragiles ? » Au final, nous n’y sommes pas allés : bien joué. Retour par l’échappatoire du Schwarzhorn et zou, au bistrot pour clôturer cette chouette journée.
Benjamin
Jour 2 du Prilet à la Pointe de Tourtemagne
En ce deuxième jour de course, cap sur la pointe de Tourtemagne pour le groupe d'amateurs de sommets et de SPA.
Avec ponctualité, la joyeuse équipe se met en route sans oublier l’arrêt à la boulangerie du village. Elle résiste au gâteau des rois, pas très pratique à transporter.
Notre montée du jour débute sur une piste sur laquelle nos lattes caressent quinze centimètres de poudreuse toute fraîche. La forêt enveloppée de son manteau neigeux est belle et la mélodie de l’eau qui ruisselle donne le rythme. Toutefois, l’accueil n’est que de courte durée puisqu’un chassé-croisé se met en place entre notre file qui avance et le conducteur de la dameuse. Premier arrêt à une bifurcation stratégique, il s’agit à ce stade de définir si toutes les conditions sont réunies pour poursuivre notre randonnée. Après avoir écouté la prise de parole du pessimiste, de l’émotif, de l’optimiste ou encore celle du rapporteur des faits, les membres du groupe sont unanimes, nous continuons sur le tracé proposé. D’ailleurs, le soleil nous attend un peu plus haut. Un décor magnifique oblige, Denis n’hésite pas à immortaliser la montagne au risque d’y laisser un ou deux doigts. Dernière ligne droite avant d’atteindre notre objectif, nous constatons les pierres qu’il faudra éviter à la descente. Puis, c’est sans les skis que nous gagnons la pointe. Un ou deux selfies avec l’équipe au complet, jolie montée !
La descente s’opère en repeautant une fois. En effet, nous optons pour quelques nouvelles minutes de montée afin d’éviter une pente un peu douteuse. Petite pause au soleil avant un retour sur la piste pour boucler la boucle. Le bus des skieurs est là, on en profite pour un arrêt, préférant continuer à pied pour rejoindre l’auberge, non sans un stop au bistrot. Notre cheffe de course pense même au gâteau pour terminer la journée. Demain, c’est Adrien qui portera la couronne sur son casque de ski.
Isabelle
Jour 3 du Prilet à l’Omen Roso et retour par l’Hôtel Weisshorn
Départ à 8:00 tapante aux sons des cloches de l’église de St-Luc. Marche jusqu’au Prilet puis montée le long de la piste encore fermée aux skieurs jusqu’à la bifurcation pour l’Hôtel Weisshorn où Camille et Erich nous quittent fatigués par leurs nombreuses randonnées de Noël-Nouvel An.
Le groupe poursuit sa route en direction de L’Omen Roso. Malgré le ciel bleu, le froid est mordant et nous faisons quelques courtes pauses pour nous ravitailler mais sans s’attarder. Au sommet de L’Omen Roso (3030m), la vue est splendide face aux Bishorn et Weisshorn. Nous voyons Zinal, étrange d’avoir cette vue inversée par rapport aux pistes de ski.
La descente est poudreuse et nous laissons des traces magnifiques sur cette neige immaculée.
Nous remettons les peaux pour monter à l’Hôtel Weisshorn afin de terminer ces 3 jours en douceur avec des tartes aux myrtilles qui étaient plus belles que bonnes. Zut pour les gourmands !
En quittant l’hôtel pour la dernière descente de retour, Jérôme se décharge gentiment de la responsabilité de nos 3 jours de courses intenses, s’allège l’esprit … et le dos 😂 en rechaussant ses skis sans son précieux sac ! Heureusement, Adrien le lui fait remarquer dans la montée sur la butte au-dessus de l’hôtel avant la longue descente de retour et Jérôme récupère son sac à dos in extremis.
Descente finale sans histoire sur piste au crépuscule jusqu’au Prilet.
Un immense MERCI à Jérôme et Monica pour la magnifique organisation de ces 3 jours de rando dans un esprit fort sympathique.
Mélanie
Participants : Adrien, Benjamin, Camille, Denis, Erich, Isabelle, Mélanie, Valérie
Organisateurs : Jérôme & Monica








Lu 30 déc. 2024
Nouvel-An à Bourg-St.Pierre et au Grand-st-Bernard
Monts Telliers (2951 m), randonnée à ski – Une journée parfaite en montagne
Lundi 30 décembre, notre petit groupe s’est donné rendez-vous au bivouac de Napoléon pour un café avant de prendre la route en direction du parking du Super Saint-Bernard. Sous un ciel dégagé et un soleil éclatant, l’ambiance était au beau fixe. Matthieu, qui aspire à devenir chef de course, a pris en charge une partie de l’encadrement de la journée, avec l’accord bienveillant de Jean-Daniel, chef de course officiel.
Matthieu a su ajuster l’allure pour permettre au groupe de progresser ensemble, favorisant ainsi une cohésion d'équipe. Après une montée sans encombre, nous atteignons le sommet des Monts Telliers, à 2951 mètres d’altitude. Les conditions étaient idéales : pas un souffle de vent, une vue dégagée et un soleil généreux. Nous avons profité de ce cadre exceptionnel pour partager un pique-nique, savourant le magnifique panorama qui nous entoure.
La descente fut tout aussi agréable, avec une neige légèrement poudreuse qui a ravi les amateurs de glisse. Le retour au parking s’est fait dans la bonne humeur.
Pour conclure cette belle journée, nous avons partagé un verre avant de nous retrouver au sauna, ultime moment de détente qui a clôturé cette sortie mémorable. Récit Laure
Mont Fourchon par l'hospice du Gd St-Bernard
En ce mardi 31 décembre nous entamons la montée direction l'hospice par la Comba Martchanda et un grand ciel bleu qui nous suivra toute la journée.
Premier stop dans le refuge avant la Combe des Morts puis direction l'hospice pour le thé servi par Père Raphaël.
A 11h, nous entamons la descente sur la fromagerie par la route du col dépourvue de neige soufflée par les forts vents de la semaine dernière.
Nous entamons ensuite l'ascension du Mont Fourchon en contournant la Tour des Fous par l'est. Au passage des cols, la neige soufflée laisse apparaître les pierres. La trace qui rejoint le sommet est dure et oblige à la vigilance dans les sections les plus pentues.
Le somment est décroché à 13h et offre une vue splendide sur le Mont-blanc. En ce jour de l'an, nous profitons des conditions exceptionnelles pour sabrer le champagne au sommet.
Nous redescendons sur la fromagerie sur une neige cartonnée avant de remonter sur l'hospice pour un dernier thé. Puis retour au parking de Bourg St-Bernard atteint à 16h. Récit Jérémy
Récit de Course du 1er janvier.
C’est donc après une soirée bien festive, 🍾autour d’un BBQ de table richement garni, la traditionnelle danse à la queue leu leu et une nuit agitée après les jeux excitants du jungle speed et le « Rapide » aux cartes 😵💫, que nous prenons le départ depuis le Bivouac de Napoléon, les skis aux pieds, en ce premier jour de l’an 2025 à destination du Bonhomme de Tsapi!
Arrivés au premier plateau, un petit chalet tout cosy avec hot tub et piscine naturelle nous dérouterait volontiers du sommet pour une pause spa. Finalement nous attendons que le soleil nous rattrape pour reprendre l’ascension du bonhomme avec les rayons qui nous accompagneront jusqu’au sommet.
La dernière montée engage quelques conversions sur l’arête, une belle mise en pratique des conseils et exercices offerts par Jérôme. Quoique certains se dispersent et profitent des contours pour raconter leur bonhomme de vie 😅! On papote tout en montant, on échange, les liens du groupe se resserrent encore et c’est soudés dans l’accomplissement du dénivelé de xxxxm que nous atteignons le kairns et sa structure de piquets annonçant le sommet!
On dessine de petits cailloux un 2025 au pied du Tsapi, marquant ainsi la première sortie de l’année pour notre groupe. On y fait le plein d’énergie pour la réalisation des projets et ambitions de l’année ✨!
Boostés par la fraîcheur de l’âge, les deux jeunes ont atteint le sommet bien avant et ouvert la voie de la descente! Quelques beaux virages nous attendent en première partie dans la poudre, avant de rejoindre le chemin raquettes bien étroit et gelé pour une dernière épreuve pour les cuisses avant de rentrer pile au Bivouac, skis aux pieds!
Une course rondement menée par notre nouveau Président pour son premier jour officiel en poste ✨🍀 Merci à toi Jean-Daniel pour cette troisième sortie de notre séjour au St. - Bernard.Récit: Valérie








