
Ve 2 juin. 2023
La Heutte en boucle
coucou








Je 1 juin. 2023
Les quatre trésors de Crémines
Récit complet en préparation
Magnifique rando depuis le Zoo de Crémines qui nous fait découvrir 4 trésors:
Le Canyon des Creux de Glaces - La vieille Dame de Crémine - La Grotte des Ours (Bäreloch) - Le Canyon des Loups (Wolfschlucht). Pique-nique en route sur les hauteurs de Brandberg
12 participants – Météo au TOP et un groupe de très bon marcheurs
Parcours 14,1 km + 900m / – 980m en 6h50 yc les pauses et pique-nique




Je 1 juin. 2023
La Combe Tabeillon








Me 31 mai 2023
Schwarzenburg-Fribourg (modifiée)








Ve 26 mai 2023
Bramois - gorges de la Borgne - Ossona / Ossona -
Enfin, Ossona est au programme du CAS-Neuchâtel ! Et la météo est avec nous pour ces deux jours de randonnée dans le Val d’Hérens ! :-)
Après un voyage en transports publics sans encombre, nous nous engageons dans les gorges de la Borgne, avec un premier arrêt à l’ermitage de Longeborgne. Nous apprécions ensuite la fraîcheur des gorges, mais la température augmente au fur et à mesure que le sentier se redresse. Heureusement, nous arrivons pour la pause pique-nique à Combioula, où nous pouvons aussi restaurer nos corps dans l’eau froide de la Borgne et l’eau chaude sulfureuse de la source locale. Bien régénérées, nous poursuivons avec une montée raide jusqu’à Ossona, où nous récupérons cette fois avec des boissons fraîches et des glaces maison. Au programme de l’après-midi : rencontre avec les 250 chèvres du lieu et, pour les plus courageuses, repérage du début de l’itinéraire du lendemain. Le soir, nous dégustons les délicieux produits d’Ossona : tommes de chèvre ou de brebis, salaisons, Divico… et en dessert les délicieuses tartes et le génépi maison.
Après un repos bien méritons, nous retournons à table pour un bon petit-déjeuner toujours à base de produits locaux. Après une bonne grimpée, nous cheminons le long du pittoresque bisse d’Ossona, puis visitons le charmant village de Mase. Une nouvelle montée raide nous mène au bisse de Tsa Crêta. Nous nous arrêtons à la Gouille aux Cochons pour pique-niquer et nous rafraîchir. Poursuite de la randonnée le long du bisse, puis descente vers Baule, où chacune choisit le mazot de ses rêves. Nous avions prévu de terminer notre belle randonnée à Suen, mais faute de bistro nous poursuivons jusqu’à St-Martin ;-) Retour en transports publics à Neuchâtel, agrémenté par la dégustation de Solaris, le délicieux vin blanc produit à Ossona et généreusement offert par nos hôtes de la veille.
Merci à nos deux supers cheffes de course pour l’organisation de cette magnifique randonnée et à David et Stéphanie pour leur accueil chaleureux à Ossona !
L’équipe “Abplanalp”








Je 25 mai 2023
St-Cergue - La Dôle - Col de la Givrine
Rapport de la course A : St. Cergue-La Dôle-La Givrine
25 mai 2023. T2
8 participants, 2 organisateurs
Rdv : 07h00 Au Robinson, Colombier. En voitures jusqu’à St. Cergue
Départ à pied St. Cergue 9h15, montée à La Barillette par Guinfard, Col de Porte, La Dôle 12h00. Descente sur le Couvaloup de Crans, gare de la Givrine à 14h30. Retour de la Givrine à St-Cergue en train, puis en voiture.
Total 5h15, 12 km, +770m, -600m
Le matin nuageux, l’après-midi le soleil apparait et nous réchauffe.
Adrien Ruchti et André Pahud








Me 24 mai 2023
Läufelfingen
Après une looooooongue montée régulière depuis Läufelfingen, nous avons cheminé le long de la voie 5 Hauenstein- Balsthal , pour passer près des ruines de l’ancien château médiéval de Bechburg.
Un arrêt boisson au magnifique restaurant de Blüemlismatt avant d’attaquer une très jolie descente fleurie jusqu’à Egerkingen .
Le soleil n’a pas daigné se montrer une seule fois pour nous permettre d’admirer la vue, mais la rando fut belle. Merci à Barbara et Nathalie .








Ma 23 mai 2023
Randonnées en Grèce sur l'île de Sifnos
Une semaine de trek dans l’île de Sifnos passe vite mais il reste le souvenir des paysages magnifiques traversés au rythme de nos pas, des villages aux maisons fraîchement repeintes en blanc, des églises aux saints millénaires qui reposent dans la fraîcheur des chapelles. Il reste le souvenir de la camaraderie, des échanges, des bons moments passés sur la plage pour prendre l’apéro après une journée bien remplie. Il reste le souvenir de montées et de descentes entre des murs de pierres sèches, des plages accueillantes pour la baignade, de bistrots où partager des repas et spécialités grecques. Il reste le sourire et la compétence de nos guides André et Marianne, toujours attentifs au bien-être de l’équipe et toujours prêts à nous donner des explications ou à nous raconter des histoires. Il reste le souvenir d’une semaine passée à la découverte d’une île, à la découverte de sa géologie et de son histoire. Une semaine où le terme de « cordée » a revêtu tout son sens tant l’harmonie du groupe fut conviviale et amicale. Et pour changer les habitudes, ce sont les organisatrices qui remercient les participants pour leur entrain et leur joie de vivre.
Catherine








Sa 20 mai 2023
Randonnée Vy aux moines de Montbenoît à Môtiers
Départ avec train, bus et taxi pour Montbenoit (FR) pour cette randonnée sur deux jours.
J1 > Montbenoit jusqu’à Les Seignes.
J2 > Les Seignes jusqu’à Motiers.
Très joli week-end pour cette belle échappée sur les traces historiques des Moines entre France et Suisse.
Nous avons entendu, grâce à l’oreille affûtée de Kathrin, plein d’oiseaux chanteurs de ces jolies forêts.
Nous sommes arrivées à Les Seignes, gite rural, du Jura français et avons faits connaissance des chevaux, des pottok et des poules qui vivent dans ce manège.
Départ vers 9h00, ce dimanche matin, pour passer la frontière et arrivée au joli lac des Taillères et trempette pour deux d’entre nous.
Puis poursuite en direction de Môtiers, pique-nique au lieu-dit La Citadelle et descente sur Boveresse pour finir sur les traces des nombreux moines,contrebandiers et faiseurs d’absinthe.
Merci à Isabelle et à Simone pour cette très chouette sortie.
Patricia








Lu 15 mai 2023
VTT dans les Franches-Montagnes
Par un temps couvert, 8 vététistes se retrouvent aux Gollières. Départ en voiture pour les Bois (JU).
Depuis ce village, nous partons en direction du Noirmont, Saignelégier par l’itinéraire VTT no 712.
Au Creux-des-Biches, quelques participants proposent de prendre un café ce qui pourra se réaliser à l’auberge du Peu-Péquignot. Un grand merci à Philippe, qui nous offre la tournée.
Du village du Noirmont, un test en montée jusqu’au haut des Sommêtres nous permet de nous mesurer sur notre état de forme.
A travers des pâturages bien gras et piétinés par le bétail, nous avançons gentiment avec les nombreuses barrières à chevaux que nous devons manipuler.
Vers midi, une petite pause pour un pique-nique au pt 994m au nord des Reusilles. Vers 14h, une petite pluie nous accompagne pendant une dizaine de minutes.
Arrivée vers 14h30 aux voitures, puis un arrêt au bar du golf pour une petite bière. Un bon lavage de vélo sera indispensable.
Merci à Heinz pour l’organisation de cette belle journée VTT.
André








Je 11 mai 2023
Sifnos par terre et par mer
Sifnos par terre et par mer : du 11 au 22 mai 2023
Jour 1-2-3
Dix personnes se retrouvent à la gare de Neuchâtel au petit matin, toutes motivées à tenter l’expérience d’un voyage sans avion!
Pas à pas, étape par étape, le voyage se déroule paisiblement, sans anicroches, grâce aussi à nos réserves de patience.
Après une nuit à Ancône, nous prenons notre temps pour monter à bord d’un Superfast Ferry qui nous mène à Patras en 24h.
L’espace dans le bateau favorise les déplacements et les rencontres. Chacune choisit ce qui lui convient. Les repas se prennent en commun et les discussions vont bon train.
L’horizon vaste et apaisant nous enchante.
Après une nuit agréable, nous quittons le ferry à Patras avec une demi-heure d’avance. On enchaîne avec un 1er bus, 3 taxis, un 2ème bus et 3 heures plus tard, on arrive, détendues et contentes, à Athènes. C’est là qu’on retrouve avec grand plaisir nos deux guides Marianne et André.
La dernière course en taxi pour Le Pirée tient du rodéo et nous dépose à l’hôtel… soulagées !
Nous partageons un premier repas grec bienvenu et nous nous couchons tôt car le départ pour Sifnos sera matinal.
Marielle et Geneviève
Jours 4 – 5
6h50, 9 participants et nos 2 guides sont fin prêts pour aller prendre le ferry pour Sifnos, en prenant un petit déjeuner sur le pouce en passant. Inquiétude ! Le timing est serré et il manque une participante. Toute l'équipe s'en va, sauf Marianne qui attend l'absente. Quelque temps plus tard, nous voyons arriver Marianne et la retardataire "dans tous ses états ". Son réveil, pourtant radiopiloté et mis à l'heure grecque, n'a pas sonné. A notre grande stupeur, une heure plus tard, un réveil a bippé sans discontinuer dans le ferry. Inutile de vous décrire plus longuement notre fou-rire.
Nous débarquons à Kamares, charmant village aux pimpantes maisonnettes blanches aux volets et portes bleus. Notre sympathique hôtel est idéalement situé près de la plage. Après un picnic bienvenu, nous entamons notre 1ère randonnée en direction d'Apollonia. Au fil de nos pas, nous contemplons fleurs et arbustes (lupins, chrysanthèmes, arum du dragon, euphorbes, origan, phlomis, sauge, thym, etc…), murs de pierre et petites églises au toit bleu nichées dans les collines. Les diverses senteurs nous enivrent. A Apollonia nous faisons une pause bien méritée dans un bar à l'ancienne où nous dégustons notre 1er café grec, premier d'une longue série. De retour à Kamares, une baignade rafraîchissante avant de déguster quelques spécialités dans une taverne.
Le lendemain, nous petit-déjeunons sur la terrasse dans les senteurs du jasmin. Que demander de mieux ! 3 taxis nous conduisent à Apollonia où débute notre magnifique randonnée. Elle nous conduit à Athemonas, puis à Kastro, petite bourgade fortifiée, dont l'entrelac de petites ruelles blanches, parsemées de bougainvilliers, nous enchante. Nous cheminons entre de magnifiques murs de pierre, surplombons le mer transparente et admirons pigeonniers et chapelles. A l'heure du pique-nique à Serailia, Jacqueline se délecte d'un bon bain de mer tandis que nous nous restaurons avec des produits locaux. Une montée régulière nous ramène à notre café typique d'Apollonia. Et bien sûr, la classique baignade conclut cette journée en beauté, avant un repas convivial dans une taverne.
Martine et Dany
Jours 6-7
Aujourd’hui mardi, nous sommes parties pour 1062m. de dénivelé. Nous grimpons, poussées par un vent chaud, direction le Profitis Illias qui culmine à 680m. au-dessus de Kamares, par un vieux chemin de mineurs, à travers des forêts de genévrier. Nous entendons des chèvres bêler mais elles se cachent. Nous arrivons au Monastère de Paniagua Toso Nera où nous profitons d’une petite agape dans les murs blancs et d’une magnifique vue sur toute la mer Egée. Après 2,5km. on atteint la source Kapsalos à 420m. d’altitude. Là le sentier raviné remonte vers le Monastère Profitis Illias bâti comme une forteresse. Martine fredonne de beaux chants dans la chapelle! La descente se fait sur un chemin dallé de marbre jusqu’à Firogia. En chemin on admire de magnifiques fleurs: l’arum dragon. Retour en bus à Kamares.
Le matin suivant le taxi nous conduit à Platis Gialos. Jolie baie au bord de la mer, au sud de l’île nommée Kondou. Nous traversons des régions de maquis peu habitées, nous passons par d’anciennes oliveraies et des forêts de cèdres. Nous dégustons quelques mûres blanches au mûrier dont les feuilles nourrissent les vers à soie. Nous atteignons la baie sauvage de Fikiada où nous nous baignons et faisons la pause pique-nique. La marche continue avec une vue magnifique sur la mer Egée où nous voyons une ancienne Tour de garde . On traverse des forêts de cèdres et de genévriers. On amorce la descente rapide sur Platis Gialos et prenons un bon bain. Retour avec le bus local à Kamares où un bon repas grec nous attend comme chaque soir!
Jacqueline et Elsebet
Jours 8-9
Le ciel est bleu et nous commençons par un déjeuner dans le paisible jardin de l’hôtel. Départ pour Apollonia en taxi. Nous démarrons la journée de rando et voyons un homme en train d’enlever des chardons dans un champ, un autre retourner la terre avec un petit motoculteur. Sinon on aperçoit des hommes affairés à la construction des maisons, à l’entretien des chemins et des peintres que l’on reconnaît à leurs habits tachés de blanc. Sur le chemin un dindon nous surprend, il fait sa sortie matinale, avant de rejoindre le poulailler. Durant la journée nous pouvons admirer les nombreuses petites terrasses assez bien dessinées et plus au moins entretenues. Après une pause au joli monastère de Panaghia Vrissy (Tholos), notre route continue vers le Monastère de Krisopigi.
Comme l’église des sept Martyrs, c’est l’un des lieux les plus reconnaissables de Sifnos. Le rocher sur lequel est construit le Monastère est en réalité un îlot, séparé de l’île par un minuscule canal qu’on franchit par un pont court. Baignade, pique-nique et arrêt au café à Platis Gialos. Cette journée est faite de rencontres avec des animaux : vaches, mulets et chevaux qui ont sur un des côtés les pattes attachées avec une corde, pour limiter leurs déplacements. On tente de photographier des papillons, mais seul François a du succès et capte un Flambé. Au début d’un chemin, non-balisé et escarpé, nous voyons un troupeau de chèvres sur le qui-vive. Cette journée se terminera au restaurant avec au menu un ragoût de chèvres avec les os et autour de bons morceaux de viande juteuse et goûteuse.
Le lendemain, super organisation de nos guides: carottes et oranges à mettre dans nos sacs à dos et trajet en taxi jusqu’à Apollonia. Un feuilleté au fromage, tout chaud nous est distribué et ensuite départ à pied en montant la ruelle jalonnée de boutiques qui nous font les yeux doux. Sur le parcours, la moisson à l’ancienne avec 4 gerbes bien ficelées attire notre regard. Petite pause boisson vers une chapelle, la principale se fera à la Chapelle Panagia Tou Niliou, rénovée récemment où Marianne nous propose une délicieuse barre aux céréales pour nous redonner de l’énergie. Ensuite le chemin nous conduit à Kalamitsi, une des sources intarissables de l’île. Le soleil nous nargue et une brise chasse les nuages pour notre arrivée à la plage de Vathy. Une baignade rafraîchissante, un pique-nique sous les Tamaris, une balade sur la plage pour observer les nombreux oursins autour des rochers et un bon café servi dans l’un des petits restaurants de la plage, l’après-midi se termine par un retour à l’hôtel en bus jusqu’à Apollonia, puis en taxi jusqu’à Kamares.
Le nom du buisson à fleurs rouges (en forme de petites brosses) est finalement trouvé: Callistemon (rince-bouteille). Le repas du soir se passe à la taverne, où nous nous régalons, à nouveau des plats de la région. Dany, Monique et Martine nous font goûter du Xyma (liqueur grecque) reçue lors de leurs emplettes. Pour clore le repas, grâce à Elsebet, nous dégustons un autre dessert : yaourt grec et miel qui diffère du Halva Grec habituel qui est une préparation à base de semoule.
Elisabeth et Claudine
Jours 10-11-12
Ce matin ça sent déjà la fin de séjour. Jolie randonnée au phare du cap Kokkalas sous un beau soleil, dernière baignade et tandis que le ciel se couvre et que le vent se lève nous traînons nos valises alourdies de diverses spécialités vers le port. Au Pirée c’est le retour à la vie trépidante : concert de klaxons, effluves de gaz d’échappement et circulation dense.
Le lendemain, nous quittons l'hôtel du Pyrée pour la station de bus à Athènes. Nous saluons Marianne et André et les remercions grandement pour leur écoute, leur soutien et leurs connaissances. En route pour Patras, nous passons le canal de Corynthe puis arrivons finalement à destination. Nous allons visiter la basilique orthodoxe St-André avant de revenir par les rues piétonnes et nous accorder un petit repas sympathique en groupe. Nos sacs récupérés, nous prenons un taxi pour l'embarcadère du Superfast Ferry, nous passons la nuit à bord jusqu'à Ancône.
Départ du ferry avec une heure et demie de retard, cela n’augure rien de bon …
Après le temps du rêve, il y a eu celui de la rencontre entre nous et avec Marianne et André, puis celui du transport en TGV, en Superfast Ferry en bus, en taxi bolide, finalement en SuperJet 2 - avons-nous gagné du temps ou en avons-nous perdu ? Enfin nous avons pris le temps de découvrir Sifnos, ses chemins pour chèvres, ses paysages grandioses, ses églises et ses habitants. Un espace temps qui nous fera grandir, être différent, plus riche et plus humble - Avons-nous perdu du temps ou en avons-nous gagné ? Dans quelques heures ce sera le temps des "au revoirs" après 6 jours de voyage pour 6 jours de marche - en avion entre Genève et Athènes, nous aurions mis 2h30 pour une somme de 400.- aller et retour - Avons-nous perdu du temps ou en avons-nous gagné ? Et puis viendra le temps des échanges photo, des emails, finalement sera le temps de la réflexion puis celui des souvenirs avec ses émotions avant de nouvelles aventures dans un autre temps .
Monique et François
Jour 13
Le 13 ème jour que l’on aurait souhaité éviter!
Suite au retard du ferry, nous avons dû improviser une nuit supplémentaire à Ancône.
De bon matin, nous avons pris un premier train, de nombreux autres suivront pour nous ramener en Suisse. Les inondations de l’Emilie-Romagne nous auront fait « galérer grave « … Contentes néanmoins d’avoir réussi l’exploit de rentrer chez nous en 14h depuis Ancône et 10 changements de moyens de transport.
Et si c’était à refaire??
En ce qui concerne Sifnos: à coup sûr!
Et pour le voyage: un aller facile, agréable et relax, un retour compliqué et fatigant qui a mis à rude épreuve notre patience. Le groupe y a fait face en restant stoïque et bienveillant.
La traversée en ferry a été globalement appréciée.
Avons-nous gagné ou perdu du temps ? telle n’est pas la question, nous sommes retraitées et le temps nous l’avons !
Seule une question reste sans réponse: quel est véritablement le bilan carbone du transport en ferry?
Geneviève et Marielle








Je 11 mai 2023
Beinwil – Zwingen
12 participants se sont retrouvés à la gare de Neuchâtel peu avant 7 heures pour se rendre à Beinwil en passant en autocar postal par le col routier du Passwang. Après la visite de la chapelle et de l’église, grâce à la curiosité de notre ami HUW, nous sommes accueillis chaleureusement dans le monastère d’obédience orthodoxe. Si la communication en russe avec une sœur a été difficile, quelle ne fut pas notre surprise de rencontrer l’abbé adjoint (voir photo ci-dessous), originaire de Cressier NE ,et qui parlait donc parfaitement le français en plus de quelques autres langues, allemand, grec, tchèque, géorgien, si mes souvenirs sont corrects. Dans la salle à manger du monastère nous avons été gâtés par un verre d’eau, du café Nespresso, du gâteau, genre Turban, et du chocolat. Que de gentillesse de la part de l’abbé, d’un autre moine et d’une sœur, et quelle ambiance sereine.
Mais il est temps de démarrer la randonnée. Nous commençons par monter au Chastenchöpfli, puis nous longeons des prairies du Jura tabulaire. Après avoir longé un ruisseau bien joli, nous nous engouffrons dans le Chaltbrunnental, la vallée de la fontaine froide. Cette gorge est sauvage à souhait, et est parcouru par une rivière d’un bon débit. Dans une clairière, à midi pile, nous pique-niquons sur des bancs et autres troncs d’arbre. Encore une heure de marche pour arriver au bord de la Birse, où nous découvrons peints sur une falaise les insignes des troupes ayant protégé le passage pendant la première guerre mondiale. 25 minutes plus tard, nous arrivons Grellingen, où nous profitons de l’attente du train pour déguster les uns une bière, les autres un café. A noter, que nous avons marché d’un bon pas, ce qui nous a permis de prendre le train une heure plus tôt et d’arriver à Neuchâtel à 16 :32 déjà.
Merci à Silvio d’avoir offert notre don au monastère. Merci à Jacques pour la photo ci-dessous et aux autres photographes de déposer les leurs sur le site du Club. Merci à Louis de m’avoir secondé efficacement. Merci à tous de m’avoir accompagné dans ce coin du pays, appelé le Schwarzbubenland, d’où était originaire mon grand-père paternel, merci pour votre amitié.
Nous avons marché environ 4h10, nous sommes montés 450m et descendus 690m. Le temps était couvert, quelques éclaircis timides, et quelques gouttes pas bien méchantes. Dans l’ensemble une belle journée pour une telle randonnée.
Alfred
PS: Si vous avez envie de savoir plus sur le monastère de Beinwil et ses résidents actuels, vous pouvez consulter le site:
https://www.cath.ch/newsf/une-flamme-nouvelle-au-monastere-de-beinwil/
Merci à Jacques de m’avoir rendu attentif à ce lien et ce texte très informatif. Mais il est interdit de le copier sur notre site.








