Cours de sauvetage improvisé

Désignée pour écrire le récit...je vous livre mes notes (cf. ci-dessous). 

Vous n'arrivez pas à me relire ? Besoin d'une piqûre de rappel ? Alors n'hésitez plus et inscrivez-vous l'année prochaine !

Un grand merci à Heinz et Olivier pour leur partage de connaissances et d'expériences, leur pédagogie et leur disponibilité. Avec une dédicace plus particulière à Heinz puisqu'il s'agissait de son dernier cours en forme de Jubilaire (15ème édition) !

Merci également à Alex(andra), Stéphane, Gilles et Michaël pour avoir rendu cette journée si sympathique.

Anne

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Notes (brutes et non exhaustives).

Les nœuds :

- Noeuds auto-bloquants : avantages du Prussik (fonctionne dans les 2 sens) et du Prohaska (plus facile à défaire une fois sous tension que le 1er, mais unidirectionnel).

- Nœud d'amarre tressé autour d'un arbre pour s'arrimer

- Nœud de pêcheur double pour confectionner un prussik. Préférer un nœud de huit pour rapondre 2 cordes et  éviter ainsi tout coincement dans les infractuosités.

- Nœud de blocage (pour contre-assurer un reverso ou un ½ amarre, et avoir les mains libres). Attention, bien le serrer.

Les sauvetages :

- Descentes en rappel classique (plaquette + prussik) ou - quand on a malencontreusement lâché son reverso - au ½ nœud d'amarre au baudrier avec un prussik au cas où….

- Remontée sur corde, qui vous donne des airs d'acrobate de cirque :

1 autobloquant pour la main (Prussik ou Prohaska à choix) ; 1 sangle de 120 cm fixée par un prussik en guise de pédale, que l'on enfile par le talon pour plus de stabilité et ensuite, action ! « haut, haut, haut, bas, bas, bas »...

Décoincer l'assureur : 1ère méthode = un mousqueton dans le petit anneau du reverso pour faire levier ; 2nd méthode : cf. photo.

Et en point d'orgue du cours, le must, l'incontournable mouflage pour remonter son partenaire (blessé,...). Méthode de mouflage simple ou double, si le simple ne suffit pas (cf. photos). Si on assure au ½ amarre, le contre-assurer avec un nœud de blocage et un prussik sur la corde (brin côté grimpeur/victime) relié au relais (pour éviter de tout avoir à recommencer…)

Egalement le rabout de corde et passage de nœud et la descente du co-équipier blessé (cf. livre CAS).