Di 29 déc. 2024
Les Monts Telliers (2951m)
Course aux Monts Telliers, le 29 décembre 2024
Christelle nous attend à 8h30 au Bivouac de Napoléon pour un café et bref point de la situation sur les conditions nivologiques du jour. Aujourd’hui la course sera conduite par Maxime qui se forme en tant que futur chef de course hiver. Après un départ un peu rapide, il doit ralentir le rythme pour que le groupe reste compact. La première pente avec ses conversions permet de vérifier que toute l’équipe maîtrise la technique. Nous suivons la trace de montée, très régulière et très bien tracée. Les conversions sous le sommet posent quelques petits problèmes. Après la dépose des skis, tous et toutes bien arrivés au sommet, c’est un ciel sans nuage et une vue à 360° qui nous attend. La descente se passe sans encombre dans une bonne neige tracée qui se skie sans difficulté et avec grand plaisir pour cette première sortie de la saison. Merci à Christelle pour l’organisation et à Maxime qui nous a guidé à merveille.
Alexandre








Ma 24 déc. 2024
Noël à Perrenoud
Noël à la cabane Perrenoud
Quelle super bonne idée de la part d’Albertino d’organiser un repas de Noël à la cabane Perrenoud.
Et en plus, cerise sur le gâteau, avec des conditions de neige et de météo incroyables ! Cela faisait de nombreuses années que nous n’avons pas connu un Noël sous la neige.
8 clubistes sont partis de la Porrette en raquettes, emportant les provisions nécessaires avec eux, aux alentours de 16h30 le 24 décembre pour cheminer, et faire la trace, dans un paysage enneigé et immaculé. En cours de route, nous avons admiré le coucher de soleil et sommes arrivés à la tombée de la nuit à la cabane Perrenoud.
Nous avons juste eu temps de décharger les provisions et nous installer, que l’apéro nous tendait déjà les bras devant un feu dans le poêle.
Ensuite Albertino, nous a régalé avec un repas de Noël « poissons ». Après le dessert, deux courageux ont entrepris une randonnée en raquettes munis de leur lampe frontale.
Le lendemain matin, après avoir admiré le lever de soleil sur la mer de brouillard avec les Alpes en toile de fond et englouti un solide petit-déjeuner, nous sommes partis pour une balade en raquettes jusqu’à la Grand Vy et retour par les crêtes. A relever que le PAC (Plan d’Affectation Cantonal) du Creux du Van, maintenant en vigueur, restreint drastiquement les possibilités de balade et qu’il n’y a actuellement aucun balisage en place… donc à chacun d’être attentif pour éviter d’être en infraction.
De retour à la cabane, Albertino, nous a concocté sa célèbre paëlla. En fin d’après-midi, nous avons rejoint en raquettes nos véhicules à la Porrette et chaque participant a regagné son foyer avec le souvenir d’un Noël réussi à tous points de vue. Encore un grand merci à Albertino pour cette super organisation et aux participants pour leur bonne humeur.
Yves Bovay








Di 22 déc. 2024
Noël à Arolla, Cassorte, Palanche de la Cretta
Noël à Arolla.
J1: Il pleut pour notre rendez-vous à la gare de Gorgier en ce dimanche 22 décembre. Au vu de la météo, le départ a été retardé d’une heure. Après un petit café en cours de route, la neige est déjà bien présente jusqu’en plaine, nous entamons la montée direction Arolla. Plus nous prenons de l’altitude plus la route prends des airs de rallye des neiges.
Nous débarquons à l’appartement du club en pleine tempête de neige de fin du monde. Les lieux étant encore occupé, nous nous préparons alors à notre première randonnée à ski. C’est féerique, il y a beaucoup de neige. 2 montées successives avec autant de descentes dans de la très belle poudreuse. Une petite soupe à la Chotte, joliment servie, puis une dernière montée le long de la piste clôturerons cette première sortie.
Peu après notre emménagement, nous constatons avec stupeur que les toilettes de notre logement sont bouchées. Après l’emprunt d’une ventouse vert pétant chez la concierge, nos tentatives de débouchage ne débouche sur rien, l’eau monte et pleins de choses flottes, je vous passe les détails ainsi que le charmant parfum envoûtant. Chacun devra trouver sa façon de gérer ce moment. Personnellement ce fut le lendemain matin 05:30 en pleine tempête de neige à chercher un mélèze pour la grosse commission et ceci par degré 4 pour les avalanche en priant qu’une d’elle ne m’emporte avec le pantalon sur les genoux… qui plus est je n’avais pas mon dva, Un bon souper de réconfort préparer avec amour par Patrick, au menu apéro, filets mignon riz mijoté et salade, un régal, nous fera oublier tout cette histoire de toilette.
Vincent
Jour 3 :
Comme le dit l’antique dicton, « à Sainte-Adèle, le beau temps est un cadeau du ciel ».
Après deux jours où la neige tomba du ciel comme des flèches divines, un matin d’une clarté éclatante se leva le 24 décembre, et avec lui, un manteau d’or blanc recouvrit la terre.
La neige, fraîche et immaculée, semblait appeler nos six héros à l’aventure. Ni une ni deux, armés de leurs skis, ils partirent affronter ce royaume de glace et de flocons.
La première quête :
Conscients que le danger se cachait dans chaque recoin, la troupe se dirigea vers les pentes douces mais capricieuses du légendaire chemin des Marmottes.
Le niveau de danger flottait au-dessus d'eux comme une menace invisible.
Tels des créatures sages et prudentes, ils progressèrent.
Les conditions d'enneigement étaient parfaites, mais la sagesse prévalut.
Ils s’arrêtèrent juste avant que le terrain ne devienne un piège. Et puis, la descente commença.
La neige, douce et légère, les accueillit comme un duvet céleste. Chaque héros, un par un, glissait avec grâce, laissant derrière lui une trace immortelle dans ce manteau d'argent.
La troupe descendit jusqu’aux hauteurs d’Arolla, où un souffle d'émerveillement les submergea.
Mais à peine arrivés, chacun d'eux rêvait déjà de goûter une nouvelle fois à cette pureté.
La quête finale :
Le destin les appela à un défi ultime : remonter les pentes du domaine skiable actif.
Sur leur route, ils croisèrent d’autres chevaliers de neige, chevauchant des skis bien plus rapides que les leurs.
Mais ces derniers ne pouvaient aspirer à explorer les secrets de ce royaume sauvage, que seuls les plus audacieux pouvaient défier.
Lorsqu’ils atteignirent le dernier téléski, le Fontanesses 3, ils remarquèrent que l’engin était hors service, ce qui était une aubaine.
Cependant, les puissantes machines de la montagne, telles des créatures de fer, s’affairaient à préparer le terrain pour le rendre accessible aux "moldus".
Ce spectacle n’entama pas leur détermination. Au contraire, il nourrissait leur esprit.
Ils suivirent sans hésitation les chemins fraîchement tracés par ces monstres mécaniques, qui, dans un tourbillon de neige, firent voler des nuées de flocons dans l’air.
La montée fut un délice, sous un soleil radieux qui dissipait le froid à mesure que l'altitude s'accroissait.
Arrivés au sommet, ils se posèrent enfin, savourant une pause bien méritée près de la buvette des 3000, où quelques travailleurs, héroïques eux aussi, dégageaient l’entrée du bâtiment, ensevelie sous son pesant de neige.
Après quelques réjouissances, profitant de la chaleur du soleil, ils repartirent, guidés par la magie de l’instant, pour dévaler, proches des chemins damés, les pentes d'une neige vierge à la texture indescriptible.
Et lorsque la troupe atteignit le bas du village, ils se retrouvèrent, les cœurs remplis de gloire, autour d'un verre dans la yourte imposante qui trônait fièrement au pied des pistes.
Le festin :
Leurs corps épuisés mais leurs âmes enflammées par cette journée d’exploits, le groupe se réunit pour célébrer le réveillon de Noël.
Le chef Michel, maître des mets divins, prépara une raclette qui sembla bénie par les dieux eux-mêmes.
Mais le véritable miracle se produisit lorsque Inès, sortie de sa hotte enchantée des cadeaux qui firent briller les yeux de tous.
La soirée s'embrasa alors dans des affrontements épiques de jeux de cartes, où l'esprit de camaraderie et la joie de vivre régnaient en maîtres.
Ainsi, la nuit se poursuivit, illuminée par les rires et la bonne humeur, marquant la fin d’une journée qui entrerait dans la légende.
Récit Sacha
4: 25 décembre
Une météo de rêve pour un jour de Noël!
Après un rapide petit déjeuner ( on était un sûrement encore en train de digérer de la délicieuse raclette de la veille ;-) on s'active rapidememt à plier bagages et faire les nettoyages!
Un soleil radieux dans un ciel sans nuage et une magnifique neige nous attendent, autant dire que la motivation matinale était au rendez-vous;-)
A 9h15 on a tous les ski aux pieds pour la montée de la palanche de la crettaz
Nous montons 1100m de Dénivelé dans un paysage bucolique avec de jolis petits mayens sur notre chemin et une vue imprenable sur la chaîne des 4000, du Bisshorn à la dent Blanche.
Au sommet, on a également une vue imprenable à 360°! Magnifique
On se fait rapidement un copain en haut qui vient poser avec nous sur les photos puis on redescend dans une neige soit tassée par le vent soit poudreuse
Un régal
On finit cette belle sortie par un pot de l'amitié avant de rentrer dans notre contrée neuchâteloise
Encore un grand merci à Jeanda pour l'organisation et à toute l'équipe pour la bonne humeur et les chouettes moments partagés
Inès