Me 10 mai 2023
Sentier historique du Vully
Jolie balade autour du Mont Vully très accueillant de par ses paysages verdoyants, ses fleurs et le chant des oiseaux.
La météo a tenu ses promesses et comme annoncé, elle s’est montrée très clémente.
Le sentier historique nous a permis de voyager dans les prémices de l’histoire de la Suisse romande, en côtoyant tout au long du chemin de nombreux fortins, vestiges de la première guerre mondiale. Sans oublier de jeter un coup d'œil à l’Oppidum celtique, à la pierre Agassiz et aux grottes grises tout en profitant de vues magnifiques sur les trois lacs et les vignes.
La cerise sur le gâteau: un morceau de tarte du Vully comme souvenir!
Merci à toute l’équipe







Lu 8 mai 2023
Creux du Croue - Mont Sala
Creux de Croue – Mont Sala 08.05.2023 Org André Pahud – Adrien Ruchti
Du Bois d’Amont, nous atteignons le refuge Rinaldi en voiture. A la surprise de tous, organisateurs compris, un inconnu nous attendait, avait chauffé le petit local, et préparé café bien chaud et croissants pour tous. Qui est-ce ? Mystère, vous ne trouverez pas. Un grand merci à lui.
Par temps couvert et humide, à travers pâturages et collines, hors des chemins battus, de refuges en refuges, (il y en a plus de cent dans la région), nous passons par les Loges, le Creux de Croue, le Mont Sala pour le pique-nique, avec le soleil bienvenu. En route pour les Begnines, le petit col Vue de Genève, le chalet à Roche Dessus, avec ses peintures variées sur la façade. Retour aux voitures après cette belle boucle, (19km, 650md+ et -) au cours de laquelle André a partagé avec nous ses connaissances de la région.
Avec bonne humeur et parfois hilarité, nous partageons le pot de l’amitié, au Pont.
Merci à André et Adrien pour cette belle randonnée.
Christiane








Sa 6 mai 2023
Arête des Sommêtres








Sa 6 mai 2023
Escalade au Mayen de Loton
Trois participants rejoints par deux sympathisants du haut du canton pour ce déplacement au Mayen de Lotton. Après l’indispensable arrêt café à Fully, suivi de 40’ de montée sur un chemin bien raide, la falaise de Corbassière (1100m) est enfin atteinte. La vue sur la vallée du Rhône et les Alpes valaisannes est magnifique, mais le regard des grimpeurs et rapidement attiré par le mur vertical de 40m, en gneiss aux teintes jaune orange. Le temps de s’équiper et les voies bien équipées sont alors enchaînées jusqu’en début de soirée, au soleil et avec une température idéale. De l’avis général, ce site peu connu est une belle découverte, qui vaut le déplacement.
François





Me 3 mai 2023
Zäziwil- Zollbrück
Randonnée au soleil de l’Emmenthal.
Alternance de collines et de pâturages parsemés de pissenlits qui nous emmènent au point culminant «Le Blaseflue» à 1118 m, le plus haut sommet des communes environnantes! Fermes typiques, admirablement entretenues! Vue sur les 3 bernoises et quelques belles morilles à nos pieds!
La randonnée se termine le long de l’Emme que l’on traverse à Zollbruck.
Un grand bravo à Josiane et Hélène pour cette sortie totalement réussie.








Di 30 avr. 2023
Pic Grandval, Pic Crémine et Pilier Est (Moutier)
6 personnes sont parties à la découverte des voies d’escalade peu connues de cette belle région verdoyante près de Moutier.
Le temps couvert et frais n’a pas entamé notre enthousiasme, puisque lors de retour à 18h30, il n’avait pas encore commencé à pleuvoir.
Au programme, le Pic de Grandval, 6 longeurs entre 5a et 5c sur du bon rocher pas trop patiné.
Puis, au vu de la météo, 4 moulinetttes avec de beaux trous entre 5a+ et 5c au départ du pied du Pic de Crémines.
Beau, tranquille, sympathique. A refaire.
Jean-Michel








Sa 29 avr. 2023
Au fil du Doubs, des Brenets à St-Ursanne
Samedi 29 avril, nous partons à l'aventure au fil du Doubs: avec la pluie de la nuit passée et les prévisions météo incertaines pour les prochains jours, on ne sait pas encore jusqu'où on ira... Mais l'essentiel est là : une équipe de huit nanas très motivées à découvrir cette jolie rivière dans sa magnifique tenue de printemps.
Première épreuve: de Neuchâtel aux Brenets, entrer dans des trains de plus en plus petits avec des sacs à dos volumineux chargés de tentes, sacs de couchage, matelas pneumatiques et autre matériel de bivouac. Nous sommes accueillies aux Brenets par un rayon de soleil qui augure d'une belle journée. En moins d'une heure, nous arrivons au célèbre Saut du Doubs, puis nous découvrons des paysages moins connus au bord de cette belle rivière. Le printemps bat son plein et nous en jette plein la vue avec une multitude de nuances de verts, des fleurs de toutes couleurs et des cygnes qui se font la cour. Les panneaux didactiques qui jalonnent le chemin nous rappellent qu'autrefois le Doubs était moins sauvage et beaucoup plus industriel. Les hommes exploitaient la force de son courant et les forêts qui couvrent ses côtes avec des moulins, scieries, verreries, et, plus récemment et encore aujourd'hui, des usines électriques.
Après la découverte sur notre chemin de quelques morilles et un sympathique arrêt à la Buvette du Caprice à Maison-Monsieur, nous arrivons à notre étape de la journée, Biaufond, sans avoir eu d'autre pluie que celle des Roches Pleureuses. Comme le terrain de camping situé du côté français ne nous semble pas trop accueillant, nous allons consulter nos hôtes du soir à la Maison-Biaufond pour essayer de trouver un endroit plus agréable pour passer la nuit. Ceux-ci nous conseillent d'installer notre bivouac au bord de la Ronde, et c'est effectivement dans cet endroit bucolique que nous passerons la nuit, après nous être régalées des délicieux filets de truite cuisinés par Magali.
Après une nuit paisible et un petit déjeuner sur l'herbe, nous rechargeons nos sacs à dos pour poursuivre notre randonnée du côté français, au milieu d'un décor fantastique où la mousse recouvre arbres et cailloux. Deux heures plus tard, nous arrivons au pied des Échelles de la Mort, que nous décidons de gravir pour prendre un peu de hauteur : depuis le belvédère situé en haut des échelles, la vue sur les falaises alentours est splendide. Encore deux heures de marche et nous arrivons à la Goule où nous faisons une pause bien méritée. C'est aussi l'occasion de faire un point météo et, au vu des prévisions d'averses pour la nuit et le jour prochains, de décider de nous arrêter à Goumois.
Une fois les estomacs remplis, nous rejoignons Goumois, toujours en cheminant sur la rive gauche du Doubs, et en faisant une petite visite à la charmante chapelle du Bief d'Etoz puis une pause baignade près du Theusseret. La bière dégustée sur une terrasse à Goumois en attendant le bus est l'occasion de planifier la suite de notre randonnée: nous décidons d'effectuer le trajet de Goumois à St-Ursanne en vélo en fin d'été...








Je 27 avr. 2023
Sur les versants du Doubs
Premier cadeau de cette randonnée du jeudi 27 avril : un ciel bleu, des rayons de soleil et pas une goutte de pluie ! C’est un bon début au vu de la météo changeante de ce printemps non ?
D’un pas léger, la petite troupe débute sa boucle au départ du Noirmont : non, non, le café et les pâtisseries à la boulangerie des Sommêtres ce n’est pas pour maintenant, bon ben zut !
Mais bon, ça tombe bien, l’arête des Sommêtres c’est justement notre destination. Après une belle descente, nous voici au bord du Doubs, calme. paisible, un vrai miroir (cf photos).
La troupe s’étire en un long ruban de 17 personnes qui vont d’un pas joyeux. Un rythme propice pour faire connaissance avec 4 nouveaux visages, 4 nouvelles clubistes dont une est arrivée de la région parisienne il ya 3 semaines !
Bienvenue à ces nouvelles compagnes de randonnées !
Nous voici à l’auberge du Theusseret, petite pause parce qu’à partir de là : on remonte direction l’arête par le seul chemin blanc-rouge-blanc du Jura !
Sur le sentier quelques sapins couchés, des chaînes pour les passages plus rocheux ainsi que quelques échelles. Nous nous hissons juqu’à un premier point de vue : magnifique coup d’oeil sur le Doubs et ses méandres avec la France en face de nous. Notre but se laisse deviner juste au-dessus de nos têtes.
Encore un petit effort et nous y voici enfin ! Nos cheffes de course du jour ont eu raison de nous faire patienter : le pic nic avec vue panoramique y a pas mieux!
Après nous en être mis plein les yeux...et l’estomac, c’est le retour vers notre point de départ : la gare du Noirmont et juste à côté…..la boulangerie des Sommêtres !!!
Et devinez quoi : une petite nouvelle habitante de cette belle Terre nous a même offert le café, une vraiment belle journée !
Une participante heureuse !








Je 27 avr. 2023
Crêt du Cervelet (Couvet)








Lu 24 avr. 2023
VTT Jolimont
Lundi-X : VTT Jolimont et Schalterain
Org. Albertino Santos et Claude Stettler
Lundi 24 avril bravant les aléas de la météo, qui s’est heureusement trouvée très agréable.
Nous nous retrouvons 8 vététistes, pour la course, ( Lundi-X) organisée, par Albertino et Claude, depuis le parking du terrain de foot, du Landeron. Direction Jolimont, ou nous explorerons les nombreuses routes, ou quelques châbles rendus, glissants, par les bonnes pluies de la semaine précédente .Tout à fait dignes d’une sortie tout terrain qui se respecte. Les nombreuses montées, sont rendues abordables, par une petite bise qui nous rafraîchit. Pic-Nic dans la forêt du Schalterain, au-dessus de Lüschez et nous voilà reparti pour l’est de la colline du Jolimont d’où la vue est superbe pour voir l’île de Sain-Pierre, en enfilade nous repartons, faisons une halte, à la Pierre du Diable (Tüfelsburdi) puis c’est la descente sur le Landeron : une nouvelle halte dans le Bourg, pour prendre un rafraîchissement tant attendu.
Un grand merci à nos deux organisateurs qui nous ont permis de découvrir, une belle foret, pas très loin de chez nous.
Laurent Colin.






Sa 22 avr. 2023
Escalade au Schauenburgflue
Finalement départ à 6 grimpeurs, direction Liestal. Arrêt café histoire de bien commencer la journée.
Depuis Liestal notre but est déjà bien visible, grosse falaise impressionnante et verticale.
Arrivés au pied, la verticalité est confirmée. Les cotations sont assez rudes, le 5C ressemble plus à du
6a, en plus sur 40m !
Pour ma part je suis resté en moulinette, merci François. Tout le groupe s’est éclaté, les bras en
particulier moi. Vers 16h00 une pluie qui n’était pas prévue nous a vite fait déguerpir.
Retour à Liestal pour une bière ou verre de vin bien mérité.
Merci encore à François pour l’organisation et la bonne ambiance.
Alexandre





Ma 18 avr. 2023
Saignelégier - Etang de la Gruère- Les Breuleux







Lu 17 avr. 2023
Mariastein-Aesch, du Schwarzbubenland à la Birse
Lundi X : Mariastein-Aesch, du Schwarzbubenland à la Birse
Org. Nadia Hugli, lundi 17 avril 2023
Arrivés à Mariastein à 09h36, les 12 participants.es quittent le car postal et Nadia nous propose le fameux moment culturel : la visite partielle de l’Abbaye bénédictine, deuxième lieu de pélerinage en Suisse après Einsiedeln, qui est gérée par 16 moines et environ 25 employés.
Une demi-heure plus tard, nous quittons les lieux et le hameau en direction sud-sud-ouest pour rejoindre Rotberghof avec son château, devenu auberge de jeunesse. Au loin, nous devrions avoir vue sur les villages de Hofstetten, Ettingen etc., mais… le brouillard nous en empêche ! Par contre, Nadia nous explique, que cette région s’appelle « Schwarzbubenland », pays de garçons noirs. L’origine de ce nom est peu claire ! 1ère explication : il viendrait du verbe « schwärzen », noircir, signifiant faire de la contrebande (le frontières sont proches). 2ème explication, liée à la Réformation : les habitants de la région Soleuroise restés catholique et souvent vêtus de noir, les Bâlois réformés les désignaient sous le nom « les Noirs.
Depuis le point 527 nous montons la très jolie gorge du nom « Chälegraben » direction Bergmatten (pt. 708) pour une minipause. Le sentier continue en direction sud et sur une distance de 500 m jusqu’au point 818, le « Blauepass ». Le groupe tourne en direction est pour longer la crête du « Blaueberg ». Nous nous arrêtons pour un pique-nique autour d’un foyer FROID (!), mais équipé de bancs mouillés… mais quand on a faim, rien ne nous arrête !
Après une demi-heure nous continuons notre marche sur un sentier boueux et tout à coup le soleil se pointe pendant en tout cas 3 minutes. Arrivés au « Blattepass », avec son banc de 2 m de haut, il pleut de nouveau. A travers vignes (!), la route asphaltée nous amène en direction d’ Aesch/BL, entre soleil et gouttes de pluie. Le bistro de la gare CFF nous accueille avec 3 tables et 10 chaises, donc on joue aux chaises musicales 😉, jusqu’à ce que le train arrive à 15.49.
Un grand merci à Nadia pour l’organisation de cette sortie un peu mouillée, mais dans un paysage magnifique par beau temps.
Hanspeter








Je 13 avr. 2023
Schatteberg
De Thalbrücke à Balmberg par Rossweidli, BreitFlue, Schatteberg.
13 participantes
Sous l’énergique impulsion de nos deux cheffes de course, la randonnée a bien lieu avec une météo incertaine et froide.
Nous partons de Thalbrücke pour monter sur la crête qui surplombe le plateau suisse. Nous restons sur la hauteur de la montagne sur 12 km environ. A mi parcours une halte au restaurant Alpwirtschaft Vordere Schmiedenmatt était bienvenu.
Merci à Christine et Katy pour l’organisation.








Ve 7 avr. 2023
URNER Haute-Route
Vendredi 7 avril
Neuch-bern-brig-realp en train
Realp - Albert-Heim-huette (6km, 1000m)
Il est 7h à la gare de Neuch quand une partie de l’équipe se retrouve dans le train direction Berne où nous rejoindrons les autres participants. C’est une équipe de luxe : 5 chefs de course pour 8 participants!
A Realp, nous nous offrons un dernier café machine avant Engelberg, dans 4 jours!
La neige est bien présente après ces derniers jours de précipitations et de froid et nous pouvons rapidement chausser les skis. Les conditions météo sont d’abord étonnamment meilleures qu’annoncées (on voit même un peu de soleil) puis finalement comme attendues : jours blanc jusqu’à la cabane Albert-Heim, propriété du CAS zurichois!
Cette dernière a été récemment rénovée et est très confortable! Nous sommes tous surpris par le design de certaines chambres!
Baptiste Miaz
Samedi 8 avril
2ème journée : Abert-Heim-Hütte (2539) à Chelenalphütte (2350), 15,3 km, 1440 D+, 1550 D-
Là c’est vraiment parti.
Après une nuit dans un dortoir tellement original de la Albert-Heim Hütte (lits en escaliers aux duvets typiques rouge et blanc), nous déjeunons et partons avant 8h pour une longue étape !
Nous débutons par une descente de chauffe, le temps s’annonce magnifique ! Nous peautons et attaquons la montée jusqu’au Col Winterlücke. Nous nous habillons chaudement et poursuivons encore 15 minutes le long d’une arrête – un des highlights de notre Haute Route – puis on s’équipe : skis sur le sac, crampons aux pieds et piolet en main pour poursuivre notre progression via une arête vertigineuse vers le point culminant de cette journée : le sommet du Lochberg à 3079 m. d’altitude. Maintenant, à nous une descente de 1'200 m de dénivelé pour atteindre le barrage du Goescheneralpsee.
Une pause s’impose; nous dînons et apprécions au soleil.
Une fois des forces reprises, nous longeons le Lac de Goescheneralp, d’abord avec les skis aux pieds puis, faute de neige, avec les skis aussi….mais sur le sac. Nous traversons une rivière et remettons les skis aux pieds pour entamer la dernière montée de presque 2h jusqu’à la Chelenalphütte.
Accueil chaleureux et repas bernois bienvenu : choucroute, haricots secs, patates et lard…de quoi nous requinquer mais nous ne demandons pas notre reste et nous couchons très tôt.
Tania Kohli
Dimanche 9 avril
Chelenalphuette - hôtel Steingletscher via Sustenhorn (11km, 1100m)
Dimanche de Pâques! On se réveille avec le soleil, une tresse et un petit lapin au chocolat dans une ambiance familiale!
Départ crampons aux pied sur 200m puis à ski jusqu’au sommet du Sustenhorn! La vue est à couper le souffle et le temps merveilleux! On s’éclate à la descente dans 30cm de poudreuse parfaite en zigzagant à travers Steingletscher. On y repensera cet été en regardant les crevasses à l’air libre!
Pique nique au pied du glacier puis on sort les cordes pour entraîner le moufflage!
Arrivé à l’hôtel de Steingletscher, on se repose au soleil avant de profiter pleinement d’une douche chaude, un luxe sur cette haute route!
Baptiste Miaz
Lundi 10 avril, lundi de Pâques
Steingletscher (1863) à Goldboden-Alp (1153), 13,7 km, 1600 D+, 2150 D-
4ème et ma foi dernière journée
Il était prévu de faire 5ème étapes (de Süstlihütte à Engelberg), mais la météo en a décidé autrement. Sur sage décision de nos chefs de course, nous décidons de faire les deux dernières étapes en une.
La douche et la nuit à l’hôtel ont fait un bien fou. Du coup, nous partons de très bon matin de Steingletscher. A 7h précises, nous commençons par 200 mètres de montée skis aux pieds et couteaux indispensables ! Parcours très technique, nous sommes vite chauds. Le ciel est dégagé, la météo s’annonce radieuse (difficile de croire que demain il va pleuvoir averse). Encore 900 m de montée et nous atteignons le sommet du jour : le Fünffingerstock, 2993 m d’altitude. Un splendide panorama s’offre à nous dont le fameux Titlis. La vue de ce dernier va rythmer notre journée. S’ensuit une descente puis une montée pour contourner le Wendenhorn ; des séracs nous empêchant une descente directe pour atteindre le Wendengletscher. Nous pique-niquons et entamons une belle descente jusqu’au milieu du glacier. Une dernière fois nous remettons les peaux pour arriver à Tierberg où se trouve le bivouac de Grassen.
Youhou plus que de la descente…1500 m de dénivelé négatif avant d’atteindre Goldboden-Alp. Et, malgré la nouvelle technique de notre chef de course – Jérôme pour ne pas le citer – qui consiste à skier en laissant une peau sur un ski, on ne peut éviter de devoir marcher les 2 derniers km dans les verts pâturages obwaldiens.
Toute l’équipe est heureuse, reconnaissante et avec la banane. Un taxi nous emmène à la gare d’Engelberg où nous savourons un dernier apéro tous ensemble sur une terrasse ensoleillée : quel séjour, quelle expérience, quel bonheur. Mille mercis : 3 cantons traversés, 50 km parcourus, 5000 m. de dénivelé positifs et autant de dénivelés négatifs…quelles belles Pâques ;-)
Tania Kohli
Chefs de course : Jérôme Fer Jean-Daniel Quidort
Participant·e·s: Monica Estoppey-Rüegg Fred et Tania Kohli Baptiste Miaz Susanne Park Séverine Röösli








