
Sa 18 mar. 2023
3 jours dans le Binntal
Récit du J1:
Après plusieurs trains, bus et finalement un taxi, nous voici arrivés à Fäld au cœur du Binntal pour trois jours à la découverte de cette magnifique vallée, inconnue pour nous 7. Le démarrage a été fait à pied, ski sur le dos pour 500m puis enfin délivrance: nous pouvons chausser les skis! La montée sera d’abord douce à plat au fond de la vallée puis deviendra plus intense pour atteindre en boucle le sommet du Mittlenberg avec quelques sabots sous nos skis. Puis enfin nous avons droit à un peu de descente pour rejoindre la cabane de Mittlenberghutte, qui sera le soir même le lieu d’une compétition animée de Uno. Rémi et Nadine
Récit du J2:
Hohsandhorn, à 3182m, ciel bleu le matin comme les légendaires yeux bleus de Vincent. La tempête de sable du hohsandhorn, nous fait vasciller entre ski et crampons, en passant par couteaux. Heureusement qu' à la descente, Nadine a été retenue héroïquement par Vincent par le bout des skis. (A la montée, elle m’a demander de la sauver, ci-jamais...) Durant ce temps, un lien orange de tissait entre trois participants...tels le trio de lagopèdes.. que nous admirâmes plus tard.
Après une descente à tatons, nous remontons au col du Hochsandjoch, à 2901m et redescendons à la source du genepi pour chiler.
Récit du J3:
300m de descente dans 5cm de neige fraîche et une traversée de rivière précédent une montée au passo di Valdeserta. Équipe hyper disciplinée quant aux distances de sécurité (voir la photo). Sortie du brouillard peu avant le col, puis petite descente avec les peaux et la chaleur côté italien, pour remonter au Mittelbergpass puis Grosses Schinhorn. Magnifique aller-retour à pieds depuis le col pour pique-niquer au sommet. Merci à Rocky la poule (de Nadine) pour son œuf succulent ! Forces reprises pour les 1750m de descente avant de retrouver le taxi. Bien installer dans le taxi, nous franchîmes les portes (du tunnel) blindées du Binntal: Tout ce qui s’est passé au Binntal restera au Binntal...
Toute la joyeuse équipe remercie ses supers chefs de course.








Lu 13 mar. 2023
Balade culturelle
Lundi-X - Sortie Culturelle
Après une bonne heure et demie de train, les onze participantes et participants se retrouvèrent parachuté à la gare de Birr, localité inconnue de de tous. Là, sur le quai, Jürg Stüssi , historien, souhaita la bienvenue au groupe dans un bruit fracassant de chantiers à ciel ouvert et dans un décor industriel surprenant. C'est ensuite d'un pas alerte que notre hôte nous a conduits dans le village plus paisible de Birr. Là, un monument à la gloire de Pestalozzi a surpris celles et ceux qui pensaient que c'était à Yverdon que cet homme avait oeuvré. Chacun son histoire locale! Il fallut cependant bien admettre que c'est à Birr qu'il avait sévi en créant une ferme à l'attention des orphelins de parents victimes de la bataille de Stockbach (1799} et gérée selon les principes pédagogiques de Rousseau. Le souvenir d'autres personnages illustres, mais inconnus des participants, fut évoqué autour de l'église, tous faisant partie de la Société de Schinznach dont nous allions faire connaissance plus tard. Mais pas avant d'avoir marché une heure et demie dans la campagne argovienne jusqu'au Château de Habsburg, berceau de la grande famille qui ne devint autrichienne qu'au fil de nombreuses batailles et alliances qui nous furent contées. C'est aussi là que nous avons commencé à découvrir l'amour du détail et des épisodes cocasses de l'histoire que notre hôte se faisait un malin plaisir de nous présenter. Puis ce fut une nouvelle marche de quelques trois quarts d'heure juqu'à Schinznach-Bad où le repas de midi nous attendait dans le restaurant des bains thermaux. Là, nous avons eu droit à des épisodes passionnants de la petite histoire de la Suisse et du monde. Jürg Stüssi nous a raconté avec passion, avec moultes détails et aussi beaucoup d'humour, l'histoire d'une Société de Schinznach qui, dans la seconde moitié du l8ème siècle , a réuni de nombreux érudits du pays avec l'ambition de moderniser la Suisse qui, à leurs yeux, avait pris beaucoup de poussière. Le choix de Schinznach comme lieu de rencontre s'explique par l'attrait, à l'époque, des bains thermaux qui étaient très prisés. Après le siècle des lumières et encore grâce à l'avantage touristique du lieu, cette Société de Schinznach s'est développée tout au long du 19ème siècle en attirant des gens de pouvoir du monde entier. Une sorte de forum de Davos avant l'heure, comme l'a relevé une randonneuse. Episode piquant: fin du 18ème iècle, une inondation des bains par une crue de l'Aare fut suivie de l'octroi d 'une nouvelle concession donnée à une société privée pour leur reconstruction. Ce document obligeait les propriétaires d 'offrir aux pauvres un accès gratuit aux bains. Considérant l'esprit plutôt libertaire de l'époque, Jürg Stüssi résuma la situation de Scninznach en utilisant le terme d'anarchie thermale. Ce qui n'enlève rien au rôle que les rencontres de Schinznach ont joué pour la réalisation d'un monde plus globalisé qu'il n'a jamais été par la suite. Mais le mouvement fut brutalement interrompu par la guerre de 1914-1918. Après une visite des bains, la randonnée s'est terminée le long de l'Aare jusqu'à Willdegg et en train jusqu'à Neuchâtel.

Sa 4 mar. 2023
Les Cornettes de Bise
Initialement, il était prévu que nous allions aux Cornettes de Bise en ce samedi de début mars. Comme cela a souvent été le cas cet hiver, il a fallu à nouveau composer avec le manque de neige. Nos chefs de course, Jérôme et Monica nous ont ainsi proposé une alternative où nous avions plus de chance de trouver suffisamment de neige. C'est ainsi qu'on s'est donné rendez-vous à Champex-Lac pour monter au Col des Ecandies.
Arrivés sur place, Jérôme nous a bien expliqué le parcours qui nous attendait, un premier bout sur la piste avant de la quitter pour une longue et belle vallée. Jérôme et Monica étaient déjà allés le jour d'avant en repérage, pour voir s'il était possible de remonter le couloir de la Pointe d'Orny. On se rend tout de suite compte que nos chefs de courses ont vraiment bien préparé notre sortie.
C'est donc avec un groupe fort sympathique que nous nous sommes mis en route, par cette magnifique journée ensoleillée. Au gré de la montée, on apprend un peu plus à se connaître et on réalise qu'on est près de la moitié du groupe à parler suisse-allemand ! En cours de montée Monica nous arrête quelques fois pour prendre de belles photos du groupe. Tout est bien organisé! Peu avant la dernière montée, Jérôme nous fait mettre les couteaux alors que c'est encore agréable de les mettre, ce qui fut une très bonne décision. Arrivés au col, nous profitons de la magnifique vue sur le glacier de Trient, avant de nous préparer pour la descente. Comme le couloir de la Pointe d'Orny n'était pas très bon, Jérôme et Monica nous ont proposé de remonter un bout plus bas sur la descente en direction d'un autre couloir afin de profiter de la bonne neige pour la descente. À notre agréable surprise, nous n'avons pas regretté d'avoir remis les peaux car nous avons même trouvé une poudreuse plutôt sympa à skier.
Finalement on termine cette belle journée en profitant encore du soleil sur la terrasse d'une buvette du Val d'Arpette. Un immense merci à l'excellente organisation de Jérôme et Monica et à tout le groupe pour la très bonne humeur et la bonne compagnie.
Récit de Nicolas Zwahlen
Participant·e·s: Martine Imhof Silvia Osterwalder Alexandre Sahli Florent Thiébaud et Nicolas Zwahlen
Chef·fe·s de course : Jérôme Fer & Monica Estoppey








Sa 4 mar. 2023
Traversée Col du Pillon >> Geltenhütte >> Lauenen








Je 2 mar. 2023
Lécherette - Monts Chevreuils
Course A pour 8 raquettistes WT2 tout terrain. Danger d’avalanches : faible là où il reste de la neige. Prévisions météo : ensoleillé au-dessus de 1100 m. Températures : -3 à +4 à l’ombre … Le rêve pour les organisateurs de cette course de D+/- 460m avec un départ à plus de 1300m !
Grâce aux inscriptions en ligne sur notre site web, le co-voiturage, 4 par voiture, s’organise spontanément depuis le domicile. Nous nous retrouvons directement vers 9h00 à l’hôtel du Chamois à l’Etivaz. Les croissants du boulanger sont excellents.
Depuis La Lécherette, le départ se fait à pied sur la piste des raquettes. C’est une pente sud. Elle est en partie enneigée, traverse un endroit marécageux puis quelques passages sur patinoires et beaucoup sur de l’herbe un peu terreuse. Voilà pour les pieds. Pour les yeux, le moral et l’ambiance du groupe, la vue sur les Alpes et Préalpes est toujours plus belle et la région rappelle beaucoup de souvenirs. Nous arrivons rapidement au sommet des Monts Chevreuils, 1749 m. Puis, jusqu’à la jolie Cabane des Monts Chevreuils, la descente est en pente nord. La neige est dure et il faut mettre les raquettes. Nous y sommes très bien accueillis et les conditions sont idéales pour manger des croûtes au fromage ou une fondue sur la terrasse. Nous apprécions la convivialité d'une belle tablée. Le retour jusqu’à La Lécherette s’effectue par une autre piste, un bon bout raquettes aux pieds puis sur le sac.
Merci à Jean-Bruno pour son efficace co-organisation à ma première de “chef de courses raquettes” et à Guy Quenot pour le pot de l’amitié à la Croix d’Or aux Moulins.
Jacques








Me 1 mar. 2023
4 jours de ski alpinisme depuis la Camona da Medel
Medel.
J1: Départ aux aurores pour Curaglia. Pierre nous dégote un pousse-taxi qui nous enlève 100 m de dénivelé le long d'une route goudronnée, Une longue vallée nous mène sur une petite plaine. Nous traverson En effectuant une grande courbe à gauche pour ce diriger vers la cabane. Un crochet sur le flan droit me permet de repérer le départ pour monter au Piz Medel. Remontée dans un couloir bien raide et la cabane est en vue. Nous jetons un œil depuis le col sur le val Laval, une traversée nous mène à notre futur lieu de vie pour les 3 prochains jours. Soupe-gâteau et exercices encordement et mouflage nous occupe avant le souper.
J2: Météo annoncée nuageuse, c’est ragaillardi par le soin apporté par les gardiens de ce bijoux de cabane que nous entamons la descente sur le val Lavaz. Après peautage notre itinéraire nous au Piz Valdraus, 3095m que nous n’atteindrons pas. Arrivé au col, il n’y a pas de visibilité sur la suite du parcours. Nous prenons alors le chemin du retour, une première descente dans une poudreuse tassée puis nous remettons les peaux pour rallonger une peu cette journée. De ce côté ci du massif la météo est plutôt bonne, ce qui nous donne une bonne visibilité pour la descente.. Belle ambiance, bonne neige sur ce glacier finissant. Un pique-nique au soleil plus tard, aidé à la trace par Chris, trace qui nous mènera à la cabane bien en vue maintenant. Soupe, gâteau et café Luz, que du bonheur.
J3 Piz Medel 3209m, D+ 1370m.
La journée commence par une descente d'environ 300m, sous un ciel limpide à part quelques "moutons" décoratifs. La neige est dure, avec d'anciennes traces sous une -trop- mince couche de poudreuse. Puis la montée s'amorce, directement assez raide. Aucune trace. Il s'agit de trouver notre chemin dans un dédale de rochers. Nous nous encordons peu avant d'arriver sur le glacier et poursuivons sur un terrain plus facile jusqu'à un col à 2900m, permettant éventuellement de basculer en direction du Piz Ufiern. La descente laisse voir des portions de glace bleue et le choix se porte finalement sur le Piz Medel. Nous poursuivons la montée en contournant de grosses crevasses. Arrivés sur l'arête Vincent nous propose de pique-niquer au soleil pendant qu'il part en reconnaissance. Un passage plus haut s'avérant trop ardu pour 5 personnes sur une seule corde, nous redescendons un petit peu avant de repeauter pour une deuxième tentative, qui sera la bonne. Crampons aux pieds quand la pente devient trop raide, nous débouchons sur l'arête dont la portion finale est plus accessible, en tout cas aux yeux des quatre messieurs du groupe, qui arrivent encordés à la croix sommitale. Bravo à eux! Pendant ce temps la scribe du jour attend un peu plus bas en admirant la vue et en se muant en photographe. La descente nous gratifie d'une neige très agréable, mais ne nous épargne pas le slalom entre les rochers sur la dernière portion. Ne reste plus qu'à remonter 400m jusqu'à la cabane, que tout le groupe recommande chaudement pour son accueil et sa gastronomie.
Christine








Me 1 mar. 2023
Les Monts Telliers (2951m)
Après presque un mois et demi sans chutes de neige, on s'interroge : y en a-t-il (encore) au Grand-St-Bernard ?
Eh bien oui ! Après un départ de Bourg-St-Bernard au milieu de paysages largement déneigés, les reliefs deviennent de plus en plus blancs au fur et à mesure que l'on prend de la hauteur :-) Et en cet "hiver" particulier, on est content d'en trouver et on se satisfera même d'une neige dure ! Et d'un grand bol de soleil et d'air frais par la même occasion.
Après une montée sans souci jusque sous le sommet, nous mettons les couteaux pour la dernière pente, et abandonnons même nos skis pour gagner le sommet à pied. Nous y sommes récompensés par une vue à 360 degrés... et un bon vent froid qui nous incite à redescendre assez rapidement.
La descente se fait gentiment vu les conditions de ski un peu rudes, et nous prenons le temps de faire quelques pauses pour reposer nos cuisses et ne pas nous blesser. Fin de course et debriefing au Bivouac Napoléon à Bourg-St-Pierre, avant de prendre la longue route du retour à Neuchâtel.








Lu 27 fév. 2023
Wildhorn 3250








Di 26 fév. 2023
Ski rando à Bivio avec guide
Bivio 2023 – 27 février au 2 mars
Lundi 27 février : la semaine de ski de rando débute par -14 degrés et un vent du sud-est bien perceptible. Le guide Siffredo nous conduit au Piz Campagnung (2825m). Il est tombé 5 cm de neige durant la nuit. Nous atteignons le sommet en trois heures. Embrassades sur un minuscule replat. Au travers des nuages, on devine la Bernina. Rapidement, nous rechaussons les skis pour faire notre trace dans la neige tombée avant un grand groupe ! En sous couche, la neige durcie est agréablement skiable. Six bouquetins sont visibles très haut dans la montagne. Journée sans un seul grattement de caillou sous les semelles. Le guide connaît parfaitement les itinéraires !
Mardi 28 février : quelle belle surprise, nous avons trouvé de la poudre malgré le manque de neige aux Grisons comme ailleurs ! Sur le chemin qui mène au Piz dal Sasc (2720m), personne sur le parcours, sauf les sept courageux et leur guide montés depuis Bivio. Nous glissons dans la trace admirable de Siffredo, éblouis par de merveilleux paysages. Le sommet est atteint après 1000m de montée. Vus d’en haut côté sud, le lac de Sils, le col de la Maloja, le barrage d’Albigna sont tantôt visibles tantôt cachés par un peu de brouillard. Descente exceptionnelle dans la poudre et au soleil. Nous terminons cette belle journée en pensée avec Christine qui n'a pas pu venir et qui nous offre l'apéritif. Merci à elle !
Mercredi 1er mars : le téléski de Bivio nous monte sans effort à 2540m. Direction le Piz Turba (3019m). Alternance de petites montées et descentes, plus ou moins sportives ! Sous le soleil, nous atteignons le col Forcellina (2672m), passage pour l’Averstal et Juf. Les couteaux nous aident à franchir la dernière pente avant le dépôt des skis et des sacs. Nous terminons l’ascension à pied sur l’arête enneigée. Vue magnifique à 360 degrés et photo de groupe avant un pique-nique vite avalé. La descente se fait d’abord sur pente raide et gelée, puis dans la neige poudreuse que le vent s’est chargé d’épaissir. Un caillou-surprise nous prend parfois en traître. Le retour par Plang Camfer nous rappelle l’utilité de nos bras sur 1 km. La bière nous attend à l’hôtel Solaria, en compagnie de Siffredo, après 6h18 de course. Et vive la République !
Jeudi 2 mars : …Et nous voilà déjà arrivés à notre dernière randonnée de la semaine ce jeudi 2 mars. Par un beau soleil, nous prenons les voitures jusqu’à l’hospice du col du Julier (La Veduta). Traversant de jolies combes, malgré quelques cailloux, nous arrivons vers un petit col, puis descendons sur le lac gelé de Grevasalvas (2390 m). Au dessus de celui-ci, nous apercevons un magnifique lagopède qui nous regarde passer sans trop de crainte. Dans la dernière montée en direction du Fuorcla Grevasalvas, nous obliquons à droite et, sous le sommet nous mettons les couteaux par sécurité. La dernière partie du Piz d’Emmat Dadaint (2929 m.) se fait à pied dans le rocher. Du sommet, nous découvrons une vue magnifique, notamment sur la Maloja et le val Bregaglia. Nous attaquons la descente par une pente raide qui s’adoucit ensuite et nous permet de bénéficier d’une neige poudreuse (attention à quelques cailloux vicieux ! Bilan : distance parcourue de 10,2 km, avec 800m de dénivellation, le tout en 6h40, arrêts compris.
Conclusions : Mille mercis à Christine, Marie-Claude et Adrien pour la bonne organisation de cette semaine, et à Siffredo, notre excellent guide.
Adrien, André, Barbara, Daniel, Isabelle, Marie-Claude, Pascal








Sa 25 fév. 2023
Winterhore 2609 m
Sortie déplacée aux Louèrettes.
Magnifiques conditions