Di 22 déc. 2024
Raquette dans les montagnes neuchâteloises
C’était épique mais ça valait la peine, bientôt un récit et des photos !
…,,,,Oui, c’était épique ! Il nous a fallu un bon café avant de partir, histoire de se préparer à affronter une météo digne du “Grand Nord” qui nous attendait dehors. Mais on était vachement motivés, quand même ! En route pour le Mont d’Amin, on a bravé la tempête, le vent glacial, et surtout… une quantité impressionnante de neige. Magnifique, d’ailleurs, cette neige ! Heureusement que Mazal était là pour nous guider, parce qu’avec tout ce blanc et le brouillard, on aurait pu finir par vraiment perdre le Nord. Un grand merci à toutes et tous pour cette belle sortie pleine de bonne humeur, et un énorme merci à toi, Mazal. On s’est régalés ! À bientôt, Daniela








Ve 20 déc. 2024
Aération des peaux : Turnen 2079mDiemtigtal / Frib
récit
récit
...Me 18 déc. 2024
Saignelégier et ses étangs
Joli randonnée entre soleil et nuages. Peu de dénivelé, de la neige et de jolis coups d'œil sur les étangs partiellement gelés .
Une halte au sympathique et accueillant café du Sapin.





Lu 16 déc. 2024
St-Imier - Les Breuleux
Une randonnée hivernale simple et sympathique avec en prime un soleil radieux et omniprésent.
A cette saison, la 4ème étape du Trans Suisse Trail (2) entre Saignelégier et St Imier est raccourcie et prise en sens inverse pour que la partie raide soit faite en montée. Nous quittons St Imier tardivement par une montée régulière dans la forêt du Droit et atteignons l’arrivée du funiculaire du Mont-Soleil par un chemin étroit en balcon présentant un Belvédaire avec vue sur le Chasseral et le vallon de st Imier.
Notre pique-nique face au Soleil et sans vent est un régal. Jacqueline nous y rejoint par un sentier plus direct que nous nommons celui du « chamois peu farouche ».
De là nous parvenons aux éoliennes, aux installations photovoltaïques et à l’observatoire du Mont Soleil. La neige se fait plus épaisse et les guêtres nous sont bien utiles pour rallier les Breuleux à travers bois, où d’imposants sapins dégoulinent, et pâturages désertés.
Une légère brume décollant du sol ajoute un peu de féérie et de magie de Noël au charme ambiant. A défaut de celles du renne, nous suivons les traces de chamois, de chevreuils, de chevaux et celles d’un traineau. Serait-ce celui du père-Noël ?
Le Charleston Pub des Breuleux à deux pas de la gare clôt ces 13 km de randonnée dans une douce chaleur autour d’une boisson réconfortante.
Merci à toutes les participantes pour ce moment de douceur.
Nath








Je 12 déc. 2024
Sugiez - Biberenbad - Galmiz
15 Jeudistes se retrouvent dans le train direction Sugiez. A l’hôtel de la gare, nous prenons le café offert par notre nouveau membre Denis Pellaud, que nous le remercions infiniment.
Départ pour notre marche vers Bellechasse, ou nous suivons la Bibera par un chemin rectiligne jusqu’à Chiètres. Après le passage sous l’autoroute et l’évitement d’Agriswil, nous rejoignons
la Biber, afin d’atteindre Biberenbad. Après un repas copieux et un bon dessert (compris au menu que le Jeudi),nous entamons notre périple plein de zig-zag et quelques bosses direction Galmiz.
Randonnée de 18,6km, parcourue dans la grisaille en 04h30, avec un dénivelé de +- 250m .
Retour en train pour Chiètres et arrivée comme prévue,16h27 à Neuchâtel.
Merci au coorganisateur Pierre-Alain, ainsi qu’à l’équipe pour la super et agréable compagnie.
Guy








Ma 10 déc. 2024
Corbières en boucle
Balade sympathique dans une bonne ambiance malgré le temps frais, mais de saison. Après un picnic au bord du lac, le café de la Maison Cailler nous a offert une halte bienvenue pour un délicieux chocolat chaud pour les gourmandes et café pour les autres. Au retour, le chemin coupé pour des travaux de bucheronnage nous a obligé à faire un petit détour.
Elisabeth et Martine




Lu 9 déc. 2024
Fondue de fin d'année Lundis X
Parti de la Vue-des-Alpes, le groupe de 21 randonneurs Lundi-X se lance à pied dans la nouvelle neige tombée en quantité limitée sur la trace de la crête du Mont d’Amin pour rejoindre en ¾ h la cabane du Mont d’Amin, propriété de la section La Chaux-de-Fonds du CAS.
Après le thé bu et durant l’apéro servi, le président Philippe prend la parole pour faire le bilan annuel des activités du groupe, un bilan très réjouissant puisque ce sont 35 sorties qui ont été organisées durant l’année, dont plusieurs sorties-treks d’une durée de 5 à 8 jours. Ceci contraste de manière très positive avec les 12 sorties prévues lors de la création du groupe. Nadia poursuit en mentionnant que c’est maintenant plus d’une décennie qu’elle et Catherine organisent ces fondues annuelles et qu’elles remettent dorénavant à d’autres intéressés l’organisation de cette traditionnelle rencontre.
Les fondues préparées par Albertino et ses aides sont alors servies, suivies par de nombreux desserts succulents apportés par les participants.
Un grand merci à François Humbert de la section La Chaux-de-Fonds pour nous avoir chauffé la cabane et pour nous avoir assistés durant toute cette rencontre.
Heinz








Lu 9 déc. 2024
Ski de piste aux Ménuires
Récit : Ski de piste des Jeudistes du lundi 9 au vendredi 13 décembre 2024 aux Ménuires
12 Jeudistes ont participé à la petite semaine de ski aux Ménuires, station française située dans les 3-Vallées, constituées des villages de Courchevel, Méribel et Val-Thorens. Par un temps radieux et avec de la neige magnifique, nous avons skié du lundi après-midi jusqu’au vendredi midi. Il y a eu pour tous les goûts, les caïds dépassant 70km en une journée, alors que d’autres se délassaient sur des pistes bleues. Nous commencions les soirées par l’apéritif. Mardi, Frédéric Ecklin l’a offert à l’occasion de son 79e anniversaire, mercredi, ce fut le tour de Dominique Gouzi, qui, en atteignant 75 ans, pouvait enfin et dès ce jour profiter du tarif super-sénior pour les remontées mécaniques. Un grand merci à ces généreux donateurs et tous nos vœux de santé et de nombreux jours de plaisir sur les lattes ! Rolf, le GO de service, a égayé et animé les apéritifs par des jeux collectifs. Un jour, il a fallu humer des arômes présents dans des vins ; nous avons pu constater que certains avaient plus de nez que d’autres, et nous ne parlons ici pas de vins. Le lendemain, nous avons dû identifier des logos d’entreprises et d’autres organisations. Si Lufthansa, Amazon et Nestlé et bien d’autres étaient faciles à reconnaître, il y en avait qui étaient moins évidents à deviner. Mais chatGPT nous est venu au secours, ce qui prouve que les Jeudistes sont des vrais geeks. Après l’apéritif, nous avons soupé dans divers restaurants du site, toujours dans une belle ambiance joyeuse. Après la journée de ski intensif et quelques heures conviviales passées ensemble, nous étions contents de rejoindre nos chambres pour une nuit de repos bien mérité. Aussi bien le voyage aller, départ à 8 heures à Boudry, que celui de retour se sont très bien passés : environ 4h30 à l’aller avec quelques ralentissements du côté de Genève et avec un arrêt café vers Annecy, que le retour effectué en 3h30 environ. Un grand merci aux quatre conducteurs, Rolf, Dominique, René et Jean-Pierre, de nous avoir conduits sains et saufs. Merci à Jean-Pierre B. d’avoir œuvré comme photographe et d’avoir confectionné une jolie vidéo. Merci à Rolf d’avoir assumé le rôle de coorganisateur, d’avoir tenu la caisse et d’avoir organisé des jeux. Merci à Gilbert par ceux qui avaient besoin d’un rafraîchissement de technique de ski et d’encouragements. Merci à tous pour la belle compagnie joyeuse, conviviale et sportive.
Alfred
PS : Jean-Pierre Baer a confectionné une jolie vidéo que vous pouvez visionner par le lien ci-dessous. Un grand merci à lui et félicitation pour ce travail bien fait :
https://www.mycloud.ch/l/L0071308D3C501E5E1BC0A7C048907FA23F8AC199CE9D7570F03F145BB0DF4CDD








Je 5 déc. 2024
La Chaux d'Abel en boucle
Entre la Chaux- d’Abel et le Mont- Soleil, dans un paysage saupoudré de neige, nous avons découvert la chapelle des Ménnonites et la fromagerie .
Notre pause pique-nique a eu lieu dans un joli chalet forestier. Comme il faisait frisquet, nous nous sommes réchauffés à l’Assesseur.
Retour agréable à la Chaux- d’Abel.