Je 6 avr. 2023
Randonnée Hauenstein - Salhöhe, en passant par le
Course A 6.4.2023 : Hauenstein – Geissfluegrat - Salhöhe
19 jeudistes se trouvent à la gare de Neuchâtel à 8 :05. Changement à Olten, mais comme le train a 10 bonnes minutes de retard, impossible de se procurer un café en passant. Peu importe, le trajet en autocar jusqu’au Hauenstein nous rappelle des souvenirs. Après les Romains, ce sont les automobilistes du 20è siècle qui ont emprunté cette route avant d’utiliser le tunnel du Belchen. Arrivés au col, nous jetons un coup d’œil vers l’ouest pour repérer la fin de la randonnée de la Belchenflue. Sous un ciel bleu, avec une température fraîche, nous commençons la randonnée en direction de l’est, toujours entre Bâle Campagne au nord et Soleure au sud. Vers 12:30, nous pique-niquons à l’orée de la forêt sur des troncs d’arbre. Une petite heure plus tard, nous arrivons au sommet du Geissfluegrat. A partir de maintenant, Soleure est au nord et l’Argovie au sud. Après quelques minutes, nous atteignons le point le plus haut du canton d’Argovie à 908m d’altitude. Comme il se doit, nous inscrivons notre exploit dans le livre du sommet ! Encore une demi-heure et nous arrivons à la Salhöhe. Youpi, le restaurant « le Chalet » est ouvert, ce qui nous permet de nous désaltérer en attendant le bus. Nous sommes finalement entièrement entourés du canton d’Argovie. Depuis le début d’après-midi, il fait plus doux et le ciel s’est quelque peu couvert, mais rien de bien grave. Comme prévu, nous prenons le bus à 15:56. 20 minutes plus tard, nous en descendons à la station Aarau Aarepark. Comme annoncé, nous profitons de cette étape pour une brève visite de la jolie vieille ville d’Aarau. D’abord la rue Halde, avec ces maisons gothiques tardif au rez, renaissance et classicisme aux étages. Nous admirons ensuite l’église de la ville, autrefois église d’une congrégation moniale. Elle est de style gothique, avec un jubé et de beaux vitraux modernes dans le cœur. Dans la rue de l’hôtel de ville, nous admirons les pignons peints des maisons. Il est temps de rejoindre la gare. Départ du train à 17:30 et arrivée à Neuchâtel à 18:32.
J’arrête là le récit de course, mais si le cœur vous en dit, vous pouvez aussi lire la suite ci-dessous.
Merci d’être venus aussi nombreux, merci d’avoir partagé votre plaisir de découvrir ce parcours inhabituel, merci à tous pour l’ambiance toujours amicale et joyeuse. Merci à Jaques I. de m’avoir secondé. Merci à lui, mais aussi à Hans-Ueli et à Jürg d’avoir déposé des photos dans la galerie du site du Club.
Alfred Strohmeier
Le genou dénudé de la Justice
On m’a posé la question pourquoi la Justice de la Fontaine avait un genou dénudé (qualifié de coquin par un Jeudiste. J’ai vérifié qu’il en était de même pour la statue de la Justice à Neuchâtel. Cela m’a intrigué et j’ai cherché. Ci-dessous, ce que j’ai trouvé sur le site :
https://www.justice.gouv.fr/histoire-et-patrimoine-10050/les-symboles-de-la-justice-21974.html
LE GENOU DÉNUDÉ
La Justice se veut aussi réceptive au malheur humain, cette clémence est symbolisée par le genou dénudé. Les écrits antiques matérialisaient le genou comme l'attribut corporel de la piété, de la magnanimité et de la clémence du puissant : à chaque fois que l'on appelait au secours ou que l'on implorait la pitié, on enlaçait les genoux de ce dernier.
Le canton d’Argovie
Quelques chiffres
Le canton d’Argovie a environ 670'000 habitants (l’auriez-vous cru !). Il touche presque la ville de Lucerne au sud et possède au nord sur le Rhin une longue frontière avec l’Allemagne. A l’est, il touche les cantons de Zurich et Zoug, au sud Lucerne, à l’ouest Berne (très brièvement), Soleure et Bâle-Campagne. Les villes principales sont Aarau, très excentrée à l’Ouest, Zofingen, Lenzburg, Brugg, Baden, Wettingen (longtemps la plus grande commune du canton, car banlieu de Zurich) et Rheinfelden. Historiquement, le canton est biconfessionnel.
Quelques éléments historiques (simplifiés)
14 après J.-C. Le Romains établissent un camp de légionnaire à Vindonissa, aujourd’hui Windisch.
Au début du 15e siècle, les anciens Confédérés sous la conduite de Berne chasse les Habsbourg et annexe la partie du canton actuel situé au sud du Jura. Une partie de ce territoire devient baillage de Berne (Oberaargau) et une partie devient baillage commun de la Suisse centrale.
1798 Proclamation de la République helvétique. Les cantons d’Aarau, de Baden et de Frick en font partie ; à noter que le canton Frick, y compris Rheinfelden, correspond plus ou moins à la région Oberösterreich de l’Empire autrichien et est donc catholique. Aarau devient la capitale de la République helvétique. Il s’agit d’un Etat centralisé. Face aux dissensions entre les cantons, qui ne sont encore que des entités administratives, du type Département français, Napoléon intervient comme « médiateur ».
1803 Médiation et création du Canton d’Argovie, qui réunit les cantons d’Aarau, de Baden et de Frick
1841 Argovie supprime tous les couvents actifs, ce qui conduit en
1847 à la guerre du Sonderbund, appelé ainsi parce que Lucerne et les cantons de la Suisse intérieure avaient signé un pacte militaire secret avec l’Autriche
1847 La première ligne de train de la Suisse relie Baden à Zurich, appelée Spanisch-Brötlibahn








Ma 4 avr. 2023
Thun - Spiez- Aeschi bei Spiez
La course s’est bien déroulée avec 14 participantes motivées, malgré au départ un temps frisquet.
La balade nous amène de Thun à Aeschi b. Spiez en longeant d’abord le lac puis par les collines qui faisaient face au Niesen.
Journée de fin d’hiver et début de printemps, la nature se réveille.
Nous rentrons reboostées!
Merci à Josiane et Hélène








Ve 24 mar. 2023
WE au Becs de Bosson
Plan B … azimuth BERN !
O’Bloc et Sauna Lorrainebad
Deux journée de randonnée à ski dans le Vallon de Réchy avec nuitée à la super cabane des Becs de Bosson qui se sont transformées en une journée de grimpe au O’Bloc à Berne, suivi d’une expérience « sauna- bain dans l’Aare ».
Merci à Monica, notre cheffe de course qui a su nous proposer une alternative sportive et originale idéale en ce 24 mars capricieux niveau météo.
La composition du groupe s’est quelque peu modifiée au vu du changement de programme ; des grimpeurs chevronnés se sont joints à nous et moi, néophyte motivée, j’ai profité de la présence de 6 coachs coopérants pour m’accompagner sur mes premières longueurs verticales. Merci. Quelle découverte, quel plaisir, quelle bonne ambiance au sein de cette communauté ;-)
Petite pause ravitaillement au chaleureux café de la salle d’Ostermundingen avant de nous rendre pour un moment de détente aux saunas Lorrainebad au bord du l’Aare. Autour du feu, nous attendons que des places se libèrent et hop, c’est à nous !
Excellente et sympathique expérience malgré la température glaciale de l’eau !
Les 7 participants que nous étions avons apprécié ce programme original alternatif, merci à tous pour la bonne humeur et ce joli moment partagé.
Tania K.





Ve 24 mar. 2023
Le Faulhorn sur chemin damé, près de Grindelwald
Nous marchons sur le chemin damé avec en face de nous les majestueuses bernoises. Du côté de la Männliche, à part une bande étroite de neige, les prés n attendent plus que quelques degrés de plus pour reverdir. Nous marchons sur le versant nord et la neige y est bien plus abondante. Passablement de touristes en profitent. Nous montons jusqu’au Faulhorn (2680), où nous faisons une pause repas sur une terrasse en bois face à l Eiger (cf photos avec nos chaussures) et ses voisins et voisines ! Puis nous entamons le retour en nous rendant à Bussalp où le plus gentil des chauffeurs de car jamais rencontré, nous ramène à Grindelwald.
Encore une belle course, dans la convivialité ! Un grand merci à Geneviève ! Berthod Noëlle Christine








Ma 21 mar. 2023
Dent de Morcles (2969m) depuis le Col de Forcle
Dent de Morcles (2969m) depuis le Col de Forcle : Magnifique journée et magnifique neige.
C’est avec un joli lever de soleil qui ne pouvait qu’annoncer une belle journée que nous avons pris la direction du Valais. En arrivant à Ovronnaz nous retrouvons Christelle et la neige, toutes deux rayonnantes.
Après une montée en télésiège, l’aventure commence. Les températures très douces se font ressentir mais le grand ciel bleu et la montée du col de Fenestral nous font rapidement penser à autre chose.
Au col, un léger vent nous accueille. Un peu plus haut, faute de neige, il nous faut passer les skis sur le sac pour une centaine de mètres de marche.
L’ascension se poursuit alors avec un panorama magnifique derrière nous qui ne présage que du bon pour le sommet. Comme midi approche, il est temps de prendre une pause pour reprendre des forces.
Le sourire aux lèvres, nous nous dirigeons tous vers le sommet pour profiter de la vue à laquelle nous tournions le dos depuis le passage du col. Après les traditionnelles photos, il est enfin l’heure de descendre.
Malgré quelques appréhensions dues à la chaleur, la neige est de très bonne qualité, ce qui nous a permis de tous profiter de la descente, peu importe notre niveau.
Vient alors le moment de remonter pour passer la crête du col dans l’autre direction. Là encore, en basculant, la descente nous régale.
De retour en bas, il est l’heure de se désaltérer en attendant le bus tout en profitant encore un peu du soleil.
David








Sa 18 mar. 2023
Deux jours dans le Val d'AOSTE
Ski de rando - Deux jours dans le Val d'AOSTE
Organisateurs : Sébastien Winkler, Roger Mégroz
18 au 19 mars 2023
Départ à 06h en vue de traverser les Alpes pour rejoindre Saint-Remy-en-Bosses via le tunnel du Grand-Saint-Bernard avec une courte pause à Bourg-Saint-Pierre pour revoir ensemble le programme du weekend autour d’un café bien venu.
La journée s’annonce ensoleillée et nous ne serons pas déçu, après avoir laissé la voiture au parking des remontées mécaniques, nous longeâmes le Torrent des Bosses en fond de vallée avant de bifurquer à gauche en direction de la Costa di Serena. Le dénivelé nous donna rapidement assez chaud pour enlever quelques couches de tissu après quelques conversions déjà. Les risques d’avalanches nous empêchent de gagner le sommet, nous trouvons tout de même un bel endroit pour notre pause repas avant de profiter de magnifiques conditions de neige fraiche en redescendant en plaine. De retour à la voiture, nous décidons de visiter Etroubles et de prendre une bière au soleil avant de regagner notre bel « Hôtel des Alpes » à Saint-Remy pour une soirée au coin du feu couronné par un succulent repas. Pas de doutes, nous sommes bien en Italie !
Le dimanche matin s’annonce bien gris mais sec, aussi nous nous mettons en route pour la deuxième course de ce week-end en direction de Punta Valetta avec un départ à Pleney, non loin de notre hôtel. Ici, la neige ne recouvre plus toute la piste, mais nous permet tout de même de chausser les skis dès le départ. La montée est plutôt raide dès le début dans une foret clairsemée. Arrivés au sommet supérieur de la forêt, vers 2000m, le brouillard nous empêche de nous orienter. Nous décidons donc d’opérer un demi-tour et de redescendre immédiatement. Nous mangeons le dernier sandwich lors d’une courte halte pour régler la comptabilité et se dire au revoir après le tunnel du Grand-Saint Bernard.
Un immense merci à nos deux chefs de course qui ont su nous inspirer confiance en encadrant le groupe avec beaucoup d’attention pour chacun. Nous pouvons clairement affirmer que ce weekend fut un beau succès dons nous garderons de merveilleux souvenirs.








Sa 18 mar. 2023
3 jours dans le Binntal
Récit du J1:
Après plusieurs trains, bus et finalement un taxi, nous voici arrivés à Fäld au cœur du Binntal pour trois jours à la découverte de cette magnifique vallée, inconnue pour nous 7. Le démarrage a été fait à pied, ski sur le dos pour 500m puis enfin délivrance: nous pouvons chausser les skis! La montée sera d’abord douce à plat au fond de la vallée puis deviendra plus intense pour atteindre en boucle le sommet du Mittlenberg avec quelques sabots sous nos skis. Puis enfin nous avons droit à un peu de descente pour rejoindre la cabane de Mittlenberghutte, qui sera le soir même le lieu d’une compétition animée de Uno. Rémi et Nadine
Récit du J2:
Hohsandhorn, à 3182m, ciel bleu le matin comme les légendaires yeux bleus de Vincent. La tempête de sable du hohsandhorn, nous fait vasciller entre ski et crampons, en passant par couteaux. Heureusement qu' à la descente, Nadine a été retenue héroïquement par Vincent par le bout des skis. (A la montée, elle m’a demander de la sauver, ci-jamais...) Durant ce temps, un lien orange de tissait entre trois participants...tels le trio de lagopèdes.. que nous admirâmes plus tard.
Après une descente à tatons, nous remontons au col du Hochsandjoch, à 2901m et redescendons à la source du genepi pour chiler.
Récit du J3:
300m de descente dans 5cm de neige fraîche et une traversée de rivière précédent une montée au passo di Valdeserta. Équipe hyper disciplinée quant aux distances de sécurité (voir la photo). Sortie du brouillard peu avant le col, puis petite descente avec les peaux et la chaleur côté italien, pour remonter au Mittelbergpass puis Grosses Schinhorn. Magnifique aller-retour à pieds depuis le col pour pique-niquer au sommet. Merci à Rocky la poule (de Nadine) pour son œuf succulent ! Forces reprises pour les 1750m de descente avant de retrouver le taxi. Bien installer dans le taxi, nous franchîmes les portes (du tunnel) blindées du Binntal: Tout ce qui s’est passé au Binntal restera au Binntal...
Toute la joyeuse équipe remercie ses supers chefs de course.








Je 16 mar. 2023
Haute Route Greina Disentis-Vals
Haute Route Greina Disentis-Vals, du 16 au 20 mars 2023
Quelle belle aventure sauvage 💥! ⛷️❤️👍. Du romanche au suisse allemand 🇩🇪 en passant par l'italien 🇮🇹 par des francophones 🇫🇷 toute la diversité de notre belle Suisse 🇨🇭 dans ce périple! 🏳️🌈🌅
Merci à la super équipe! 🙏 c’était trop bien! 💐🔥🎉🍺🍺🍺
Lucie
J1 : Curaglia – Chamanna Medel
La première étape a commencé sur le quai de la gare à Neuchâtel. Facile de se retrouver avec le dress-code très clair pour un jeudi matin. On a bien le temps de faire connaissance et comme la montagne n'attire que des gens merveilleux 😊, c'est facile de bien s'entendre.
Arrivés au moment de chausser... on a laissé les skis sur les épaules jusqu'au premières neiges collantes. Belle montée facile jusqu'à la bonne bière blanche servie devant le panorama époustouflant qui s'étend devant la salle à manger de la Chamanna de Medel. Et... hop, au lit.
Alex
J2 : Chamann Medel – Cima di Camadra – Capanna Scaletta
Après une première nuit en cabane et un bon petit-déjeuner, la journée s’annonce belle. Lucie s’était bien renseignée le soir et avait changé les plans : il n’y a pas beaucoup de neige dans la face sud du Piz Medel. Nous descendons de la cabane, ufff, du carton pour chauffer les jambes, pour remonter le Glacier de Medel en direction de la Cima de Camadra, seuls au monde ; quelle chance !
Les derniers mètres pour monter au col, un bon fitness, avec les skis au dos ! Merci à notre co-organisateur, Olivier, qui a fait la trace dans une neige jusqu'à la ceinture. L’exercice sportif a pris un peu plus de temps que prévu dans la neige vierge et profonde, donc nous ne sommes pas montés tout au sommet de la Cima et nous avons amorcé la descente. Il fallait chercher l’itinéraire, et notre super cheffe nous a bien guidés entre cailloux, bosses et couloirs, sur une belle neige.
Une petite dernière montée et nous arrivons à la Capanna Scaletta. Il a fallu peler un peu pour arriver à ouvrir la porte. Il faisait bien froid dans la cabane d’hiver, plus que dehors, mais il y avait des bières, encore miraculeusement à l’état liquide, youpie !
Après plusieurs bûches, la température monte, doucement, degré par degré, en même temps que nous fondons la neige pour avoir de l’eau. Pour le souper, un délicieux risotto (en montagne, tout est délicieux) que nous avons porté, théoriquement pour 12 personnes… heureusement que Lucie n’avait pas pris seulement pour 6… Et avec le ventre bien rempli, dodo !
Carlos
J3 : Capanna Scaletta – Ghirone – Capanna Adula
Après une nuit calme, moins fraîche que prévu, et un petit-dej sorti du sac , nous remettons les peaux pour une très courte ascension. Puis nous mettons le cap sur Ghirone en deux temps : ski sur neige cartonnée puis portage en mode playa. Ensuite remontée au barrage, toujours en mode playa et après quelques tunnels labyrinthiques nous retrouvons la neige et le soleil et pouvons déguster notre pique-nique sorti du sac !
Après 2 ou 3 courts portages de ski, le chemin facile nous conduit à la cabane Adula où nous apprenons que le gardien est monté exprès pour nous et n'a pas encore eu le temps de chauffer la cabane. J'ai failli oublier: Lucie est la seule à avoir profité de la rivière et de l'isolement pour se décrasser vers 1900m d'altitude.
Pierre
J4 : Capanna Adula – Adula/Rheinwaldhorn – Läntahütte
Après une longue et réparatrice nuit dans cette jolie cabane, nous partons pour l'ascension de la semaine; le plus haut sommet du Tessin qui répond au nom chantant de Adula (ou Reinwaldhorn, mais pour le coup bien moins chantant...).
Le début de la montée se fait dans une ambiance féérique où les flocons de neiges côtoient les rayons du soleil. C'est toutefois le brouillard qui nous attend à partir de 3000 m. Ces conditions difficiles nous obligent à renoncer au sommet (100 m au-dessus du col, passage obligatoire pour atteindre notre logis du jour), et à garder la corde pour une descente sur le glacier, guidée par le GPS.
Quelques centaines de mettre en dessous, une relative visibilité enfin retrouvée, nous devons faire face à une nouvelle difficulté; l'itinéraire classique qui devait passer sans même enlever les skis, s'avère être devenu, avec le manque de neige et le recul du glacier, une falaise de 15m! Le sens de l'orientation de Lucie et l'expérience des chefs de course présents permettent toutefois de passer l'obstacle en toute sécurité (moyennant l'utilisation de vis à glace pour un moulinage de toute l'équipe). Encore quelques kilomètres dans cette belle vallée de la Länta et nous voilà chaleureusement accueilli à la Läntahutte. Quelques bières, verres de rouge et assiettes de Pizzocchieri plus tard, nous repartons pour un long voyage dans les bras de Morphée.
Olivier
J5 : Läntahütte – Zerveila – Thermes de Vals - Neuchâtel
Partis de la Läntahutte nous descendons directement sur Vals, en effet vu le peu d’enneigement et la fatigue des 4 jours précédents nous avons décidé de ne pas faire le sommet prévu. La descente se déroule dans une neige bien cartonnée, une petite remontée nous oblige à remettre les peaux.
Une fois arrivés au barrage, un taxi nous amène à Vals directement aux bains. Super moment délicieux dans cet endroit magnifique. Puis le train nous ramène à la maison après cette belle aventure de 5 jours.
Un grand merci à Lucie pour toute l’organisation et la conduite du groupe et aussi à Olivier, Carlos, Pierre et Alexandre pour la chouette ambiance.
Silvio








Lu 13 mar. 2023
Balade culturelle
Lundi-X - Sortie Culturelle
Après une bonne heure et demie de train, les onze participantes et participants se retrouvèrent parachuté à la gare de Birr, localité inconnue de de tous. Là, sur le quai, Jürg Stüssi , historien, souhaita la bienvenue au groupe dans un bruit fracassant de chantiers à ciel ouvert et dans un décor industriel surprenant. C'est ensuite d'un pas alerte que notre hôte nous a conduits dans le village plus paisible de Birr. Là, un monument à la gloire de Pestalozzi a surpris celles et ceux qui pensaient que c'était à Yverdon que cet homme avait oeuvré. Chacun son histoire locale! Il fallut cependant bien admettre que c'est à Birr qu'il avait sévi en créant une ferme à l'attention des orphelins de parents victimes de la bataille de Stockbach (1799} et gérée selon les principes pédagogiques de Rousseau. Le souvenir d'autres personnages illustres, mais inconnus des participants, fut évoqué autour de l'église, tous faisant partie de la Société de Schinznach dont nous allions faire connaissance plus tard. Mais pas avant d'avoir marché une heure et demie dans la campagne argovienne jusqu'au Château de Habsburg, berceau de la grande famille qui ne devint autrichienne qu'au fil de nombreuses batailles et alliances qui nous furent contées. C'est aussi là que nous avons commencé à découvrir l'amour du détail et des épisodes cocasses de l'histoire que notre hôte se faisait un malin plaisir de nous présenter. Puis ce fut une nouvelle marche de quelques trois quarts d'heure juqu'à Schinznach-Bad où le repas de midi nous attendait dans le restaurant des bains thermaux. Là, nous avons eu droit à des épisodes passionnants de la petite histoire de la Suisse et du monde. Jürg Stüssi nous a raconté avec passion, avec moultes détails et aussi beaucoup d'humour, l'histoire d'une Société de Schinznach qui, dans la seconde moitié du l8ème siècle , a réuni de nombreux érudits du pays avec l'ambition de moderniser la Suisse qui, à leurs yeux, avait pris beaucoup de poussière. Le choix de Schinznach comme lieu de rencontre s'explique par l'attrait, à l'époque, des bains thermaux qui étaient très prisés. Après le siècle des lumières et encore grâce à l'avantage touristique du lieu, cette Société de Schinznach s'est développée tout au long du 19ème siècle en attirant des gens de pouvoir du monde entier. Une sorte de forum de Davos avant l'heure, comme l'a relevé une randonneuse. Episode piquant: fin du 18ème iècle, une inondation des bains par une crue de l'Aare fut suivie de l'octroi d 'une nouvelle concession donnée à une société privée pour leur reconstruction. Ce document obligeait les propriétaires d 'offrir aux pauvres un accès gratuit aux bains. Considérant l'esprit plutôt libertaire de l'époque, Jürg Stüssi résuma la situation de Scninznach en utilisant le terme d'anarchie thermale. Ce qui n'enlève rien au rôle que les rencontres de Schinznach ont joué pour la réalisation d'un monde plus globalisé qu'il n'a jamais été par la suite. Mais le mouvement fut brutalement interrompu par la guerre de 1914-1918. Après une visite des bains, la randonnée s'est terminée le long de l'Aare jusqu'à Willdegg et en train jusqu'à Neuchâtel.