Me 22 fév. 2023
Traversée de la Silvretta
Traversée de la Silvretta qui est devenue St. Antönien
Récit de la deuxième journée :
Après une nuit calme dans un grand dortoir rien que pour nous et un petit-déjeuner revigorant, nous quittons la pension Alpenrösli sans nous presser – le temps est censé s’améliorer en cours de journée – en direction de notre premier sommet de la journée, le Schollberg (2570 m). 2 h 30 plus tard, nous l’atteignons après avoir gravi les 50 derniers mètres à pied dans des marches parfaitement préparées par Erich. Nous ne nous y attardons pas trop, car deux autres sommets sont au programme. Après une courte descente dans une neige meilleure qu’attendue, nous repeautons pour monter au Riedchopf (2551), qui s’atteint par une dernière pente assez raide, suivie d’une petite arête facile. De là, nous distinguons le passage-clé du lendemain pour l’ascension de la Sulzfluh. Après un pique-nique bien mérité quelques centaines de mètres plus bas, nous repartons requinqués pour une montée tranquille sur le Rotspitz (2563 m), que nous atteignons skis aux pieds malgré le peu de neige. Pour la descente finale, le groupe se scinde en deux : Laurence, Erich et Benjamin optent pour la directe, tandis que les deux « dames », accompagnées de Camille, décident de faire le tour. À 15 h30, nous sommes de retour à la pension, où nous attendent Zimmi, son truculent propriétaire, … et un groupe de quarante Allemands venus pour une « retraite religieuse ».
Pascale
Récit de la troisième journée :
Aujourd’hui, nous avons pour programme de traverser la frontière pour atteindre une cabane en Autriche en passant par la Sulzfluh, la reine des lieux, et une descente annoncée coriace côté Nord. Nous démarrons dans des pentes gelées qui réveillent bien, pour atteindre le passage-clé de la montée, qui nécessite d’enfiler les crampons. L’atmosphère est mystérieuse, oscillant entre rayons de soleil et flocons. Après une montée sans difficulté skis sur le sac, nous atteignons le Gemschtobel, une large épaule débonnaire que nous remontons pour bientôt trouver la gigantesque croix sommitale. L’ambiance est magnifique, sauvage et alpine malgré une altitude somme toute modeste. La descente s’avère certes raide, mais tout à fait jouable pour le groupe qui malgré tout prend son temps. Le passage dit « Im Rachen » en est le crux, suivi d’un slalom dans les arbustes où les skis courts ont leur avantage. Nous atteignons la Lindauerhütte très heureux de cette journée. L’ambiance de cette cabane plutôt « industrielle » nous surprend, il y a un monde fou, et tout est hyper organisé. Nous pouvons même déguster des spécialités locales à la carte. Mais attention, certains aspects ont de quoi surprendre : au cours de la soirée, Laurence et Pascale se font dépouiller des pantoufles enfilées à leur arrivée par leurs soi-disant propriétaires. Nous gagnons nos lits après une soirée jeux bien sympa !
Camille
Récit de la quatrième journée :
Il a neigé une vingtaine de centimètres. Il neigeote encore. Le jour passe de blanc à ouvert puis à blanc – laissant apparaître par moment les parois verticales de la Drusenfluh et le Drusator, le col par lequel nous espérons rentrer en Suisse. Eric prend les commandes et nous sort avec brio du labyrinthe initial formé de rochers et de pins. Le départ est féérique. La pente se redresse et le jour blanchit. Eric est toujours à la manœuvre. Il laisse aller son inspiration et son expérience pour nous amener en toute sécurité sur un petit plateau. La difficulté est maintenant devant nous. Le jour blanc dissimule cependant la raideur des pentes finales. Après tâtonnements, Eric prend les gros moyens ; il n’abdique pas et propose de monter façon tortue, les skis au sac. Ouf, ça passe !
Au col, le vent souffle. Nous choisissons d’aller pique-niquer au local hiver de la Carschinahütte – les 2000 calories ingurgitées la veille sous forme de Knödel aux épinards ou de Wienerschnitzel-frites sont déjà brûlées par les efforts fournis. Car des efforts, il a fallu en délivrer à la descente également pour trouver notre chemin dans le jour toujours blanc – merci à Laurence et à Eric d’avoir joué les cobayes – puis dans cette topographie très particulière du Ganda où cela monte, puis cela redescend, puis il y a un trou, ah non : c’est un mûr de neige … Dingue ! Pour le reste de la descente, nous choisissons raisonnablement de rester sur le chemin nous menant au bus, puis au train, puis au wagon-restaurant, puis à la maison.
Voilà comment 600m de dénivelé seulement peuvent générer quelques difficultés, pas mal d’émotions et des souvenirs certains.
Benjamin








Me 22 fév. 2023
Buttes la Robelle-Chasseron
De Buttes au Chasseron par La Robella
En effet après ces dernières journées chaudes, c’est sans raquettes que nous avons franchi les 930m de dénivelé par une journée peu ensoleillée et annoncée pluvieuse dès l’après-midi. Dire que 8j avant lors de la reconnaissance, nos guides n’étaient pas privées de neige.
Etonnamment au sommet du Chasserons alors que le brouillard arrivait, il y avait peu de vent, ce qui nous a permis de nous installer entre les nombreuses crottes des chamois pour manger notre pique-nique avec la surprise d’un cake à l’ananas pour le dessert. Quel délice et quel délicieux parfum de l’ananas frais. Merci beaucoup Ida.
Après un retour facile c’est aux Rasses devant le grand Hôtel et quelques rares gouttes de pluie que nous sommes montées dans le Bus direction Ste Croix puis nous nous sommes séparées certaines, passant par Yverdon et les autres par Buttes.
Un grand merci à Ida et Christiane de nous avoir emmenées sur cette belle course.
Odile








Lu 20 fév. 2023
Le Tarent 2547 m
Y a-t-il encore de la neige ?
Si oui, de quelle qualité ?
Par une belle journée ensoleillée et douce dix participants enthousiastes ont parié avec raison que c’était possible.
Départ à ski 50m après le parking de l’Etivaz (depuis cette année l’accès routier est interdit plus haut).
Belle montée sur une neige dure, mais accrochante surtout dans la partie ensoleillée. Couteaux optionnels dans les derniers 200m. Les 50 derniers mètres se font à pied avec crampons et piolet, mais la neige n’est pas glacée.
La descente est un peu plus exigeante. Les 600 premiers mètres proposent une neige non transformée et tassée, presque comme sur une piste de ski.
La partie médiane, la plus technique, impose une neige dure avec des traces, L’élégance devient difficile. Heureusement, on peut suivre un chemin étroit mais pas trop raide. Une bonne option pour les cuisses fatiguées.
La fin se déroule sur une neige ramollie, mais pas trop.
Sur le retour, un arrêt gustatif à l ‘Espace gourmand nous a permis de commenter cette belle réussite improbable.
Merci aux deux organisateurs pour leur enthousiasme et leurs compétences.
Jean-Michel





Lu 20 fév. 2023
Lac Noir - Schwyberg - La Patta en boucle
Par une magnifique journée très printanière, 16 marcheurs et marcheuses se sont retrouvés autour d’un café – croissant à Gypsera au bord du Lac Noir, avant d’attaquer à pieds la grimpette en direction de Gassera, Schlösslibödeli et Schwyberg. Fallait-il vraiment prendre les raquettes se sont demandés certains participant-e-s ? Et bien oui ! A mi-côte, nous avons pu les chausser. Et ce fut l’occasion de tester la raquette tout terrain, sur neige et sur terre selon les passages. Schwyberg nous a offert une vue magnifique sur les Préalpes, le Lac Noir et le Jura. Après un pique-nique sur les bancs de l’alpage niché sur un petit col entre Schwyberg et la Patta, nous avons attaqué avec entrain la dernière montée pour arriver aux bancs promis par Nathalie et Simona au sommet de la Patta. Il s’agit du nouveau lieu-dit « les bancs de Nathalie et Simona », d’où nous avons pu admirer la vue. Une descente très variée entre forêts et pentes neigeuses nous a ramené au bord du Lac Noir près du camping. Vu les conditions, personne n’a voulu tester la traversée du lac sur la glace ou à la nage. Le chemin du bord du lac nous a offert de très belles perspectives sur le lac gelé, les roseaux et les montagnes. Nous avons terminé cette belle course sur la terrasse du Schwarzseestärn. Un chaleureux merci aux organisateurs Anne et Jürg.
Martine Wyrsch








Di 19 fév. 2023
Schwalmere (2777m)
Course déplacée sur Engstligenalp – Tierhöri – Kandersteg
La sortie pour laquelle nous nous étions initialement inscrits, devait nous emmener au Schwalmere depuis Isenfluh. En raison du manque de neige et d'une qualité qui s'est dégradée les derniers jours, nos chefs de course, Guido et Benjamin, nous ont concocté une alternative pour faire le sommet du Tierhöri depuis Engstligenalp. On reste donc dans l'Oberland bernois. C'est avec le train de 6h du matin à Neuchâtel que nous partons en direction des alpes bernoises. Toute l'équipe apprécie de prendre les transports publics ce qui est très convivial et contribue à une bonne animation dès le matin. Arrivés à Engstligenalp, nous nous équipons pour débuter notre journée qui est encore légèrement couverte. En cours de montée, et à tour de rôle nous finissons tous par mettre nos couteaux ce qui facilite quand même l'ascension. Arrivé au pied du rocher du Tierhöri, nous déposons nos skis pour finir à pied et quelques pas de grimpe pour atteindre ce promontoire qui nous offre une vue magnifique sur la couronne impérialebien ensoleillée. Après une pause de midi bien méritée, nous tentons la descente du côté sud ouest. Le couloir à 40° se montre très serré et pas très engageant. Nous décidons alors de remettre les peaux et de redescendre par le côté sud est par le Chindbettipass, nettement plus facile et où on trouve même une neige plutôt sympa à skier. Nous suivons ensuite le Uschenetal jusqu'à Kandersteg. Cette vallée longue et sauvage nous laisse le temps d'apprécier ces beaux paysages. Au bas de la descente, nous devons alterner les portages de skis et le slalom sur les bouts encore enneigés. Des conditions qui nous font plus penser au printemps qu'à une sortie de mi-février!Finalement nous arrivons juste avant 15h pour prendre le bus nous transportant du bas de la station de Sunnbüel vers la gare de Kandersteg. Quel timing de la part de nos chefs de course et tant pis pour les frites de Vincent! Arrivés à la gare de Kandersteg, on a juste le temps d'acheter des bières bien méritées pour cette très belle journée et de prendre le train du retour. Un grand merci à toute l'équipe pour la bonne humeur (à prononcer avec l'accent de Adolf Ogi, puisqu'on a fait le retour depuis son village!) et à nos chefs de courses de nous avoir organisé une magnifique sortie. Au plaisir de vous retrouver.
Nicolas








Di 19 fév. 2023
Hohniese / Bündihore (2454m)
Peu de neige...mais ça passe... la course s’est effectuée sans portage des skis sur le sac !








Sa 18 fév. 2023
Eison-Cabane des Becs de Bosson-Sasseneire
Il fait chaud, chaud, chaud et la neige est rare à basse altitude; impossible de débuter notre week-end à Eison comme initialement prévu. On prend les installations à Grimentz et on bascule dans le Val de Réchy par le col du Louché. De là, nous descendons jusqu'à mi-longueur du vallon vers un pont sur la Rèche à 2333m. Nous remontons sur le flan opposé, puis cassons la croûte confortablement assis sur les rochers sans neige du sommet sans nom entre le Mont Gautier au nord et la Pointe de Massery au sud. On skie une belle pente ouest donnant sur le Val d'Hérens avant de remettre les peaux pour rejoindre la cabane des Becs par le Pas de Lovégno.
Le soir après souper, on découvre que l'université n'est plus du tout une garantie pour savoir chibrer, et que la formation hiver des chefs de course comprend, en plus des savoirs sur la conduite de courses en montagne, également quelques techniques roublardes pour jouer avec les cartes écornées des cabanes (“Celle-ci là, t'as quand même compris que c'était l'As de trèfle ou bien?”).
Le lendemin matin, quelques bancs de nuage nous gardent au frais jusque vers neuf heures, puis à nouveau grand beau toute la journée. Nous montons sur le Sasseneire depuis le Basset de Levron en gravissant la face est. Nous rejoignons l'arète sud qui est bien déneigée et le passage se fait sans difficultés. Le panorama est somptueux : Weisshorn, Dent Blanche, Pigne d'Arolla, Aiguilles rouges, Mont-Blanc, en veux-tu en voilà. Alexandre nous déniche de jolis pans encore non skiés au NE, on remonte au Basset de Levron et on s'offre le sommet du Diablon pour midi et redescendons direction lac de Moiry sur une assez belle neige encore pas trop printanière.
De retour à Grimentz, on prend presque tout de suite le car postal pour Sierre car il n’y a pas plus d'une correspondance toutes les deux heures, ce serait trop facile (rhaa ces Valaisans!!). Mais pour le plus grand plaisir du plus jeune, on fait un plan typiquement étudiant : un 6-pack glacé pris au Volg de Vissoie et on boit la bonne bière de chantier au fil des épingles à cheveux dans un bus bondé. Merci à tout le monde pour ce chouette week-end et à nos chefs de course Alexandre et Bernard !
Tobias








Sa 18 fév. 2023
Aiguille des Sasses
Comme avant tout décollage , ça commence par un café au calme dans le val de bagne , retrouvaille d’anciennes têtes et découverte de nouvelles , direction l’Italie.
Le départ est lancé par la longue et monotone marche direction la porte d’embarquement vers l’étranger , l’hospice du grand saint Bernard .
Avec sylvain nous connaissions les machines bien huilées que sont Christophe et Manu , le décollage est toujours bien rapide , et nous étions prêts à enclencher le rupteur , mais cela peut parfois étonner les nouveaux passagers.
Premier dépeautage et passage de frontière avec une jolie descente bucolique en direction de saint Rhemy , une impression de voyager dans le temps à travers ces postes frontières, vieux hôtel et restaurant abandonné , c’est magique.
Deuxième décollage direction aiguilles de Sasse , et là c’est partit pour le long courrier , attacher bien vos peaux et chauffer vos mollets de pinsons... (comme dit le pilote).
Le mal de l’aire ( et les crampes ) de Maryline ne la quitteront pas du voyage , mais son courage et sa détermination la mèneront à bonne destination , Éric de retour sur ces terres natales chantonne comme un bon hôte de l’aire, Manu a son énorme valise bien rangée et étonnamment , une fois n’est pas coutume, bien réglé sur ces épaules et Christophe en pilote dicte le rythme et la direction.
L’arrivée au sommet est magique , un super panorama sauvage sur la France , l’Italie et la suisse s’offre à nous en toute solitude !
Nous allons profiter d’un calme atterrissage, pour perdre un peu d’altitude, sur une jolie moquette parsemée de quelques turbulences neigeuses.
Avant le 3 eme décollage , et repeautage, nous avons même le temps pour une pause casse croûte sous le soleil italien.
Dernière correspondance direction l’hospice sous un doux et brûlant soleil avant un dernier atterrissage direction la bière aux grappefruit ( c’est important de s’adapter aux coutumes locales ) et les frites mayo-ketchup (c’est important de garder ces vices suisses).
Une grand merci à tous pour ce beau samedi de voyage et je me réjouis déjà des prochaines destinations ,
Déborah








Ve 17 fév. 2023
Wiriehore (2308m)
Dent de Morcles en remplacement








Je 16 fév. 2023
Ski de fond sur la GTJ franco-suisse






Ma 14 fév. 2023
Tête à Josué 2131m
14.02.2023 / Tête à Josué (2131m) en remplacement des Monts Chevreuils
Suite à une reconnaissance de l’itinéraire des Monts Chevreuils qui a permis de constater les mauvaises conditions de neige, Claudine et Andrew nous ont proposé d’aller à la Tête de Josué depuis l’Etivaz.
Une nouvelle interdiction de circulation sur la route qui mène à Pâquier Mottier nous contraint de commencer à pied peu après l’Etivaz (1160m).
Beau temps, -2 degrés, pas de vent, une sympathique équipe de sept personnes motivées : la journée s’annonce sous de bons augures.
La montée, au début sur un large chemin, est facile avec, toutefois, une neige très tassée et parfois dure. Depuis le Chalet des Crosets (1623m) jusqu’au sommet la pente se redresse et la neige compactée par les nombreux passages impose de bien utiliser les carres et contraint à quelques conversions héroïques, mais sans danger. Cela n’a pas empêché de discuter et d’apprécier le magnifique paysage.
Au sommet, sans vent, nous nous offrons une longue pause en espérant que la neige se transforme en neige de printemps. En fait, la descente se fait plutôt sur une neige dure comme sur une piste de ski. Quelque-unes-uns affrontent les pentes zèbrées par de nombreuses traces de ski avec un succès mitigé ! Il faut même parfois descendre en chasse-neige sur d’étroits chemins, ce qui maltraite un peu les cuisses.
Un arrêt roboratif à L’espace Gourmand à Villars-sous-Mont a agréablement clôt cette sortie.
Bravo et merci à Claudine et Andrew d’avoir su trouver une belle course faisable malgré les conditions de neige qui se péjorent en raison du réchauffement des températures.
Jean-Michel








Lu 13 fév. 2023
Ski de fond
Par une belle journée ensolleillée, dans la forêt du Risoux français entre Bois d’Amont et les Rousses, nous avons parcouru les 24 km au programme pour certains en classique et pour d’autres en skating dans de bonne condition d’ennneigement. Nous avons passé par les chalets des Ministres, Bonnefoy (pause de midi) et chalet Rose. Cet intinérair à recommandé quand les conditions de neige sont limites. Un grand merci aux participants pour le partage de cette magnifique journée.
André








Di 12 fév. 2023
Semaine 7 : randonnée à ski dans le val Maira
Semaine de randonnée à ski dans le val Maira, du dim. 12 au sam. 18 février 2023
Mot de passe de la semaine: AZZURRO ! À part un léger passage nuageux le jeudi, beau fixe sur le val Maira et, heureusement, étonnamment et pour notre plus grand bonheur, suffisamment de neige sur les pentes de la vallée. Voilà pour l’essentiel, mais laissez-moi encore vous dire …
… que chaque arrivée à un col ou à un sommet m’a fait croire que j’allais voir la mer… On en était certes encore un peu loin, mais déjà dans l’ambiance « Alpes du Sud ».
… que notre guide nous a préparé un magnifique programme, varié à souhait, nous réservant chaque jour une bonne dose de poudreuse ou de neige de printemps. Merci Christelle.
… que les tenanciers de la pension Le Marmotte à Acceglio sont particulièrement sympathiques et accueillants. Merci Annalisa et Alessandro.
… que le val Maira regorge de gîtes, d’auberges et de refuges qui donnent envie d’y revenir. Ivano, de La Marmu à Marmora, souhaite d’ailleurs signaler ici que son établissement est bel et bien ouvert cet hiver ! Au-dessus de Chiaveltta, le refuge Viviere avec son sauna au feu de bois a aussi fait très bonne impression.
… que les membres du CAS Neuchâtel sont formidables et que passer une semaine en si bonne compagnie est un régal ! Merci à toutes et tous, et en particulier aux organisateurs Simone et Rémi.
Les courses de la semaine :
Lundi 13 : de Chialvetta au Passo de Gardetta, D+ 1015 m.
Mardi 14 : de Preit au Passo de la Valetta, D+ 1015 m. Avec vue sur le massif du Mont Rose !
Mercredi 15 : de Tolosano à la Punta Sibolet, D+ 1068 m.
Jeudi 16 : de Saretto au Monte Soubeyran (Tête de l’Alp pour les Français), D+ 1186 m. Vu les conditions de neige, petit passage à pied nécessaire pour arriver au Passo della Cavalla, de là on rejoint la crête, puis dépôt de ski et montée au sommet à pied, à la frontière avec la France.
Vendredi 17 : de Chialvetta au Bric Boscasso, D+ 1114 m. Montée finale à pied, en deux groupes car peu de place autour de la croix sommitale.
Samedi 18 : de Campo Base (Chiappera) jusqu’au premier replat sur la gauche, à l’entrée d’un vallon menant… vers la France, D+ 550 m. Dernière sortie de la semaine, vraiment printanière !
Isabelle Hulmann








Sa 11 fév. 2023
Bundstock (2756m)