Ve 29 nov. 2024
Fête de Noël
Un grand merci à vous toutes, chères randonneuses, pour avoir contribué à faire de votre Fête de Noël, un moment chaleureux et rempli de convivialité et bonne humeur. Hâte de vous retrouver bientôt pour de nouvelles aventures.
Daniela



Ma 26 nov. 2024
Exomusée Le Locle et ses environs
Balade de la Chaux-du-Milieu au Locle sur un tracé au sec, après les premières neiges.
Pique-nique dans un parc du Locle et café dans une jolie boutique-épicerie pour se réchauffer.
Magnifique visite guidée d’une partie de l’Exomusée par la fondatrice Sylvie Balmer. Beaucoup d’infos passionnantes sur les œuvres, parfois monumentales et toujours en lien avec l'histoire de la ville.
Merci à Christine et Nathalie pour cette découverte culturelle qui change positivement notre regard sur cette ville.
A l’an prochain pour la suite de la visite ! M.V.O








Ve 22 nov. 2024
Lignerolle - Ste-Croix
Lignerolle – Ste-Croix (22 novembre 2024)
Une course au soleil le matin et dans une tempête de neige l’après-midi ! Treize participantes ont randonné dans 20 à 40 cm de neige tombée le jour précédent, se relayant pour faire la trace. Depuis la Poyette (1332m), la montagne du Suchet a été contournée pour atteindre le chalet de Grangeneuve (1355m et point culminant de la rando). Après le pique-nique dans une atmosphère glaciale, les bourrasques de neige se succédant, la descente sur Baulmes au lieu de Ste-Croix a été privilégiée. En attendant le train, devant une chapelle devenue bibliothèque, le groupe a terminé son pique-nique avec quelques rayons de soleil. Côté Suchet, les nuages sombres donnant la neige se sont évacués en fin de journée, révélant une majestueuse crête qu’il nous tarde de parcourir dans son entier !








Sa 16 nov. 2024
Sécurité et culture du debriefing pour CdC
Cours Sécurité et culture du debriefing pour CdC
16 novembre 2024
« L’important est de se poser des bonnes questions, c’est plus important que d’apporter des réponses. Le processus décisionnel est plus important que le résultat ». « Le résultat est soumis à l’aléa, alors que nous pouvons maîtriser le processus »
Un cours de philosophie ?
Non un cours intitulé préparation de course, facteurs humains, culture positive de l’apprentissage, feed back et débriefing, donné par Yann Smith, guide de notre section et suivi avec un intérêt marqué par vingt participants, pour la majorité chefs de courses.
Le cours commence par un rappel sur la préparation de la course : pour être compétent dans l’encadrement du groupe, il faut bien préparer la course, pour pouvoir ensuite mettre de l’énergie dans le groupe. Cela implique une planification de base avec des questions, notamment sur le type de course, le public cible et les conditions nécessaires à la réalisation de la course. (ces informations devraient d’ailleurs figurer dans le programme). Puis vient la planification détaillée (avec notamment la question de l’horaire) ainsi que la planification en continu sur le terrain.
Facteurs humains, décisions et communication sont abordés sous forme de questions à se poser à soi-même et aux participants de la course, en particulier lors d’ateliers. Riches partages sur des sujets tels que, par exemple, l’acceptation du risque, les perceptions contradictoires, la pression du groupe ou le fait de masquer la réalité.
Il s’agit d’accepter le doute et de le bonifier (en le partageant ou pas). Comme le doute, l’erreur n’est pas une tare. L’expérience de la course doit être utilisée pour analyser les erreurs et idéalement pour ne pas les reproduire. « Reproduire la même erreur n’est pas une erreur, c’est un choix »
Importance, structure et astuces d’un feed-back constructif (voire en tête à tête s’il s’est passé quelque-chose de particulier pour régler les choses), on est dans les loisirs, pour le plaisir.
Importance de l’auto-évaluation de la course par le Chef de course pour qu’il puisse réinjecter ses expériences dans d’autres courses, et faire d’autres courses une belle aventure.
Un grand merci à Xavier Denys d’avoir organisé ce cours et à Yann Smith d’avoir su faire de ce samedi ensoleillé (en plus), un cours top ainsi que d’avoir encouragé une participation ouverte et joyeuse.
Véronique, Lucas.





Ve 15 nov. 2024
Villeneuve-Montreux








Je 7 nov. 2024
Olten Homberglücke








Je 7 nov. 2024
Course C : Bâle : vieille ville et campus Novartis
Récit de la course C du 7 novembre 2024 : Bâle : vieille ville et campus Novartis
13 Jeudistes se sont retrouvés à la gare de Neuchâtel pour aller visiter la belle ville de Bâle, où le soussigné a passé les vingt ans de sa jeunesse. Le voyage en train a été l’occasion de rappeler quelques éléments de l’histoire de Bâle (voir ci-dessous pour les intéressés). Comme prévu, nous arrivons à Bâle vers 9:30. Lors d’un court trajet en tram, nous apercevons le monument Strasbourgeois par Bartholdi (celui de la statue de la Liberté) et l’imposant bâtiment de la Banque des Règlements internationaux par Mario Botta. A pied, nous passons devant la joyeuse fontaine du Carnaval de Tinguely, et après avoir contourné la Barfüsserkirche, l’église des franciscains, nous arrivons à la place de la Cathédrale. Nous traversons son immense cloître, dont les murs sont garnis de cénotaphes, y compris celui de Wettstein (voir ci-dessous). L’abside de la cathédrale nous démontre l’origine romane de la Cathédrale. Nous en sortons en débouchant sur la Pfalz (contraction de Palace), promontoire sur le Rhin. De là, nous avons une superbe vue sur le Petit-Bâle, et les deux tours de l’entreprise Roche, les plus hauts de Suisse, pouvant loger chacune deux mille employés. Un arrêt s’impose pour admirer le portail latéral de style roman de la Cathédrale, dit Galluspforte, de la même manufacture que le portail de la collégiale de Saint-Ursanne. Nous traversons ensuite la place de la Cathédrale, occupée temporairement par la foire d’automne de Bâle. A son extrémité, nous jetons un coup d’œil sur la « Haus zur Mücke », où avait siégé le Concile de Bâle, actuellement partie d’un lycée, que le soussigné a fréquenté pendant huit ans. En descendant le Rheinsprung, nous avons l’occasion d’admirer les façades Rococo (ou Louis XV) des palais « bleu » et « blanc », ayant logé autrefois les commerces et résidences de marchants bâlois. Nous traversons ensuite la Mittlere Brücke, le plus ancien pont de Bâle (voir ci-dessous) et longeons le bord du Rhin. Nous arrivons à la jetée de la Fähri qui nous transporte sur l’autre côté du Rhin. Après une montée plutôt raide, nous voilà de retour sur la Pfalz. Entretemps, la cathédrale s’est ouverte, ce qui nous permet d’en découvrir l’intérieur, assez particulier, puisque le chœur est très surélevé. Nous descendons ensuite sur la place du marché et jetons un coup d’œil sur l’Hôtel de Ville, de style gothique-renaissance. Comme toutes ces visites nous ont ouvert l’appétit et fatigué les jambes, nous sommes contents de nous attabler vers 12:15 dans la brasserie traditionnelle le Schnabel (Le Bec), d’autant plus que le temps est bien maussade, il fait froid et il bruine de temps en temps. Le repas est excellent : crème de courge, émincé à la Zurichoise (à Bâle !) avec spätzli et petite tranche de tarte aux prunes. Vers 14:15, nous prenons le tram pour nous rendre au Campus Novartis. Nous sommes impressionnés par la taille de ce site de recherche et de production, et par la qualité architecturale des bâtiments, conçus par des architectes de renom international, tels Marco Serra, Diener & Diener, SANAA, Frank O. Gehry (celui du musée de Bilbao), Tadao Ando, David Chipperfield, et bien sûr Herzog et de Meuron. Mais c’est l’heure du retour. Nous prenons le tram pour nous rendre à la gare principale, puis le train pour retourner plein de souvenir à Neuchâtel, où nous arrivons une demi-heure à l’avance sur l’horaire prévu, soit à 18 heures.
Nous avons marché environ 2h30 et 7km, par un temps maussade, couvert avec bruine.
Merci à Claude R. de m’avoir assisté et d’avoir assumé la fonction de photographe. Une partie est mise sur la Galerie du Club.
Un grand merci à toute l’équipe pour l’ambiance amicale et chaleureuse.
Alfred
Quelques éléments de l’histoire de Bâle
Les Bâlois aiment prétendre que leur ville a été fondée par le général romain Lucius Munatius Plancus en l’an 44 av. J.-C, alors même que celui-ci est à l’origine de Augusta Raurica, non loin de Bâle, et qui vaut une visite. Le nom de Basilea est en fait mentionné pour la première fois lors de la visite de l’empereur Valentinien 1er en 374. Vers 740, donc au temps des Carolingiens, Bâle est le siège d’un évêque, et le restera jusqu’à la réforme. De 1006 à 1648, Bâle fait partie du Saint-Empire romain germanique. En 1019, l’empereur Henri II préside à la consécration à la Cathédrale. En 1225, le prince-évêque fait construire un pont sur le Rhin, un des rares ponts entre Bâle et la mer. Ce pont contribue largement à l’essor économique de la ville. Le 14e siècle est celui des catastrophes. En 1348, la peste emporte plus de la moitié de la population. En 1356, un tremblement de terre réduit en ruines et en cendres la ville. En 1392, le gouvernement de la ville passe aux mains de la bourgeoisie organisée en corporations. Celle-ci acquiert le Petit-Bâle, ainsi qu’une partie de l’actuelle Bâle-Campagne. Depuis cette époque et jusqu’à la réforme, Bâle héberge deux « gouvernements », celui des Bourgeois, et celui du Prince-Evêque, ce dernier avec des terres dans le Jura et en Alsace. Le 15e siècle est l’âge d’or de Bâle. De 1431 à 1448 a lieu le Grand Concile de Bâle. En 1460 est fondée l’Université de Bâle, la plus ancienne de Suisse, puisque les autres universités suisses ne remontent qu’au 19e siècle. Le rayonnement de cette université a été important, puisqu’elle a su attirer au cours des siècles des savants aussi importants que Erasme de Rotterdam, Paracelse, André Vésale, le fondateur de l’anatomie moderne, la dynastie mathématicienne Bernoulli, le philosophe Friedrich Nietzsche, le théologien Karl Jaspers, sans oublier le prix Nobel Tadeusz Reichstein. L’essor économique de ce 15e siècle n’a pas empêché des guerres et batailles aux portes de Bâle, en particulier la bataille de St-Jacques à la Birse en 1444 (donc pendant le Concile) et la guerre de Souabe. Pour garantir sa sécurité militaire, Bâle rejoint en 1501 la Confédération en même temps que Schaffhouse. En 1515, Oecolompade introduit la réforme à Bâle. A la suite de celle-ci, il faut de peu que l’université ferme. N’ayant plus de travail pour peindre ni des autels, ni des portraits, le grand peintre Hans Holbein le Jeune quitte Bâle pour Londres, où il devient le peintre officiel de la cour d’Henri VIII. A la suite de la guerre de Trente Ans, le maire de Bâle, Johann Rudolf Wettstein obtient la reconnaissance juridique de l’indépendance de la Confédération du Saint-Empire romain germanique. Dès 1670, la percée de l’industrie de la soie, et en particulier du ruban de soie, ouvre une nouvelle époque de prospérité. Les métiers de la teinture débouchent sur les industries des colorants et de la chimie pour finalement donner naissance à l’industrie pharmaceutique, représentée de nos jours par Roche et Novartis. En 1798, le Bâlois Peter Ochs, après en avoir préparé la constitution, proclame la République helvétique. On sait que ce type d’état centralisé ne convenait guère aux Confédérés, et las de leurs querelles internes, Napoléon l’a aboli par l’acte de Médiation en 1805. Après le traité de Vienne en 1815, comme les autres « grandes » villes suisses, Berne, Zurich et Lucerne, Bâle rétablit l’ancien régime des Patriciens. Mal lui prend, puisque la campagne se révolte, aboutissant en 1833 à la séparation en deux demi-cantons, Bâle-Ville et Bâle-Campagne. Comme lors d’un divorce, il faut partager la fortune. La cathédrale ne pouvant être déplacée, son trésor revient à Bâle-Campagne, qui s’empresse de le vendre à un marchand français. C’est ainsi qu’on peut admirer le retable en or de la Cathédrale de Bâle au musée de Cluny à Paris. La suite de l’histoire de Bâle est celle de la Suisse, avec la grève générale en 1918, résultant à l’occupation de la ville par des troupes de la Suisse centrale. Pour conclure, j’aimerais encore mentionner que Bâle a accueilli le premier congrès sioniste présidé par Theodor Herzl en 1897, suivi de neuf autres sessions aboutissant à la création de l’Etat d’Israël.