Sa 4 mar. 2023
Les Cornettes de Bise
Initialement, il était prévu que nous allions aux Cornettes de Bise en ce samedi de début mars. Comme cela a souvent été le cas cet hiver, il a fallu à nouveau composer avec le manque de neige. Nos chefs de course, Jérôme et Monica nous ont ainsi proposé une alternative où nous avions plus de chance de trouver suffisamment de neige. C'est ainsi qu'on s'est donné rendez-vous à Champex-Lac pour monter au Col des Ecandies.
Arrivés sur place, Jérôme nous a bien expliqué le parcours qui nous attendait, un premier bout sur la piste avant de la quitter pour une longue et belle vallée. Jérôme et Monica étaient déjà allés le jour d'avant en repérage, pour voir s'il était possible de remonter le couloir de la Pointe d'Orny. On se rend tout de suite compte que nos chefs de courses ont vraiment bien préparé notre sortie.
C'est donc avec un groupe fort sympathique que nous nous sommes mis en route, par cette magnifique journée ensoleillée. Au gré de la montée, on apprend un peu plus à se connaître et on réalise qu'on est près de la moitié du groupe à parler suisse-allemand ! En cours de montée Monica nous arrête quelques fois pour prendre de belles photos du groupe. Tout est bien organisé! Peu avant la dernière montée, Jérôme nous fait mettre les couteaux alors que c'est encore agréable de les mettre, ce qui fut une très bonne décision. Arrivés au col, nous profitons de la magnifique vue sur le glacier de Trient, avant de nous préparer pour la descente. Comme le couloir de la Pointe d'Orny n'était pas très bon, Jérôme et Monica nous ont proposé de remonter un bout plus bas sur la descente en direction d'un autre couloir afin de profiter de la bonne neige pour la descente. À notre agréable surprise, nous n'avons pas regretté d'avoir remis les peaux car nous avons même trouvé une poudreuse plutôt sympa à skier.
Finalement on termine cette belle journée en profitant encore du soleil sur la terrasse d'une buvette du Val d'Arpette. Un immense merci à l'excellente organisation de Jérôme et Monica et à tout le groupe pour la très bonne humeur et la bonne compagnie.
Récit de Nicolas Zwahlen
Participant·e·s: Martine Imhof Silvia Osterwalder Alexandre Sahli Florent Thiébaud et Nicolas Zwahlen
Chef·fe·s de course : Jérôme Fer & Monica Estoppey








Sa 4 mar. 2023
Traversée Col du Pillon >> Geltenhütte >> Lauenen








Je 2 mar. 2023
Lécherette - Monts Chevreuils
Course A pour 8 raquettistes WT2 tout terrain. Danger d’avalanches : faible là où il reste de la neige. Prévisions météo : ensoleillé au-dessus de 1100 m. Températures : -3 à +4 à l’ombre … Le rêve pour les organisateurs de cette course de D+/- 460m avec un départ à plus de 1300m !
Grâce aux inscriptions en ligne sur notre site web, le co-voiturage, 4 par voiture, s’organise spontanément depuis le domicile. Nous nous retrouvons directement vers 9h00 à l’hôtel du Chamois à l’Etivaz. Les croissants du boulanger sont excellents.
Depuis La Lécherette, le départ se fait à pied sur la piste des raquettes. C’est une pente sud. Elle est en partie enneigée, traverse un endroit marécageux puis quelques passages sur patinoires et beaucoup sur de l’herbe un peu terreuse. Voilà pour les pieds. Pour les yeux, le moral et l’ambiance du groupe, la vue sur les Alpes et Préalpes est toujours plus belle et la région rappelle beaucoup de souvenirs. Nous arrivons rapidement au sommet des Monts Chevreuils, 1749 m. Puis, jusqu’à la jolie Cabane des Monts Chevreuils, la descente est en pente nord. La neige est dure et il faut mettre les raquettes. Nous y sommes très bien accueillis et les conditions sont idéales pour manger des croûtes au fromage ou une fondue sur la terrasse. Nous apprécions la convivialité d'une belle tablée. Le retour jusqu’à La Lécherette s’effectue par une autre piste, un bon bout raquettes aux pieds puis sur le sac.
Merci à Jean-Bruno pour son efficace co-organisation à ma première de “chef de courses raquettes” et à Guy Quenot pour le pot de l’amitié à la Croix d’Or aux Moulins.
Jacques








Me 1 mar. 2023
4 jours de ski alpinisme depuis la Camona da Medel
Medel.
J1: Départ aux aurores pour Curaglia. Pierre nous dégote un pousse-taxi qui nous enlève 100 m de dénivelé le long d'une route goudronnée, Une longue vallée nous mène sur une petite plaine. Nous traverson En effectuant une grande courbe à gauche pour ce diriger vers la cabane. Un crochet sur le flan droit me permet de repérer le départ pour monter au Piz Medel. Remontée dans un couloir bien raide et la cabane est en vue. Nous jetons un œil depuis le col sur le val Laval, une traversée nous mène à notre futur lieu de vie pour les 3 prochains jours. Soupe-gâteau et exercices encordement et mouflage nous occupe avant le souper.
J2: Météo annoncée nuageuse, c’est ragaillardi par le soin apporté par les gardiens de ce bijoux de cabane que nous entamons la descente sur le val Lavaz. Après peautage notre itinéraire nous au Piz Valdraus, 3095m que nous n’atteindrons pas. Arrivé au col, il n’y a pas de visibilité sur la suite du parcours. Nous prenons alors le chemin du retour, une première descente dans une poudreuse tassée puis nous remettons les peaux pour rallonger une peu cette journée. De ce côté ci du massif la météo est plutôt bonne, ce qui nous donne une bonne visibilité pour la descente.. Belle ambiance, bonne neige sur ce glacier finissant. Un pique-nique au soleil plus tard, aidé à la trace par Chris, trace qui nous mènera à la cabane bien en vue maintenant. Soupe, gâteau et café Luz, que du bonheur.
J3 Piz Medel 3209m, D+ 1370m.
La journée commence par une descente d'environ 300m, sous un ciel limpide à part quelques "moutons" décoratifs. La neige est dure, avec d'anciennes traces sous une -trop- mince couche de poudreuse. Puis la montée s'amorce, directement assez raide. Aucune trace. Il s'agit de trouver notre chemin dans un dédale de rochers. Nous nous encordons peu avant d'arriver sur le glacier et poursuivons sur un terrain plus facile jusqu'à un col à 2900m, permettant éventuellement de basculer en direction du Piz Ufiern. La descente laisse voir des portions de glace bleue et le choix se porte finalement sur le Piz Medel. Nous poursuivons la montée en contournant de grosses crevasses. Arrivés sur l'arête Vincent nous propose de pique-niquer au soleil pendant qu'il part en reconnaissance. Un passage plus haut s'avérant trop ardu pour 5 personnes sur une seule corde, nous redescendons un petit peu avant de repeauter pour une deuxième tentative, qui sera la bonne. Crampons aux pieds quand la pente devient trop raide, nous débouchons sur l'arête dont la portion finale est plus accessible, en tout cas aux yeux des quatre messieurs du groupe, qui arrivent encordés à la croix sommitale. Bravo à eux! Pendant ce temps la scribe du jour attend un peu plus bas en admirant la vue et en se muant en photographe. La descente nous gratifie d'une neige très agréable, mais ne nous épargne pas le slalom entre les rochers sur la dernière portion. Ne reste plus qu'à remonter 400m jusqu'à la cabane, que tout le groupe recommande chaudement pour son accueil et sa gastronomie.
Christine








Me 1 mar. 2023
Les Monts Telliers (2951m)
Après presque un mois et demi sans chutes de neige, on s'interroge : y en a-t-il (encore) au Grand-St-Bernard ?
Eh bien oui ! Après un départ de Bourg-St-Bernard au milieu de paysages largement déneigés, les reliefs deviennent de plus en plus blancs au fur et à mesure que l'on prend de la hauteur :-) Et en cet "hiver" particulier, on est content d'en trouver et on se satisfera même d'une neige dure ! Et d'un grand bol de soleil et d'air frais par la même occasion.
Après une montée sans souci jusque sous le sommet, nous mettons les couteaux pour la dernière pente, et abandonnons même nos skis pour gagner le sommet à pied. Nous y sommes récompensés par une vue à 360 degrés... et un bon vent froid qui nous incite à redescendre assez rapidement.
La descente se fait gentiment vu les conditions de ski un peu rudes, et nous prenons le temps de faire quelques pauses pour reposer nos cuisses et ne pas nous blesser. Fin de course et debriefing au Bivouac Napoléon à Bourg-St-Pierre, avant de prendre la longue route du retour à Neuchâtel.








Lu 27 fév. 2023
Wildhorn 3250








Di 26 fév. 2023
Ski rando à Bivio avec guide
Bivio 2023 – 27 février au 2 mars
Lundi 27 février : la semaine de ski de rando débute par -14 degrés et un vent du sud-est bien perceptible. Le guide Siffredo nous conduit au Piz Campagnung (2825m). Il est tombé 5 cm de neige durant la nuit. Nous atteignons le sommet en trois heures. Embrassades sur un minuscule replat. Au travers des nuages, on devine la Bernina. Rapidement, nous rechaussons les skis pour faire notre trace dans la neige tombée avant un grand groupe ! En sous couche, la neige durcie est agréablement skiable. Six bouquetins sont visibles très haut dans la montagne. Journée sans un seul grattement de caillou sous les semelles. Le guide connaît parfaitement les itinéraires !
Mardi 28 février : quelle belle surprise, nous avons trouvé de la poudre malgré le manque de neige aux Grisons comme ailleurs ! Sur le chemin qui mène au Piz dal Sasc (2720m), personne sur le parcours, sauf les sept courageux et leur guide montés depuis Bivio. Nous glissons dans la trace admirable de Siffredo, éblouis par de merveilleux paysages. Le sommet est atteint après 1000m de montée. Vus d’en haut côté sud, le lac de Sils, le col de la Maloja, le barrage d’Albigna sont tantôt visibles tantôt cachés par un peu de brouillard. Descente exceptionnelle dans la poudre et au soleil. Nous terminons cette belle journée en pensée avec Christine qui n'a pas pu venir et qui nous offre l'apéritif. Merci à elle !
Mercredi 1er mars : le téléski de Bivio nous monte sans effort à 2540m. Direction le Piz Turba (3019m). Alternance de petites montées et descentes, plus ou moins sportives ! Sous le soleil, nous atteignons le col Forcellina (2672m), passage pour l’Averstal et Juf. Les couteaux nous aident à franchir la dernière pente avant le dépôt des skis et des sacs. Nous terminons l’ascension à pied sur l’arête enneigée. Vue magnifique à 360 degrés et photo de groupe avant un pique-nique vite avalé. La descente se fait d’abord sur pente raide et gelée, puis dans la neige poudreuse que le vent s’est chargé d’épaissir. Un caillou-surprise nous prend parfois en traître. Le retour par Plang Camfer nous rappelle l’utilité de nos bras sur 1 km. La bière nous attend à l’hôtel Solaria, en compagnie de Siffredo, après 6h18 de course. Et vive la République !
Jeudi 2 mars : …Et nous voilà déjà arrivés à notre dernière randonnée de la semaine ce jeudi 2 mars. Par un beau soleil, nous prenons les voitures jusqu’à l’hospice du col du Julier (La Veduta). Traversant de jolies combes, malgré quelques cailloux, nous arrivons vers un petit col, puis descendons sur le lac gelé de Grevasalvas (2390 m). Au dessus de celui-ci, nous apercevons un magnifique lagopède qui nous regarde passer sans trop de crainte. Dans la dernière montée en direction du Fuorcla Grevasalvas, nous obliquons à droite et, sous le sommet nous mettons les couteaux par sécurité. La dernière partie du Piz d’Emmat Dadaint (2929 m.) se fait à pied dans le rocher. Du sommet, nous découvrons une vue magnifique, notamment sur la Maloja et le val Bregaglia. Nous attaquons la descente par une pente raide qui s’adoucit ensuite et nous permet de bénéficier d’une neige poudreuse (attention à quelques cailloux vicieux ! Bilan : distance parcourue de 10,2 km, avec 800m de dénivellation, le tout en 6h40, arrêts compris.
Conclusions : Mille mercis à Christine, Marie-Claude et Adrien pour la bonne organisation de cette semaine, et à Siffredo, notre excellent guide.
Adrien, André, Barbara, Daniel, Isabelle, Marie-Claude, Pascal








Sa 25 fév. 2023
Winterhore 2609 m
Sortie déplacée aux Louèrettes.
Magnifiques conditions








Me 22 fév. 2023
Traversée de la Silvretta
Traversée de la Silvretta qui est devenue St. Antönien
Récit de la deuxième journée :
Après une nuit calme dans un grand dortoir rien que pour nous et un petit-déjeuner revigorant, nous quittons la pension Alpenrösli sans nous presser – le temps est censé s’améliorer en cours de journée – en direction de notre premier sommet de la journée, le Schollberg (2570 m). 2 h 30 plus tard, nous l’atteignons après avoir gravi les 50 derniers mètres à pied dans des marches parfaitement préparées par Erich. Nous ne nous y attardons pas trop, car deux autres sommets sont au programme. Après une courte descente dans une neige meilleure qu’attendue, nous repeautons pour monter au Riedchopf (2551), qui s’atteint par une dernière pente assez raide, suivie d’une petite arête facile. De là, nous distinguons le passage-clé du lendemain pour l’ascension de la Sulzfluh. Après un pique-nique bien mérité quelques centaines de mètres plus bas, nous repartons requinqués pour une montée tranquille sur le Rotspitz (2563 m), que nous atteignons skis aux pieds malgré le peu de neige. Pour la descente finale, le groupe se scinde en deux : Laurence, Erich et Benjamin optent pour la directe, tandis que les deux « dames », accompagnées de Camille, décident de faire le tour. À 15 h30, nous sommes de retour à la pension, où nous attendent Zimmi, son truculent propriétaire, … et un groupe de quarante Allemands venus pour une « retraite religieuse ».
Pascale
Récit de la troisième journée :
Aujourd’hui, nous avons pour programme de traverser la frontière pour atteindre une cabane en Autriche en passant par la Sulzfluh, la reine des lieux, et une descente annoncée coriace côté Nord. Nous démarrons dans des pentes gelées qui réveillent bien, pour atteindre le passage-clé de la montée, qui nécessite d’enfiler les crampons. L’atmosphère est mystérieuse, oscillant entre rayons de soleil et flocons. Après une montée sans difficulté skis sur le sac, nous atteignons le Gemschtobel, une large épaule débonnaire que nous remontons pour bientôt trouver la gigantesque croix sommitale. L’ambiance est magnifique, sauvage et alpine malgré une altitude somme toute modeste. La descente s’avère certes raide, mais tout à fait jouable pour le groupe qui malgré tout prend son temps. Le passage dit « Im Rachen » en est le crux, suivi d’un slalom dans les arbustes où les skis courts ont leur avantage. Nous atteignons la Lindauerhütte très heureux de cette journée. L’ambiance de cette cabane plutôt « industrielle » nous surprend, il y a un monde fou, et tout est hyper organisé. Nous pouvons même déguster des spécialités locales à la carte. Mais attention, certains aspects ont de quoi surprendre : au cours de la soirée, Laurence et Pascale se font dépouiller des pantoufles enfilées à leur arrivée par leurs soi-disant propriétaires. Nous gagnons nos lits après une soirée jeux bien sympa !
Camille
Récit de la quatrième journée :
Il a neigé une vingtaine de centimètres. Il neigeote encore. Le jour passe de blanc à ouvert puis à blanc – laissant apparaître par moment les parois verticales de la Drusenfluh et le Drusator, le col par lequel nous espérons rentrer en Suisse. Eric prend les commandes et nous sort avec brio du labyrinthe initial formé de rochers et de pins. Le départ est féérique. La pente se redresse et le jour blanchit. Eric est toujours à la manœuvre. Il laisse aller son inspiration et son expérience pour nous amener en toute sécurité sur un petit plateau. La difficulté est maintenant devant nous. Le jour blanc dissimule cependant la raideur des pentes finales. Après tâtonnements, Eric prend les gros moyens ; il n’abdique pas et propose de monter façon tortue, les skis au sac. Ouf, ça passe !
Au col, le vent souffle. Nous choisissons d’aller pique-niquer au local hiver de la Carschinahütte – les 2000 calories ingurgitées la veille sous forme de Knödel aux épinards ou de Wienerschnitzel-frites sont déjà brûlées par les efforts fournis. Car des efforts, il a fallu en délivrer à la descente également pour trouver notre chemin dans le jour toujours blanc – merci à Laurence et à Eric d’avoir joué les cobayes – puis dans cette topographie très particulière du Ganda où cela monte, puis cela redescend, puis il y a un trou, ah non : c’est un mûr de neige … Dingue ! Pour le reste de la descente, nous choisissons raisonnablement de rester sur le chemin nous menant au bus, puis au train, puis au wagon-restaurant, puis à la maison.
Voilà comment 600m de dénivelé seulement peuvent générer quelques difficultés, pas mal d’émotions et des souvenirs certains.
Benjamin








Me 22 fév. 2023
Buttes la Robelle-Chasseron
De Buttes au Chasseron par La Robella
En effet après ces dernières journées chaudes, c’est sans raquettes que nous avons franchi les 930m de dénivelé par une journée peu ensoleillée et annoncée pluvieuse dès l’après-midi. Dire que 8j avant lors de la reconnaissance, nos guides n’étaient pas privées de neige.
Etonnamment au sommet du Chasserons alors que le brouillard arrivait, il y avait peu de vent, ce qui nous a permis de nous installer entre les nombreuses crottes des chamois pour manger notre pique-nique avec la surprise d’un cake à l’ananas pour le dessert. Quel délice et quel délicieux parfum de l’ananas frais. Merci beaucoup Ida.
Après un retour facile c’est aux Rasses devant le grand Hôtel et quelques rares gouttes de pluie que nous sommes montées dans le Bus direction Ste Croix puis nous nous sommes séparées certaines, passant par Yverdon et les autres par Buttes.
Un grand merci à Ida et Christiane de nous avoir emmenées sur cette belle course.
Odile