Sa 11 fév. 2023
Gstellihore
Rote Totz
Cet hiver, la neige se fait désirer. Jérôme Fer nous propose de monter au Rote Totz au lieu du Gstellihore. En consciencieux chef de course, il est allé reconnaître le parcours le vendredi et le couloir est tout en glace, dangereux pour la descente en ski.
Avec Jeanda Quidort, ils nous proposent une magnifique variante B. Le rendez-vous est donné à Kandersteg au départ de la cabine de Sunnbüel. Quelle mauvaise surprise, nous nous retrouvons dans les bouchons à Frütigen ça va être trop chaud pour prendre la cabine de 9h !
Jérôme et Jeanda nous explique le parcours du jour autour d’un bon café et croissant à Sunnbuël. Un participant doit trouver des bâtons (les siens sont restés dans sa voiture) et un autre participant des piles pour son DVA. Après une bonne demi-heure d’attente, nous pouvons enfin nous mettre en route.
Légère descente puis long plat pour arriver à Schwarenbach. Les nouvelles piles n’ont pas suffi à faire fonctionner le DVA à 2 antennes, faute de matériel obligatoire en ordre, il n’ira pas plus loin que Schwarenbach. La montée commence ici, le soleil tape fort et la neige est déjà lourde. Nous pouvons accéder au sommet sans mettre les coteaux. La vue est magnifique. Nous redescendons par une autre vallée à l’ouest (Entschlgegrat).
C’est affligeant, il y a moins de neige qu’il y a 2 ans à mi-avril ! Nous trouverons néanmoins un joli champ de poudre en dessous du col.
Le reste de la descente se résume à neige carton à l’ombre, neige de printemps au soleil et slalomer entre les cailloux. Il fait très chaud, certain en profite pour se rafraîchir les pieds au passage du gué 😊.
De retour à Kandersteg, nous faisons un débrief autour d’un verre. Nous avons tous très soif, il a fait anormalement très chaud.
Je remercie nos deux chefs de course pour cette belle sortie et tous les chefs de course qui prennent sur leur temps libre pour étudier les itinéraires de course et pour nous emmener en montagne. La meilleure façon de montrer notre gratitude à ces infatigables bénévoles est de venir à avec du matériel en bon état et de savoir parfaitement l’utiliser.
Récit de Stéphanie Juan
Chefs de course : Jérôme Fer et Jean-Daniel Quidort
Participant.e.s : Stéphanie Juan Diane Bandelier Tommy Carozzani Pablo de Chambrier et Grégory Bonzi








Sa 11 fév. 2023
Chatillon Selle de l'arrête N (2300m)
Chatillon Selle de l’arête N - 11 Février 2023
Faire du dénivelé ? Prendre l’aire ? A la recherche de Poudre ? Faire une simple balade ? Atteindre un sommet miroité ? Trouver la pente parfaite ? Escompter un point de vue à couper le souffle ? Faire sa propre trace à la montée ?...Nous avons tous nos raisons et motivations de sortir à peaux de phoque... mais cette fois-ci, on n’y allait pas pour la neige (vu que l’or blanc n’a pas daigné se montrer depuis près de 4 semaines) mais plutôt pour passer un bon moment ensemble avec une météo clémente.
Le départ se fait maintenant depuis l’Etivaz même, rallongeant un peu le long cheminement de l’Eau Froide, leiu qui porte bien son nom car encore bien gelée !
Notre groupe réduit, suite à des désistements, chemina tranquillement et sereinement jusqu’à l’Alpage de Lavaux (avec quelques zippettes permettant de muscler nos triceps, exercice apprécié des femmes pour éviter la peaux qui pendouille sous les bras ;-) ).
Etonnamment, nous avons croisé peu de monde ce jour, se rendant principalement au col du Chatillon ou au sommet du même nom, mais personne vers notre but. La Selle de l’arrête Nord du Chatillon manquant cruellement de neige, nous fîmes stopper un peu plus bas sur son col mais avec une magnifique vue sur le lac Lioson et le Pic Chaussy (ou « autoroute » du coin).
Sentiment d’être seul on monde...mais non, voici que déboulent une, puis 2 cordées de skieurs alpinismes, remontant la goulotte à Pollux !
A notre grande surprise, la neige est skiable, voire agréable pour la descente ! Et avec une météo pareille, on s’offre le luxe d’une pause pique-nique au soleil sur une petite bosse de l’Alpage. Descente finale potable, quelques petits bouts de poudre puis ce fut les champs de neige traffolés, où ceux équipés de ski lourd et large avaient un certain avantage !
Merci à Bertrand pour la conduite de la course et merci aux participants Claudine, André, Luc et Gérald pour votre agréable compagnie !
Iris Co-Cheffe de course








Sa 11 fév. 2023
La Para par le vallon de l'eau froide
Initialement prévue à la Para ou la Pare, notre randonnée a finalement lieu au Pic Chaussy. Une reconnaissance de notre cheffe de course du vallon de l’eau froide quelques jours auparavant l’aura bien refroidie au sens propre comme au sens figuré… trop de cailloux, racines et glace à travers la forêt.
Nous attaquons donc notre montée du jour depuis le col des Mosses avec un effectif un peu réduit car les virus ont sévi. La météo est très belle et la température agréable. Ajouté à cela une brochette de jeunes ou de futurs papas pleins de bienveillance, et la rando est déjà réussie avant même de commencer.
Le rythme de montée d’Hélène est régulier et le terrain sans difficulté pour nous conduire au lac de Lioson. Halte boisson et biscuit - juste le temps de discuter de l’accès au petit couloir qui nous fait face et que l’on voit certains emprunter sanglés dans des baudriers. Guillermo nous dit l’avoir déjà gravi ; personnellement je laisserai toujours cela aux experts !
Par la Chenau nous atteignons le Pic Chaussy sans avoir eu recours aux couteaux. Les groupes de randonneurs se faisant plus nombreux, nous ne comptons pas moins de trente personnes au sommet. La visibilité est parfaite mais nous optons pour un pique-nique au calme en plein soleil au bord du lac. La descente s’effectue en terrain plutôt « damé » par le passage des skieurs avec quelques échappées plus poudreuses sur les pentes plus raides des côtés. Nos champions et notre télémarkiste apprécient. En guise de balade digestive on remonte une centaine de mètres la pente qui nous tente tant par-delà le lac. Et c’est un vrai plaisir, un petit bonus à cette sortie.
La suite est un grand classique : retour par le chemin de montée pour se retrouver autour d’un verre de bière ou d’un sirop de menthe sur une terrasse bien exposée, ivres d’air pur et d’amitié après 1050m de dénivelés.
Merci Hélène et Guillermo pour cette organisation impeccable.
Nath








Ve 10 fév. 2023
Le Schächental
Jour 1:
Début des festivités avec un café à Sisiken, canton d’Uri. Belle équipe de 10 personnes curieuses de découvrir les paysages inédits que nous réservent ce canton de notre Suisse profonde.
Belle surprise folklorique au départ de la course : télécabine artisanale, ou faudrait-il dire monte-charge aménagé ?? Ticket en carton numéroté, salle d’attente où se mélangent scierie, cave à fromage et saucissons séchés, thermos de café à gogo…Dépaysement assuré : on est hors du temps !
Montée au Rossstock sous un soleil généreux. Paysages à 360° à couper le souffle au sommet avec, au loin le lac des Quatre Cantons. Descente dans une belle poudre, repeautage un peu plus bas pour profiter d’un nouveau champ de poudre. Le dernier bout de la descente est un peu plus rock n’roll et buccolique mais les lattes sont restées fixées aux pieds jusqu’aux voitures.
Nous rejoignons ensuite notre hôtel à Unterschächen et savourons le luxe d’une bonne douche chaude avant un bon souper.
Merci à Patrick et Eric pour leur enthousiasme et leur bonne humeur, on se réjouit de la suite !
Martine
Jour 2:
Au fond du vallon.
Départ en douceur sur une belle route jusqu’au fond du vallon. Vue sur plusieurs magnifiques cascades de glaces déjà remplies d’aventuriers. Montée tortueuse dans les vernes puis long plateau en mode fond du frigo. Une jolie montée en mode sauna jusqu’au col puis un dernier coup de collier pour arrivé au sommet Hochfulen. Le ciel s’est couvert, tant mieux, la neige se transformera moins. On redescend par le même itinéraire de manière plus ou moins scabreuse. Puis une fin toute douce pour recroiser les cascadeurs qui n’en finissent plus. On décroche les skis quasi à l’hôtel. Grand luxe.
Coline
Jour 3:
Dernier jour de notre escapade au Schächental. L’objectif de la journée est le Chlum – 2167m. Au sud-est de notre lieu de villégiature. Départ à 8h devant l’Hôtel Alpina, tous motivés à attaquer les +/- 1000 m de cette ultime journée. La météo sera de notre côté, avec 10h d’ensoleillement annoncé.
Les locaux de l’étape nous conseillent d’aller en voiture jusqu’à Chäsgädmeren pour chausser les skis. L’aventure commence avec le trajet en voiture, petite route enneigée, bien glacée, un mini Camel Trophy des neiges. On se demande déjà si nous prenons la bonne décision, mais oui, ouf ça passe on est au départ.
On commence par éviter rivière et troncs d’arbres, puis nous nous engouffrons dans un magnifique vallon, un superbe paysage, avec des dunes de neige, c’est très bucolique. La montée se fait à l’ombre, le compteur des dénivelés positifs montent très lentement, mais la distance est belle et bien là.
Nous arrivons au pied de notre sommet en même temps que nous sortons de l’ombre, encore quelques mettre et nous y voilà ! TROP BEAU. Pas le temps de pique-niquer au sommet, il faut redescendre tant que la neige est encore correcte, car ça commence à chauffer.
On voit nos chefs de course perplexes quant à l’itinéraire de descente à emprunter. Ils cherchent à nous éviter une neige cartons et les faux plats. Plusieurs options s’ouvrent à eux.
Coup de chance, expérience ou grande classe ? ils nous dégotent une superbe descente, avec de l’excellente neige, poudreuse au début, printemps en seconde partie. Un peu de terrain aventureux à la fin dans la forêt à slalomer entre les branches, cailloux et autres objets encombrants pour arriver, pile poil sur notre lieu de départ. A quelques mètres, une table en bois recouverte de neige nous attend, quelques courageux sortent leurs pelles et hop nous voilà tous attablés pour enfin prendre notre agape. Ça c’est de l’organisation !
Severine








Je 9 fév. 2023
Sunnbüel-Col de la Gemmi sur le chemin damé
Mais quelle magnifique journée!! Un grand merci à
Doris et Katy. Paysage féérique de montagnes enneigées depuis Sunnbüel au col de la Gemmi en longeant de lac du Daubensee. Il est vrai que nous avons eu un peu froid parfois mais les rayons du soleil étaient bien là, pour nous réchauffer. Merci aussi à toute l'équipe pour le chocolat et ces jolis moments de partage.
Daniela








Je 9 fév. 2023
Course A, Raquettes : 9 février 2023, Grenchenberg
Récit Course A Raquettes : 9 février 2023, Grenchenberg
8 Jeudistes se sont rendus en voiture de la Mottaz à Untergrenchenberg en montant depuis Granges par une route digne des Alpes. Merci à Bernard et Pierre de nous avoir véhiculés. Alors que la plaine était sous une chape de nuages/brouillard, arrivés en haut, nous jouissons d’un ciel bleu immaculé et d’un soleil radieux. Cafés au restaurant Untergrenchenberg, accompagnés de demi-croissants aux noisettes. Merci à Bernard, le NOUVEAU, de l’avoir offert.
Vers 9:45, départ pour le parcours 211. Joli point de vue sur le Creux-du-Vent soleurois. Un peu avant le retour au restaurant, nous prenons l’apéritif dans la neige sous le soleil. Merci à Guy d’avoir offert le blanc non-filtré, d’avoir porté les bouteilles pendant tout le parcours, et surtout, bon anniversaire ! Ensuite repas au restaurant : soupe de légumes, assiette bernoise richement garnie et Pinot Noir de la Cave de Berne à Neuenstadt ! Excellent repas. Dommage que ce restaurant pratique des prix élevés tout en faisant payer l’eau du robinet.
Vers 13:45, départ pour le parcours 212. Nous sommes en pleine forme et rallongeons la boucle en montant jusqu’à Neumatt/La Bluai. Une fois de plus, nous traversons avec grand plaisir des pâturages boisés de toute beauté. Retour aux voitures vers 16 :15.
Nous avons parcouru environ 11.5km, dénivelé 400m, en 4h30. Belle performance !
Merci à Pierre de m’avoir secondé, merci à tous pour la belle ambiance amicale
Alfred
NB Pour plus de photos, merci de consulter le site WEB du Club. Vous y découvrirai d’autres chef-d ’œuvres de nos photographes Jean-Pierre, Christian et autres. Merci à eux !








Lu 6 fév. 2023
Raquette
Col des Etroits en boucle Org Dominique Gouzi
En voiture par le Val de Travers jusqu’au Col des Etroits. Des panneaux nous y indiquent plusieurs tracés archéoéogiques. Le temps est couvert, la bise est bien fraîche. On ne s’y attarde donc pas. Après que chacune et chacun ait chaussé ses raquettes, la petite troupe (13 clubistes) se met en marche.en direction du Mont des Cerfs., atteint en traversant une forêt puis un pâturage en pente douce. Un abri avec table, recherché pendant la reconnaissance par Dominique est très apprécié de tous pour le pique-nique. Nous repartons par le plateau des Grangettes, avec son petit hameau du même nom, et arrivons à l’Auberson, village bien connu pour son musée Baud (fermé ce jour), créé en 1955, et présentant une collection de pièces de musique mécanique ancienne, datant de 1751 à 1940 : boîtes ä musique, automates ou orchestrions, inscrit à l’Unesco depuis 2020.. Le chemin continue sur le vaste plateau des Granges, bien exposé à la bise, pour atteindre dans la forêt, un sentier bucolique, jusqu’à la Vracconnaz. Une dernière montée, enfin au soleil nous réchauffe bien et nous reconduit au point de départ. Super ambiance tout au long de la randonnée, se terminant à l’Auberge des Fées de Buttes, par le verre de l’amitié. Merci à Dominique pour cette belle journée.
Christiane




Lu 6 fév. 2023
Le Grammont 2171 m
"La Pare, La Para... Peu importe, j'y pars ! (2540m)
Après s'être engaillairdie de bons cafés et croissants à l'hôtel du Chamois à l'Etivaz, l'équipe au complet de 9 fervents amoureux des hauteurs neigeuses se prépara au départ, prête à attaquer La Para. Les skis chaussés, la tête bien emmitouflée et les mains encore congelées malgré les gants, nous nous engageâmes dans le fond de la froide vallée pour rejoindre le chemin de montée. Le chemin raide serpentant dans la forêt nécessita la mise en place des cales, et fit suer la troupe par son inclinaison et ses fréquentes glissades sur la neige encore glacée.
Une fois sortis de la forêt, le reste de la montée se déroula paisiblement, au rythme du son des skis glissant sur la neige et des bâtons propulsant les sportifs, à chaque pas plus près du sommet.
Les plus enragés du groupe s'offrirent une montée rapide au col, avant de rejoindre le reste du groupe et finir l'ascension jusqu'au sommet. Dans une douce chaleur prodiguée par un soleil souriant, nous pique-niquâmes allègrement et fiers de notre montée au sommet à 2540m. Sauf le chef de course qui n'avait pas son sandwich, malencontreusement oublié le matin dans le frigo.
La descente nous offrit une qualité de neige surprenante et joueuse, laquelle fit naître d'enfantins sourires sur les visages.
La dernière partie de la descente finit de griller les cuisses dans une neige cartonneuse, qui n'entacha en rien le bonheur et l'allégresse de l'équipe, grâce à la belle sortie ensoleillée et agréable. Merci à Jérôme et à Silvio pour l'organisation et l'encadrement ! "








Di 5 fév. 2023
Cascade de glace / journée d'application





Sa 4 fév. 2023
Dotse et Tête de Ferret
La Dotse et Tête de Ferret en boucle depuis la Fouly.
Il y a des journées comme ça, luxueuses.
A commencer par l’organisation en or, l’efficacité douce et l’attention rassurante de Monica et Jérôme. Puis les jeux de lumière entre les volutes de brouillard. Les trouées de ciel bleu aussi précieuses et larges qu’un carré Hermès. Les cheveux qui s’habillent de dentelles de givre. Les yeux qui brillent et les cils qui s’allongent de cristaux. Les traces discrètes du lagopède au milieu du blanc. Et les montagnes qui s’offrent le temps d’un instant comme un coffre à trésors ouvert.
Certes les locaux avaient prédit du soleil. Mais, caprice de star, le fond du Val Ferret en a décidé autrement ! Qu’importe il aura su garder sa part de mystère et susciter notre envie de revenir !
Iris Stauffer








Sa 4 fév. 2023
Semaine de ski de rando dans le Queyras
Molines-en-Queyras hameau de la Rûa du 4 au 11 février 2023
Une région des Alpes du Sud, ses villages, ses sommets, ses combes, ses rivières , ses gorges et ses forêts; que de noms parfois mystérieux banaux ou magiques que je laisse à notre imaginaire d’inventer, d’oublier, puis de faire renaître avec des lumières plein les yeux et un large sourire.
Oui, car cette semaine de randonnée a revêtu la cape du rêve! Une neige de cinéma, un paysage envoûtant, caressant, une nature accueillante, une lumière majestueuse. De ce fait, c’est souvent en silence que notre petite équipe de 8 emmenée par Sylvain se faufilait entre les mélèzes sur la douceur des peaux de phoques et déambulait sur les crêtes à la rencontre de la combe parfaite. Que dire de plus sinon être reconnaissants, gratifiants de vivre de tels instants privilégiés et désormais de les compter dans nos souvenirs lumineux.
Si cette réalité a pu être ressentie et intensément vécue c’est grâce a ceux qui ont su mettre sur pieds une telle semaine, à celui qui nous a guidé et à ceux qui nous ont accueillis.
Merci Philippe, Christelle, Sylvain et le jeune couple de la pension “Les Arolles” .
Jean-Daniel ( un participant arrivé en train le dimanche 5 février )








Sa 4 fév. 2023
Rote Totz (2847m)
Départ à 6h30, on se dirige vers Kandersteg… ah non, en fait on part de l’autre côté en direction du Valais, car la météo a imposé un changement de plan. Vue la perturbation qui traverse la Suisse alémanique, Caro a sagement décidé de replier sur un objectif le plus à l’ouest possible: la tête de Lantsenaire à côté des Cornettes de Bise.
La troupe se regroupe à Voudry pour un café (on recommande le gâteau aux noix du Fournil) puis on monte au parking du Flon. Première partie de la course sur chemin forestier heureusement encore enneigé, jusqu’au col de Taney, d’où on peut voir le fameux lac et traverser, après une petite descente, le hameau du même nom. La météo tient pour l’instant, c’est nuageux mais les nouages restent en altitude. On remonte ensuite le flanc sud de la pente qui amène au Grammont pendant quelques minutes, puis on part en direction ouest vers 1600 m. C’est à ce moment qu’on passe à pieds un petit tunnel plein de stalactites. Des photos s’imposent. En suivant le chemin qui longe la rive gauche du vallon on arrive aux anciens chalets de Lotz. La neige colle un peu sous les peaux. A ce moment on bifurque vers S pour remonter l’épaule qui mène à la Chaux du milieu. Petite pause fartage pour certains. Ça commence à souffler avec insistance et on a le droit à quelques flocons à partir de 2000 m approx. Les Cornettes se cachent bien mais on a le droit à quelques courtes éclaircies. Au fond du vallon nous prenons la pente qui monte vers la droite, en passant un par un sous une corniche menaçante. Nous nous arrêtons peu avant le sommet, qui reste couvert par les nuages, et nous enlevons les peaux dans une atmosphère antarctique.
La descente se fait d’abord sur du carton dur, puis croûte tendre, puis un peu de poudre tassée assez sympa, puis neige revenue collante sur le chemin des stalactites, enfin mixte neige et cailloux sur la route forestière. On s’arrête au café “Les cornettes de Bise“ pour déguster une délicieuse petite arvine accompagnée de toasts et foie gras offerts par le propriétaire, un monsieur à l’ancienne qui aura gagné notre sympathie.
Encore une super journée en montagne dans une belle ambiance!
Par Erik Camposilvan








Sa 4 fév. 2023
La Palette-Walighürli en traversée
Un temps pas terrible du tout au départ peut cacher une journée magnifique, en belle compagnie, homogène sportivement (ce qui était nécessaire vu le menu) et d’humeur joyeuse. Superbe sortie. Merci à toutes et à tous!