Je 31 oct. 2024
Mont Rouge, crêtes et mélèzes de feu
Au lever du jour, dans une atmosphère enveloppante de grisaille, quatorze randonneuses s’élancent avec détermination pour aller admirer les paysages mordorés du Val d’Hérens.
Après un ballet de train et de bus, il est temps de se dégourdir les jambes pour une jolie boucle - 14.5 km et +/- 870 m – . Tout d’abord par le sentier d’un ancien bisse (à sec et nous le surnommerons le « bisse cuit » 😉), nous traversons un petit torrent et une forêt où l’automne déploie sa palette de couleurs flamboyantes, nous longeons ensuite un petit chemin en balcon surplombant la vallée.
La suite nous mène à travers une espèce de pampa des Alpes où nous cherchons notre sente afin d’éviter un pierrier peu agréable pour nos pieds – quelques gouilles parsèment le paysage où se reflètent le ciel bleu immaculé.
Nous commençons à apercevoir notre sommet du jour et sa croix, nous entamons la grimpette qui nous permettra d’accéder à la crête. L’arrivée au Mont Rouge à 2491 m nous offre une vue époustouflante sur 360 ° et nous profitons de cette pause pic-nic pour en prendre plein les yeux – quel panorama !
Nous reprenons notre chemin des crêtes en direction du Mont Carré, le panorama est toujours aussi majestueux. Grâce à la technologie, l’une de nous devient une guide des cimes, nous pointant du doigt les sommets qui nous entourent : La Maya à l’est, les Dents du Midi à l’ouest et en face la couronne impériale ornée des géants tels que : Weisshorn, Bishorn, Dent Blanche, Mont Blanc de Cheilon et bien d’autres.
Il est temps de quitter les sommets pour entamer la descente sur Thyon 2000 et son célèbre tipi puis Thyon les Collons. Cette partie, moins spectaculaire, nous guide sur des pistes de ski qui manquent d’intérêt, mais qui nous ramènent avec douceur à notre point de départ.
Alors que nous attendons notre bus, nous nous désaltérons dans un petit magasin, un véritable carrefour de vie où se mêlent bureau de poste, épicerie et bar – un lieu où le gérant s’affaire avec enthousiasme. Le retour en terre neuchâteloise se fait sans encombre, notre esprit regorgeant d’images et de couleurs, un grand merci à nos deux organisatrices pour cet itinéraire enchanteur.
Une participante heureuse de retrouver le groupe – Cath








Di 27 oct. 2024
Les mélèzes dorés du Lötschental








Me 23 oct. 2024
Dielstorf - Baden par la Lägern
Une montée toute en douceur a d’abord mené les 14 randonneuses au travers du joli village typiquement zurichois de Dielsdorf, puis au bourg médiéval de Regensberg, avant de rejoindre le Hochwacht où, dans le brouillard, nous avons rapidement mangé notre pique nique et dégusté le délicieux cake aux poires de Nathalie, avant de nous réchauffer dans le restaurant entièrement rénové et totalement autonome au point de vue énergie. Nous avons ensuite attaqué la pièce maîtresse de la randonnée, la crête très étroite du Lägern située entre les cantons d’Argovie et de Zurich. En raison du temps toujours couvert, nous n’avons malheureusement eu que de brèves échappées sur la plaine. Depuis le Burghorn, nous sommes redescendues par la forêt sur Baden et son beau centre historique.
Martine








Di 20 oct. 2024
Arête des Sommêtres
Malgré la météo capricieuse de ce mois d’octobre, grâce à une flexibilité sans faille des participants, c’est presque au complet que nous pouvons nous retrouver pour la sortie des Sommêtres deux jours plus tard que prévu. Ce dimanche 19 octobre au petit matin se rencontrent donc Monica, cheffe de course n°1, Iris, Matteo, Lory et Valentine à Neuchâtel pour rouler direction le Noirmont. Le trajet est idéal pour faire connaissance et des découvertes du style : « Tiens, toi tu es le frère de la copine du témoin de mon fils ? » ou encore « Oh, mais tu bosses avec mon autre fils ! ». Bref, le monde est petit, même en voiture.
Une première escale à la boulangerie des Sommêtres nous permet de retrouver Jérôme, alias chef de course n°2, pour un petit café, continuer les présentations et faire le point pour ce qui nous attend. Petite marche d’approche et mise en jambe, puis nous voilà partis en direction de cette magnifique arête parée de ses couleurs automnales, nous sommes au-dessus d’une petite mer de brume qui nous offre un paysage grandiose sur le Doubs.
Les trois cordées progressent bien, peuvent entraîner les manips de progression en corde courte, microlongueur, relais sur becquet, rappel. Nous avons de la chance, le lieu n’est pas trop fréquenté et nous pouvons avancer tranquillement. Monica nous ayant fixé un objectif d’arrivée à 15h, c’est avec 20 bonnes minutes d’avance que nous arrivons au sommet, après ayant gravi le petit Cervin, rien que ça !
Grâce à notre merveilleux chef de course n°2, tout est déjà sur place pour LA fondue qui avait occupé nos pensées tout au long de la montée. Nous profitons donc de la super installation de la cabane des Sommêtres pour faire fondre notre fromage que nous dégustons ensuite au pied de la Croix, tout en attisant la curiosité et les estomacs des randonneurs présents. Nous profitons de ce merveilleux moment et d’une température très agréable, avant de reprendre le chemin du retour et de se séparer pour retourner à Neuchâtel.
Merci à tout.e.s les participant.e.s. pour cette magnifique journée, la bonne humeur et un grand merci spécial à nos super chef.fe.s de course Monica et Jérôme.