Lu 20 fév. 2023
Le Tarent 2547 m
Y a-t-il encore de la neige ?
Si oui, de quelle qualité ?
Par une belle journée ensoleillée et douce dix participants enthousiastes ont parié avec raison que c’était possible.
Départ à ski 50m après le parking de l’Etivaz (depuis cette année l’accès routier est interdit plus haut).
Belle montée sur une neige dure, mais accrochante surtout dans la partie ensoleillée. Couteaux optionnels dans les derniers 200m. Les 50 derniers mètres se font à pied avec crampons et piolet, mais la neige n’est pas glacée.
La descente est un peu plus exigeante. Les 600 premiers mètres proposent une neige non transformée et tassée, presque comme sur une piste de ski.
La partie médiane, la plus technique, impose une neige dure avec des traces, L’élégance devient difficile. Heureusement, on peut suivre un chemin étroit mais pas trop raide. Une bonne option pour les cuisses fatiguées.
La fin se déroule sur une neige ramollie, mais pas trop.
Sur le retour, un arrêt gustatif à l ‘Espace gourmand nous a permis de commenter cette belle réussite improbable.
Merci aux deux organisateurs pour leur enthousiasme et leurs compétences.
Jean-Michel





Lu 20 fév. 2023
Lac Noir - Schwyberg - La Patta en boucle
Par une magnifique journée très printanière, 16 marcheurs et marcheuses se sont retrouvés autour d’un café – croissant à Gypsera au bord du Lac Noir, avant d’attaquer à pieds la grimpette en direction de Gassera, Schlösslibödeli et Schwyberg. Fallait-il vraiment prendre les raquettes se sont demandés certains participant-e-s ? Et bien oui ! A mi-côte, nous avons pu les chausser. Et ce fut l’occasion de tester la raquette tout terrain, sur neige et sur terre selon les passages. Schwyberg nous a offert une vue magnifique sur les Préalpes, le Lac Noir et le Jura. Après un pique-nique sur les bancs de l’alpage niché sur un petit col entre Schwyberg et la Patta, nous avons attaqué avec entrain la dernière montée pour arriver aux bancs promis par Nathalie et Simona au sommet de la Patta. Il s’agit du nouveau lieu-dit « les bancs de Nathalie et Simona », d’où nous avons pu admirer la vue. Une descente très variée entre forêts et pentes neigeuses nous a ramené au bord du Lac Noir près du camping. Vu les conditions, personne n’a voulu tester la traversée du lac sur la glace ou à la nage. Le chemin du bord du lac nous a offert de très belles perspectives sur le lac gelé, les roseaux et les montagnes. Nous avons terminé cette belle course sur la terrasse du Schwarzseestärn. Un chaleureux merci aux organisateurs Anne et Jürg.
Martine Wyrsch








Di 19 fév. 2023
Schwalmere (2777m)
Course déplacée sur Engstligenalp – Tierhöri – Kandersteg
La sortie pour laquelle nous nous étions initialement inscrits, devait nous emmener au Schwalmere depuis Isenfluh. En raison du manque de neige et d'une qualité qui s'est dégradée les derniers jours, nos chefs de course, Guido et Benjamin, nous ont concocté une alternative pour faire le sommet du Tierhöri depuis Engstligenalp. On reste donc dans l'Oberland bernois. C'est avec le train de 6h du matin à Neuchâtel que nous partons en direction des alpes bernoises. Toute l'équipe apprécie de prendre les transports publics ce qui est très convivial et contribue à une bonne animation dès le matin. Arrivés à Engstligenalp, nous nous équipons pour débuter notre journée qui est encore légèrement couverte. En cours de montée, et à tour de rôle nous finissons tous par mettre nos couteaux ce qui facilite quand même l'ascension. Arrivé au pied du rocher du Tierhöri, nous déposons nos skis pour finir à pied et quelques pas de grimpe pour atteindre ce promontoire qui nous offre une vue magnifique sur la couronne impérialebien ensoleillée. Après une pause de midi bien méritée, nous tentons la descente du côté sud ouest. Le couloir à 40° se montre très serré et pas très engageant. Nous décidons alors de remettre les peaux et de redescendre par le côté sud est par le Chindbettipass, nettement plus facile et où on trouve même une neige plutôt sympa à skier. Nous suivons ensuite le Uschenetal jusqu'à Kandersteg. Cette vallée longue et sauvage nous laisse le temps d'apprécier ces beaux paysages. Au bas de la descente, nous devons alterner les portages de skis et le slalom sur les bouts encore enneigés. Des conditions qui nous font plus penser au printemps qu'à une sortie de mi-février!Finalement nous arrivons juste avant 15h pour prendre le bus nous transportant du bas de la station de Sunnbüel vers la gare de Kandersteg. Quel timing de la part de nos chefs de course et tant pis pour les frites de Vincent! Arrivés à la gare de Kandersteg, on a juste le temps d'acheter des bières bien méritées pour cette très belle journée et de prendre le train du retour. Un grand merci à toute l'équipe pour la bonne humeur (à prononcer avec l'accent de Adolf Ogi, puisqu'on a fait le retour depuis son village!) et à nos chefs de courses de nous avoir organisé une magnifique sortie. Au plaisir de vous retrouver.
Nicolas








Di 19 fév. 2023
Hohniese / Bündihore (2454m)
Peu de neige...mais ça passe... la course s’est effectuée sans portage des skis sur le sac !








Sa 18 fév. 2023
Eison-Cabane des Becs de Bosson-Sasseneire
Il fait chaud, chaud, chaud et la neige est rare à basse altitude; impossible de débuter notre week-end à Eison comme initialement prévu. On prend les installations à Grimentz et on bascule dans le Val de Réchy par le col du Louché. De là, nous descendons jusqu'à mi-longueur du vallon vers un pont sur la Rèche à 2333m. Nous remontons sur le flan opposé, puis cassons la croûte confortablement assis sur les rochers sans neige du sommet sans nom entre le Mont Gautier au nord et la Pointe de Massery au sud. On skie une belle pente ouest donnant sur le Val d'Hérens avant de remettre les peaux pour rejoindre la cabane des Becs par le Pas de Lovégno.
Le soir après souper, on découvre que l'université n'est plus du tout une garantie pour savoir chibrer, et que la formation hiver des chefs de course comprend, en plus des savoirs sur la conduite de courses en montagne, également quelques techniques roublardes pour jouer avec les cartes écornées des cabanes (“Celle-ci là, t'as quand même compris que c'était l'As de trèfle ou bien?”).
Le lendemin matin, quelques bancs de nuage nous gardent au frais jusque vers neuf heures, puis à nouveau grand beau toute la journée. Nous montons sur le Sasseneire depuis le Basset de Levron en gravissant la face est. Nous rejoignons l'arète sud qui est bien déneigée et le passage se fait sans difficultés. Le panorama est somptueux : Weisshorn, Dent Blanche, Pigne d'Arolla, Aiguilles rouges, Mont-Blanc, en veux-tu en voilà. Alexandre nous déniche de jolis pans encore non skiés au NE, on remonte au Basset de Levron et on s'offre le sommet du Diablon pour midi et redescendons direction lac de Moiry sur une assez belle neige encore pas trop printanière.
De retour à Grimentz, on prend presque tout de suite le car postal pour Sierre car il n’y a pas plus d'une correspondance toutes les deux heures, ce serait trop facile (rhaa ces Valaisans!!). Mais pour le plus grand plaisir du plus jeune, on fait un plan typiquement étudiant : un 6-pack glacé pris au Volg de Vissoie et on boit la bonne bière de chantier au fil des épingles à cheveux dans un bus bondé. Merci à tout le monde pour ce chouette week-end et à nos chefs de course Alexandre et Bernard !
Tobias








Sa 18 fév. 2023
Aiguille des Sasses
Comme avant tout décollage , ça commence par un café au calme dans le val de bagne , retrouvaille d’anciennes têtes et découverte de nouvelles , direction l’Italie.
Le départ est lancé par la longue et monotone marche direction la porte d’embarquement vers l’étranger , l’hospice du grand saint Bernard .
Avec sylvain nous connaissions les machines bien huilées que sont Christophe et Manu , le décollage est toujours bien rapide , et nous étions prêts à enclencher le rupteur , mais cela peut parfois étonner les nouveaux passagers.
Premier dépeautage et passage de frontière avec une jolie descente bucolique en direction de saint Rhemy , une impression de voyager dans le temps à travers ces postes frontières, vieux hôtel et restaurant abandonné , c’est magique.
Deuxième décollage direction aiguilles de Sasse , et là c’est partit pour le long courrier , attacher bien vos peaux et chauffer vos mollets de pinsons... (comme dit le pilote).
Le mal de l’aire ( et les crampes ) de Maryline ne la quitteront pas du voyage , mais son courage et sa détermination la mèneront à bonne destination , Éric de retour sur ces terres natales chantonne comme un bon hôte de l’aire, Manu a son énorme valise bien rangée et étonnamment , une fois n’est pas coutume, bien réglé sur ces épaules et Christophe en pilote dicte le rythme et la direction.
L’arrivée au sommet est magique , un super panorama sauvage sur la France , l’Italie et la suisse s’offre à nous en toute solitude !
Nous allons profiter d’un calme atterrissage, pour perdre un peu d’altitude, sur une jolie moquette parsemée de quelques turbulences neigeuses.
Avant le 3 eme décollage , et repeautage, nous avons même le temps pour une pause casse croûte sous le soleil italien.
Dernière correspondance direction l’hospice sous un doux et brûlant soleil avant un dernier atterrissage direction la bière aux grappefruit ( c’est important de s’adapter aux coutumes locales ) et les frites mayo-ketchup (c’est important de garder ces vices suisses).
Une grand merci à tous pour ce beau samedi de voyage et je me réjouis déjà des prochaines destinations ,
Déborah








Ve 17 fév. 2023
Wiriehore (2308m)
Dent de Morcles en remplacement








Je 16 fév. 2023
Ski de fond sur la GTJ franco-suisse






Ma 14 fév. 2023
Tête à Josué 2131m
14.02.2023 / Tête à Josué (2131m) en remplacement des Monts Chevreuils
Suite à une reconnaissance de l’itinéraire des Monts Chevreuils qui a permis de constater les mauvaises conditions de neige, Claudine et Andrew nous ont proposé d’aller à la Tête de Josué depuis l’Etivaz.
Une nouvelle interdiction de circulation sur la route qui mène à Pâquier Mottier nous contraint de commencer à pied peu après l’Etivaz (1160m).
Beau temps, -2 degrés, pas de vent, une sympathique équipe de sept personnes motivées : la journée s’annonce sous de bons augures.
La montée, au début sur un large chemin, est facile avec, toutefois, une neige très tassée et parfois dure. Depuis le Chalet des Crosets (1623m) jusqu’au sommet la pente se redresse et la neige compactée par les nombreux passages impose de bien utiliser les carres et contraint à quelques conversions héroïques, mais sans danger. Cela n’a pas empêché de discuter et d’apprécier le magnifique paysage.
Au sommet, sans vent, nous nous offrons une longue pause en espérant que la neige se transforme en neige de printemps. En fait, la descente se fait plutôt sur une neige dure comme sur une piste de ski. Quelque-unes-uns affrontent les pentes zèbrées par de nombreuses traces de ski avec un succès mitigé ! Il faut même parfois descendre en chasse-neige sur d’étroits chemins, ce qui maltraite un peu les cuisses.
Un arrêt roboratif à L’espace Gourmand à Villars-sous-Mont a agréablement clôt cette sortie.
Bravo et merci à Claudine et Andrew d’avoir su trouver une belle course faisable malgré les conditions de neige qui se péjorent en raison du réchauffement des températures.
Jean-Michel








Lu 13 fév. 2023
Ski de fond
Par une belle journée ensolleillée, dans la forêt du Risoux français entre Bois d’Amont et les Rousses, nous avons parcouru les 24 km au programme pour certains en classique et pour d’autres en skating dans de bonne condition d’ennneigement. Nous avons passé par les chalets des Ministres, Bonnefoy (pause de midi) et chalet Rose. Cet intinérair à recommandé quand les conditions de neige sont limites. Un grand merci aux participants pour le partage de cette magnifique journée.
André








Di 12 fév. 2023
Semaine 7 : randonnée à ski dans le val Maira
Semaine de randonnée à ski dans le val Maira, du dim. 12 au sam. 18 février 2023
Mot de passe de la semaine: AZZURRO ! À part un léger passage nuageux le jeudi, beau fixe sur le val Maira et, heureusement, étonnamment et pour notre plus grand bonheur, suffisamment de neige sur les pentes de la vallée. Voilà pour l’essentiel, mais laissez-moi encore vous dire …
… que chaque arrivée à un col ou à un sommet m’a fait croire que j’allais voir la mer… On en était certes encore un peu loin, mais déjà dans l’ambiance « Alpes du Sud ».
… que notre guide nous a préparé un magnifique programme, varié à souhait, nous réservant chaque jour une bonne dose de poudreuse ou de neige de printemps. Merci Christelle.
… que les tenanciers de la pension Le Marmotte à Acceglio sont particulièrement sympathiques et accueillants. Merci Annalisa et Alessandro.
… que le val Maira regorge de gîtes, d’auberges et de refuges qui donnent envie d’y revenir. Ivano, de La Marmu à Marmora, souhaite d’ailleurs signaler ici que son établissement est bel et bien ouvert cet hiver ! Au-dessus de Chiaveltta, le refuge Viviere avec son sauna au feu de bois a aussi fait très bonne impression.
… que les membres du CAS Neuchâtel sont formidables et que passer une semaine en si bonne compagnie est un régal ! Merci à toutes et tous, et en particulier aux organisateurs Simone et Rémi.
Les courses de la semaine :
Lundi 13 : de Chialvetta au Passo de Gardetta, D+ 1015 m.
Mardi 14 : de Preit au Passo de la Valetta, D+ 1015 m. Avec vue sur le massif du Mont Rose !
Mercredi 15 : de Tolosano à la Punta Sibolet, D+ 1068 m.
Jeudi 16 : de Saretto au Monte Soubeyran (Tête de l’Alp pour les Français), D+ 1186 m. Vu les conditions de neige, petit passage à pied nécessaire pour arriver au Passo della Cavalla, de là on rejoint la crête, puis dépôt de ski et montée au sommet à pied, à la frontière avec la France.
Vendredi 17 : de Chialvetta au Bric Boscasso, D+ 1114 m. Montée finale à pied, en deux groupes car peu de place autour de la croix sommitale.
Samedi 18 : de Campo Base (Chiappera) jusqu’au premier replat sur la gauche, à l’entrée d’un vallon menant… vers la France, D+ 550 m. Dernière sortie de la semaine, vraiment printanière !
Isabelle Hulmann








Sa 11 fév. 2023
Bundstock (2756m)








Sa 11 fév. 2023
Gstellihore
Rote Totz
Cet hiver, la neige se fait désirer. Jérôme Fer nous propose de monter au Rote Totz au lieu du Gstellihore. En consciencieux chef de course, il est allé reconnaître le parcours le vendredi et le couloir est tout en glace, dangereux pour la descente en ski.
Avec Jeanda Quidort, ils nous proposent une magnifique variante B. Le rendez-vous est donné à Kandersteg au départ de la cabine de Sunnbüel. Quelle mauvaise surprise, nous nous retrouvons dans les bouchons à Frütigen ça va être trop chaud pour prendre la cabine de 9h !
Jérôme et Jeanda nous explique le parcours du jour autour d’un bon café et croissant à Sunnbuël. Un participant doit trouver des bâtons (les siens sont restés dans sa voiture) et un autre participant des piles pour son DVA. Après une bonne demi-heure d’attente, nous pouvons enfin nous mettre en route.
Légère descente puis long plat pour arriver à Schwarenbach. Les nouvelles piles n’ont pas suffi à faire fonctionner le DVA à 2 antennes, faute de matériel obligatoire en ordre, il n’ira pas plus loin que Schwarenbach. La montée commence ici, le soleil tape fort et la neige est déjà lourde. Nous pouvons accéder au sommet sans mettre les coteaux. La vue est magnifique. Nous redescendons par une autre vallée à l’ouest (Entschlgegrat).
C’est affligeant, il y a moins de neige qu’il y a 2 ans à mi-avril ! Nous trouverons néanmoins un joli champ de poudre en dessous du col.
Le reste de la descente se résume à neige carton à l’ombre, neige de printemps au soleil et slalomer entre les cailloux. Il fait très chaud, certain en profite pour se rafraîchir les pieds au passage du gué 😊.
De retour à Kandersteg, nous faisons un débrief autour d’un verre. Nous avons tous très soif, il a fait anormalement très chaud.
Je remercie nos deux chefs de course pour cette belle sortie et tous les chefs de course qui prennent sur leur temps libre pour étudier les itinéraires de course et pour nous emmener en montagne. La meilleure façon de montrer notre gratitude à ces infatigables bénévoles est de venir à avec du matériel en bon état et de savoir parfaitement l’utiliser.
Récit de Stéphanie Juan
Chefs de course : Jérôme Fer et Jean-Daniel Quidort
Participant.e.s : Stéphanie Juan Diane Bandelier Tommy Carozzani Pablo de Chambrier et Grégory Bonzi








Sa 11 fév. 2023
Chatillon Selle de l'arrête N (2300m)
Chatillon Selle de l’arête N - 11 Février 2023
Faire du dénivelé ? Prendre l’aire ? A la recherche de Poudre ? Faire une simple balade ? Atteindre un sommet miroité ? Trouver la pente parfaite ? Escompter un point de vue à couper le souffle ? Faire sa propre trace à la montée ?...Nous avons tous nos raisons et motivations de sortir à peaux de phoque... mais cette fois-ci, on n’y allait pas pour la neige (vu que l’or blanc n’a pas daigné se montrer depuis près de 4 semaines) mais plutôt pour passer un bon moment ensemble avec une météo clémente.
Le départ se fait maintenant depuis l’Etivaz même, rallongeant un peu le long cheminement de l’Eau Froide, leiu qui porte bien son nom car encore bien gelée !
Notre groupe réduit, suite à des désistements, chemina tranquillement et sereinement jusqu’à l’Alpage de Lavaux (avec quelques zippettes permettant de muscler nos triceps, exercice apprécié des femmes pour éviter la peaux qui pendouille sous les bras ;-) ).
Etonnamment, nous avons croisé peu de monde ce jour, se rendant principalement au col du Chatillon ou au sommet du même nom, mais personne vers notre but. La Selle de l’arrête Nord du Chatillon manquant cruellement de neige, nous fîmes stopper un peu plus bas sur son col mais avec une magnifique vue sur le lac Lioson et le Pic Chaussy (ou « autoroute » du coin).
Sentiment d’être seul on monde...mais non, voici que déboulent une, puis 2 cordées de skieurs alpinismes, remontant la goulotte à Pollux !
A notre grande surprise, la neige est skiable, voire agréable pour la descente ! Et avec une météo pareille, on s’offre le luxe d’une pause pique-nique au soleil sur une petite bosse de l’Alpage. Descente finale potable, quelques petits bouts de poudre puis ce fut les champs de neige traffolés, où ceux équipés de ski lourd et large avaient un certain avantage !
Merci à Bertrand pour la conduite de la course et merci aux participants Claudine, André, Luc et Gérald pour votre agréable compagnie !
Iris Co-Cheffe de course








Sa 11 fév. 2023
La Para par le vallon de l'eau froide
Initialement prévue à la Para ou la Pare, notre randonnée a finalement lieu au Pic Chaussy. Une reconnaissance de notre cheffe de course du vallon de l’eau froide quelques jours auparavant l’aura bien refroidie au sens propre comme au sens figuré… trop de cailloux, racines et glace à travers la forêt.
Nous attaquons donc notre montée du jour depuis le col des Mosses avec un effectif un peu réduit car les virus ont sévi. La météo est très belle et la température agréable. Ajouté à cela une brochette de jeunes ou de futurs papas pleins de bienveillance, et la rando est déjà réussie avant même de commencer.
Le rythme de montée d’Hélène est régulier et le terrain sans difficulté pour nous conduire au lac de Lioson. Halte boisson et biscuit - juste le temps de discuter de l’accès au petit couloir qui nous fait face et que l’on voit certains emprunter sanglés dans des baudriers. Guillermo nous dit l’avoir déjà gravi ; personnellement je laisserai toujours cela aux experts !
Par la Chenau nous atteignons le Pic Chaussy sans avoir eu recours aux couteaux. Les groupes de randonneurs se faisant plus nombreux, nous ne comptons pas moins de trente personnes au sommet. La visibilité est parfaite mais nous optons pour un pique-nique au calme en plein soleil au bord du lac. La descente s’effectue en terrain plutôt « damé » par le passage des skieurs avec quelques échappées plus poudreuses sur les pentes plus raides des côtés. Nos champions et notre télémarkiste apprécient. En guise de balade digestive on remonte une centaine de mètres la pente qui nous tente tant par-delà le lac. Et c’est un vrai plaisir, un petit bonus à cette sortie.
La suite est un grand classique : retour par le chemin de montée pour se retrouver autour d’un verre de bière ou d’un sirop de menthe sur une terrasse bien exposée, ivres d’air pur et d’amitié après 1050m de dénivelés.
Merci Hélène et Guillermo pour cette organisation impeccable.
Nath