Sa 4 fév. 2023
Initiations cascade de glace




Sa 4 fév. 2023
Cours environnement&traces/raquettes/Chasseral
C'est avec enthousiasme et curiosité que nous entamons notre parcours à la découverte des traces de vie dans la réserve naturelle de la Combe Biosse.
Nous sommes accompagnés par Claude Fischer, spécialiste de la faune sauvage, en particulier des mammifères, grand passionné et excellent pédagogue. Avançant à un rythme contemplatif, nous observons attentivement les différentes empreintes, crottes, et autres traces dans la neige. Nous apprenons comment, par déduction, il est possible d'obtenir des informations sur l'espèce à laquelle appartient l'animal qui a laissé les traces, ainsi que son comportement lors du passage (fuite, repos, recherche de nourriture, etc.). Nous arrivons à distinguer chamois, chevreuils, sangliers, lièvres bruns, blaireaux et même peut-être des mustélidés.
A proximité du Pré aux Auges, nous croisons des arbres centenaires qui nous épatent par leur beauté et la diversité des microhabitats qu'ils abritent. L'examen des bourgeons nous renseigne sur les arbres et abustres sur notre passage et l'observation des épines nous permet de distinger les cornifères (par exemple, sapin blanc et épicéa). Lichens, mousses (Bryophytes) et champignons attirent également notre attention.
Nous prenons aussi le temps de discuter des conséquences des sports hivernaux sur la faune et la flore, et des bonnes pratiques et règles en vigueur pour minimiser les impacts. Il reste encore beaucoup à faire, mais cette balade était une très belle façon d'amener à réfléchir sur cette problématique à laquelle nous sommes tous confrontés.
Merci beaucoup à Lucie et à Claude pour leur engagement et pour l'organisation de cette belle journée.
Nous ne manquerons pas de participer au cours Environnement alpin du CAS (11-12 mars 2023) pour approfondir la thématique avec eux. A très bientôt !
Clara Zemp








Ve 3 fév. 2023
Rauflihore en rempl. de Widdersgrind
Widdersgrind remplacé par le Rauflihore 3.2.2023
Le Widdersgrind n’était pas en condition. Etant donnée la difficulté à trouver une course de remplacement atteignable en transport public, Freddy a proposé de venir avec son bus 9 places. Et nous voilà parti pour le Rauflihore.
Après un café et “avoir pris nos précautions”, en avant pour cette belle ascension. Il faut dire que la météo avait mis du sien, soleil et ciel magnifiquement bleu sur une neige d’une blancheur éclatante. Après avoir chaussé nos skis à Grimmialp, nous avons longé brièvement la piste de ski de fond, puis suivi la petite route forestière menant aux alpages. Nous avons fait une petite pause boissons et encas au dernier chalet avant la montée sur la crête.
Une fois au sommet, nous avons sorti notre pique-nique pour un moment bien agréable au soleil. Olivier a pris le temps de nous nommer les sommets. La douceur et la vue nous invitaient à la sieste.
Pour la redescente, Joëlle nous avait concoctés un joli itinéraire dans de belles pentes quasi vierges de traces et entrecoupées d’une ou deux petites « grimpettes à plat » ;-).
Après avoir traversé quelques mètres de forêt, nous avons rejoint les pistes de ski qui nous ont conduits pratiquement jusqu’au véhicule.
Le retour en bus a permis de beaux moments d’échanges et de rires, comme quoi écologie et convivialité font bon ménage.
Merci encore à nos chef.fes de course pour leur bienveillance et leur expertise, merci à Freddy pour son bus et à toute l’équipe pour la bonne humeur, et merci à la météo et à la montagne pour cette si belle journée.
Laurence Bernauer








Je 2 fév. 2023
Franches-Montagnes (autour des Breuleux)
13 jeudistes, soit 7 raquettistes et 6 skieurs de fond participent à cette course A. Temps couvert, un peu de bruine, température agréable.
Pour les pros de raquettes : neige peu profonde, le matin sèche, l’après-midi mouillée, donc un peu collante. Le matin, boucle vers le sud de 5km, 170m de dénivelé, cotée 2h15 sur SuisseMobile, faite en 2h00, l’après-midi, 3km, 30m de dénivelé, faits en 1 heure.
Merci à Jacques d’avoir organisé l’intendance, transport, café et repas de midi au restaurant de la Balance. Merci à Pierre-Alain de m’avoir secondé et d’avoir fourni les photos à consulter sur le site du Club. Merci à nos épouses de nous avoir accompagnés pour la reconnaissance. Merci à tous pour l’ambiance amicale.
Alfred
Pour les skieurs de fond, les conditions sont meilleures que prévues. Le matin, la « piste des premiers flocons », 12 km depuis le restaurant, est praticable avec une légère couche de poudre qui glisse bien. L’après-midi, nous partons du col du Mont Crosin pour 10 km. A plus de 1200 m d’altitude, la neige est sèche, le paysage est féérique. Quelques-uns vont jusqu’à la Bise de Cortébert, d’autres font demi-tour selon l’envie et nous arrivons ensemble au parking. De là, nous méritons un dernier moment convivial au restaurant du Mont Crosin.
Merci à Alfred pour son excellente coorganisation et à tous les participants, dont certains découvrent le charme hivernal de cette région.
Jacques








Je 2 fév. 2023
Mont Sujet








Ma 31 jan. 2023
Cours de ski de fond (4/4)
Nous avons eu la chance de pouvoir faire nos 3 cours à la suite avec une bonne neige.
Merci à nos moniteurs avec d’excellents conseils et exercises, et aux participants bien motivés.




Ma 31 jan. 2023
Dent de Valerette 2059 m
Dent de Valerette








Lu 30 jan. 2023
Ski de fond dans le Jura
Nous sommes un groupe de 11 participants composé de 5 skieurs/skieuses classiques, 6 skateur/skateuses. Chaque groupe a choisi un itinéraire souhaité avec rendez-vous à la Rond noire pour repas de midi ensemble au chaud.
Nous sommes le groupe de skateur, départ des Rochats sous le ciel bleu et magnifique soleil.
Malgré peu de précipitations de neige, les pistes sont très bien entretenues.
La montée vers la Prise Gaille en passant la Combaz et la tête d’ours était un peu dure car la température froide a rendu la neige moins glissante.
Après la Prise Gaille, en direction de la Ronde Noir, nous skions sur la piste entourée de magnifiques sapins enneigés.
Arrivés à la Ronde Noir peu avant midi, nous nous sommes retrouvés avec le groupe skieurs classiques, régalés de bonne soupe, du fromage et de délicieux tartes maison.
Le ciel se couvre en de fin matinée et donne quelques poussières de la neige.
Retour en passant par la caravane vers les Rochats.
Nous avons fait 23km de magnifique parcours. 4
Sanae Takahashi-Baumann
La première sortie du cas des skis de fond classique et skating 2023 a été un succès.
Nous sommes partir du Rochats vers 9h en deux groupes pour profiter du bon état de pistes accompagné des paysages superbes. Notre groupe a fait environ 18 km de ski classique. Nous avons eu du soleil, la neige, du gris et du froid, heureusement que nous nous sommes réchauffes avec la soupe à la Ronde Noire pendant qu’il neigeait. Nous avons partagé le repas tous ensemble dans la bonne convivialité. Après nous sommes reparti pour nous amuser encore une heure sur les pistes. Je remercie chaleureusement les organisateurs Albertino no et Dominique de l’accueil chaleureux et dès les bons conseils que j’ai reçu pour améliorer le ski de fond classique. Merci encore.
PIlar Nadal








Di 29 jan. 2023
Schopfenspitz (Gros Brun)
Arrivés à Schwarzsee, le brouillard nous enveloppe et promet un début de course bien frais. Cependant l'équipe que choc que nous sommes a l'allure si sûre et fière que le stratus, impressionné, s'est levé avant même que nous crochions nos fixations !
La traversée de la Breccaschlund est une agréable promenade sur double trace, idéale pour batoïller. Au fond du vallon, la montée vers notre objectif est immaculée : nous sommes les premiers à monter par là malgré qu'il n'y ait pas eu de chute de neige fraîche depuis une semaine, seuls deux skieurs nous privent de l'honneur de dévaller ces pentes avant tout le monde.
Du col 100 mètres sous le sommet, on hésite : peaux ? couteaux ? à pieds ? Pour les 30 derniers mètres, tout le monde crapahutera en chaussures jusqu'en-haut. Le vent est calme, alors on casse la croûte en admirant la vue au sud.
Enfin nous dégustons la descente vers la Breccaschlund avec des tonnes de poudreuse, sans échapper toutefois à l'inévitable caillou quand on randonne. Un grand merci à l'équipe de choc et à nos chefs de course Bernard et Martin !






Di 29 jan. 2023
Dent rouge par le col des Pauvres
Dent Rouge.
Et pourtant tout avait bien commencé…un coorganisateur nommé Guillaume qui ressemblait à Brad Pitt…selon les messages et photo échangés par messagerie la soirée précédant la sortie. Votre serviteur jaloux comme poux et complexé comme je ne sais quoi, fut en même temps soulagé et déçu quand au matin, il découvrit dans le train Lausanne-Bex, que de un, le dis Brad n’avait rien d’un Pitt, de deux l’épatante naïveté rarissime de votre dévoué, de trois que le ridicule n’a jamais tué personne.
Ce qui ne m’empêcha pas d’aller discrètement bouder quelques minutes dans les luxueuses toilettes ferroviaires. Mais, je sort de la trace. Dans un élan diplomatique indéniable et louable, comme pour effacer la supercherie, le dis Guillaume en montant dans le bus pour les Plans, s’enduisit copieusement de crème solaire indice 200 et avec l’empressement de celui qui cherche à se faire pardonner me proposa le partage de la grosse noix d’enduit solaire (une tradition Lausannoise semble t’il) Devant sa peine à l’étaler et la pâleur soudaine que pris sa figure, je dus à regret décliner sa généreuse proposition.
Sur ces quelques détails de moindres importance, nous entamâmes une montée victorieuse vers les divines hauteurs du vallon d’Euzanne orienté nord et bien à l’abris de l’astre solaire (indice 200, blancheur extrême, rappelez-vous) Ce fut une équipe joyeuse et affamée qui arriva au col des Pauvres (c’est qui le cartographe…) Après un richissime pique-nique et un essai de masque solaire aluminium dernier cri, la montée vers le sommet ne fut plus que du bonheur en bleu et blanc.
Après le selfie sommital traditionnel et dans un même élan, nous plongeâmes avec volupté dans les dernières parcelles de poudreuse recouverte de givre divin. Des cuisses en feux pour certaines et des courbes orgasmiques pour d’autre, du tricotage entre les mélèzes dans cette lumière du jour finissant et ce givre (oui je me répète…) métamorphico-magique firent de cette descente un pur moment de plénitude.
Nous nous laissâmes glisser direction cacao, café et vin chaud en attendant le bus précis et ponctuel. Un train spécial nous attendait en gare de Bex et dans ce joyeux babille typique des fins de journée de ski réussie, nous ne pûmes retenir quelques pieds de nez et autres gestes, d’une audace des plus folle, lorsque nous aperçûmes le gros bouchons, que dis-je l’occlusion, déjà en place sur l’autoroute du Chablais.
Quelques verrées plus tard, nous nous séparâmes de Guillaume et Isabelle, puis Hélène et enfin Fanny, Clara et votre serviteur. Merci à toute et tous pour votre joie de vivre et particulièrement merci à Hélène et Guillaume pour l’organisation.
Vincent








Di 29 jan. 2023
Noiraigue-Le Couvent
Entre Noiraigue et la Cabane Perrenoud, l’admirable paysage de montagne enneigée récompense l’effort consacré à la montée des 14 contours. La neige bien froide crisse sous les raquettes, les arbres sont recouverts de neige, les arbustes de givre. Sur le plateau du Creux-du-Van, le brouillard porté par la bise se déchire et les lunettes de soleil sont tirées des étuis. Un bouquetin mâle solitaire nous regarde passer, puis semblablement deux chamois. Côté Est du Creux, le brouillard se fait à nouveau dense. Depuis la Baronne, la piste de ski de fond nous guide jusqu’à la Cabane. Chaleur du poêle, accueil amical et soupe bien chaude requinquent les corps et les esprits. Départ pour rejoindre la ferme Vers-Chez-Amiet. Un sac à dos est oublié, vite récupéré. Dans le brouillard, on se perdrait facilement sans l’ami GPS. Direction sud-est à travers les pâturages boisés, des Prés Cornu aux Prés Cretegny, puis Bellevue et le petit sommet du Truchet (1369m). La ligne droite tracée sur la carte n’en est pas une sur le terrain. Charme d’un itinéraire qui fait la part belle à la lecture des creux et des bosses, des bois et des prés. Le soleil réapparaît. Les sapins étincellent. Les appareils de prise de vue crépitent. Virage en direction nord, descente par les Prises Gaille, croisement avec la piste de ski de fond, traversée de la ferme Vers chez Sulpy, et voici enfin Le Couvent. La course a été longue et éprouvante pour les articulations. Une descente à ski la prochaine fois ? Le Bus des Neiges, dont la conductrice a aimablement adapté son horaire au nôtre, nous descend à la gare de Couvet. Merci à toutes et tous de cette belle journée et bonne humeur partagées. Marie-Claude








Sa 28 jan. 2023
Schwalmere








Ve 27 jan. 2023
Pointe d'Euzanne (2326m)
L’aventure commence au café à Bex, seule femme, la serveuse incite fortement un membre à m’offrir le croissant. Choc et fou rire, encore merci, hi.
La suite, c’est une montée entourée de grands sportifs, qui papotent toute la montée sur le chemein de forêt, de vrais pipelettes, hi.
Des convertions au milieu des mélèzes, dans une belle neige, offrent un peu de sueur à certains… et nous ammène devant un panorama éblouissant avec en deuxième plan, un joli croissant de lune. Une pause thé et fruits secs, la dernière avant le sommet.
Des convertions sur le triangle de neige qui nous mène au sommet de la pointe d’Euzanne, magnifique et vertigineux. Nous profitons d’un magnifique panoram avec devant nos yeux, tout près, le grand et le petit Muveran, la dent Favre et d’autres encore. Après les sandwiches et le thé, on s’équipe pour la decsente avec très peu de place et le vide au dessous, faux pas déconner, deux ski c’est mieux pour descendre.
Une neige magnifique pour descendre, un peu de carton, un peu de dure et surtout une tonne de poudre… comme moi, je vole pas sur la neige, je souffre un peu des cuisses et genoux à brasser toute cette neige… d’autres planent sur la neige…
et ne pas oublier, la bière artisanale à la Brasserie des mines à Bex.
Encore un joyeux anniversaire à Pascal.
et merci à notre super guide et son adjoint ( je déplore une petite réflexion sexiste quand même, hihih), à l’écoute de son équipe et même pas besoin de réclamer les pauses thé-biscuit, elles arrivaient à point nommé. Merci pour cette joyeuse et magnifique sortie. Bises
Janine



Ve 27 jan. 2023
Ärmigchnubel en traversée
Une traversée, c'est toujours une superbe course : monter par la vallée de kandersteg et redescendre dans le kiental, forcément une belle promesse si la météo et la neige sont de la partie.
Dans le train qui nous emmène au départ les discussions sur la météo vont bon train: jour blanc ? Brouillard? Ou grand beau ?
Au départ à mitholz grand beau (mais froid) du coup on ne traîne pas. La montée d'abord à l'ombre est magnifique avec les cascades de glace et cette neige immaculée.
Lorsque nous arrivons au soleil après 2h de montée il est temps d'apprécier la première pause. Nous réaliserons plus tard que ce fut aussi la dernière en effet, 30min plus tard en nous retournant nous voyons les nuages monter de la vallée donc pour éviter le jour blanc à la descente on accélère. Sous le sommet la bise se joints au soleil pour nous frigorifier empêchant le pique nique. Juste le temps de faire la photo et nous entamons la descente dans une poudreuse non tracée
Oui vous avez bien lu : soleil neige poudreuse non tracée. Mais où est l'erreur ? Simplement l'absence de sous couche : les virages magiques sont ponctués des scrrrrr caractéristiques mais pas se quoi gâcher la bonne humeur.
Enfin nous arrivons au passage clé de la course, un couloir raide étroit mais court. Par chance, les nuages nous atteignent juste au moment où nous avons trouvé son entrée. Le temps de voir Suzanne descendre en petit virages, les autres descentes s'effectueront dans le secret de chaque skieur même si le dérapage semble avoir été la technique favorite de la majorité.
Fin de l'histoire.
Enfin non, ensuite s'ensuivit un supplice pour les skis / un slalom spécial ski caillou qui nous ramène à une route
Dans le dernier champs, les techniques sont variées : qui ski normalement, qui ski lentement en essayant de deviner la position des cailloux. Personnellement j'opte pour la descente à pied: aussi rapide et préservant les skis des requins.
Nous arrivons à 14h45 à kiental, le temps d'engloutir nos pique niques et de sauter dans le bus: la bière attendra Berne!
Un grand merci à Laurence et Suzanne pour ce bon ski (mis à part la fin) et ces beaux paysages !








Ve 27 jan. 2023
Marche puis visite du « Festival des Lumières » Mo
Fêtes de lumières à Morat
Sortie un peu hors des sentiers battus, quoique!!!
Le chemin, nous l’avons emprunté après un court trajet en train. La vingtaine de participants a marché au bord du lac dans la forêt dénudée entre Sugiez et Morat juste avant la tombée de la nuit. Puis avec le plan reçu, chacun a pu déambuler dans la ville selon ses envies et au gré des couleurs et des musiques douces de la fête.
L’ambiance feutrée et agréable nous a permi d’apprécier toutes les performances des différents artistes.
Le retour s’est fait en train avec des souvenirs plein les yeux.
Les participants







Je 26 jan. 2023
Sortie raquettes
Le Mont-Châteleu
Nous partons à l’assaut du Mont-Châteleu petite butte à 1300m dans la forêt au Nord-Ouest de la Brévine. Il fait frais dans le village mais on est loin des températures polaires que l’on a pu y croiser. La neige est tombée la semaine dernière. Le terrain est encore blanc ; le parcours 241 de SuisseMobile est suffisamment damé par les promeneurs précédents pour que seule une minorité de participantes choisisse de chausser les raquettes pour éviter de les porter le temps de la balade.
Très vite nous nous enfonçons dans la forêt de pins en direction du Vieux Châteleu. Quelques panneaux didactiques nous informent des essences d’arbres que nous croisons. Le sorbier des oiseleurs d’ordinaire si caractéristique est méconnaissable sans son feuillage lancéolé et ses fruits globuleux. La neige à bien chargé les arbres et les cristaux de givre ont envahi les branches dénudées. Nous sommes plongées dans le royaume féerique de Narnia à deux pas de chez nous.
Pourtant on redescend vite sur terre face à la stèle posée par le Souvenir Français en mémoire des passeurs-résistants qui, au péril de leur vie, ont transporté du courrier et guidé les clandestins vers la Suisse durant la seconde guerre mondiale.
Poursuivant notre chemin un autre hommage est rendu, à travers une succession de panneaux explicatifs, à Michel Hollard, espion au service de Londres qui franchit la frontière une centaine de fois pour porter des renseignements à l’ambassade d’Angleterre à Berne.
Arrivées au point culminant de notre randonnée nuages et brouillard de concert nous masquent le panorama. On ne s’y attarde pas et poursuivons la boucle qui nous ramène au Châteleu-Loge. Une halte boisson à l’aller, une halte pique-nique au retour. Le terrain y est dégagé. Manque juste le soleil !
Sur le retour nous passons quelques bornes de pierre qui délimitent la frontière franco-suisse depuis 1766 et regagnons la Brévine d’un pas alerte. Nos mains se réchauffent autour d’une boisson chaude et d’un dessert pris dans les locaux fraîchement transformés de l’Hôtel de ville. On a le temps de faire plus ample connaissance avec les nouvelles inscrites au Club avant l’arrivée du car postal.
Un grand merci à Marielle et Geneviève pour l’organisation de cette agréable sortie qui nous a fait voyager dans le temps.
Nathalie








Je 26 jan. 2023
Bémont-Cernets les Verrières
recit suit
recit suit
...Ma 24 jan. 2023
Cours de ski de fond (3/4)
Le cours s’est déroulé à la Vue des Alpes.
Une belle neige froide était encore présente, mais cette fois un épais brouillard s'est invité!