Lu 14 oct. 2024
Tête-de-Ran VTT
Avec André, le guide, nous sommes 6 participants.es assis autour d‘une table dans le chalet des Geiser: Doris, André, Dom, Pierre-André et Hanspeter pour goûter une agape riche à la fin de notre sortie VTT. Il est environ 15h30 après un parcours varié sur 30 km et 840 m de dénivelé. Quant aux engins, trois 2-roues sans assistance et trois vélos avec.
Mais racontons les choses dans l’ordre! Rdv à
10h à la Vue, pour recevoir les dernières infos. André a dû modifier un peu le parcours à cause de qq. trails trop boueux après les pluies des derniers jours. Déplacement avec les voitures jusqu‘aux Hauts-des-Combes en dessus de
Ch-de-Fds. Nous fuyions le brouillard en direction de Pouillerel pour suivre un trail à la descente vers les Planchettes. Longue descente sur un chemin blanc pour continuer en dessus du lac de Moron jusqu’au Saut du Doubs qui ne manque pas d‘eau! Arrêt pique-nique côté français, continuation jusqu’au Brenets. Les choses se corsent: longue montée, parfois assez raide, sur route goudronnée . Dom gagne le prix de la montagne 😉 et nous passons près de la Ferme Modèle. Aux Maillards (fermé) un tout petit crachin nous accompagne pendant 5 min. et déjà nous attaquons une série de passages pour cyclistes hyper étroit. Une belle finale boueuse et glissante nous attend avant de retrouver nos véhicules.
La fin de la sortie à relire au début du récit 🥴!!! Un GRAND MERCI à André de nous avoir concocté un parcours varié et à Doris pour l‘agape.








Lu 14 oct. 2024
Entlebuch Heiligkreuz
Ignorant les sourires narquois des passagers du car postal qui nous ont vu descendre sous une pluie battante à l’arrêt Krutacher perdu au coeur de l’Entlebuch nous attaquons les premiers dénivelés sous les pélerines et les parapluies. L’élevage est très présent dans cette région et les sentiers boueux sont creusés par le passage des troupeaux. Passé la ferme Unter Brand, la pluie a fort heureusement cessé et nous profitons du paysage de la haute vallée de la Grosse Entlen. Nous devinons malgrè les nuages le Rothorn de Brienz et les crêtes de la Schrattenflue. Les derniers mètres de montée nous amène sur la crête qui rejoint le First (celui du canton de Liucerne) où subsiste encore des installations de skis dont on se demande si elles fonctionnenr encore à cette altitude de 1400m. En descendant sur Schûpfheim nous visitons l’église baroque de Heiligkreuz haut lieu de retraites et pélerinage.








Je 10 oct. 2024
Mont Girod - combe Fabet
A 07h26, les 14 Jeudistes partent en train jusqu’à Moutier et le bus pour Moutier Cimetière( pas de visite)
Au Derby, nous prenons un café – croissant, offert par Willy Buss qui fête ses (4X) 20 ans, dont nous le remercions infiniment.
Départ pour notre marche en s’engageant dans la forêt de la Foule et les gorges de Court, tout en faisant attention à la glissade.
Depuis Court, nous commençons à grimper pour accéder aux pâturages du lac Vert, dont on aperçoit un petit peu ce bassin caché par la végétation.
Passage délicat prés de la ferme de Mont Girod, afin d’éviter la boue crée par nos amis les vaches. Encore un petit effort avant de pique-niquer au point de vue.
Après le casse-croûte et le joli panorama des gorges de Court , de Moutier et ses alentours, nous descendons sur Perrefitte en passant par la combe Fabet.
Grâce à un parcours bien maîtrisé, nous avons le temps de prendre une boisson au restaurant de l’étoile , qui est offert par notre nouveau membre
Denis Trachsel, que nous remercions beaucoup . Retour en bus et en train sans problème, pour arriver à Neuchâtel à 16h32.
Parcours de 17,2km en 04h45 (dénivelé + 650m et – 620m) ; journée fraîche , quelques gouttes de pluie et un petit peu de soleil.
Merci à toute l’équipe pour la super ambiance, et à notre co-organisateur Jean-Mi.
Guy








Me 9 oct. 2024
Tour du Lac de Joux
Agréable balade autour du Lac de Joux avec en toile de fond la Dent de Vaulion.








Sa 5 oct. 2024
Escalade à la cabane Lindernen
Temps à ne pas mettre un grimpeur dehors du côté de la cabane Lidernen, donc relocalisation de la sortie en Bas-Valais. Rendez-vous samdi matin au café de Dorénaz, sous un épais stratus...Le temps de prendre un café, de monter au secteur Tichodrome et le soleil est là pour débuter la grimpe. Abson, Maximilien et François démarrent dans Martingale. Hélène et Tobias errent du côté de Tichodrome, dans un joyeux mélange de trois voies...Après une rapide descente en rappel et un pic-nic tout aussi rapide, départ pour une deuxième voie. Le lendemain, il était prévu de grimper le matin au soleil et l’après-midi sous les nuages à Miéville. Pas de chance, la météo a évolué défavorablement durant le nuit: ce sera le matin sous les nuages avec deux averses et l’après-midi à l’ombre, le tout accompagné d’un petit vent bien frais. Très belles moulinettes de 40 m sur un excellent gneiss. Bravo à Tobias qui enchaîne les 6b avec maestria!








Sa 5 oct. 2024
Cours premiers secours: Pratique (2/2)
Cours de Premiers secours du 5 octobre 2024
Le cours s’est déroulé dans la ferme de Misaël, ambulancier ES, qui nous accueille avec le café ! Il est notre instructeur bénévole pour la soirée et la journée de cours, avec Adrien, organisateur non moins bénévole depuis plusieurs années. Nous sommes entre de bonnes mains ! La pratique se compose de plusieurs ateliers : approche de la personne blessée (la stimulation verbale, douloureuse, et la respiration), massage cardiaque (5 séries de 30… exigeant pour les épaules), déplacement-transport d’une personne, appel de secours, sécurité à l’approche d’un hélicoptère (attention à la couverture de survie en alu qu’il faut fixer au blessé… sinon danger pour l’hélico), mises en situation d’accidents, bandages-immobilisations de membres blessés, pharmacie de secours. Les informations données et les exercices pratiqués ont bien mobilisé l’énergie des participants. Leur enthousiasme a aussi été nourri par d’intéressants retours d’expériences de Misaël et d’Adrien. Une soirée et une journée de formation instructives et à refaire de temps en temps pour maintenir ses réflexes aiguisés et se tenir au courant des nouveautés dans le secours en montagne. Merci à nos organisateurs ! Marie-Claude






Ve 4 oct. 2024
De Châtillon à Moutier
Course modifiée
Compte-tenu de prévisions météorologiques très défavorables dans la région de Châtillon nous sommes restées sur une randonnée locale en boucle au départ des Cadolles. Montée vers Chaumont, descente sur Fenin en passant par pré Louiset et retour par le sentier N°2 du Trans Swiss Trail, soit environ 14km de marche et 650m de dénivelés. L’occasion pour les quatre participantes de croiser l’expo photos qui s’égrène le long du sentier du Temps de “La faune neuchâteloise dans l’oeil du photographe Neil Villars”, d’admirer quelques fabuleux champignons sortis tout juste d’une terre bien arrosée, de jouir des pépiements d’une classe fêtant le début des vacances d’automne autour de saucissons et chamallows grillés, et d’aborder 1001 sujets de discussion – comme d’habitude.
Bref, un bon bol d’air et d’amitié à portée de main !