Ve 10 fév. 2023
Le Schächental
Jour 1:
Début des festivités avec un café à Sisiken, canton d’Uri. Belle équipe de 10 personnes curieuses de découvrir les paysages inédits que nous réservent ce canton de notre Suisse profonde.
Belle surprise folklorique au départ de la course : télécabine artisanale, ou faudrait-il dire monte-charge aménagé ?? Ticket en carton numéroté, salle d’attente où se mélangent scierie, cave à fromage et saucissons séchés, thermos de café à gogo…Dépaysement assuré : on est hors du temps !
Montée au Rossstock sous un soleil généreux. Paysages à 360° à couper le souffle au sommet avec, au loin le lac des Quatre Cantons. Descente dans une belle poudre, repeautage un peu plus bas pour profiter d’un nouveau champ de poudre. Le dernier bout de la descente est un peu plus rock n’roll et buccolique mais les lattes sont restées fixées aux pieds jusqu’aux voitures.
Nous rejoignons ensuite notre hôtel à Unterschächen et savourons le luxe d’une bonne douche chaude avant un bon souper.
Merci à Patrick et Eric pour leur enthousiasme et leur bonne humeur, on se réjouit de la suite !
Martine
Jour 2:
Au fond du vallon.
Départ en douceur sur une belle route jusqu’au fond du vallon. Vue sur plusieurs magnifiques cascades de glaces déjà remplies d’aventuriers. Montée tortueuse dans les vernes puis long plateau en mode fond du frigo. Une jolie montée en mode sauna jusqu’au col puis un dernier coup de collier pour arrivé au sommet Hochfulen. Le ciel s’est couvert, tant mieux, la neige se transformera moins. On redescend par le même itinéraire de manière plus ou moins scabreuse. Puis une fin toute douce pour recroiser les cascadeurs qui n’en finissent plus. On décroche les skis quasi à l’hôtel. Grand luxe.
Coline
Jour 3:
Dernier jour de notre escapade au Schächental. L’objectif de la journée est le Chlum – 2167m. Au sud-est de notre lieu de villégiature. Départ à 8h devant l’Hôtel Alpina, tous motivés à attaquer les +/- 1000 m de cette ultime journée. La météo sera de notre côté, avec 10h d’ensoleillement annoncé.
Les locaux de l’étape nous conseillent d’aller en voiture jusqu’à Chäsgädmeren pour chausser les skis. L’aventure commence avec le trajet en voiture, petite route enneigée, bien glacée, un mini Camel Trophy des neiges. On se demande déjà si nous prenons la bonne décision, mais oui, ouf ça passe on est au départ.
On commence par éviter rivière et troncs d’arbres, puis nous nous engouffrons dans un magnifique vallon, un superbe paysage, avec des dunes de neige, c’est très bucolique. La montée se fait à l’ombre, le compteur des dénivelés positifs montent très lentement, mais la distance est belle et bien là.
Nous arrivons au pied de notre sommet en même temps que nous sortons de l’ombre, encore quelques mettre et nous y voilà ! TROP BEAU. Pas le temps de pique-niquer au sommet, il faut redescendre tant que la neige est encore correcte, car ça commence à chauffer.
On voit nos chefs de course perplexes quant à l’itinéraire de descente à emprunter. Ils cherchent à nous éviter une neige cartons et les faux plats. Plusieurs options s’ouvrent à eux.
Coup de chance, expérience ou grande classe ? ils nous dégotent une superbe descente, avec de l’excellente neige, poudreuse au début, printemps en seconde partie. Un peu de terrain aventureux à la fin dans la forêt à slalomer entre les branches, cailloux et autres objets encombrants pour arriver, pile poil sur notre lieu de départ. A quelques mètres, une table en bois recouverte de neige nous attend, quelques courageux sortent leurs pelles et hop nous voilà tous attablés pour enfin prendre notre agape. Ça c’est de l’organisation !
Severine








Je 9 fév. 2023
Sunnbüel-Col de la Gemmi sur le chemin damé
Mais quelle magnifique journée!! Un grand merci à
Doris et Katy. Paysage féérique de montagnes enneigées depuis Sunnbüel au col de la Gemmi en longeant de lac du Daubensee. Il est vrai que nous avons eu un peu froid parfois mais les rayons du soleil étaient bien là, pour nous réchauffer. Merci aussi à toute l'équipe pour le chocolat et ces jolis moments de partage.
Daniela








Je 9 fév. 2023
Course A, Raquettes : 9 février 2023, Grenchenberg
Récit Course A Raquettes : 9 février 2023, Grenchenberg
8 Jeudistes se sont rendus en voiture de la Mottaz à Untergrenchenberg en montant depuis Granges par une route digne des Alpes. Merci à Bernard et Pierre de nous avoir véhiculés. Alors que la plaine était sous une chape de nuages/brouillard, arrivés en haut, nous jouissons d’un ciel bleu immaculé et d’un soleil radieux. Cafés au restaurant Untergrenchenberg, accompagnés de demi-croissants aux noisettes. Merci à Bernard, le NOUVEAU, de l’avoir offert.
Vers 9:45, départ pour le parcours 211. Joli point de vue sur le Creux-du-Vent soleurois. Un peu avant le retour au restaurant, nous prenons l’apéritif dans la neige sous le soleil. Merci à Guy d’avoir offert le blanc non-filtré, d’avoir porté les bouteilles pendant tout le parcours, et surtout, bon anniversaire ! Ensuite repas au restaurant : soupe de légumes, assiette bernoise richement garnie et Pinot Noir de la Cave de Berne à Neuenstadt ! Excellent repas. Dommage que ce restaurant pratique des prix élevés tout en faisant payer l’eau du robinet.
Vers 13:45, départ pour le parcours 212. Nous sommes en pleine forme et rallongeons la boucle en montant jusqu’à Neumatt/La Bluai. Une fois de plus, nous traversons avec grand plaisir des pâturages boisés de toute beauté. Retour aux voitures vers 16 :15.
Nous avons parcouru environ 11.5km, dénivelé 400m, en 4h30. Belle performance !
Merci à Pierre de m’avoir secondé, merci à tous pour la belle ambiance amicale
Alfred
NB Pour plus de photos, merci de consulter le site WEB du Club. Vous y découvrirai d’autres chef-d ’œuvres de nos photographes Jean-Pierre, Christian et autres. Merci à eux !








Lu 6 fév. 2023
Raquette
Col des Etroits en boucle Org Dominique Gouzi
En voiture par le Val de Travers jusqu’au Col des Etroits. Des panneaux nous y indiquent plusieurs tracés archéoéogiques. Le temps est couvert, la bise est bien fraîche. On ne s’y attarde donc pas. Après que chacune et chacun ait chaussé ses raquettes, la petite troupe (13 clubistes) se met en marche.en direction du Mont des Cerfs., atteint en traversant une forêt puis un pâturage en pente douce. Un abri avec table, recherché pendant la reconnaissance par Dominique est très apprécié de tous pour le pique-nique. Nous repartons par le plateau des Grangettes, avec son petit hameau du même nom, et arrivons à l’Auberson, village bien connu pour son musée Baud (fermé ce jour), créé en 1955, et présentant une collection de pièces de musique mécanique ancienne, datant de 1751 à 1940 : boîtes ä musique, automates ou orchestrions, inscrit à l’Unesco depuis 2020.. Le chemin continue sur le vaste plateau des Granges, bien exposé à la bise, pour atteindre dans la forêt, un sentier bucolique, jusqu’à la Vracconnaz. Une dernière montée, enfin au soleil nous réchauffe bien et nous reconduit au point de départ. Super ambiance tout au long de la randonnée, se terminant à l’Auberge des Fées de Buttes, par le verre de l’amitié. Merci à Dominique pour cette belle journée.
Christiane




Lu 6 fév. 2023
Le Grammont 2171 m
"La Pare, La Para... Peu importe, j'y pars ! (2540m)
Après s'être engaillairdie de bons cafés et croissants à l'hôtel du Chamois à l'Etivaz, l'équipe au complet de 9 fervents amoureux des hauteurs neigeuses se prépara au départ, prête à attaquer La Para. Les skis chaussés, la tête bien emmitouflée et les mains encore congelées malgré les gants, nous nous engageâmes dans le fond de la froide vallée pour rejoindre le chemin de montée. Le chemin raide serpentant dans la forêt nécessita la mise en place des cales, et fit suer la troupe par son inclinaison et ses fréquentes glissades sur la neige encore glacée.
Une fois sortis de la forêt, le reste de la montée se déroula paisiblement, au rythme du son des skis glissant sur la neige et des bâtons propulsant les sportifs, à chaque pas plus près du sommet.
Les plus enragés du groupe s'offrirent une montée rapide au col, avant de rejoindre le reste du groupe et finir l'ascension jusqu'au sommet. Dans une douce chaleur prodiguée par un soleil souriant, nous pique-niquâmes allègrement et fiers de notre montée au sommet à 2540m. Sauf le chef de course qui n'avait pas son sandwich, malencontreusement oublié le matin dans le frigo.
La descente nous offrit une qualité de neige surprenante et joueuse, laquelle fit naître d'enfantins sourires sur les visages.
La dernière partie de la descente finit de griller les cuisses dans une neige cartonneuse, qui n'entacha en rien le bonheur et l'allégresse de l'équipe, grâce à la belle sortie ensoleillée et agréable. Merci à Jérôme et à Silvio pour l'organisation et l'encadrement ! "








Di 5 fév. 2023
Cascade de glace / journée d'application





Sa 4 fév. 2023
Dotse et Tête de Ferret
La Dotse et Tête de Ferret en boucle depuis la Fouly.
Il y a des journées comme ça, luxueuses.
A commencer par l’organisation en or, l’efficacité douce et l’attention rassurante de Monica et Jérôme. Puis les jeux de lumière entre les volutes de brouillard. Les trouées de ciel bleu aussi précieuses et larges qu’un carré Hermès. Les cheveux qui s’habillent de dentelles de givre. Les yeux qui brillent et les cils qui s’allongent de cristaux. Les traces discrètes du lagopède au milieu du blanc. Et les montagnes qui s’offrent le temps d’un instant comme un coffre à trésors ouvert.
Certes les locaux avaient prédit du soleil. Mais, caprice de star, le fond du Val Ferret en a décidé autrement ! Qu’importe il aura su garder sa part de mystère et susciter notre envie de revenir !
Iris Stauffer








Sa 4 fév. 2023
Semaine de ski de rando dans le Queyras
Molines-en-Queyras hameau de la Rûa du 4 au 11 février 2023
Une région des Alpes du Sud, ses villages, ses sommets, ses combes, ses rivières , ses gorges et ses forêts; que de noms parfois mystérieux banaux ou magiques que je laisse à notre imaginaire d’inventer, d’oublier, puis de faire renaître avec des lumières plein les yeux et un large sourire.
Oui, car cette semaine de randonnée a revêtu la cape du rêve! Une neige de cinéma, un paysage envoûtant, caressant, une nature accueillante, une lumière majestueuse. De ce fait, c’est souvent en silence que notre petite équipe de 8 emmenée par Sylvain se faufilait entre les mélèzes sur la douceur des peaux de phoques et déambulait sur les crêtes à la rencontre de la combe parfaite. Que dire de plus sinon être reconnaissants, gratifiants de vivre de tels instants privilégiés et désormais de les compter dans nos souvenirs lumineux.
Si cette réalité a pu être ressentie et intensément vécue c’est grâce a ceux qui ont su mettre sur pieds une telle semaine, à celui qui nous a guidé et à ceux qui nous ont accueillis.
Merci Philippe, Christelle, Sylvain et le jeune couple de la pension “Les Arolles” .
Jean-Daniel ( un participant arrivé en train le dimanche 5 février )








Sa 4 fév. 2023
Rote Totz (2847m)
Départ à 6h30, on se dirige vers Kandersteg… ah non, en fait on part de l’autre côté en direction du Valais, car la météo a imposé un changement de plan. Vue la perturbation qui traverse la Suisse alémanique, Caro a sagement décidé de replier sur un objectif le plus à l’ouest possible: la tête de Lantsenaire à côté des Cornettes de Bise.
La troupe se regroupe à Voudry pour un café (on recommande le gâteau aux noix du Fournil) puis on monte au parking du Flon. Première partie de la course sur chemin forestier heureusement encore enneigé, jusqu’au col de Taney, d’où on peut voir le fameux lac et traverser, après une petite descente, le hameau du même nom. La météo tient pour l’instant, c’est nuageux mais les nouages restent en altitude. On remonte ensuite le flanc sud de la pente qui amène au Grammont pendant quelques minutes, puis on part en direction ouest vers 1600 m. C’est à ce moment qu’on passe à pieds un petit tunnel plein de stalactites. Des photos s’imposent. En suivant le chemin qui longe la rive gauche du vallon on arrive aux anciens chalets de Lotz. La neige colle un peu sous les peaux. A ce moment on bifurque vers S pour remonter l’épaule qui mène à la Chaux du milieu. Petite pause fartage pour certains. Ça commence à souffler avec insistance et on a le droit à quelques flocons à partir de 2000 m approx. Les Cornettes se cachent bien mais on a le droit à quelques courtes éclaircies. Au fond du vallon nous prenons la pente qui monte vers la droite, en passant un par un sous une corniche menaçante. Nous nous arrêtons peu avant le sommet, qui reste couvert par les nuages, et nous enlevons les peaux dans une atmosphère antarctique.
La descente se fait d’abord sur du carton dur, puis croûte tendre, puis un peu de poudre tassée assez sympa, puis neige revenue collante sur le chemin des stalactites, enfin mixte neige et cailloux sur la route forestière. On s’arrête au café “Les cornettes de Bise“ pour déguster une délicieuse petite arvine accompagnée de toasts et foie gras offerts par le propriétaire, un monsieur à l’ancienne qui aura gagné notre sympathie.
Encore une super journée en montagne dans une belle ambiance!
Par Erik Camposilvan








Sa 4 fév. 2023
La Palette-Walighürli en traversée
Un temps pas terrible du tout au départ peut cacher une journée magnifique, en belle compagnie, homogène sportivement (ce qui était nécessaire vu le menu) et d’humeur joyeuse. Superbe sortie. Merci à toutes et à tous!








Sa 4 fév. 2023
Initiations cascade de glace




Sa 4 fév. 2023
Cours environnement&traces/raquettes/Chasseral
C'est avec enthousiasme et curiosité que nous entamons notre parcours à la découverte des traces de vie dans la réserve naturelle de la Combe Biosse.
Nous sommes accompagnés par Claude Fischer, spécialiste de la faune sauvage, en particulier des mammifères, grand passionné et excellent pédagogue. Avançant à un rythme contemplatif, nous observons attentivement les différentes empreintes, crottes, et autres traces dans la neige. Nous apprenons comment, par déduction, il est possible d'obtenir des informations sur l'espèce à laquelle appartient l'animal qui a laissé les traces, ainsi que son comportement lors du passage (fuite, repos, recherche de nourriture, etc.). Nous arrivons à distinguer chamois, chevreuils, sangliers, lièvres bruns, blaireaux et même peut-être des mustélidés.
A proximité du Pré aux Auges, nous croisons des arbres centenaires qui nous épatent par leur beauté et la diversité des microhabitats qu'ils abritent. L'examen des bourgeons nous renseigne sur les arbres et abustres sur notre passage et l'observation des épines nous permet de distinger les cornifères (par exemple, sapin blanc et épicéa). Lichens, mousses (Bryophytes) et champignons attirent également notre attention.
Nous prenons aussi le temps de discuter des conséquences des sports hivernaux sur la faune et la flore, et des bonnes pratiques et règles en vigueur pour minimiser les impacts. Il reste encore beaucoup à faire, mais cette balade était une très belle façon d'amener à réfléchir sur cette problématique à laquelle nous sommes tous confrontés.
Merci beaucoup à Lucie et à Claude pour leur engagement et pour l'organisation de cette belle journée.
Nous ne manquerons pas de participer au cours Environnement alpin du CAS (11-12 mars 2023) pour approfondir la thématique avec eux. A très bientôt !
Clara Zemp








Ve 3 fév. 2023
Rauflihore en rempl. de Widdersgrind
Widdersgrind remplacé par le Rauflihore 3.2.2023
Le Widdersgrind n’était pas en condition. Etant donnée la difficulté à trouver une course de remplacement atteignable en transport public, Freddy a proposé de venir avec son bus 9 places. Et nous voilà parti pour le Rauflihore.
Après un café et “avoir pris nos précautions”, en avant pour cette belle ascension. Il faut dire que la météo avait mis du sien, soleil et ciel magnifiquement bleu sur une neige d’une blancheur éclatante. Après avoir chaussé nos skis à Grimmialp, nous avons longé brièvement la piste de ski de fond, puis suivi la petite route forestière menant aux alpages. Nous avons fait une petite pause boissons et encas au dernier chalet avant la montée sur la crête.
Une fois au sommet, nous avons sorti notre pique-nique pour un moment bien agréable au soleil. Olivier a pris le temps de nous nommer les sommets. La douceur et la vue nous invitaient à la sieste.
Pour la redescente, Joëlle nous avait concoctés un joli itinéraire dans de belles pentes quasi vierges de traces et entrecoupées d’une ou deux petites « grimpettes à plat » ;-).
Après avoir traversé quelques mètres de forêt, nous avons rejoint les pistes de ski qui nous ont conduits pratiquement jusqu’au véhicule.
Le retour en bus a permis de beaux moments d’échanges et de rires, comme quoi écologie et convivialité font bon ménage.
Merci encore à nos chef.fes de course pour leur bienveillance et leur expertise, merci à Freddy pour son bus et à toute l’équipe pour la bonne humeur, et merci à la météo et à la montagne pour cette si belle journée.
Laurence Bernauer








Je 2 fév. 2023
Franches-Montagnes (autour des Breuleux)
13 jeudistes, soit 7 raquettistes et 6 skieurs de fond participent à cette course A. Temps couvert, un peu de bruine, température agréable.
Pour les pros de raquettes : neige peu profonde, le matin sèche, l’après-midi mouillée, donc un peu collante. Le matin, boucle vers le sud de 5km, 170m de dénivelé, cotée 2h15 sur SuisseMobile, faite en 2h00, l’après-midi, 3km, 30m de dénivelé, faits en 1 heure.
Merci à Jacques d’avoir organisé l’intendance, transport, café et repas de midi au restaurant de la Balance. Merci à Pierre-Alain de m’avoir secondé et d’avoir fourni les photos à consulter sur le site du Club. Merci à nos épouses de nous avoir accompagnés pour la reconnaissance. Merci à tous pour l’ambiance amicale.
Alfred
Pour les skieurs de fond, les conditions sont meilleures que prévues. Le matin, la « piste des premiers flocons », 12 km depuis le restaurant, est praticable avec une légère couche de poudre qui glisse bien. L’après-midi, nous partons du col du Mont Crosin pour 10 km. A plus de 1200 m d’altitude, la neige est sèche, le paysage est féérique. Quelques-uns vont jusqu’à la Bise de Cortébert, d’autres font demi-tour selon l’envie et nous arrivons ensemble au parking. De là, nous méritons un dernier moment convivial au restaurant du Mont Crosin.
Merci à Alfred pour son excellente coorganisation et à tous les participants, dont certains découvrent le charme hivernal de cette région.
Jacques








Je 2 fév. 2023
Mont Sujet








Ma 31 jan. 2023
Cours de ski de fond (4/4)
Nous avons eu la chance de pouvoir faire nos 3 cours à la suite avec une bonne neige.
Merci à nos moniteurs avec d’excellents conseils et exercises, et aux participants bien motivés.