Lu 23 jan. 2023
Ski de rando au Grammont (2171m)
Course déplacée à la Pointe de Bellevue, soleil magnifique et poudreuse !
Le récit va suivre








Lu 23 jan. 2023
Ski de piste aux Portes du Soleil
Cinq Jeudistes prennent la route lundi matin, répartis dans les voitures d’Etienne et Rolf (merci à eux). Un café nous est offert à notre arrivée à l’hôtel Fleur-de-neige où, depuis quatre ans, avons nos habitudes.
Passons le lundi du côté de Super-Châtel et Torgon. Pour la 1ere fois, dans l’histoire des semaines de ski de Jeudistes en France, constatons que les super-seniors (plus de 75 ans) devront bourse délier: 24 euros/jour pour le domaine des Portes du Soleil. Le fait qu’il soit franco-suisse l’explique, vu l’intransigeance financière des Helvetes. Finalement ne formerons qu’un seul groupe à ski. Les plus rapides, à l’image de Rolf, mettront la pédale douce, les plus lents s’accrocheront vaillamment, tel notre doyen octogénaire Lachat, qui ne lâchera rien. Ainsi cinq jours durant arpenterons-nous le domaine skiable jusques à ses confins, soit Planachaux, les Gets, Abondance. Par un temps magnifique, un air ambiant frisquet, plus du genre très piquant que tropical, sur des pistes bonifiées par les chutes de neige de la semaine précédente.
Seul point noir, dans cet univers blanc: deux installations donnant accès à Avoriaz étant fermées, il nous fallut recourir aux bus-navettes, y laissant une bonne heure chaque jour, tels des pendulaires montagnards.
Comme ces dernières années avons beaucoup apprécié la cuisine raffinée, gastronomique, l’amabilité du personnel et le confort des lieux. Même si, l’économie d’énergie en étant la cause, toute la semaine la piscine fut bâchée (et bibi fâché!). Restait heureusement le bien cosy jacuzzi….
Un grand merci à vous - Alfred, Étienne, Yves et Rolf - qui avez su créer une ambiance si joyeuse, amicale et chaleureuse.
Comme d’hab, les absents ont eu grand tort.
Qu’ils se rassurent et qu’on se le dise: une séance de rattrapage est prévue en janvier 2024!
Roger Schwab
PS: Merci à Roger pour les photos, mises en ligne par Alfred








Di 22 jan. 2023
Les Monts Telliers (2951m)
Vu le froid glacial et la bise forte annoncés, nous ne sommes pas allés aux Monts Telliers, mais nous avons fait une randonnée à ski du côté de la Berra. Départ de Plasselbschlund par un itinéraire non indiqué sur swisstopo : nous étions seuls au monde pour la montée jusqu'au Cousimbert, dans des paysages hivernaux de toute beauté. Dans la zone de protection de la faune, nous avons suivi un itinéraire autorisé, dans une tempête de neige. Descente dans le Plasselbschlund avec une belle quantité de neige fraîche, mais malheureusement sans beaucoup de visibilité...








Sa 21 jan. 2023
Gantrisch (2176m),Bürgle (2165m),Gemsflue (2154m)
Récit de la course du 21.01.2021
C’est de bon matin qu’est partie de l’Underi Gantrischütte, l’équipe composée d’Adeline, Anne-Lise,
Valérie, Baptiste et Laurent menée par Jeanda et Benjamin. Benjamin a secondé au pied levé Jeanda
qui a repris le lead de la course.
La bande s’est donc mise en route en direction du Morgetepass, dans le but d’atteindre ensuite le
Bürgle. Le maigre espoir que le temps tourne au beau s’est estompé au fur et à mesure de
l’ascension du col, pour finalement totalement disparaître durant les derniers 100 mètres avant d’y
arriver. En effet, le dernier passage, en fort dévers latéral s’est fait avec un fort vent de face et une
visibilité quasi-nulle.
Arrivé au col, la sage décision a été prise de redescendre en direction de la voiture en raison de la
visibilité exécrable qui ne montrait aucun signe d’amélioration. Les participants ont tout de même pu
profiter d’une jolie descente avec des conditions de neige fantastiques et d’un repas dans un cadre
tout à fait atypique : une étable inoccupée pendant l’hiver !
Un grand merci aux accompagnants ainsi qu’à la malheureuse organisatrice initiale de cette sortie.








Sa 21 jan. 2023
Cours avalanches pratique pour chef de courses








Sa 21 jan. 2023
La Motte Sommet W (1940m)








Ve 20 jan. 2023
Tête de la Payanne (2452m) (VS)
Poudreuse de rêve, mais grand froid : ressenti -23 degrés! Tout le monde a fait preuve de cours et de résilience pour supporter le froid.
Vue panoramique splendide.
Information: depuis la mise en place du nouveau télésiège de Bruson, il n’est plus possible d’acheter un billet de montée, il faut descendre plus bas jusqu’au tire-fesse où on peut acheter un billet. Attention, les prix ont doublé.








Je 19 jan. 2023
Le Meix-Musy
Nos valeureuses organisatrices ont décidé de modifier l'itinéraire prévu au vu des conditions d'enneigement faibles, mais bien satisfaisantes pour la raquette, et si attendues.
En effet, l'enneigement est suffisant pour recouvrir les arbres et le paysage de ce blanc qui transforme l'aspect d' un "pays". Aujourd'hui peu de monde, mais on aperçoit quelques fondeurs qui profitent des pistes tracées.
Une fois partie, notre marche se déroule sans encombre. Il y a les marcheuses bavardes, les contemplatives, les émerveillées...
On croise un panneau qui indique le Meix Rochat. Ce mot intrigue certaines d'entre nous. Le Meix signifie en France une habitation rurale avec dépendances, jardins et vergers.
Nos pas arrivent à la Brévine, où par bonheur un restaurant est ouvert, et nous permet de soutenir modestement mais avec gourmandise l' économie locale !
Le retour en transport public des unes et des autres s avèrera un moment mémorable, entre les différentes destinations et des horaires de bus dont la logique a laissé certaines d 'entre nous perplexes... Mais nous reviendrons !
Noëlle Christine Berthod






Je 19 jan. 2023
Raquettes ou à pied: Saignelégier - Pré-Petitjean
Course A (Raq), 19 janvier 2023 : Saignelégier – Pré-Petitjean
La neige est enfin au rendez-vous, et contrairement aux prévisions, le soleil est de la partie. Il fait froid, -10°C au départ de la course, -4°C au retour, mais en l’absence de vent, et en marchant d’un bon pas, nous n’avons eu froid à aucun moment. 12 Jeudistes sont au rendez-vous pour profiter de cette journée de carte postale. Nous avons de plus le plaisir d’accueillir un nouveau, Bernard Prébandier, habitant Bôle. Après le café au Centre sportif de Saignelégier, nous partons donc à 13 en direction de l’Etang des Royes. Le coin est tellement féérique qu’Alfred ajoute une boucle imprévue dans le trajet. Nous arriverons donc avec du retard au restaurant Auberge de la Gare le Pré-Petitjean. Excellent accueil, bon repas et un service d’une rapidité remarquable, puisqu’en 1h15, nous avons eu droit à la soupe, au rôti de bœuf, et au café, sans parler du blanc et rouge habituels, le tout pour le prix de 32.-. Restaurant à recommander absolument.
Nous avons parcouru environ 15km en 4h45, dénivelé environ 200m.
Merci à Jean-Pierre Baer d’avoir assumé le rôle de photographe. Une photo de son crû est jointe, vous pouvez découvrir les autres dans la Galerie du site WEB.
Merci à Pierre, notre ancien président, de m’avoir secondé et de nous avoir remmenés sur le chemin le plus court au point de départ.
Bienvenu au nouveau, Bernard Prébandier. Nous lui souhaitons du plaisir lors des sorties à venir.
Merci à tous pour la belle ambiance d’amitiés
Alfred
---
Alfred Strohmeier, alfred.strohmeier@gmail.com
Fixe : +41 32 725 51 68 / Mobile : +41 79 241 64 49







Ma 17 jan. 2023
Mini-camp de ski de fond
Mardi 17 janvier, 10h30 à La Vattay : 12 Jeudistes se retrouvent, à l’heure, dans ce magnifique centre de ski nordique. Il a neigé et il neige encore. Par trois itinéraires différents, nous sommes tous à bon port. Et le plaisir de recevoir un “p’tit nouveau” en la personne de François Seewer, qui nous vient du Vallon. Excellent skateur, François fait baisser la moyenne d’âge et se révèlera être un excellent camarade. Bienvenue à lui.
Départ pour une première boucle, de 10 km et retour au resto du centre. Après le repas, une deuxième boucle est au programme, mais la neige, qui tombe drue, nous incite à renoncer et c’est le départ pour notre camp de base : l’hôtel du Pré-Fillet. Accueil sympathique par les membres de la famille Grosrey, qui nous héberge depuis près de 10 ans.
Installation et premier briefing-apéro. Programme du lendemain : Lajoux – Chalet de la Frasse et retour par la Combe-à-la Chèvre. Un de nos grands classiques ! Mais la neige continue de tomber, en abondance : on commence donc par le café, qui donne le courage nécessaire pour affronter les éléments ! La trace a été faite, mais tôt ce matin. Autant dire qu’il n’en reste rien. Et c’est du ski “sauvage” pour toute la journée. Après s’être restaurés au mythique chalet de La Frasse, c’est le retour à Lajoux. Par la Combe à la Chèvre pour les plus intrépides et la trace de l’aller pour les autres. Une journée à 22 km, dans des conditions difficiles.
Jeudi matin : soleil et -20 degrés ! Programme un peu allégé pour tenir compte des séquelles de la veille. Et aussi parce que la boucle prévue, au départ de l’hôtel, n’est pas encore complètement tracée. En quelques minutes, nous nous déplaçons à la porte des Trois-Cheminées. Et c’est le départ pour une très belle balade dans ces Hautes-Combes du Jura. La trace est variée, le paysage superbe. Le Berbois nous accueille très chaleureusement pour la pause de midi. Et c’est la boucle par la Borne au Lion, les Closettes et la bien nommée Bellecombe. Une magnifique journée, à 16 km. Moins fréquenté que sa voisine Les Rousses ou la réputée Chapelle-des-Bois, le site des Hautes-Combes du Jura a vraiment tout pour plaire aux amateurs de nordique.
Vendredi, toujours beau et froid. Arrêt à La Serra, sur le domaine des Rousses, pour une dernière boucle d’une douzaine de km avant la dislocation et le retour.
Merci à tout pour l’excellente ambiance et la bonne humeur qui ont régné tout au long de ce mini-camp








Ma 17 jan. 2023
Cours de ski de fond (2/4)
Le cours s’est déroulé à la Vue des Alpes. Une belle neige froide est arrivée juste a temps!
Un grand merci au Centre Nordique d’avoir refait les pistes juste avant le cours!






Lu 16 jan. 2023
Gros Châtillon (1826) et Croix de Javerne (2096)
Course déplacée du 16 janvier au 13 février, et de Javerne au Col des Chamois sud. Équipe réduite de moitié, en raison de ces changements. Temps magnifique. Très belle montée – tant mieux puisque elle nous a pris 5h. Quant à la descente, que dire? Du bon et du moins bon.








Sa 14 jan. 2023
Walliser Wispile 1982 m et Staldenhorn 2262 m
Suite aux conditions d’enneigement et métérologique, nous avons hélas du changer notre programme. Nous avons proposé à nos participants, un plan B sur un jour.
Le Wiriehöre de puis Riedli ( Avec aide du télésiège 😉)








Sa 14 jan. 2023
Cours ski hors piste
Roger nous a annoncé que nous partirions pour Grimentz-Zinal…. un peu loin pour un cours d’une journée, non ? Plusieurs d’entre nous se sont posé cette question, mais aucun n’a regretté d’être venu à cette journée tant pour la qualité de la neige, que pour la qualité du cours et du parcours.
Pour nous mettre en confiance et en jambe, Roger nous a proposé de débuter par quelques pistes faciles avec un passage obligé ;) au family snow park. Puis un peu de théorie. Riches des bons conseils personnalisés au niveau de chacun, nous sommes partis nous exercer dans les petits champs de neige fraîche entre les pistes. Le peu de monde, nous a permis de jolies descendes avec le sourire. Après un pique-nique au soleil (non, là, j’exagère le ciel était changeant avec plus de nuages que de soleil, mais il ne faisait pas froid !) nous voilà prêt à mettre en pratique hors des pistes nos apprentissages du matin (là aussi, j’exagère, personnellement, il me faudra bien des jours d’entraînement pour me défaire de mes mauvais plis et prendre les bons !). Quelle magnifique descente depuis les hauts de Zinal à Grimentz par le lac de Moiry ! C’est après deux heures dans ce magnifique paysage à exercer nos virages, la position de nos genoux et de nos hanches, que nous avons pu lever nos verres à cette journée. Merci Roger, et merci toute l’équipe pour la bonne humeur !
Laurence Bernauer / 17.01.2023







Ve 13 jan. 2023
Dent de Valerette (2058m)
“Nous étions mieux à la Dent de Valerette que moins bien ailleurs.” Voltaire, 1982








Ve 13 jan. 2023
Balade et bains thermaux Schinznach Bad
Par une météo pas très réjouissante, nous nous dirigeons en train jusqu’à Aarau. La troupe de 9 vaillantes randonneuses parfaitement équipée se met en route pour longer les rives de l’Aar que nous suivrons en traversant des zones naturelles protégées. Nous admirons le travail intensif des castors et observons de nombreux oiseaux : fuligule morillon, héron, canard, foulque.
La promesse d’un bain chaud nous fera vite avaler les 16 kilomètres de cette randonnée sans difficulté.
Les bains thermaux de Schinznach qui possèdent la plus puissante source d’eau sulfureuse de Suisse nous accueillent pour un délicieux moment de détente agrémenté de rayons de soleil imprévus mais bienfaisants.






Je 12 jan. 2023
Le Landeron - Ins (Anet)





Je 12 jan. 2023
Course en raquettes : Les Bois - Le Peu-Péquignot
Cette course devait initialement s’effectuer en raquettes. Suite au manque de neige elle a été réalisée à pied.
11 jeudistes se sont réunis dans le hall de la gare de Neuchâtel pour prendre le train. Après 50 minutes, ils ont atteint le village des Bois. La course a débuté direction N par Chez Chailat pour atteindre le haut de la Combe Girard (Point 940). De là, direction NE, une montée nous amène sur la crête que nous suivons en alternant de jolis passages en forêt et sur des pâturages qui ouvrent la vue sur les fermes de la Combatte du Pas et des Barrières, ainsi que sur les 3 éoliennes du Peuchapatte. Au lieu-dit Haut-la-Fin près du Noirmont, nous quittons la crête pour rejoindre le hameau du Peupéquignot. L’équipe de l’Auberge du même nom nous accueille chaleureusement avant de nous servir un délicieux et copieux repas. Nous repartons ensuite en direction de la gare du Boéchet en suivant en partie la piste des cavaliers du Creux-des Biches. La course s‘est entièrement déroulée sans pluie.
Distance : 12 km, T1, +/- 290 m, en 3h30’ au total.
Merci à tous pour la sympathique ambiance et à Jacques pour son soutien dans l’organisation de cette sortie.
Jean-François Zürcher








Ma 10 jan. 2023
Cours de ski de fond (1/4)
Avec peu de neige et des conditions de piste incertaines, nous avons commencé par le cours de fartage.
Merci Alex, de Passion Vélo, pour cette démonstration de fartage, astuces et conseils!

Sa 7 jan. 2023
Cours HIVER 2023
Cours hiver 2023 Bourg-st-Pierre
Les participants sont accueillis le samedi à 8h30 au Bivouac de Napoléon par un café croissant.
Ensuite départ pour le parking du Grand-St.-Bernard et les 7 groupes sont constitués.
Ce matin le temps est ensoleillé mais il y a beaucoup de vent froid, la neige bien dur et gelée, voire très glacée.
Chaque moniteurs a pris son groupe et commence par un contrôle du matériel, ensuite les moniteurs partent faire la formation directement dans le terrain.
Les participants apprennent à faire des conversions, mettre les couteaux, mettre les peaux de phoques, mettre les skis sur le sac et marcher en pente raide, faire des recherches de victime avec leurs DVA et doivent sonder et pelleter, chaque exercice est répéter pour mieux les assimilé, tous cela en faisant une petite sortie au soleil le samedi.
Le soir retour à l’hôtel et prise en charge des chambres pour ensuite avoir une présentation sur le site du CAS Neuchâtel et les particularités des courses de montagne à ski de rando, ensuite Jérôme fait un Quiz qui est fait en sorte de concours ou les participants ont des questions sur les avalanches, le bulletin, degrés de pente, etc., 3 vainqueurs ont gagné quelques lots.
Dimanche le temps à changer, venteux, neige, tempête et tous à nouveau montent au St.Bernard faire différents exercice dont un qui ne sera pas nommé ici pour garder les suspens pour les prochaines années.
Bravo aux participants qui partent content avec pleins de nouvelles connaissances et ont eux aussi beaucoup de plaisirs.
Un énorme bravo aux moniteurs.