Ma 1 oct. 2024
Trek Péléponèse Taygète
Voyage CAS au Péloponnèse du 1er au 8 octobre 2024
Une semaine magnifique remplie d’amitiés, de confidences et de (Fous)-rires
(Organisateur : Philippe Aubert dit Philou)
Τα ελληνικά είναι περίπλοκα, να γράψω στα γαλλικά (Trad : Le grec est compliqué, je me permets d’écrire en français) et vous comprendrez pourquoi en Grèce, il est difficile de s’orienter, on ne sait jamais où on est, et on ne sait jamais où il faut aller !
Nous arrivâmes par la voie des airs le mardi à Kalamata (Καλαμάτα en grec) et nous retrouvâmes André, notre guide-musicien, et Marianne, notre intendante, qui nous accueillirent dans des conditions amicales, chaudes et ensoleillées.
De là, nous avons pris un minibus et traversé les collines du massif du Taygète pour rejoindre la cité byzantine de Mistra, ville archéologique, point de départ de notre trek de 7 jours. Nous faisons tous ensemble connaissance autour d’un incroyable Ouzo, quelques olives et d’un sympathique repas grec.
Après une visite intéressante et culturelle de la cité, nous sommes partis en direction de Anavrity, petit village de montagne authentique, nous randonnons à travers les orangers, les thyms et les sauges, que d’odeurs sauvages. Nous sommes reçus par Maria et Giorgos, nos hôtes d’un soir, personnes très pures et gentilles. Ils nous ont préparé un souper de haute valeur, avec des produits régionaux, des légumes de saison et un cochon de lait délicieux. S’ensuit la musique, les chants grecs, les rythmes mélodieux, des échanges sincères.
Le lendemain, départ pour le refuge de montagne de Agia Varvara. Un joli sentier à travers les zones boisées et alpestres, avec de belles lumières et de magnifiques mélèzes, nous y amène. En chemin, Michel, notre traileur, a une soudaine envie de répéter La Diagonale des Fous, et il part en solitaire pour gravir quelques sommets. Heureusement qu’il n’y avait pas d’eau, il nous rejoint à peine une petite heure après.
Arrivés à la cabane, JeanDa, notre joueur-médecin-globetrotter, nous propose le jeu du 2. Après quelques explications, Silvia, André (le randonneur-cycliste), Philou et Valérie se joignent à nous pour entamer une partie forte en rebondissements. Pour certains, l’appel de la gardienne de la cabane pour aller manger une bonne platée de pâtes fût salvateur. Et quelle douce nuit nous passâmes dans ce chouette dortoir, avec cet épais matelas Tempur de haute qualité (gag).
4ème jour, le D-Day, ascension du Profitis Ilias, plus haut sommet du massif du Taygète, culminant à 2407 Mètres. Réveil douloureux aux alentours des 5h45, petit-déjeuner sommaire et départ à 7h00, à la fraîche pour 900ml de dénivelé positif. Il fait beau, et il y a du vent. Montée régulière, à un bon rythme jusqu’au sommet et panorama grandiose, vue à 360° sur toute la péninsule du Péloponnèse, échanges des traditionnels bisous et félicitations particulières aux femmes de notre groupe, AnneKa, Christine, Danièle, Claire, Silvia et Valérie pour leur ascension, des vrais chamois.
Redescente en direction de Arna, notre destination du jour, à travers les noyers, les mûriers, les pommiers. Magnifique souper en plein air, sous un grandiose platane de 2000 ans, diamètre de 6ml, juste énorme. Les menus grecs sont de qualité, et quantitatifs, Olives violettes de Kalamata, Légumes, Humus, Patates, Salades, Feta, Côtelettes d’agneau, Desserts, Vins et Digestifs, tout ce qu’il faut pour nous redonner force et énergie.
Le lendemain, nous commençons par une montée le long d’une gorge et nous pouvons sentir le maquis de chênes verts, d’arbousiers, et de nombreux champignons. Nous arrivons au col où une petite tempête se prépare. Rapide dîner à l’abri, nous mettons les habits de pluie, les vestes, les pantalons et les coupe-vent, et prenons le chemin du Monastère de Yatrissa. On ne voit plus à 2 mètres, on s’appelle pour savoir si on se suit, situation assez rocambolesque semblable à la haute montagne, avec du fort vent, de la pluie, des grésillons, un épais brouillard. Heureusement que notre guide, André, retrouve un petit sentier à travers les bois pour nous protéger de ce déluge et nous amener en bonnes conditions jusqu’à Milia, notre destination du jour. Nous prenons une navette pour nous amener dans un chouette petit hôtel, avec piscine, à Kardamily, où nous y passerons 3 nuits.
Jours 6 à 8, randonnées à travers les villages typiques du vieux pays de La Magne. Nous marchons à travers les nombreuses oliveraies reconnues AOP, nous visitons les monastères, les petites chapelles, avec des vues splendides sur la mer et les montagnes, visite du marché local. André et Marianne nous conte les vieilles histoires du pays, les anecdotes, la mythologie grecque. Nous passons du bon temps, c’est génial. En fin de journée, baignades dans la mer turquoise, ploufs dans la piscine, apéritifs et soupers typiques dans de chouettes auberges, et bien entendu, quelques Mojitos et Caïpirinhas. QUE DU BONHEUR… (Μόνο ευτυχία en grec)
Mardi 8 octobre, 17h30, voici le moment de quitter ce pays accueillant, calme et plein de mystères, qui nous a donné à tous de magnifiques émotions. Un grand merci à Marianne et André pour leur générosité, et leur amour de leur pays d’adoption qui nous ont appris à le découvrir.
Quelques chiffres pour les statistiques : Longueur totale de nos randonnées : 95 km ; Point le plus haut : 2407 m ; Dénivelé positif : 5000 m ; Dénivelé négatif : 4500 m, Nombres d’heures effectives de randos : 26 h
Nombres d’heures de rigolades et de sourires : + de 1000 h (Le plus important).
Merci à Philou pour cette belle organisation, et terminons sur le proverbe de cette semaine :
FINISSONS-EN !!!
Rédaction : Stéphane Robert








Lu 30 sept. 2024
Du Seeberg au Seehore 2280m, Diemtigtal
LundiX 30 sept 2024
Seeberg - Lac Seeberg- Niderhorn 2078m - Urscher – Seeberg
en remplacement du Seehore avec une boucle par le Stierenberg prévu initialement, enneigé et accès par les lapiaz et éboulis trop risqué avec vent tempétueux en altitude.
Départ du parc Seeberg avec la petite route d’accès payante depuis Zwischenflüh.
On s’équipe ; le vent souffle, petite pause dans la montée, pas pour enlever une couche…mais en rajouter une ou deux avec doudounne, bonnet et gants.
Jolie montée en passant par le lac de Seebergsee, pas d’amateur/trice pour une baignade, donc on continue de monter jusqu’au point Lueglespitz afin de suivre la crête venteuse jusqu’au sommet du Niderhore à 2'078m.
Le vent est vraiment très fort, il ne faut pas trop s’approcher des falaises !
Puis c’est la descente par Urscher, très beau dans les lapiaz et la belle végétation jaune et automnale.
On trouve un coin pour le pique-nique à l’abri de ce vent glacial, puis c’est le retour par un joli chemin un peu plus abrité sous la chaine du Niderhore qui nous amène au restaurant du Seeberg.
Willy nous offre la tournée pour fêter tout bientôt ses 2 x 40 ans ! Un très grand MERCI au fidèle Lundi-Xiste
Christine et Nathalie concluent la journée par ; « découvrir de très beaux paysages et nous aérer à tous vents ainsi qu’un fabuleux mirador décoiffant »
On profite pour faire provision de fromage d’alpage Seeberg et d’autres produits du terroir.
Merci pour l’organisation Jürg et Christelle, on reviendra pour grimper au Seehore une autre fois !
Patricia








Je 26 sept. 2024
Course A : Au sud du lac de Thoune : Därligen Fa
C’est bien dommage que nous n’ayons pas pu faire la course prévue au programme, Därligen-Feulensee. Mais que cela ne tienne, 10 courageux se sont retrouvés à Saint-Blaise pour monter en car postal et par un parcours inhabituel jusqu’à Enges, en raison des travaux routiers. De là, nous sommes descendus à Frochaux, avons suivi le chemin par Entre-Roche, longé le Ruau de Saint-Blaise, pour arriver au bord du lac, ce qui nous a permis d’admirer les roues en mouvement de Botta. Nous avons suivi le bord du lac jusqu’à la Ramée, où nous avons pris le pique-nique dans la bonne humeur, et à l’abri. Après nous avoir sustenté, nous avons longé le lac jusqu’à la Tène en empruntant le nouveau chemin, magnifiquement aménagé, qui traverse la propriété de Préfargier. Nous avons continué en suivant le Thielle, bifurqué vers Wavre, longé le Loclois, pour arriver finalement à Saint-Blaise.
Nous avons parcouru environ 18km, sommes descendus de 460m, monté de 80m, le tout en 4h30, sans les pauses.
La température a été agréable pendant toute la course, et il a même fait doux. Le matin a été quasiment sec, mais après le pique-nique, la pluie est tombée sans discontinuer.
Merci aux participants pour la bonne humeur et l’ambiance amicale. Une fois de plus, même par mauvais temps, on éprouve du plaisir de se retrouver et de randonner ensemble. Merci aussi à mon coorganisateur Jacques I., comme toujours fidèle au poste.
Alfred



Ve 20 sept. 2024
Derborence - Pas de Cheville - Gryon Barboleuse
De Derborence à Gryion Barboleuse le 20 septembre 2024
La course s’est parfaitement déroulée. Après un long voyage le café fut apprécié sur la terrasse du refuge du lac de Derborence. Merci à Michèle qui nous a fait un délicieux cake.
Le temps agréable nous a permi de profiter de cette belle course entre le Valais et le canton de Vaud avec des paysages bien différents.