Ma 31 jan. 2023
Dent de Valerette 2059 m
Dent de Valerette








Lu 30 jan. 2023
Ski de fond dans le Jura
Nous sommes un groupe de 11 participants composé de 5 skieurs/skieuses classiques, 6 skateur/skateuses. Chaque groupe a choisi un itinéraire souhaité avec rendez-vous à la Rond noire pour repas de midi ensemble au chaud.
Nous sommes le groupe de skateur, départ des Rochats sous le ciel bleu et magnifique soleil.
Malgré peu de précipitations de neige, les pistes sont très bien entretenues.
La montée vers la Prise Gaille en passant la Combaz et la tête d’ours était un peu dure car la température froide a rendu la neige moins glissante.
Après la Prise Gaille, en direction de la Ronde Noir, nous skions sur la piste entourée de magnifiques sapins enneigés.
Arrivés à la Ronde Noir peu avant midi, nous nous sommes retrouvés avec le groupe skieurs classiques, régalés de bonne soupe, du fromage et de délicieux tartes maison.
Le ciel se couvre en de fin matinée et donne quelques poussières de la neige.
Retour en passant par la caravane vers les Rochats.
Nous avons fait 23km de magnifique parcours. 4
Sanae Takahashi-Baumann
La première sortie du cas des skis de fond classique et skating 2023 a été un succès.
Nous sommes partir du Rochats vers 9h en deux groupes pour profiter du bon état de pistes accompagné des paysages superbes. Notre groupe a fait environ 18 km de ski classique. Nous avons eu du soleil, la neige, du gris et du froid, heureusement que nous nous sommes réchauffes avec la soupe à la Ronde Noire pendant qu’il neigeait. Nous avons partagé le repas tous ensemble dans la bonne convivialité. Après nous sommes reparti pour nous amuser encore une heure sur les pistes. Je remercie chaleureusement les organisateurs Albertino no et Dominique de l’accueil chaleureux et dès les bons conseils que j’ai reçu pour améliorer le ski de fond classique. Merci encore.
PIlar Nadal








Di 29 jan. 2023
Schopfenspitz (Gros Brun)
Arrivés à Schwarzsee, le brouillard nous enveloppe et promet un début de course bien frais. Cependant l'équipe que choc que nous sommes a l'allure si sûre et fière que le stratus, impressionné, s'est levé avant même que nous crochions nos fixations !
La traversée de la Breccaschlund est une agréable promenade sur double trace, idéale pour batoïller. Au fond du vallon, la montée vers notre objectif est immaculée : nous sommes les premiers à monter par là malgré qu'il n'y ait pas eu de chute de neige fraîche depuis une semaine, seuls deux skieurs nous privent de l'honneur de dévaller ces pentes avant tout le monde.
Du col 100 mètres sous le sommet, on hésite : peaux ? couteaux ? à pieds ? Pour les 30 derniers mètres, tout le monde crapahutera en chaussures jusqu'en-haut. Le vent est calme, alors on casse la croûte en admirant la vue au sud.
Enfin nous dégustons la descente vers la Breccaschlund avec des tonnes de poudreuse, sans échapper toutefois à l'inévitable caillou quand on randonne. Un grand merci à l'équipe de choc et à nos chefs de course Bernard et Martin !






Di 29 jan. 2023
Dent rouge par le col des Pauvres
Dent Rouge.
Et pourtant tout avait bien commencé…un coorganisateur nommé Guillaume qui ressemblait à Brad Pitt…selon les messages et photo échangés par messagerie la soirée précédant la sortie. Votre serviteur jaloux comme poux et complexé comme je ne sais quoi, fut en même temps soulagé et déçu quand au matin, il découvrit dans le train Lausanne-Bex, que de un, le dis Brad n’avait rien d’un Pitt, de deux l’épatante naïveté rarissime de votre dévoué, de trois que le ridicule n’a jamais tué personne.
Ce qui ne m’empêcha pas d’aller discrètement bouder quelques minutes dans les luxueuses toilettes ferroviaires. Mais, je sort de la trace. Dans un élan diplomatique indéniable et louable, comme pour effacer la supercherie, le dis Guillaume en montant dans le bus pour les Plans, s’enduisit copieusement de crème solaire indice 200 et avec l’empressement de celui qui cherche à se faire pardonner me proposa le partage de la grosse noix d’enduit solaire (une tradition Lausannoise semble t’il) Devant sa peine à l’étaler et la pâleur soudaine que pris sa figure, je dus à regret décliner sa généreuse proposition.
Sur ces quelques détails de moindres importance, nous entamâmes une montée victorieuse vers les divines hauteurs du vallon d’Euzanne orienté nord et bien à l’abris de l’astre solaire (indice 200, blancheur extrême, rappelez-vous) Ce fut une équipe joyeuse et affamée qui arriva au col des Pauvres (c’est qui le cartographe…) Après un richissime pique-nique et un essai de masque solaire aluminium dernier cri, la montée vers le sommet ne fut plus que du bonheur en bleu et blanc.
Après le selfie sommital traditionnel et dans un même élan, nous plongeâmes avec volupté dans les dernières parcelles de poudreuse recouverte de givre divin. Des cuisses en feux pour certaines et des courbes orgasmiques pour d’autre, du tricotage entre les mélèzes dans cette lumière du jour finissant et ce givre (oui je me répète…) métamorphico-magique firent de cette descente un pur moment de plénitude.
Nous nous laissâmes glisser direction cacao, café et vin chaud en attendant le bus précis et ponctuel. Un train spécial nous attendait en gare de Bex et dans ce joyeux babille typique des fins de journée de ski réussie, nous ne pûmes retenir quelques pieds de nez et autres gestes, d’une audace des plus folle, lorsque nous aperçûmes le gros bouchons, que dis-je l’occlusion, déjà en place sur l’autoroute du Chablais.
Quelques verrées plus tard, nous nous séparâmes de Guillaume et Isabelle, puis Hélène et enfin Fanny, Clara et votre serviteur. Merci à toute et tous pour votre joie de vivre et particulièrement merci à Hélène et Guillaume pour l’organisation.
Vincent








Di 29 jan. 2023
Noiraigue-Le Couvent
Entre Noiraigue et la Cabane Perrenoud, l’admirable paysage de montagne enneigée récompense l’effort consacré à la montée des 14 contours. La neige bien froide crisse sous les raquettes, les arbres sont recouverts de neige, les arbustes de givre. Sur le plateau du Creux-du-Van, le brouillard porté par la bise se déchire et les lunettes de soleil sont tirées des étuis. Un bouquetin mâle solitaire nous regarde passer, puis semblablement deux chamois. Côté Est du Creux, le brouillard se fait à nouveau dense. Depuis la Baronne, la piste de ski de fond nous guide jusqu’à la Cabane. Chaleur du poêle, accueil amical et soupe bien chaude requinquent les corps et les esprits. Départ pour rejoindre la ferme Vers-Chez-Amiet. Un sac à dos est oublié, vite récupéré. Dans le brouillard, on se perdrait facilement sans l’ami GPS. Direction sud-est à travers les pâturages boisés, des Prés Cornu aux Prés Cretegny, puis Bellevue et le petit sommet du Truchet (1369m). La ligne droite tracée sur la carte n’en est pas une sur le terrain. Charme d’un itinéraire qui fait la part belle à la lecture des creux et des bosses, des bois et des prés. Le soleil réapparaît. Les sapins étincellent. Les appareils de prise de vue crépitent. Virage en direction nord, descente par les Prises Gaille, croisement avec la piste de ski de fond, traversée de la ferme Vers chez Sulpy, et voici enfin Le Couvent. La course a été longue et éprouvante pour les articulations. Une descente à ski la prochaine fois ? Le Bus des Neiges, dont la conductrice a aimablement adapté son horaire au nôtre, nous descend à la gare de Couvet. Merci à toutes et tous de cette belle journée et bonne humeur partagées. Marie-Claude








Sa 28 jan. 2023
Schwalmere








Ve 27 jan. 2023
Pointe d'Euzanne (2326m)
L’aventure commence au café à Bex, seule femme, la serveuse incite fortement un membre à m’offrir le croissant. Choc et fou rire, encore merci, hi.
La suite, c’est une montée entourée de grands sportifs, qui papotent toute la montée sur le chemein de forêt, de vrais pipelettes, hi.
Des convertions au milieu des mélèzes, dans une belle neige, offrent un peu de sueur à certains… et nous ammène devant un panorama éblouissant avec en deuxième plan, un joli croissant de lune. Une pause thé et fruits secs, la dernière avant le sommet.
Des convertions sur le triangle de neige qui nous mène au sommet de la pointe d’Euzanne, magnifique et vertigineux. Nous profitons d’un magnifique panoram avec devant nos yeux, tout près, le grand et le petit Muveran, la dent Favre et d’autres encore. Après les sandwiches et le thé, on s’équipe pour la decsente avec très peu de place et le vide au dessous, faux pas déconner, deux ski c’est mieux pour descendre.
Une neige magnifique pour descendre, un peu de carton, un peu de dure et surtout une tonne de poudre… comme moi, je vole pas sur la neige, je souffre un peu des cuisses et genoux à brasser toute cette neige… d’autres planent sur la neige…
et ne pas oublier, la bière artisanale à la Brasserie des mines à Bex.
Encore un joyeux anniversaire à Pascal.
et merci à notre super guide et son adjoint ( je déplore une petite réflexion sexiste quand même, hihih), à l’écoute de son équipe et même pas besoin de réclamer les pauses thé-biscuit, elles arrivaient à point nommé. Merci pour cette joyeuse et magnifique sortie. Bises
Janine



Ve 27 jan. 2023
Ärmigchnubel en traversée
Une traversée, c'est toujours une superbe course : monter par la vallée de kandersteg et redescendre dans le kiental, forcément une belle promesse si la météo et la neige sont de la partie.
Dans le train qui nous emmène au départ les discussions sur la météo vont bon train: jour blanc ? Brouillard? Ou grand beau ?
Au départ à mitholz grand beau (mais froid) du coup on ne traîne pas. La montée d'abord à l'ombre est magnifique avec les cascades de glace et cette neige immaculée.
Lorsque nous arrivons au soleil après 2h de montée il est temps d'apprécier la première pause. Nous réaliserons plus tard que ce fut aussi la dernière en effet, 30min plus tard en nous retournant nous voyons les nuages monter de la vallée donc pour éviter le jour blanc à la descente on accélère. Sous le sommet la bise se joints au soleil pour nous frigorifier empêchant le pique nique. Juste le temps de faire la photo et nous entamons la descente dans une poudreuse non tracée
Oui vous avez bien lu : soleil neige poudreuse non tracée. Mais où est l'erreur ? Simplement l'absence de sous couche : les virages magiques sont ponctués des scrrrrr caractéristiques mais pas se quoi gâcher la bonne humeur.
Enfin nous arrivons au passage clé de la course, un couloir raide étroit mais court. Par chance, les nuages nous atteignent juste au moment où nous avons trouvé son entrée. Le temps de voir Suzanne descendre en petit virages, les autres descentes s'effectueront dans le secret de chaque skieur même si le dérapage semble avoir été la technique favorite de la majorité.
Fin de l'histoire.
Enfin non, ensuite s'ensuivit un supplice pour les skis / un slalom spécial ski caillou qui nous ramène à une route
Dans le dernier champs, les techniques sont variées : qui ski normalement, qui ski lentement en essayant de deviner la position des cailloux. Personnellement j'opte pour la descente à pied: aussi rapide et préservant les skis des requins.
Nous arrivons à 14h45 à kiental, le temps d'engloutir nos pique niques et de sauter dans le bus: la bière attendra Berne!
Un grand merci à Laurence et Suzanne pour ce bon ski (mis à part la fin) et ces beaux paysages !








Ve 27 jan. 2023
Marche puis visite du « Festival des Lumières » Mo
Fêtes de lumières à Morat
Sortie un peu hors des sentiers battus, quoique!!!
Le chemin, nous l’avons emprunté après un court trajet en train. La vingtaine de participants a marché au bord du lac dans la forêt dénudée entre Sugiez et Morat juste avant la tombée de la nuit. Puis avec le plan reçu, chacun a pu déambuler dans la ville selon ses envies et au gré des couleurs et des musiques douces de la fête.
L’ambiance feutrée et agréable nous a permi d’apprécier toutes les performances des différents artistes.
Le retour s’est fait en train avec des souvenirs plein les yeux.
Les participants







Je 26 jan. 2023
Sortie raquettes
Le Mont-Châteleu
Nous partons à l’assaut du Mont-Châteleu petite butte à 1300m dans la forêt au Nord-Ouest de la Brévine. Il fait frais dans le village mais on est loin des températures polaires que l’on a pu y croiser. La neige est tombée la semaine dernière. Le terrain est encore blanc ; le parcours 241 de SuisseMobile est suffisamment damé par les promeneurs précédents pour que seule une minorité de participantes choisisse de chausser les raquettes pour éviter de les porter le temps de la balade.
Très vite nous nous enfonçons dans la forêt de pins en direction du Vieux Châteleu. Quelques panneaux didactiques nous informent des essences d’arbres que nous croisons. Le sorbier des oiseleurs d’ordinaire si caractéristique est méconnaissable sans son feuillage lancéolé et ses fruits globuleux. La neige à bien chargé les arbres et les cristaux de givre ont envahi les branches dénudées. Nous sommes plongées dans le royaume féerique de Narnia à deux pas de chez nous.
Pourtant on redescend vite sur terre face à la stèle posée par le Souvenir Français en mémoire des passeurs-résistants qui, au péril de leur vie, ont transporté du courrier et guidé les clandestins vers la Suisse durant la seconde guerre mondiale.
Poursuivant notre chemin un autre hommage est rendu, à travers une succession de panneaux explicatifs, à Michel Hollard, espion au service de Londres qui franchit la frontière une centaine de fois pour porter des renseignements à l’ambassade d’Angleterre à Berne.
Arrivées au point culminant de notre randonnée nuages et brouillard de concert nous masquent le panorama. On ne s’y attarde pas et poursuivons la boucle qui nous ramène au Châteleu-Loge. Une halte boisson à l’aller, une halte pique-nique au retour. Le terrain y est dégagé. Manque juste le soleil !
Sur le retour nous passons quelques bornes de pierre qui délimitent la frontière franco-suisse depuis 1766 et regagnons la Brévine d’un pas alerte. Nos mains se réchauffent autour d’une boisson chaude et d’un dessert pris dans les locaux fraîchement transformés de l’Hôtel de ville. On a le temps de faire plus ample connaissance avec les nouvelles inscrites au Club avant l’arrivée du car postal.
Un grand merci à Marielle et Geneviève pour l’organisation de cette agréable sortie qui nous a fait voyager dans le temps.
Nathalie








Je 26 jan. 2023
Bémont-Cernets les Verrières
recit suit
recit suit
...Ma 24 jan. 2023
Cours de ski de fond (3/4)
Le cours s’est déroulé à la Vue des Alpes.
Une belle neige froide était encore présente, mais cette fois un épais brouillard s'est invité!




Lu 23 jan. 2023
Ski de rando au Grammont (2171m)
Course déplacée à la Pointe de Bellevue, soleil magnifique et poudreuse !
Le récit va suivre








Lu 23 jan. 2023
Ski de piste aux Portes du Soleil
Cinq Jeudistes prennent la route lundi matin, répartis dans les voitures d’Etienne et Rolf (merci à eux). Un café nous est offert à notre arrivée à l’hôtel Fleur-de-neige où, depuis quatre ans, avons nos habitudes.
Passons le lundi du côté de Super-Châtel et Torgon. Pour la 1ere fois, dans l’histoire des semaines de ski de Jeudistes en France, constatons que les super-seniors (plus de 75 ans) devront bourse délier: 24 euros/jour pour le domaine des Portes du Soleil. Le fait qu’il soit franco-suisse l’explique, vu l’intransigeance financière des Helvetes. Finalement ne formerons qu’un seul groupe à ski. Les plus rapides, à l’image de Rolf, mettront la pédale douce, les plus lents s’accrocheront vaillamment, tel notre doyen octogénaire Lachat, qui ne lâchera rien. Ainsi cinq jours durant arpenterons-nous le domaine skiable jusques à ses confins, soit Planachaux, les Gets, Abondance. Par un temps magnifique, un air ambiant frisquet, plus du genre très piquant que tropical, sur des pistes bonifiées par les chutes de neige de la semaine précédente.
Seul point noir, dans cet univers blanc: deux installations donnant accès à Avoriaz étant fermées, il nous fallut recourir aux bus-navettes, y laissant une bonne heure chaque jour, tels des pendulaires montagnards.
Comme ces dernières années avons beaucoup apprécié la cuisine raffinée, gastronomique, l’amabilité du personnel et le confort des lieux. Même si, l’économie d’énergie en étant la cause, toute la semaine la piscine fut bâchée (et bibi fâché!). Restait heureusement le bien cosy jacuzzi….
Un grand merci à vous - Alfred, Étienne, Yves et Rolf - qui avez su créer une ambiance si joyeuse, amicale et chaleureuse.
Comme d’hab, les absents ont eu grand tort.
Qu’ils se rassurent et qu’on se le dise: une séance de rattrapage est prévue en janvier 2024!
Roger Schwab
PS: Merci à Roger pour les photos, mises en ligne par Alfred








Di 22 jan. 2023
Les Monts Telliers (2951m)
Vu le froid glacial et la bise forte annoncés, nous ne sommes pas allés aux Monts Telliers, mais nous avons fait une randonnée à ski du côté de la Berra. Départ de Plasselbschlund par un itinéraire non indiqué sur swisstopo : nous étions seuls au monde pour la montée jusqu'au Cousimbert, dans des paysages hivernaux de toute beauté. Dans la zone de protection de la faune, nous avons suivi un itinéraire autorisé, dans une tempête de neige. Descente dans le Plasselbschlund avec une belle quantité de neige fraîche, mais malheureusement sans beaucoup de visibilité...








Sa 21 jan. 2023
Gantrisch (2176m),Bürgle (2165m),Gemsflue (2154m)
Récit de la course du 21.01.2021
C’est de bon matin qu’est partie de l’Underi Gantrischütte, l’équipe composée d’Adeline, Anne-Lise,
Valérie, Baptiste et Laurent menée par Jeanda et Benjamin. Benjamin a secondé au pied levé Jeanda
qui a repris le lead de la course.
La bande s’est donc mise en route en direction du Morgetepass, dans le but d’atteindre ensuite le
Bürgle. Le maigre espoir que le temps tourne au beau s’est estompé au fur et à mesure de
l’ascension du col, pour finalement totalement disparaître durant les derniers 100 mètres avant d’y
arriver. En effet, le dernier passage, en fort dévers latéral s’est fait avec un fort vent de face et une
visibilité quasi-nulle.
Arrivé au col, la sage décision a été prise de redescendre en direction de la voiture en raison de la
visibilité exécrable qui ne montrait aucun signe d’amélioration. Les participants ont tout de même pu
profiter d’une jolie descente avec des conditions de neige fantastiques et d’un repas dans un cadre
tout à fait atypique : une étable inoccupée pendant l’hiver !
Un grand merci aux accompagnants ainsi qu’à la malheureuse organisatrice initiale de cette sortie.








Sa 21 jan. 2023
Cours avalanches pratique pour chef de courses








Sa 21 jan. 2023
La Motte Sommet W (1940m)








Ve 20 jan. 2023
Tête de la Payanne (2452m) (VS)
Poudreuse de rêve, mais grand froid : ressenti -23 degrés! Tout le monde a fait preuve de cours et de résilience pour supporter le froid.
Vue panoramique splendide.
Information: depuis la mise en place du nouveau télésiège de Bruson, il n’est plus possible d’acheter un billet de montée, il faut descendre plus bas jusqu’au tire-fesse où on peut acheter un billet. Attention, les prix ont doublé.