Ve 6 jan. 2023
Avant sommet de la Pointe de Chemo - versant SE
Dent du Grand Lé – Remplacement Avant sommet de la Pointe de Chemo – Versant SE






Sa 31 déc. 2022
Nouvel-An Zinal, Pte. Tourtemagne, Omen Roso
Samedi 31 décembre 2022 : Jean-Da nous donne rendez-vous à 9h30, à la boulangerie de Vissoie. Tous les participants au week-end sont déjà attablés au tea-room lorsque nous arrivons, sirotant thé et café. Nous avons tout juste le temps de faire un tour de table de présentation et un petit échange autour du degré d'avalanche. Les conditions de faible (bel euphémisme...) enneigement ne rendent pas la tâche facile à notre chef de course. Aujourd'hui il opte pour une montée au sommet de l'Illhorn par le rando-parc de Chandolin. Le départ est donné, trois voitures et un camping-car se lancent à la recherche d'une place de parc alors que le village est déjà bien occupé par les touristes en vacances dans le petit bourg de montagne. On s'équipe, sans se presser. Nous avons le temps aujourd'hui, car le dénivelé n'est pas trop important, environ 800 m de montée. C'est très bien, une petite journée qui nous permettra de faire connaissance les uns les autres. Après un check DVA, on se lance dans l'ascension. Jonas profite de cette petite course pour chausser sa paire de skis télémark, ce qui interpelle les plus intéressés à cette pratique relativement peu connue de nos randonneurs. Le parcours est sympa, traverse l'Alpage de Chandolin en passant bien en-dehors du domaine skiable. L'avantage du rando-parc est que l'on pourra redescendre par les pistes, ce qui devrait nous éviter les attaques de sournois requins de roche à peine recouverts. Lorsque la pente se redresse, Jean-Da profite de nous faire un exposé démonstratif sur la bonne pratique de la conversion: « La jambe amont s'ouvre et fait pivoter le ski dans la nouvelle direction de la trace, perpendiculairement à la pente. Les bâtons ouverts permettent un transfert de poids afin de basculer vers l'avant et plier l'autre jambe qui va ramener le ski aval à côté du premier ». La neige quelque peu alourdie par le réchauffement et la déclivité suffisent à embourber certains lors de l'exercice suivant la démonstration. Mais dans l'ensemble, les participants s'en sortent bien ! Nous poursuivons notre montée par des pentes assez soutenues par moments, jusqu'au Pas de Illsee. Un petit thé chaud, puis nous attaquons l'ascension de l'arête finale soufflée et dégarnie, sinuant entre les cailloux. L'arrivée au sommet est récompensée par une vue à 360 degrés des sommets avoisinants comme des plus éloignés. L'air est bon, il fait un temps clément ainsi nous sortons les sandwichs. Jean-Da rencontre un ami qui prend la photo de groupe, 12 clubistes à 2717 m. La journée se poursuit par quelques remontées en ski-lift pour les détenteurs du Magic Pass qui souhaitent profiter un peu des pistes. Certains préfèrent remettre les peaux pour engranger du dénivelé supplémentaire, tandis que les plus épicuriennes se laisseront appâter par le soleil bienfaisant qui inonde la terrasse de la Cabane de l'Illhorn. Que la journée est belle, on se croirait au printemps. Jonas profite de ces quelques descentes pour faire chauffer ses cuisses en tirant des fentes sur la neige tantôt poudreuse dans les pentes encore vierges de traces, tantôt ramollie sur les pistes orientées à l'ouest. Vers 15 heures, nous nous retrouvons tous pour boire un vin chaud sur la terrasse et savourer la bonne ambiance qui émane du groupe. Nous remercions Jean-Da pour l'organisation de cette journée bien agréable avant de redescendre aux voitures qui nous conduiront à notre pension « Les Liddes » à Zinal pour les festivités du Réveillon. Une douche et hop, on descend au « Bar E Vox » pour l'apéro ! Emmanuelle et Jonas
1er janvier 2023: Pointe de Tourtemagne (3082m) + 1390m Voilà une année qui commence merveilleusement bien ! Après avoir fêté comme il se doit la veille au soir, 13 clubistes sont prêts à partir du Prilett à 10h du matin. Heure parfaitement raisonnable pour un 1er janvier, mais qui n'a pas empêché notre cuisinier de commenter abondamment – avec humour biensûr - le fait qu'un chef de course nommé Quidort l'a fait lever pour préparer notre petit déjeuner... Nous montons le long de la piste et gardons les couteaux plus longtemps qu'à l'accoutumée car le manque de neige nous empêche de zigzaguer dans la forêt. Nous suivons une portion de la route menant à l'hôtel Weisshorn et nous séparons en trois groupes au moment de la quitter pour remonter un ravissant vallon. Les six conversions rapprochées qui s'en suivent sont l'occasion de quelques chutes, puis la pente s'adoucit et nous débouchons sur le Tsa du Toûno, où nous cherchons le meilleur emplacement pour notre traditionnel "land-art" de Bonne année! Après avoir poursuivi notre montée jusqu'à environ 950 m de dénivellé depuis le parking, le groupe se scinde en deux: pour six clubistes l'appel de la tarte aux myrtilles de l'hôtel Weisshorn se fait plus fort que celui du sommet. Les sept autres continuent et sont récompensés par la vue depuis le sommet, agrémentée de Mauler rosé. Merci Jonas!!! La descente est juste un peu tardive pour échapper à quelques passages croûtés, la neige ayant déjà retendu, mais nous ne boudons pas notre plaisir aux endroits où la neige est bonne. Quoi qu'il en soit, attention aux cailloux ! La fin sur la piste est l'occasion de vérifier si les carres sont bien aiguisés... et pour certains de déguster – enfin – leur pique-nique une fois arrivés en bas
Christine
3ème jour. Grimentz – Basset de Lona – Col des Becs de Bosson-
Grimentz
Ce n’est pas la forme Ninja ce matin, la fatigue se fait quelque peu sentir
même si cette nuit a été plus longue que la précédente ! Nous nous
armons donc de courage pour attaquer les 1400m de dénivelé
annoncés. L’objectif est d’atteindre la cabane des Becs de Bosson pour
y prendre un gâteau si celle-ci est ouverte. Démarrage en douceur sur
un chemin entre épines de mélèzes et plaques de neige. On croche et
décroche quelques fois les skis jusqu’à trouver plus régulièrement de
quoi faire une trace. Petite pose proche du barrage de Moiry où les
montagnes se reflètent dans le lac: splendide ! Une pause plus longue
nous attend un peu plus haut au pied d’un chalet d’alpage où la vue est
féerique : il ne manque que les licornes ! Nous reprenons la route pour
un premier col où nous apercevons (enfin) la cabane qui nous semble
encore bien loin. Il était prévu un retour à 16h à nos voitures, nous n’y
serons pas ! Les chefs de course revoient l’itinéraire ; on avertit les amis
qui attendent pour le souper, on réorganise la garde des enfants et on
reprend des forces. Si certains rêvent de pizzas ou de tacos, on fait
plutôt le fond du sac à pique-nique. Puis dernière partie de cette longue
journée alternant plats et montées, particulièrement éprouvante même
pour les plus en forme. Nous accueillons sous les applaudissements les
derniers qui, étant malades, ont fait preuve de beaucoup de force
mentale pour arriver au bout de cette longue rando (finalement 1600 m
de dénivelé et 20 km). C’est accompagné des pisteurs que nous
redescendons sur les pistes bien gelées. Nous terminons par un rapide
apéro bien mérité et tant pis pour l’horaire déjà dépassé. Ces trois jours
avec cette équipe de ouistitis étaient un magnifique cadeau de début
d’année ! Et pour ceux qui s’étonnent du vocabulaire de ce texte, un clin
d’œil aux jeux de nos soirées était nécessaire !
Marylin








Me 28 déc. 2022
La Dent de Morcles (2969m)
La section neuchâteloise survivra au
changement climatique
L’inéluctabilité du changement climatique n’entame pas l’optimisme de Jeanda !
En toute circonstance, le CAS section neuchâteloise sait faire preuve d’une
adaptabilité redoutable.
Arrivés au point de départ, le chemin jadis enneigé ne l’était plus. Qu’importe,
nous chaussâmes nos skis et nous nous élançâmes d’un pas hardi.
Jeanda, ayant longuement étudié la mélèziologie, élabora une théorie des plus
audacieuse stipulant que, envers et contre tout, les aiguilles de mélèzes
glissent tout aussi bien voire mieux que la neige.
En toute confiance nous le suivîmes d’aiguilles en neige et nous constatâmes
avec exaltation et allégresse que son hypothèse pouvait être largement
validée. Quelques hectomètres plus haut, nous rencontrâmes la neige, blanc
manteau qui porta nos pas jusqu’au pied du Mont-Rogneux. La mesure et la
prudence face au risque d’avalanche nous retinrent d’atteindre le sommet.
Découvrant une poudreuse d’une qualité exceptionnelle, nous nous
délectâmes de soyeuses courbes pour une descente enivrante et jouissive.
Harassés mais heureux, nous regagnâmes la voiture, rassurés que le CAS
puisse encore pratiquer le ski de randonnée de nombreuses années en
l’absence de neige.
Florent








Sa 24 déc. 2022
Noël partagé au Paradis
Après quelques modifications de l’organisation et des inscriptions dernièree minutes… Nous nous retrouvons une jolie équipe variée, afin de partager des mets délicieux et raffinés.
Une branche de sapin, des bougies, des sourires, des rires, un repas festif… une soirée magnifique et drôle partagée dans cette jolie et chaleureuse cabane! Merci Michaël pour le chauffage… Merci Yann pour la superbe entrée, Merci Philippe pour cet apéro, Merci Myung pour la deuxième entrée, Merci Albertino pour les filets de perche, Merci Sylviane pour le dessert fruité, Merci Fabienne pour le limoncello, ET MERCI TOUS pour ce noël ensemble. Une délicieuse tresse fumante a accompagné le magique levé de soleil… C’est le luxe en cabane. Nous avons profité de tous se ballader au soleil au dessus du brouillard afin de digérer un peu le festin et les rencontres diverses et riches.


Je 22 déc. 2022
Communal du Locle, Grand Sommartel, la Sagne
Course A 22.12.2022: Communal du Locle, Petit Sommartel, Grand Sommartel, la Sagne
8 courageux se sont retrouvés au Communal du Locle. Nulle part la moindre trace de neige. A travers champs et forêt, avec du vent et quelques gouttes, nous montons jusqu’au Petit Sommartel et de là au « Grand » du même nom pour y déguster la fameuse langue de bœuf du jeudi. Une fois rassasiés par de bonnes portions, nous partons en direction de l’est, cette fois-ci avec le vent dans le dos, ce qui est bien plus agréable. Au point 1256, nous profitons de la belle vue sur Le Locle et la Chaux-de-Fonds. Retour comme prévu à la Sagne, où nous prenons le train pour rentrer dans nos pénates, contents d’être sortis malgré un temp maussade.
Un grand merci à Jean-Pierre Baer. pour son assistance efficace et à tous les participants pour la belle camaraderie.
Alfred







Di 18 déc. 2022
Initiation ski de randonnée
C’est avec un temps magnifique en arrivant au Jaunpass que nous commençons notre parcours d’initiation au ski de randonnée. Après quelques explications sur le matériel, nous mettons les peaux de phoques et entamons notre ascension en pente douce. Nous réalisons quelques exercices de conversion, puis continuons notre randonnée à un rythme tranquille et continu le long de l'arrêt du Hundsrügg. Le cadre est splendide, et la neige est parfaitement poudreuse. Nous mettons ensuite les couteaux pour nous familiariser avec cette technique. Nous reprenons notre souffle avant la dernière ascension jusqu’au sommet à 2024 m. Le temps de manger un morceau et de profiter de la vue, et déjà nous entamons la descente dans la poudreuse. Plusieurs manipulations pour mettre et enlever les peaux prennent du temps au débutants que nous sommes. Nous arrivons toutefois à descendre avec plus ou moins de facilité. Avec 650 m de dénivelé positif suivi de la première descente de la saison, nous sommes fiers et heureux d’arriver en bas. Un pot au bistrot nous permet de nous remettre de nos émotions et de faire le bilan de la journée. C’était une vraie initiation à cette activité magnifique, qui nous a donné envie d’en faire plus. Au plaisir de se revoir lors des prochaines sorties !
Clara Zemp








Di 18 déc. 2022
Wildstrubel Mittelgipfel depuis Engstligenalp
Le danger avanlanche éant marqué au niveau de Engstligenalp – Wildstrubel, l’itinéraire à été changé pour effectuer Adelbonden Ahorni – Bunderspitz, soit environ 1100 m de dénivelé. La journée fut ensoleillé et l’enneigement faible. La montée était très jolie avec des changements de paysages, forêt, prés, éboulis. La partie supérieure 2546 à 2300 m était complètement pellée avec beaucoup de cailloux, entre 2300 et 2000 m la poudreuse était au rendez-vous, entre 2000 et 1800m le manque de neige et les éboulis ont rendu le ski fort désagréable, au dessous de 1800 m, sur les prés, le ski était très agréable et ludique.
Le danger avanlanche éant marqué ...
Ve 16 déc. 2022
Aération des peaux : Diemtigtal/Simmental
La course a été déplacée au samedi 17 décembre en raison d’une mauvaise météo.
Nous sommes allés au Bäderhorn (2008m) à partir du Jaunpass. Il y avait suffisamment de neige à partir de 1400m, mais peu de neige dans les pentes sud raides au début de la descente depuis le sommet.
Beau temps agréablement chaud, après un départ dans un brouillard à couper au couteau.
JM







Lu 12 déc. 2022
Fondue de fin d'année dans un chalet du CAS
Quel bonheur d'émerger du brouillard pour notre dernière sortie Lundis X de l'année et sa traditionnelle fondue!
Nous sommes 17 clubistes à partir des Cluds, un premier groupe de 11 passant d'abord par le sommet du Chasseron et un 2ème groupe de 6 allant directement à la cabane des Illars.
Comme la neige est suffisamment épaisse et poudreuse, nous chaussons les raquettes dès le départ.
Après une heure de jolie montée au soleil et le plaisir de croiser deux chevreuils, le groupe 2 arrive à la cabane ; comme il est encore tôt, nous décidons d'aller à la rencontre du 1er groupe, en suivant la crête direction Chasseron. Mais comme « Soeur Anne ne voyant rien venir, à part la neige qui poudroie », nous rebroussons chemin pour retrouver François, gardien aux Illars, et commencer les préparatifs de la fondue.
Nous sommes bientôt tous réunis pour déguster l'apéro et ses gâteries, suivi des 4 caquelons d'excellente fondue et des douceurs amenées par les participants, dont les sublimes biscuits aux amandes d’Odile, dont vous trouverez la recette ci-dessous.
Après la photo de groupe au soleil, devant la mer de brouillard que nous allons malheureusement retrouver, la descente se fait tranquillement jusqu'aux Cluds.
Merci à Catherine et à tous les participants pour la bonne humeur et au plaisir de vous revoir l'année prochaine. Et merci aussi à Odile pour
Nadia
Biscuits aux amandes
Mettre dans une casserole :
75 gr de beurre
7 cuillères à soupe de sucre
5 cuillères à soupe de crème à café
1 cuillère à soupe de miel
Porter à ébullition, retirer du feu et incorporer 150gr d’amandes effilées.
Etaler sur la plaque du four garnie d’un papier sulfurisé. Puis mettre au four préchauffé à 180° pendant 12 à 15 mn suivant la couleur désirée.
Régalez-vous!
Merci aux organisatrices, aux photographes et à tous les participants-tes pour nous avoir régalé de délicieux salés pour l’apéritif et de savoureux desserts.
Odile








Lu 12 déc. 2022
Ski de piste aux Ménuires
Ski aux Ménuires du lundi 12 au vendredi 16 décembre 2022
10 Jeudistes sont partis lundi matin dans 3 voitures bien remplies pour se rendre aux Ménuires. Après un bref arrêt café, nous y arrivons comme prévu autour de midi. Hélas, Jean-François a eu un pneu crevé peu avant l’arrivée. Rapide comme toujours, Willy est allé le récupérer lui et son passager au garage. Après des pizzas et salades, nous profitons de partir skier, car le soleil rayonne. Nous profitons donc de quelques belles descentes. Le soir, comme les jours à venir, nous nous rendons dans un restaurant de la station. Les jours à venir, le temps est quelque peu mitigé : nuages bas, jour blanc et quelques flocons par ci par là. Mais cela n’empêche pas les cracks du groupe A de descendre de nombreuses pistes. Le groupe B préfère une pause de ski le mercredi en faisant une longue randonnée d’un peu plus de trois heures. Et déjà, nous sommes vendredi matin. Cette fois-ci, même les plus convaincus estiment qu’il vaut mieux renoncer au ski, car la station est dans les nuages. Nous partons vers 09 :30 et comme les restaurants prévus pour le dîner sont tous les deux complets, il ne nous reste que le Marché au Relais de la Côte, dans un état assez étonnant, car en travaux. Nous arrivons à domicile vers 14 :30.
L’ensemble du séjour s’est bien passé, pas d’accident, une belle ambiance amicale. Un grand merci aux trois vaillants conducteurs, au coorganisateur et caissier Yves, et à toute l’équipe.
Alfred

Sa 10 déc. 2022
Mont Fourchon
De Solalex en direction du Col des Chamois
Beau temps, -10°, danger d'avalanches 3= neige fraîche / neige ancienne dès 2000 à toutes les expositions
Première course de l’année dans le but d’aérer les peaux. La destination initiale était le bien connu Mont Fourchon en ce début de saison. Après de nombreux rebondissements météorologiques, la course est reportée d’un jour. Nous optons pour un plan D, et oui D (!), merci aux chefs de courses pour leur persévérance face aux conditions compliquées.
Cap sur le Col des Chamois depuis le parking de Cergnement Solalex pour cette première sortie de l’année. L’équipe est constituée de 7 personnes. Les deux chefs de courses Jérôme et Monica, Pierre, Christine, Alexandre, Cristina et le soussigné. Pascal retenu par une formation et Maud malade manquent à l’appel. Le col des Chamois est une longue course. Vu l’enneigement précaire, nous doutons d’arriver au but. Néanmoins la neige fraiche tombée les deux jours précédents, nous permet d’espérer une descente agréable même si le fond n’est pas encore là. Prudence requise à la descente !
Les conditions hivernales étaient parfaites, magnifiques paysages du début à la fin. Les conifères remplis de neige. A la cabane Barraud nous avons renoncé à poursuivre en direction du Col des Chamois. Nous avons préféré jouer avec la poudreuse d’une belle pente vierge et ensoleillée en direction de La Poyerette. La neige était tellement bonne et légère que nous sommes remontés une deuxième fois pour en profiter. Après le pique-nique au soleil en contemplant le massif des Diablerets, nous sommes redescendus par le vallon de montée. Après un arrêt obligatoire à la très bonne crêperie Bretonne du plateau de Cergnement nous nous sommes sépares pour revenir sur Neuchâtel.
Nicolas








Me 30 nov. 2022
Onnens-Vaumarcus et sylviculture
Vaumarcus-Onnens
Mercredi 30 novembre : c’est un jour maussade, mais non pluvieux, éclairé tout de même par les dernières feuilles jaunes ou ocres encore agrippées aux arbres de la forêt. Nous avons marché de Vaumarcus à Onnens en passant par les gorges de la Vaux dont les berges raides sont couvertes de magnifiques langues-de-cerf et avons rejoint ainsi, sur les hauteurs, Martial de Montmollin, ingénieur forestier, qui nous a accueilli avec un généreux café-croissant et nous a présenté la station expérimentale qui se situe dans son arrondissement.
Au vu du dérèglement climatique, de l’augmentation de la température subséquente, plus importante en Suisse que la moyenne mondiale (une prévision d’une augmentation de 1° au niveau mondial, se traduit par une augmentation de 2° en Suisse), un certain nombre de questions se posent : quel est l’avenir de nos essences forestières ? Par quelles essences exotiques peut-on ou doit-on les remplacer ? Les arbres sont essentiels non seulement pour agrémenter nos promenades en forêt et favoriser la biodiversité, mais aussi pour la possibilité de leur exploitation– sait-on par exemple que l’utilisation du béton dans la construction nécessite des coffrages en bois en quantité comparable à celle du béton ? En réalité la grande difficulté consiste à planifier la plantation d’essences qui, d’une part doivent pouvoir s’adapter au climat actuel et qui, d’autre part, doivent pouvoir résister, se développer et constituer nos forêts jusque dans les 100-200 prochaines années.
Les expériences menées sur les plantations au sud de Mutruz incluent des essences telles que le Hêtre d’Orient (originaire des rives sud de la Mer Noire), le Tilleul argenté (originaire de l’Europe du Sud-Ouest), la Pruche de l’Ouest et le Thuja géant (tous deux originaires de la côte ouest des USA et du Canada), le Sapin de Turquie (originaire d’Anatolie du nord et proche du sapin de Nordmann - celui qui égaie nos Noëls !), et finalement le Cèdre du Liban (originaire d’Anatolie du sud). Certaines essences se sont très bien adaptées, notamment la pruche et le thuja. Les arbres vivant en symbiose avec des champignons, le sapin de Turquie a eu de la peine à démarrer entre autre car il n’aurait pas trouvé dans notre sol les espèces de champignons qui lui conviennent. Le cèdre a mal vécu la transplantation à racines nues, il a été replanté en container; il présente aussi un problème de dessèchement du bourgeon terminal. Toute la surface expérimentale est clôturée pour éviter l’abroutissement par les chevreuils dont le nombre sera peut-être un jour régulé par les meutes de loups…
La marche s’est poursuivie dans les bois jusqu’à Mutrux, puis par le contournement des Bioles en passant par de charmants sentiers tel celui de l’Epinette…Une journée magnifique, extraordinairement riche grâce à la présentation de Martial de Montmollin que nous remercions très, très chaleureusement !
Et surtout un très grand merci aux initiatrices et organisatrices, Danièle et Doris.
Denise








Ve 25 nov. 2022
Souper fin d'année dames
Pour une dizaine de dames la mise en appétit s’est faite au travers d’une petite marche de 8,7 km en partant de Dombresson direction les Vieux Prés puis les Planches pour ensuite revenir au point de départ. Le paysage nous a offert encore des prairies bien vertes et des magnifiques vues sur le Val de Ruz.
Les autres participantes sont venues rejoindre le groupe pour l’apéro et le souper. Toutes ont mis les mains à la pâte (c’est le cas de le dire!) soit pour préparer un apéro, une salade ou un dessert et évidemment pour réaliser chacune leur pizza au feu de bois. Un délice à voir les sourires et les assiettes vides.
Nous remercions les maris des organisatrices qui ont eu bien chaud devant le four!!!
Bravo à tous et à l’année prochaine...