Je 19 sept. 2024
4 jours de randonnée Vallée d'Aoste en étoile
19 -22 septembre 2024, 4 jours de randonnée en étoile en Vallée d’Aoste, org. René Miorini. Jeudi 19 septembre, nous sommes 13 randonneurs-euses à nous retrouver de bonne heure à Colombier pour un long voyage jusqu'en Vallée d'Aoste. 13, c'est beaucoup, mais René n'a pas eu le cœur de faire des déçu-e-s... Des aménagements ont donc été prévus par notre GO pour diviser toute cette joyeuse troupe en deux groupes plus petits pour les randonnées. Notre voyage nous amène jusqu'à Breuil-Cervinia, une station de ski pas très jolie de l’avis général... De là, nous montons tou-te-s ensemble jusqu’à 2300m d’altitude, pique-niquons ensemble avant de nous séparer en deux groupes : l’un, conduit par Nathalie et Grégoire, en direction du Rifugio Bobba du Club Alpin Italien, l’autre, conduit par René, en direction du Rifugio Duca degli Abruzzi all’Oriondé (rien que ça !). Malheureusement, le plafond nuageux est bas, et nous n’aurons pas de vue sur le Cervin ni sur les autres sommets de la région pendant cette randonnée. Comme par miracle (mais non ! c’est parfaitement organisé par René), les deux groupes se retrouvent à la même heure au parking du Golf de Breuil-Cervinia et nous descendons tou-te-s ensemble à l’Hôtel Bijou à Valtournenche. Oui, c’est vraiment un petit bijou cet hôtel, avec un personnel très accueillant et chaleureux, de délicieux menus du soir avec antipasti, primi, secondi piatti et dessert (souvent, nous ne savons même plus ce que nous avons commandé tellement il y a de plats !) et des petits-déjeuners royaux : une adresse à recommander pour tou-te-s celles et ceux qui cherchent un hébergement dans le Valtournenche ! Le lendemain, nous partons avec un beau et chaud soleil… qui malheureusement ne va pas nous accompagner très longtemps. Nous montons depuis le village de Valtournenche jusqu’au lac de barrage de Tsignanaz, avant de poursuivre vers la Fenêtre du même nom. Pique-nique laissant à chacun-e le temps de décider s’il-elle veut ou non poursuivre jusqu’au sommet du Mont Plancherot. Celles et ceux qui y sont allé-e-s n’ont pas été déçu-e-s, car des bouquetins étaient au rendez-vous, et le brouillard ambiant s’est même dissipé pour leur octroyer une belle vue du sommet. Les moins braves, qui sont redescendu-e-s directement, ont profité de leur avance pour visiter un peu le joli village de Valtournenche et boire un verre sur une terrasse. Le troisième jour, nous reprenons les voitures pour aller jusqu’à La Magdeleine. De là, nous partons à pied en direction du Mont Dzerbion, avec, pour un petit groupe de cinq personnes conduit par René, un (gros) détour par le Mont Tantané. Comme lors du premier jour, René s’est arrangé pour que nous nous retrouvions tou-te-s au Col Portola, pour certain-e-s à l’aller, pour les autres au retour. Retour à la Magdeleine par un autre itinéraire et petit café dans un bar du village avant de rentrer à notre hôtel de Valtournenche. Le dernier jour, le temps est assez clair, et notre GO décide d’une randonnée au départ de Creteuil. Comme nous allons rentrer en Suisse après la randonnée, nous marchons tou-te-s ensemble jusqu’à la Becca d’Aran, qui nous fera le plaisir de se dévoiler un peu lorsque nous aurons gagné son sommet. Retour à l’Hôtel Bijou à Valtournenche pour un dernier verre partagé, avant un long voyage (près de 4h) de retour à Neuchâtel. Un grand merci à notre GO pour l’organisation parfaite de ces quatre magnifiques jours de randonnée, à tou-te-s les participant-e-s pour leur agréable compagnie, aux conducteurs-trices qui nous ont véhiculé-e-s, et au personnel de l’Hôtel Bijou pour leur accueil chaleureux. Nous nous réjouissons déjà de la prochaine étape de ce « grand tour de la Vallée d’Aoste » proposé depuis quelques années par René ! Christelle





Sa 14 sept. 2024
AlpBivEsc Chamonix Les Praz Les Chéserys
La météo nous a contraint à renoncer au bivouac et opter à un hébergement chauffé au Chamoniard volant.
Nos courses alpine et d’escalade étant passablement abritées de la bise, les conditions se sont révélées bien meilleures et agréables que prévu … et craint des participants !
Jérôme
SAMEDI VIA CORDA ALPINA
Nous sommes parti à 7h30 de Boudry avec une partie de l’effectif. Nous avons fait une pause-café à Martigny où nous avons retrouvé les deux derniers membres du groupe. Une fois arrivés à Chamonix nous sommes partis pour faire la Via Corda Alpina au rocher des Mottets. Au début le soleil nous a manqué un peu mais une fois en haut de cette magnifique randonnée alpine le ciel s’est dégagé et la température a vite augmenté. La rando arrive sur une buvette ou il y a des bulles pour y passer la nuit avec une vue vertigineuse sur le Grand Dru. Après avoir mangé à la buvette nous sommes redescendus à pied par un chemin facile jusqu’aux voitures. Ensuite nous sommes allés prendre nos cartiers dans un dortoir assez bien situé dans Chamonix ce qui nous a permis d’aller manger dans un restaurant au centre-ville à pieds.
Matteo
DIMANCHE LONGUES VOIES DES CHESERYS
Après une nuit reposante au gîte, nous nous levons à 7h (sauf le soussigné qui est réveillé par Séverine à 7h30) et prenons un délicieux petit déjeûner concocté Jérôme. D'ailleurs d'autres hôtes tenteront d'y gouter, pensant que celui-ci était celui offert par le gîte.
Ensuite nous partons pour le cols des Montets. Après environ 30 minutes de marche, nous nous équipons, Delphine et Séverine feront la voie Lady, Jérôme et Matteo, Micol et Michael, Penny Lane.
Nous grimpons sur de la dalle, si bien qu'il est important de grimper en adhérence, les longueurs s'enchaînent sous un soleil de septembre dissipant les craintes que certains participants pouvaient avoir quant à la situation météorologique du weekend. La vue sur le Mont-Blanc et les autres sommets alentours est magnifique.
La voie terminée, nous débutons la descente en rappel. Le plus jeune des participants insistent notamment pour plier la corde, ce que le soussigné accepte avec joie (il ne faut pas réfréner le désir de la jeunesse de nous montrer leurs compétences de plier la corde, d'organiser le relai, d'effectuer les manipulations, etc). Durant les minutes d'attente aux relais, nous observons un hélicoptère qui prend en charge une personne accidentée.
Arrivés au pieds des voies, nous redescendons au parking du col des Montets. Après avoir rangé le matériel, nous reprenons la route et faisons une halte à la fromathèque à Martigny pour une bonne bière ou autre boisson.
Avant de nous quitter, nous ne manquons pas de faire des emplettes à la fromathèque (fromage, huiles essentielles, saucissons, etc).
Après un peu moins de deux heures de route, nous sommes de retour à Boudry des images plein la tête pour un weekend merveilleux grâce à l'excellente organisation du chef de course et la bonne humeur des participants.
Michael








Je 12 sept. 2024
First depuis Elsigenalp
Mail de dimanche soir 8 septembre : Jeudi 12 septembre, plutôt que brouillard et neige au First d’Adelboden, je propose une bonne aération et une sympathique métairie près de chez nous :
RDV 8h40, Chambrelien, gare. De là, à pied au Grand Coeurie via Tablettes : 3 h, 8 km, +800 m/-180 m.
Après-midi : du Grand Coeurie aux Geneveys-sur-Coffrane, gare : 2 h, 7 km, +190 m/-640 m (en grande partie sur chemin blanc).
Inscriptions: jacques.isely@gmail.com jusqu’à mardi en précisant pour le saucisson au feu de bois, roesti, salade, CHF 19.— ou pour la fondue 200 gr, CHF 21,—
Le prix des boissons est très raisonnable et le café nous est offert.
Il fera plus froid. J’espère que nous pourrons passer entre les gouttes. Prenons quand même le parapluie !
Déroulement de la course : comme prévu et dans la bonne humeur habituelle. Cf. photos.
PS 1 : Agréable surprise en arrivant au Grand Coeurie. Werner a téléphoné pour nous offrir l’apéro que nous buvons à sa santé !
PS 2 : 8 participants
Org. Jacques