Je 19 jan. 2023
Le Meix-Musy
Nos valeureuses organisatrices ont décidé de modifier l'itinéraire prévu au vu des conditions d'enneigement faibles, mais bien satisfaisantes pour la raquette, et si attendues.
En effet, l'enneigement est suffisant pour recouvrir les arbres et le paysage de ce blanc qui transforme l'aspect d' un "pays". Aujourd'hui peu de monde, mais on aperçoit quelques fondeurs qui profitent des pistes tracées.
Une fois partie, notre marche se déroule sans encombre. Il y a les marcheuses bavardes, les contemplatives, les émerveillées...
On croise un panneau qui indique le Meix Rochat. Ce mot intrigue certaines d'entre nous. Le Meix signifie en France une habitation rurale avec dépendances, jardins et vergers.
Nos pas arrivent à la Brévine, où par bonheur un restaurant est ouvert, et nous permet de soutenir modestement mais avec gourmandise l' économie locale !
Le retour en transport public des unes et des autres s avèrera un moment mémorable, entre les différentes destinations et des horaires de bus dont la logique a laissé certaines d 'entre nous perplexes... Mais nous reviendrons !
Noëlle Christine Berthod






Je 19 jan. 2023
Raquettes ou à pied: Saignelégier - Pré-Petitjean
Course A (Raq), 19 janvier 2023 : Saignelégier – Pré-Petitjean
La neige est enfin au rendez-vous, et contrairement aux prévisions, le soleil est de la partie. Il fait froid, -10°C au départ de la course, -4°C au retour, mais en l’absence de vent, et en marchant d’un bon pas, nous n’avons eu froid à aucun moment. 12 Jeudistes sont au rendez-vous pour profiter de cette journée de carte postale. Nous avons de plus le plaisir d’accueillir un nouveau, Bernard Prébandier, habitant Bôle. Après le café au Centre sportif de Saignelégier, nous partons donc à 13 en direction de l’Etang des Royes. Le coin est tellement féérique qu’Alfred ajoute une boucle imprévue dans le trajet. Nous arriverons donc avec du retard au restaurant Auberge de la Gare le Pré-Petitjean. Excellent accueil, bon repas et un service d’une rapidité remarquable, puisqu’en 1h15, nous avons eu droit à la soupe, au rôti de bœuf, et au café, sans parler du blanc et rouge habituels, le tout pour le prix de 32.-. Restaurant à recommander absolument.
Nous avons parcouru environ 15km en 4h45, dénivelé environ 200m.
Merci à Jean-Pierre Baer d’avoir assumé le rôle de photographe. Une photo de son crû est jointe, vous pouvez découvrir les autres dans la Galerie du site WEB.
Merci à Pierre, notre ancien président, de m’avoir secondé et de nous avoir remmenés sur le chemin le plus court au point de départ.
Bienvenu au nouveau, Bernard Prébandier. Nous lui souhaitons du plaisir lors des sorties à venir.
Merci à tous pour la belle ambiance d’amitiés
Alfred
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Alfred Strohmeier, alfred.strohmeier@gmail.com
Fixe : +41 32 725 51 68 / Mobile : +41 79 241 64 49







Ma 17 jan. 2023
Mini-camp de ski de fond
Mardi 17 janvier, 10h30 à La Vattay : 12 Jeudistes se retrouvent, à l’heure, dans ce magnifique centre de ski nordique. Il a neigé et il neige encore. Par trois itinéraires différents, nous sommes tous à bon port. Et le plaisir de recevoir un “p’tit nouveau” en la personne de François Seewer, qui nous vient du Vallon. Excellent skateur, François fait baisser la moyenne d’âge et se révèlera être un excellent camarade. Bienvenue à lui.
Départ pour une première boucle, de 10 km et retour au resto du centre. Après le repas, une deuxième boucle est au programme, mais la neige, qui tombe drue, nous incite à renoncer et c’est le départ pour notre camp de base : l’hôtel du Pré-Fillet. Accueil sympathique par les membres de la famille Grosrey, qui nous héberge depuis près de 10 ans.
Installation et premier briefing-apéro. Programme du lendemain : Lajoux – Chalet de la Frasse et retour par la Combe-à-la Chèvre. Un de nos grands classiques ! Mais la neige continue de tomber, en abondance : on commence donc par le café, qui donne le courage nécessaire pour affronter les éléments ! La trace a été faite, mais tôt ce matin. Autant dire qu’il n’en reste rien. Et c’est du ski “sauvage” pour toute la journée. Après s’être restaurés au mythique chalet de La Frasse, c’est le retour à Lajoux. Par la Combe à la Chèvre pour les plus intrépides et la trace de l’aller pour les autres. Une journée à 22 km, dans des conditions difficiles.
Jeudi matin : soleil et -20 degrés ! Programme un peu allégé pour tenir compte des séquelles de la veille. Et aussi parce que la boucle prévue, au départ de l’hôtel, n’est pas encore complètement tracée. En quelques minutes, nous nous déplaçons à la porte des Trois-Cheminées. Et c’est le départ pour une très belle balade dans ces Hautes-Combes du Jura. La trace est variée, le paysage superbe. Le Berbois nous accueille très chaleureusement pour la pause de midi. Et c’est la boucle par la Borne au Lion, les Closettes et la bien nommée Bellecombe. Une magnifique journée, à 16 km. Moins fréquenté que sa voisine Les Rousses ou la réputée Chapelle-des-Bois, le site des Hautes-Combes du Jura a vraiment tout pour plaire aux amateurs de nordique.
Vendredi, toujours beau et froid. Arrêt à La Serra, sur le domaine des Rousses, pour une dernière boucle d’une douzaine de km avant la dislocation et le retour.
Merci à tout pour l’excellente ambiance et la bonne humeur qui ont régné tout au long de ce mini-camp








Ma 17 jan. 2023
Cours de ski de fond (2/4)
Le cours s’est déroulé à la Vue des Alpes. Une belle neige froide est arrivée juste a temps!
Un grand merci au Centre Nordique d’avoir refait les pistes juste avant le cours!






Lu 16 jan. 2023
Gros Châtillon (1826) et Croix de Javerne (2096)
Course déplacée du 16 janvier au 13 février, et de Javerne au Col des Chamois sud. Équipe réduite de moitié, en raison de ces changements. Temps magnifique. Très belle montée – tant mieux puisque elle nous a pris 5h. Quant à la descente, que dire? Du bon et du moins bon.








Sa 14 jan. 2023
Walliser Wispile 1982 m et Staldenhorn 2262 m
Suite aux conditions d’enneigement et métérologique, nous avons hélas du changer notre programme. Nous avons proposé à nos participants, un plan B sur un jour.
Le Wiriehöre de puis Riedli ( Avec aide du télésiège 😉)








Sa 14 jan. 2023
Cours ski hors piste
Roger nous a annoncé que nous partirions pour Grimentz-Zinal…. un peu loin pour un cours d’une journée, non ? Plusieurs d’entre nous se sont posé cette question, mais aucun n’a regretté d’être venu à cette journée tant pour la qualité de la neige, que pour la qualité du cours et du parcours.
Pour nous mettre en confiance et en jambe, Roger nous a proposé de débuter par quelques pistes faciles avec un passage obligé ;) au family snow park. Puis un peu de théorie. Riches des bons conseils personnalisés au niveau de chacun, nous sommes partis nous exercer dans les petits champs de neige fraîche entre les pistes. Le peu de monde, nous a permis de jolies descendes avec le sourire. Après un pique-nique au soleil (non, là, j’exagère le ciel était changeant avec plus de nuages que de soleil, mais il ne faisait pas froid !) nous voilà prêt à mettre en pratique hors des pistes nos apprentissages du matin (là aussi, j’exagère, personnellement, il me faudra bien des jours d’entraînement pour me défaire de mes mauvais plis et prendre les bons !). Quelle magnifique descente depuis les hauts de Zinal à Grimentz par le lac de Moiry ! C’est après deux heures dans ce magnifique paysage à exercer nos virages, la position de nos genoux et de nos hanches, que nous avons pu lever nos verres à cette journée. Merci Roger, et merci toute l’équipe pour la bonne humeur !
Laurence Bernauer / 17.01.2023







Ve 13 jan. 2023
Dent de Valerette (2058m)
“Nous étions mieux à la Dent de Valerette que moins bien ailleurs.” Voltaire, 1982








Ve 13 jan. 2023
Balade et bains thermaux Schinznach Bad
Par une météo pas très réjouissante, nous nous dirigeons en train jusqu’à Aarau. La troupe de 9 vaillantes randonneuses parfaitement équipée se met en route pour longer les rives de l’Aar que nous suivrons en traversant des zones naturelles protégées. Nous admirons le travail intensif des castors et observons de nombreux oiseaux : fuligule morillon, héron, canard, foulque.
La promesse d’un bain chaud nous fera vite avaler les 16 kilomètres de cette randonnée sans difficulté.
Les bains thermaux de Schinznach qui possèdent la plus puissante source d’eau sulfureuse de Suisse nous accueillent pour un délicieux moment de détente agrémenté de rayons de soleil imprévus mais bienfaisants.






Je 12 jan. 2023
Le Landeron - Ins (Anet)





Je 12 jan. 2023
Course en raquettes : Les Bois - Le Peu-Péquignot
Cette course devait initialement s’effectuer en raquettes. Suite au manque de neige elle a été réalisée à pied.
11 jeudistes se sont réunis dans le hall de la gare de Neuchâtel pour prendre le train. Après 50 minutes, ils ont atteint le village des Bois. La course a débuté direction N par Chez Chailat pour atteindre le haut de la Combe Girard (Point 940). De là, direction NE, une montée nous amène sur la crête que nous suivons en alternant de jolis passages en forêt et sur des pâturages qui ouvrent la vue sur les fermes de la Combatte du Pas et des Barrières, ainsi que sur les 3 éoliennes du Peuchapatte. Au lieu-dit Haut-la-Fin près du Noirmont, nous quittons la crête pour rejoindre le hameau du Peupéquignot. L’équipe de l’Auberge du même nom nous accueille chaleureusement avant de nous servir un délicieux et copieux repas. Nous repartons ensuite en direction de la gare du Boéchet en suivant en partie la piste des cavaliers du Creux-des Biches. La course s‘est entièrement déroulée sans pluie.
Distance : 12 km, T1, +/- 290 m, en 3h30’ au total.
Merci à tous pour la sympathique ambiance et à Jacques pour son soutien dans l’organisation de cette sortie.
Jean-François Zürcher








Ma 10 jan. 2023
Cours de ski de fond (1/4)
Avec peu de neige et des conditions de piste incertaines, nous avons commencé par le cours de fartage.
Merci Alex, de Passion Vélo, pour cette démonstration de fartage, astuces et conseils!

Sa 7 jan. 2023
Cours HIVER 2023
Cours hiver 2023 Bourg-st-Pierre
Les participants sont accueillis le samedi à 8h30 au Bivouac de Napoléon par un café croissant.
Ensuite départ pour le parking du Grand-St.-Bernard et les 7 groupes sont constitués.
Ce matin le temps est ensoleillé mais il y a beaucoup de vent froid, la neige bien dur et gelée, voire très glacée.
Chaque moniteurs a pris son groupe et commence par un contrôle du matériel, ensuite les moniteurs partent faire la formation directement dans le terrain.
Les participants apprennent à faire des conversions, mettre les couteaux, mettre les peaux de phoques, mettre les skis sur le sac et marcher en pente raide, faire des recherches de victime avec leurs DVA et doivent sonder et pelleter, chaque exercice est répéter pour mieux les assimilé, tous cela en faisant une petite sortie au soleil le samedi.
Le soir retour à l’hôtel et prise en charge des chambres pour ensuite avoir une présentation sur le site du CAS Neuchâtel et les particularités des courses de montagne à ski de rando, ensuite Jérôme fait un Quiz qui est fait en sorte de concours ou les participants ont des questions sur les avalanches, le bulletin, degrés de pente, etc., 3 vainqueurs ont gagné quelques lots.
Dimanche le temps à changer, venteux, neige, tempête et tous à nouveau montent au St.Bernard faire différents exercice dont un qui ne sera pas nommé ici pour garder les suspens pour les prochaines années.
Bravo aux participants qui partent content avec pleins de nouvelles connaissances et ont eux aussi beaucoup de plaisirs.
Un énorme bravo aux moniteurs.








Ve 6 jan. 2023
Avant sommet de la Pointe de Chemo - versant SE
Dent du Grand Lé – Remplacement Avant sommet de la Pointe de Chemo – Versant SE






Sa 31 déc. 2022
Nouvel-An Zinal, Pte. Tourtemagne, Omen Roso
Samedi 31 décembre 2022 : Jean-Da nous donne rendez-vous à 9h30, à la boulangerie de Vissoie. Tous les participants au week-end sont déjà attablés au tea-room lorsque nous arrivons, sirotant thé et café. Nous avons tout juste le temps de faire un tour de table de présentation et un petit échange autour du degré d'avalanche. Les conditions de faible (bel euphémisme...) enneigement ne rendent pas la tâche facile à notre chef de course. Aujourd'hui il opte pour une montée au sommet de l'Illhorn par le rando-parc de Chandolin. Le départ est donné, trois voitures et un camping-car se lancent à la recherche d'une place de parc alors que le village est déjà bien occupé par les touristes en vacances dans le petit bourg de montagne. On s'équipe, sans se presser. Nous avons le temps aujourd'hui, car le dénivelé n'est pas trop important, environ 800 m de montée. C'est très bien, une petite journée qui nous permettra de faire connaissance les uns les autres. Après un check DVA, on se lance dans l'ascension. Jonas profite de cette petite course pour chausser sa paire de skis télémark, ce qui interpelle les plus intéressés à cette pratique relativement peu connue de nos randonneurs. Le parcours est sympa, traverse l'Alpage de Chandolin en passant bien en-dehors du domaine skiable. L'avantage du rando-parc est que l'on pourra redescendre par les pistes, ce qui devrait nous éviter les attaques de sournois requins de roche à peine recouverts. Lorsque la pente se redresse, Jean-Da profite de nous faire un exposé démonstratif sur la bonne pratique de la conversion: « La jambe amont s'ouvre et fait pivoter le ski dans la nouvelle direction de la trace, perpendiculairement à la pente. Les bâtons ouverts permettent un transfert de poids afin de basculer vers l'avant et plier l'autre jambe qui va ramener le ski aval à côté du premier ». La neige quelque peu alourdie par le réchauffement et la déclivité suffisent à embourber certains lors de l'exercice suivant la démonstration. Mais dans l'ensemble, les participants s'en sortent bien ! Nous poursuivons notre montée par des pentes assez soutenues par moments, jusqu'au Pas de Illsee. Un petit thé chaud, puis nous attaquons l'ascension de l'arête finale soufflée et dégarnie, sinuant entre les cailloux. L'arrivée au sommet est récompensée par une vue à 360 degrés des sommets avoisinants comme des plus éloignés. L'air est bon, il fait un temps clément ainsi nous sortons les sandwichs. Jean-Da rencontre un ami qui prend la photo de groupe, 12 clubistes à 2717 m. La journée se poursuit par quelques remontées en ski-lift pour les détenteurs du Magic Pass qui souhaitent profiter un peu des pistes. Certains préfèrent remettre les peaux pour engranger du dénivelé supplémentaire, tandis que les plus épicuriennes se laisseront appâter par le soleil bienfaisant qui inonde la terrasse de la Cabane de l'Illhorn. Que la journée est belle, on se croirait au printemps. Jonas profite de ces quelques descentes pour faire chauffer ses cuisses en tirant des fentes sur la neige tantôt poudreuse dans les pentes encore vierges de traces, tantôt ramollie sur les pistes orientées à l'ouest. Vers 15 heures, nous nous retrouvons tous pour boire un vin chaud sur la terrasse et savourer la bonne ambiance qui émane du groupe. Nous remercions Jean-Da pour l'organisation de cette journée bien agréable avant de redescendre aux voitures qui nous conduiront à notre pension « Les Liddes » à Zinal pour les festivités du Réveillon. Une douche et hop, on descend au « Bar E Vox » pour l'apéro ! Emmanuelle et Jonas
1er janvier 2023: Pointe de Tourtemagne (3082m) + 1390m Voilà une année qui commence merveilleusement bien ! Après avoir fêté comme il se doit la veille au soir, 13 clubistes sont prêts à partir du Prilett à 10h du matin. Heure parfaitement raisonnable pour un 1er janvier, mais qui n'a pas empêché notre cuisinier de commenter abondamment – avec humour biensûr - le fait qu'un chef de course nommé Quidort l'a fait lever pour préparer notre petit déjeuner... Nous montons le long de la piste et gardons les couteaux plus longtemps qu'à l'accoutumée car le manque de neige nous empêche de zigzaguer dans la forêt. Nous suivons une portion de la route menant à l'hôtel Weisshorn et nous séparons en trois groupes au moment de la quitter pour remonter un ravissant vallon. Les six conversions rapprochées qui s'en suivent sont l'occasion de quelques chutes, puis la pente s'adoucit et nous débouchons sur le Tsa du Toûno, où nous cherchons le meilleur emplacement pour notre traditionnel "land-art" de Bonne année! Après avoir poursuivi notre montée jusqu'à environ 950 m de dénivellé depuis le parking, le groupe se scinde en deux: pour six clubistes l'appel de la tarte aux myrtilles de l'hôtel Weisshorn se fait plus fort que celui du sommet. Les sept autres continuent et sont récompensés par la vue depuis le sommet, agrémentée de Mauler rosé. Merci Jonas!!! La descente est juste un peu tardive pour échapper à quelques passages croûtés, la neige ayant déjà retendu, mais nous ne boudons pas notre plaisir aux endroits où la neige est bonne. Quoi qu'il en soit, attention aux cailloux ! La fin sur la piste est l'occasion de vérifier si les carres sont bien aiguisés... et pour certains de déguster – enfin – leur pique-nique une fois arrivés en bas
Christine
3ème jour. Grimentz – Basset de Lona – Col des Becs de Bosson-
Grimentz
Ce n’est pas la forme Ninja ce matin, la fatigue se fait quelque peu sentir
même si cette nuit a été plus longue que la précédente ! Nous nous
armons donc de courage pour attaquer les 1400m de dénivelé
annoncés. L’objectif est d’atteindre la cabane des Becs de Bosson pour
y prendre un gâteau si celle-ci est ouverte. Démarrage en douceur sur
un chemin entre épines de mélèzes et plaques de neige. On croche et
décroche quelques fois les skis jusqu’à trouver plus régulièrement de
quoi faire une trace. Petite pose proche du barrage de Moiry où les
montagnes se reflètent dans le lac: splendide ! Une pause plus longue
nous attend un peu plus haut au pied d’un chalet d’alpage où la vue est
féerique : il ne manque que les licornes ! Nous reprenons la route pour
un premier col où nous apercevons (enfin) la cabane qui nous semble
encore bien loin. Il était prévu un retour à 16h à nos voitures, nous n’y
serons pas ! Les chefs de course revoient l’itinéraire ; on avertit les amis
qui attendent pour le souper, on réorganise la garde des enfants et on
reprend des forces. Si certains rêvent de pizzas ou de tacos, on fait
plutôt le fond du sac à pique-nique. Puis dernière partie de cette longue
journée alternant plats et montées, particulièrement éprouvante même
pour les plus en forme. Nous accueillons sous les applaudissements les
derniers qui, étant malades, ont fait preuve de beaucoup de force
mentale pour arriver au bout de cette longue rando (finalement 1600 m
de dénivelé et 20 km). C’est accompagné des pisteurs que nous
redescendons sur les pistes bien gelées. Nous terminons par un rapide
apéro bien mérité et tant pis pour l’horaire déjà dépassé. Ces trois jours
avec cette équipe de ouistitis étaient un magnifique cadeau de début
d’année ! Et pour ceux qui s’étonnent du vocabulaire de ce texte, un clin
d’œil aux jeux de nos soirées était nécessaire !
Marylin








Me 28 déc. 2022
La Dent de Morcles (2969m)
La section neuchâteloise survivra au
changement climatique
L’inéluctabilité du changement climatique n’entame pas l’optimisme de Jeanda !
En toute circonstance, le CAS section neuchâteloise sait faire preuve d’une
adaptabilité redoutable.
Arrivés au point de départ, le chemin jadis enneigé ne l’était plus. Qu’importe,
nous chaussâmes nos skis et nous nous élançâmes d’un pas hardi.
Jeanda, ayant longuement étudié la mélèziologie, élabora une théorie des plus
audacieuse stipulant que, envers et contre tout, les aiguilles de mélèzes
glissent tout aussi bien voire mieux que la neige.
En toute confiance nous le suivîmes d’aiguilles en neige et nous constatâmes
avec exaltation et allégresse que son hypothèse pouvait être largement
validée. Quelques hectomètres plus haut, nous rencontrâmes la neige, blanc
manteau qui porta nos pas jusqu’au pied du Mont-Rogneux. La mesure et la
prudence face au risque d’avalanche nous retinrent d’atteindre le sommet.
Découvrant une poudreuse d’une qualité exceptionnelle, nous nous
délectâmes de soyeuses courbes pour une descente enivrante et jouissive.
Harassés mais heureux, nous regagnâmes la voiture, rassurés que le CAS
puisse encore pratiquer le ski de randonnée de nombreuses années en
l’absence de neige.
Florent








Sa 24 déc. 2022
Noël partagé au Paradis
Après quelques modifications de l’organisation et des inscriptions dernièree minutes… Nous nous retrouvons une jolie équipe variée, afin de partager des mets délicieux et raffinés.
Une branche de sapin, des bougies, des sourires, des rires, un repas festif… une soirée magnifique et drôle partagée dans cette jolie et chaleureuse cabane! Merci Michaël pour le chauffage… Merci Yann pour la superbe entrée, Merci Philippe pour cet apéro, Merci Myung pour la deuxième entrée, Merci Albertino pour les filets de perche, Merci Sylviane pour le dessert fruité, Merci Fabienne pour le limoncello, ET MERCI TOUS pour ce noël ensemble. Une délicieuse tresse fumante a accompagné le magique levé de soleil… C’est le luxe en cabane. Nous avons profité de tous se ballader au soleil au dessus du brouillard afin de digérer un peu le festin et les rencontres diverses et riches.


Je 22 déc. 2022
Communal du Locle, Grand Sommartel, la Sagne
Course A 22.12.2022: Communal du Locle, Petit Sommartel, Grand Sommartel, la Sagne
8 courageux se sont retrouvés au Communal du Locle. Nulle part la moindre trace de neige. A travers champs et forêt, avec du vent et quelques gouttes, nous montons jusqu’au Petit Sommartel et de là au « Grand » du même nom pour y déguster la fameuse langue de bœuf du jeudi. Une fois rassasiés par de bonnes portions, nous partons en direction de l’est, cette fois-ci avec le vent dans le dos, ce qui est bien plus agréable. Au point 1256, nous profitons de la belle vue sur Le Locle et la Chaux-de-Fonds. Retour comme prévu à la Sagne, où nous prenons le train pour rentrer dans nos pénates, contents d’être sortis malgré un temp maussade.
Un grand merci à Jean-Pierre Baer. pour son assistance efficace et à tous les participants pour la belle camaraderie.
Alfred