Je 24 nov. 2022
Alte Aare Weg : Aarberg – Büren an der Aare
Course A du 24 novembre 2022 : Alte Aare Weg
Aarberg – Büren an der Aare
13 Jeudistes ont participé à cette randonnée. Déplacement en train jusqu’à Aarberg. Le café-croissant dans la vieille ville au tea-room Steffen a été apprécié par tout le monde. Ensuite en route pour le pont en bois d’Aarberg, puis en suivant l’ancienne Aar jusqu’à Studen. Un excellent repas nous y attend au restaurant Florida dans un cadre confortable, avec une jolie vue sur une mare et des flamants roses. L’ancien cours de l’Aar étant à 50m, la reprise du chemin est facile. Nous arrivons avec un peu d’avance à Büren an de Aare, pour y reprendre le train, qui nous conduit à Neuchâtel, avec des changements à Lyss et Kerzers.
Temps nuageux dans l’ensemble, avec quelques gouttes à peine remarquées, et quelques percées bien timides du soleil. Température agréable pour une randonnée.
Nous avons parcouru environ 18.5 km en 4h30.
Merci aux participants pour la belle ambiance amicale et à Jean-Pierre Baer d’avoir œuvré comme photographe et de m’avoir secondé efficacement.
Alfred
---
Alfred Strohmeier, alfred.strohmeier@gmail.com
Fixe : +41 32 725 51 68 / Mobile : +41 79 241 64 49








Sa 19 nov. 2022
"Sécurité et culture du débriefing" pour CdC

Ve 18 nov. 2022
Boudry - ferme Robert et retour
Pourquoi partir par un temps de pluies? Parce que les lunettes de soleil et la crème solaire ne sont pas nécessaires!
Une veste de pluie, des chaussures étanches et éventuellement un parapluie suffisent.
Toute l’équipe a apprécié la marche dans les feuilles, voir les gorges de l’Areuse depuis les hauteurs et partager ce moment en toute simplicité.
Un peu humide mais heureuses!
Les 9 randonneuses








Me 16 nov. 2022
La Jougnenaz
Sentier de la Jougnenaz:








Di 13 nov. 2022
Randonnée Môtiers - La Brévine
Nous avons commencé notre randonnée par un dimanche matin brumeux à Fleurier et non comme initialement prévu depuis Môtiers. Lorsque nous sommes arrivés au début du sentier sur la route de Belle-Ile, le brouillard s'est dissipé pour laisser place à une journée claire et ensoleillée. Nous avons grimpé dans la forêt qui surplombe la ville. Nous nous sommes arrêtés pour une courte pause et admiré le soleil briller sur la ville et les petites nappes de brouillard qui subsistaient encore sur Môtiers et Couvet. Nous avons croisé des cyclistes enthousiastes, s'arrêtant respectueusement pour nous laisser passer avant de tenter leur chance sur les chemins escarpés et couverts de feuilles.
A la sortie de la forêt, nous avons aperçu des métairies avec des chevaux et des ânes. Simone nous a demandé si nous étions intéressés à visiter le glacière Monlési. Tous motivés, nous avons poursuivi notre chemins jusqu’à ce glacier souterrain auquel on ne peut accéder qu'en descendant dans une grotte naturelle qui s'enfonce directement dans le sol de la forêt. Une fois au fond de cette grotte, on utlise une lampe de poche pour passer sous le plafond rocheux et accéder à la glacière.
Après être remonté à la surface, il était temps de pique-niquer ! Nous avons trouvé un endroit ensoleillé dans la clairière de la forêt et écouté une histoire intéressante de Marie-Claude, la fois où elle a été contactée par un couple fan du Seigneur des Anneaux cherchant des traces de séjour de Tolkien dans les montagnes suisses, ce qui fut effectivement le cas à la cabane Bertol en 1911 !
Après le pique-nique, nous avons continué notre chemin dans un forêt boueuse et à travers des pâturages parsemés de métairies en direction du lac de Taillères. Le lac était magnifiquement calme, troublé seulement par un homme essayant de monter sur un hoverboard aquatique. Nous avons continué jusqu’à la dernière étape du voyage, la Brévine où nous avons pris un bus pour nous ramener à Neuchâtel.
Une randonnée rafraîchissante, magnifique et ensoleillée, loin au-dessus du brouillard. Merci à Simone et Isabelle d'avoir organisé cela - qui plus est un week-end !
Gillian








Ve 11 nov. 2022
Vicques Moutier par le Mt Raimeux
Organisation Nathalie Veber
Chouette randonnée d’automne, dans le Jura, débutant par la visite de l’église de Vicques, d’apparence très moderne et pourtant construite il y a 61 ans, par l’abbé Paul Monnin. La luminosité est très belle, les vitraux très bien intégrés. Le clocher situé à quelques mètres de l’église comporte 3 cloches, assez bruyantes qui semblent avoir bien dérangé les villageois. Départ pour le cabanon du Rai’Meuh, à Rebeuvelier, où sont proposés des produits de terroir, permettant à chacune de se servir de délicieuse tartelettes ou biscuits, très appréciés. Petit détour pour admirer le château Raimontpierre, devenu propriété agricole privée, non visitable. Nous abordons la montée au Mont Raimeux, d’abord dans des pâturages, puis en forêt, et atteignons la tour, située à 1302 mètres. De son sommet, la vue est très belle sur tous les alentours. Un feu préparé par deux randonneurs nous aurait permis de giller quelques cervelas, que nous n’avions pas! Nous ne tardons pas trop au pique-nique, il fait assez frais, et entamons la descente d’abord le long de pâturages, en direction de Raimeux de Grandval, puis en forêt, sur un tapis épais de feuilles de hêtres dénudés, se partageant le sol avec de beaux pins; descente entre deux parois rocheuses impressionnantes permettant l’escalade. Nous atteignons Grandval, puis Belprahon, enfin Moutier. Belle ambiance détendue tout au long de cette randonnée de 18 km et 920 mètres de dénivelé appéciée de toutes. Merci Nathalie pour son organisation.
Christiane








Lu 7 nov. 2022
Bovernier - Etiez
En ce 7 novembre 2022, un lundi-X de rêve s’annonce avec soleil, ciel bleu et montagnes fraîchement saupoudrées de neige. La rando concoctée par Geneviève et Marielle peut débuter.
Topographie : il y en a eu pour tous les goûts. Montées dans les vignes, dans des forêts de chênes, de châtaigniers, de pins ou de mélèzes. Montées en douceur, en zigzag et sans zigzag (on n’oubliera pas le tronçon « direttisima »), replats, passage du col du Tronc, descente et grande descente !
Culture : nous avons marché le long d’un ancien chemin d’évacuation des mines de fer et d’autres minerais qui trouent le Mont Chemin. Quelques vieux rails, un wagonnet, des galeries qui paraissent très longues et qui sont très sombres, tout cela donne une petite idée de ce que fut cette exploitation, encore en activité durant la Seconde Guerre mondiale.
Ambiance : relax mais sportive. La petite butte au col du Tronc qui a servi de décor à notre pause avait des allures de paradis : mélèzes jaunes, température idéale, vue sur les Combins, gros cailloux invitant à la sieste… On aurait bien prolongé le séjour !
Merci aux organisatrices et à toutes les participantes
Isabelle








Je 3 nov. 2022
Val d’Hérens et les mélèzes en feu
2022_11_03 Jeudistes A, Val d’Hérens : les mélèzes en feu
Dernier jour d’automne ensoleillé de 2022. Le matin du soleil et couvert l’après-midi, par 5⁰C, sur sol sec, 6 Jeudistes et un invité parcourent le flanc est du Val d’Hérens en dessus d’Evolène.
T2, ↑↓850m, 11,5km et 4h30 sans pauses.
Evolène(1370m)-Volovron-Mayens de Cotter (2110m)-Villa-La Fauchère-Evolène.
5 Jeudistes font le déplacement de 180km en voiture en deux heures depuis Robinson avec arrêt café au Relais du Grand St-Bernard (40,-/pers.) Ils seront gratifiés par l’accueil chaleureux et un deuxième café croissant au soleil sur la terrasse au mazot de Louis-Marie Boulianne à Volovron.
C’est lui qui nous conduit sur un tracé mythique, par moment raide, mais en grande partie couverte d’un tapis d’aiguilles de mélèzes jaunes. Les mélèzes sont seulement en partie, et seulement dans le bas dégarnis. Nous traversons aussi des forêts mixtes : épicéas, pins, quelques arolles. En lisière et le long des chemins des épine-vinettes, des églantines et genièvres. Sur les quelques prairies paissent les génisses d’Hérens et nous contemplons chaque raccard. Vue splendide sur toute la fourche de la Borgne d’Arolla et de Ferpècle et les cimes alentours. En fin d’après-midi, toujours au sec les montagnes se voilent de nuages lourdes. En adret, la gauche de la Borgne, et toutes les forêts du fond de la vallée sont bigarrées de jaune.
Merci au conducteur et co-organisateur.
NB : Plus jamais je n’organiserai une telle sortie en automobile, car le chemin retour a été très pénible avec tous ces fous du volant.
Hansueli Weber








Je 27 oct. 2022
Krauchthal-Bolligen
Ciel bleu sans nuages et sans le brouillard qui, ce jour-là, a collé de manière tenace au lac de Neuchâtel. Température estivale qui nous a même permis de déguster une glace au soleil. Nonobstant les feuilles mortes qui recouvraient le sol on se serait cru en été.
Au programme: des habitations troglodytes, une antenne Radio-TV, et… la recherche d’un éléphant… il faut s’attendre à tout avec le CAS!
Dans des falaises de grès impressionnantes au dessus de Krauchthal, deux maisons sont construites dans le rocher. Ce site est habité depuis la moitié du XVIe siècle et ces maisons sont répertoriées parmi les plus extraordinaires de Suisse. L’une d’elles fait “Bed and Breakfast”: avis aux amateurs.
Nous poursuivons à travers pâturages et forêts jusq’à l’antenne de Bantiger d’où la vue à 380° nous permet d’admirer, entre autres, les Alpes bernoises, les Préalpes fribourgeoises et la chaîne du Jura.
Après un pique-nique au soleil, nous poursuivons notre chemin et faisons un détour pour voir, sur un promontoire, les ruines de Geristein et repérer un éléphant, un gros paraît-il, avec une immense trompe! nous avons bien cherché, croyant voir ici un oeil, là une tête ou encore la forme d’une trompe, mais pas d’éléphant entier… la photo existe pourtant sur le net!
On retiendra encore les nombreuses marches d’escaliers rendues parfois glissantes par les feuilles mortes qui les recouvrent et les charmants Hoflädeli qui jalonnent la fin du parcours.
Merci aux deux organisatrices pour cette rando originale.








Me 26 oct. 2022
Les mélèzes dorés du Lötschental
Les mélèzes dorés du Lötschental, mercredi 26 octobre
Lundi, un courriel de Christelle nous informe que les mélèzes sont ‘à point’. Deux jours plus tard, nous partons de Kippel-Altersheim (soit “home pour personnes âgées” ; nous avons eu peur un instant que ce soit notre destination définitive !) pour une grimpette de 700 m à travers forêts et prairies, croisant au passage de jolies vaches à cornes et des chèvres à longs poils noires et blanches.
À Lauchernalp, nous rejoignons le Lötschentaler Höhenweg en direction de Fafleralp et passons par de jolis hameaux perchés, des forêts de mélèzes dorés et un lac tout vert dénommé Schwarzsee. L’imposant Bietschhorn qui culmine à près de 4’000 m est tout blanc et impressionnant avec son glacier. Pour fêter son anniversaire, Mary-Jeanne nous offre un pot et un délicieux cake aux pommes transporté dans son sac à dos à Flafleralp. Puis nous fonçons sur Blatten pour prendre le bus du retour. Très belle journée, de l’or des mélèzes plein les yeux avec un joli soleil en prime !
Merci Christelle notre GO.
Patricia








Me 19 oct. 2022
Randonnée autour de Charmey
Sur les hauts de Charmey, 19 octobre 2022
Après un trajet en voiture, notre randonnée démarre au pied des remontées mécaniques de Charmey (887m). Nous commençons l’ascension dans les bois et passons au pied de la dent de Vounetse (que personne ne souhaite gravir) pour atteindre le sommet de la télécabine à 1610 m.
La vue depuis Vounetse vaut simplement le détour avec son superbe panorama sur les Préalpes fribourgeoises en toile de fond. On profite également du splendide coup d’œil sur le Moléson.
Après une pause pick-nick sous un soleil radieux, nous entamons la descente de 10 km. Nous traversons la forêt puis nous passons à proximité de la chartreuse de la Valsainte pour atteindre les pâturages de Charmey qui bouclent notre tour.
Merci à Nathalie et Barbara pour cette magnifique journée et la bonne compagnie du groupe.
Anne-Laurence








Lu 17 oct. 2022
VTT dans le Jura
VTT JURA du 17.10.2022
Il y a très exactement 1 an, le 18 octobre 2021, André nous avait fait découvrir un parcours VTT autour de La Sagne, et je terminai le récit de course en disant « Des journées comme ça, on en reprend tout de suite ! ».
Eh bien, rebelote !
En ce lundi 17 octobre, tous les ingrédients étaient à nouveau réunis pour vivre une balade en VTT très réussie : une journée splendide avec des couleurs automnales, une température estivale, et quasi la même équipe des toujours jeunes retraités.
Cette fois-ci, sur un beau circuit d’un peu plus de 30 km, ce sont les hauteurs du Val-de-Ruz que notre GO a choisi de nous faire (re)découvrir.
Partant du parking de Tête de Ran, les 9 participants ont d’abord entamé une longue descente sur des chemins blancs, en direction des Hauts-Geneveys. Contrairement à une course classique en montagne, on commence par descendre : gare à la deuxième partie du circuit, car il faudra regagner tout le dénivelé perdu.
Longeant la voie CFF en direction de Fontainemelon, le groupe est ensuite remonté gentiment tout le long du Val-de-Ruz, tantôt en lisière de forêt tantôt sur des chemins forestiers, en passant sur les hauts de Cernier, Chézard, Dombresson, pour rejoindre Les Planches, peu avant Le Pâquier. Si, jusqu’à ce lieu, le parcours vallonné était plutôt aisé, la suite a mis les mollets à contribution, car c’est à partir de là que l’on entame la remontée en direction des crêtes.
Une pause pique-nique ravigotante est bienvenue vers Le Putteret, sous la caresse du soleil ; puis il faut ensuite réchauffer les jambes pour reprendre la montée jusqu’à Derrière-Pertuis. De là, via des pâturages parsemés de beaux arbres séculaires et 20 minutes de « pousse-vélo » sur un chemin forestier encombré de hautes herbes, nous atteignons la Grande Berthière, laissant entrevoir une très belle perspective en direction du Chasseral.
Un peu plus haut, sur les crêtes en direction de Montperreux, c’est une vue très vaste et remarquable que nous découvrons : la Chaux-de-Fonds, Saignelégier, les Franches Montagnes avec ses parcs éoliens de Mont Crosin et de Mont Soleil, et même, au loin, le Grand Ballon d’Alsace : le jeu en vaut la chandelle !
Dès ce moment, on sent l’écurie … Il ne nous reste plus qu’à rejoindre le col de la Vue des Alpes, puis le parking de la Tête de Ran : après un peu plus de 4 heures depuis le départ, la boucle est bouclée.
A nouveau, et c’est maintenant une tradition et un plaisir renouvelé, nous terminons ce beau périple sur la terrasse du chalet de Doris et André, où nous partageons le verre de l’amitié accompagné de produits du terroir, avec un coup d’œil magnifique sur la chaîne des Alpes, tout ceci gracieusement offert par nos hôtes : qu’ils en soient chaleureusement remerciés !
Pour la fine équipe : Philippe C.








Di 16 oct. 2022
Arête des Sommêtres
Première étappe du jour, comme pour toute course du CAS qui se respecte : un café au tea-room du Noirmont. La météo est radieuse et les cordées joyeuses; notre chef de course adjoint est déjà passé au refuge à l'extremité est de l'arête des Sommêtres pour y déposer la fondue de fin de crapahutage. Du coup on ne traîne pas et on se met en chemin !
L'arête des Sommêtres est le cadre idéal pour s'exercer au différentes techniques de progression en cordée (marche à la corde courte, marche en corde tendue, assurage depuis un point fixe ou autour d'un béquet, pose de dégaines là où il n'y a pas de spits); et il y a vraiment un petit peu de tout : un ou deux passages (un peu) verticaux, un rappel, un “rasoir”, de la grimpe en montée comme en descente, et des paysages splendides tout du long.
Nous arrivons au point culminant de l'arête en début d'après-midi, le vent s'est levé et il souffle fort, on s'abrite sur la place de grill du refuge. Et là, on découvre qu'on n'a pas juste une fondue, mais une fondue STERCHI : tonnerre d'applaudissement pour Jérôme !
Un grand merci à notre cheffe de course Monica pour l'excellente organisation de cette journée et à tout le monde pour la bonne humeur et le bon moment de grimpe passé ensemble !
Tobias
Participants: Isabelle Choffat Casaburi Grégoire Veber Tobias Barblan et Erik Camposilvan
Chefs de la course: Monica Estoppey Rüegg & Jérôme Fer








Je 13 oct. 2022
De l'Etivaz au col du Pillon
Du col du Pillon à l’Etivaz
Jeudi 13 octobre 2022. Nous profitons d’une météo clémente avant une perturbation annoncée en soirée.
Notre randonnée débute au col du Pillon (1546m) avec une heure de retard suite à une panne de train avant Lausanne. Nous passons par la lac Retaud puis Isenau pour atteindre le col de Seron (2152m) peu avant 13h au pied de la magnifique Cape au Moine et La Pare. Après une pause pic-nic nous entamons la descente de 1041 mètres en passant par l’alpage de Tourmalay pour rejoindre la vallée de l’Eau Froide dans le village de L’Etivaz. Un détour était indispensable à la fromagerie pour quelques achats de produits du terroir avant le retour.
Un grand merci à Geneviève et Marielle pour l’organisation et la bonne compagnie du groupe.
Anne-Laurence








Lu 10 oct. 2022
Widdergalm (2174m)-Schafarnisch (2109m)
Après un petit café pris à Zollhaus, notre randonnée au départ de Chänel-Gantrisch peut commencer. Le Widdergalm est déjà dans notre ligne de mire ; il sera notre première cible (euh ! cîme) de la journée. Comme d’habitude nos organisateurs ont suivi la météo de près pour que le déplacement en vaille la peine et se déroule en toute sécurité, c’est-à-dire en l’absence de brouillard et de pluie. La montée s’avère tranquille jusqu’au Chüeharnisch. Puis les bâtons sortent progressivement du sac car la terre se fait plus humide et la pente plus raide sur le versant Nord que nous attaquons. Les chamois sont eux aussi de sortie dans la région et nous charment de leurs cabrioles et échappées sur les pentes pierreuses. On se réjouit de les savoir toujours vivants en cette période de chasse.
Deux cents mètres plus haut nous atteignons un replat qui nous dévoile un merveilleux panorama. De là il faut éviter de suivre directement la crête et la contourner dans un premier temps en prenant une sente non indiquée altitude 2040m. Le passage nécessite d’être attentifs et non sensibles au vertige. Un pied devant l’autre nous nous rapprochons progressivement de la crête et du sommet. Le Widdergalm est un magnifique perchoir pour admirer avec netteté Kaiseregg, Schafharnisch, Märe et voir plus loin les Vanils, les Gastlosen, le Stockhorn...
Le pique-nique englouti nous revenons sur nos pas jusqu’au Chüeharnisch pour grimper le sommet d’en face. La montée est régulière et sans difficulté. Depuis le Schafharnisch nous contemplons les trois arêtes du Widdergalm, magnifique trièdre dont le nom Inuit connu de Jean-Claude m’échappe. Quelques nuages nous le masquent par intermittence. Nous poursuivons notre course en revenant légèrement en arrière. Le sentier vers Chummli contourne le Schafharnisch par le sud. Il alterne pierres plates et pentes plus herbeuses. Dans un rayon de soleil les couleurs de l’automne, qui ont atteint les arbres, magnifient la roche et les contours de l’Holzerhore. La descente finale depuis le chänelpass s’effectue à travers la forêt et les pâturages désertés.
Le choix du parcours, l’ambiance générale, la présence des chamois, les feuillages orangés, la verrée au Gantrischli ont fait de cette randonnée une pure merveille. Un grand merci de toute l’équipe et moi-même à Jacques et Jean-Claude pour le bon moment que vous nous avez offert.
Nathalie








Di 9 oct. 2022
Les Roches d'Orvin
Départ 7h58 de Neuchâtel pour Bienne puis petite marche jusqu’au funiculaire où la première difficulté se présente: celle de trouver des toilettes publiques, il y a bien des boissons et snacks à vendre mais pas de quoi soulager la vessie de certains et ce n’est pas les dames qui étaient les plus demandeuses 😂.
Arrivés à Macolin à 8h52, nous voilà partis pour notre excursion dominicale qui s’annonce ensoleillée on l’espère. Première pause à 10h15 avant l’ascension principale. Après une bonne heure nous finissons la zone T3 et tout s’est bien passé. Au début Gregoire râlait un peu mais finalement nous sommes tous bien arrivés au sommet. La pause de midi a été décalée de quelques centaines de mètres afin d’être à l’abri du vent. Le brouillard ne s’est pas levé et nous avons dû attendre la descente sur Orvin pour trouver une percée et du soleil. Il est 15h30 donc après 5h45 de marche, 900 mètres de dénivelé et 18km, on prend un verre à la Bragarde avant de prendre le car de 16h20 sur Bienne. En résumé: ce fut une journée magnifique avec des guides bienveillantes. Sylviane








Je 6 oct. 2022
Lac de Moron, Belvédère du Châtelard, 1030 m
Extrait du rapport de course :
Le Belvédère du Châtelard (1080 m) une première pour 12 d’entre-nous ! Un parcours varié et intéressant côté français du Lac de Moron. La course s’est déroulée dans la douceur automnale, ponctuée par les traits d’esprit des marcheurs. La transmission de savoirs enrichit les connaissances de chacun (géographie, géologie, énergie hydraulique, problématique des fuites d’eau du Doubs et de la sécheresse). Le débriefing se fait sur la terrasse du Bar du Port au débarcadère des Brenets.
Grand merci à Willy qui offre les cafés-croissants le jour de son anniversaire au restaurant du Saut-du-Doubs (CH). Merci pour le verre de l’amitié et autres friandises offerts au pique-nique par un traditionnel duo. Merci à tous de votre gratifiante participation.
Nombre de participants : 15 y compris les organisateurs, Philippe Chapuis et le sous-signé.
Jacques Isely








Me 5 oct. 2022
Dent de Combette
Après deux reports pour cause de mauvais temps, cette randonnée a enfin pu se dérouler dans des conditions de rêve en ce 5 octobre 2022. Grand beau temps, forêts d'automne colorées, sommets alpins saupoudrés de neige et petite équipe très sympathique : tout était au rendez-vous pour nous faire passer une merveilleuse journée ! Et elle l'a été : après une montée au sommet de la Dent de Combette dont la dernière partie nécessite d'être "à son affaire", la randonnée s'est fait plus tranquille et contemplative avec la descente sur la crête du Rocher des Rayes. On a même eu chaud, pas comme en été certes, mais suffisamment pour apprécier une bonne bière sur une terrasse panoramique à Charmey en fin de course !
Merci à toute l'équipe pour avoir partagé cette magnifique journée d'automne indien avec moi !
Christelle








Lu 3 oct. 2022
Le mont Sujet par le sentier des sculptures
Nous nous regroupons à St Blaise à 9h et nous poursuivons notre route avec 3 véhicules jusqu’à Lamboing. La proximité de la randonnée a l’avantage d’un départ plus tardif que d’habitude !
Au parking du sentier des sculptures les 11 participants sont rejoints par une membre adepte des transports en commun.
Le chemin que nous suivons se dirige gentiment vers le sentier des sculptures. Nous pouvons admirer les 3 premières magnifiques œuvres en bois, sculptées par des professionnels de l’école de sculpture de Brienz. Le sentier en zig zag devient un peu plus raide et tout en marchant, nous n’oublions pas d’admirer toutes ces créations en bois et parfois en pierre. Sur une plateforme en bois des photos avec des sujets de la région nous font oublier qu’il n’y a pas de vue, parce que cachée par les arbres.
Une place de pique-nique à la fin du parcours, dans la forêt, nous invite à une pause banane. Le soleil n’est pas loin, mais a de la peine à percer l’épaisse couche de brouillard. Dans l’espoir de trouver le soleil plus haut, nous continuons d’autant plus qu’une fine bruine commence à mouiller nos têtes.
En vain, le sommet du Mont Sujet à 1382m est dans le brouillard. La vue n’est pas au programme aujourd’hui.
Un peu plus loin, nous trouvons une place à l’abri de la bise pour la pause de midi. Un magnifique tapis vert mousseux s’offre à nous en guise de chaise. Sur le sol bien mouillé, personne ne songe à faire la sieste.
Nous poursuivons notre descente et enfin nous apercevons le lac, et en y regardant mieux 3 lacs ! Ne dit-on pas que le plateau de Diesse est dans la région des 3 lacs ?! Il fait meilleur et nos vestes et polaires peuvent retourner dans nos sacs à dos. Monique est ravie de cueillir des champignons pour son souper.
Retour au parking avec le soleil !La participante ne voyageant pas avec nous nous quitte rapidement, l’horaire du bus oblige.
Une belle randonnée avec un paysage enchanteur dû au brouillard. Merci aux 2 organisateurs Monique et Jacques.
Un dernier arrêt au Cheval blanc à Lamboing. Willy offre les boissons. Quelle chance que son anniversaire tombe cette semaine !!!
Susanne








Sa 1 oct. 2022
Applications GPS dans Smartphones
Le cours s’est très bien déroulé malgré une météo humide et quelques bugs détectés sur Suissemobile
Vous pouvez sans autre ajouter vos photos







Lu 26 sept. 2022
L'Erié - Sorniot - Col du Demècre - Portail de Ful
Course de remplacement pour Erié - Sorniot - Col du Demècre
Le temps estival a malheureusement pris fin et une forte baisse de température, la pluie ainsi qu'un peu de neige ont été annoncés dans la région du Grand Chavalard - Col du Demècre pour ce lundi.
Barbara et moi avons donc organisé en vitesse une randonnée de remplacement dans le Jura vaudois, ce qui n’a pas été une mauvaise option après le week-end de la Fête des Vendanges !
08h45 11 participants:tes partent à pied du restaurant d'alpage La Combaz en direction du Chasseron, le temps est sec, mais le ciel est couvert. Par des sentiers balisés partiellement et pour la plupart inconnus, nous traversons la belle crête du Bois de la Vaux et continuons vers les Cernets. Dans la forêt et les champs, il y a d'innombrables champignons, dont certains sont comestibles et les plus beaux malheureusement indigestes, voir toxiques !
Quasiment à midi pile nous atteignons la cabane CAS Les Illars et nous installons confortablement pour le pique-nique sur la terrasse à l'abri du vent, à une table ou sur une table, car il manquait des bancs. Après le repas, marche digestive en descendant vers La Cruchaude et Brelingard, et montée à Mauborget au restaurant Paral'Aile pour une boisson rafraîchissante. C’est le seul restaurant ouvert le lundi à des kilomètres à la ronde. Nous quittons le bistrot avec des sentiments mitigés (chacun sait pourquoi ...) et parcourons encore les kilomètres restants jusqu'à La Combaz, où nous arrivons à 15h avec des vêtements toujours secs, pas une goutte de pluie n'est tombée depuis le matin
Notre Parcours: env 15,7km en 6h15 y.c. pauses, dénivelé +/-590m
Un grand MERCI à Barbara d'avoir co-organisé cette sympathique rando dans le proche Jura vaudois.
Jürg



Je 22 sept. 2022
Moléson village- Moléson- Moléson village
Du Moléson, on y voit ma maison, mais pas que…..les nuages aussi!
Partis avec un soleil radieux et le bleu du ciel, nous arrivons au sommet après une belle montée puis les nuages nous enveloppent et nous bouchent la vue! En conclusion, pas vu nos maisons depuis le Moléson! (avec l’accent svp).
La descente permet d’admirer la Gruyère, son lac et les verts pâturages.
Tous les participant.e.s ravi.e.s d’avoir fait le tour complet de cette grosse montagne!





Me 21 sept. 2022
Dent de Savigny








Ma 20 sept. 2022
4 jours de randonnée dans la vallée d'Aoste
Dans les brumes matinales du 20 Septembre, neuf clubistes se sont retrouvés à Robinson pour le départ d’une excursion de Jeudistes qui s’est transformée, grâce à la participation de quatre dames, en course de section !
Sous la houlette avertie de René, Mary-Jeanne, Claudine, Catherine, Nanda, Jürg, Heinz, Hansueli et Olivier ont vécu quatre jours de rêve où tout a contribué à un succès total.
Il est vrai que Valsavarenche est éloigné, mais la beauté, le calme, la nature intacte de cette vallée lovée au pied du Gran-Paradiso compensent largement l’effort de trouver sa route au travers des méandres d’Aoste…
Une météo exceptionnelle, une lumière douce, rasante, des ombres nettes ont naturellement contribué au succès des quatre randonnées qui nous ont fait parcourir les flancs raides et acérés de la vallée. Tous les jours, marmottes, aigles et bouquetins ont accompagné nos pas, tandis que des hordes de chamois dévalaient, au loin, les pentes rousses ou rouges de myrtillers ayant déjà pris leur parure d’automne.
Au fil des jours, nous avons parcouru plus de 50km et gravi plus de 4’000m de chemins raides mais toujours spectaculaires dans un environnement préservé.
De Breuil, nous sommes montés à l’étang d’Aouille. Nous avons également parcouru la boucle du Grand Collet (2’832m) et ses drapeaux de prière tibétains avec la merveilleuse vallée du Nivolet. Nous avons gravi les contreforts du Gran-Paradiso jusqu’aux refuges Chabod et Vittorio Emanuele, et nous avons passé par le Col Mento vers le lac Djouan, tous joyaux inconnus à découvrir
Les soirées à Hostellerie du Paradis, dégustant les quatre plats du dîner (cinq si on inclut les « shot » de génépi), furent animées et empreintes de rires et de convivialité.
Tout le monde est rentré ravi, de même que le petit groupe qui a opté pour un itinéraire plus simple, avec arrêts gastronomiques.
Un très grand merci à René qui a mené la course avec sûreté et tout impeccablement organisé.
Nous retournerons au Valsavarenche !








Lu 19 sept. 2022
Sulwald - Soustal - Grütschalp
Récit Sulwald-Grütschalp, 19.09.2022
Organisation Werner Frick
Par une belle journée de toute fin d’été, déjà fraîche, nous est proposée cette belle randonnée par Werner Frick, une première pour les lundis X vénérables… En route pour Lautenbrunnen enTP, puis pour le pittoresque télécabine Isenfluh pour Suswald. La montée à travers une belle forêt de sapins, par un agréable sentier s’effectue au pas de montagnard, promis aux vénérables, pour atteindre Suls. Il ne sera pas fait le détour par la Lobhornhütte. Nous poursuivons par une longue traversée à flanc de coteau, avec une vue imprenable sur les trois bernoises, dont l’une ou l’autre restera toujours cachée dans les nuages, puis par la montée au col Sousegg, 2149m point culminant denotre randonnée, et enfin par le pique-nique, bien mérité. Une descente assez raide, un peu plus rapide nous conduit sur un large plateau, passant par Sousläger,puis Läger,enfin à la magnifique forêt de Spryssewald, d’oû nous atteignons Grütschalp, après 4h30de marche.Une grande benne nous descend à Lauterbrunnen. Le pot de fin de randonnéeest pris au restaurant Steinbock. (nous n’avons pas vu de bouquetin de la journée) Merci à Werner pour cette belle journée, très appréciée de toutes et tous, à l’ambiance gaie et chaleureuse. Les vénérables ont encore de beaux jours devant eux, en pouvant jouir de très belles courses, stimulantes. A quand les prochaines !!
Christiane








Je 15 sept. 2022
Aeschiried - Suld - Mülenen
Décision difficile à prendre tant la météo s’annoncait déroutante. C’est finalement avec 5 personnes plus qu’optimistes que j’ai conduit la course, mélange de temps sec, pluie légére et même un peu de soleil.




Me 7 sept. 2022
Haute-Nendaz - Fionnay








Ve 2 sept. 2022
Aguille Sans Nom, arête Sud (3444 m)
WE à Leysin
Vendredi 2 septembre
Dans le train pour Leysin, j’étais tout excité à l’idée de grimper en compagnie de membres du CAS que je n’avais jamais rencontrés. Aussitôt arrivé, je découvre leurs visages souriants: Alexandre, Déborah, Sylvain, Éric et Lucie, la cheffe de course; je les devine curieux et impatients de vivre des aventures inoubliables! Dans les longues voies, avec Éric mon compagnon de cordée, nous débutons fort dans une fissure sous le Nez du Sphinx de la Tour d’Aï; puis, arrivés en haut, nous tirons un un rappel au sec — vite regretté —, car des trombes s’abattent au moment d’enchaîner le deuxième. Un petit pic-nic au sec et on redescend tous en télésiège, tous sauf Éric et Sylvain qui profitent de faire un petit plouf en parapente! Une table animée autour d’une fondue se laissera installer pour la fin de soirée.
Samedi 3 septembre
Le caillou encore mouillé et la météo trop instable, nous optons pour une solution en intérieur à Villeneuve. Sur ces prises aux géométries et couleurs variables, suivant les sages conseils d’Eric, je m’attarde à effectuer les mouvements justes pour améliorer ma technique quelque peu boiteuse. En savourant un dévers compliqué à négocier, je découvre pourquoi l’escalade, alliant mental et coordination, a un si fort goût de reviens-y. Même sensation en bouche lorsqu’Eric me propose de reprendre une dernière tranche d’une délicieuse entrecôte parisienne ovationnée par toute la tablée! Dans ce bivouac luxueux, nous cédons à la tentation d’un sauna bien mérité! Tout n’est pas que détente, car la tondeuse a également dû être réparée.
Dimanche 4 septembre
Un large panorama naturel sur s’offre à nous lorsque nous passons du côté Est de la Tour: le calcaire blanc crée un contraste poignant avec la verdure des pâturages: un délice visuel. Tout le groupe trouve son plaisir à grimper dans ces belles voies assassines. Déborah est la première aux prises d‘une magnifique 6c+, elle est suivie de Lucie et Sylvain. Voulant relever le défi, je me lance en tête et après acharnement sur le crux, je la sors avec le sourire jusqu’aux oreilles!
Une excellente surprise m’a été réservée pour l’apéro: pour ma fête d’anniversaire de “ptit jeune” – 19 ans ce jour-là –, d’après une idée de Déborah, j’ai pu sabrer le champagne avec mon piolet! Que de moments incroyables vécus avec un groupe incroyable!
Lucien








Je 1 sept. 2022
Thyon - Le Chargeur, lac des Dix
Nous avons passé deux magnifiques journées de partage, rires, rencontres, et découvertes de beaux paysages dont on ne se lasse pas.
Merci à toute l’équipe qui a contribué a ces beaux moments.








Me 31 août 2022
Barrhorn 3610 m
Course A Jeudistes au Barrhorn 31 août – 1 septembre 2022
Départ de Colombier à 9h direction le val de Tourtemagne pour l’ascension du Barrhorn (3610m) qui est le plus haut sommet randonnable d’Europe, accessible par sentier balisé. Au départ de Sänntum, Il nous faut deux heures pour arriver à la cabane en passant par les rives du lac de Tourtemagne aux couleurs opales. La météo est agréable et une légère couche de neige tombée la veille recouvre les sommets.
Après une nuit en dortoir, nous commençons notre ascension à 6h15 à la lueur des lampes frontales. Sans réelles difficultés, si ce n’est l’altitude qui se fait sentir avec un seul passage technique au lieu-dit «couloir de Gässi».
En passant par le col du Schöllijoch et l’Inner Barrhorn, nos efforts sont récompensés par un panorama extraordinaire composé de sommets comme le Bishorn, Weisshorn et le Mont Rose....
Il nous reste 1700 m de descente qui nous séparent du parking et nous prenons un autre sentier sur 1 km avant de rejoindre notre chemin initial qui passe par la cabane.
Quel plaisir de randonner avec Adrien et ses amis «jeudistes». Sans s’en rendre compte, ils partagent leur passion de la montagne et nous transmettent leurs précieuses connaissances.
Un grand merci à Adrien pour l’organisation ainsi qu’aux 3 chauffeurs qui nous ont co-voiturés.
Cotation de la course: T3+... +d’amitié +de bonne humeur + de bons souvenirs:)
Anne-Laurence







