Course B : Jeudi 6 novembre 2025 : Visite de Augusta Raurica, et randonnée le long du Rhin
Org. Alfred Strohmeier, Jacques Isely
10 valeureux Jeudistes sont partis en train à Kaiseraugst. Comme prévu, nous visitons le site archéologique romain de Augusta Raurica. Nous commençons par le fort, en fait la partie la plus récente datant d’environ 350 après J.-C. Nous y visitons les vestiges d’une église et de termes. Nous continuons de longer le Rhin pour arriver au confluent de la rivière Ergolz, qui est le cours d’eau le plus important du canton Bâle-Campagne. Nous montons ensuite vers la partie plus ancienne de la ville romaine fondée vers 50 avant J.-C, ayant eu jusqu’à 15'000 habitants. Nous admirons le théâtre antique et nous nous rendons ensuite dans la villa reconstituée, qui nous donne une idée des us et coutumes romains. Ainsi, et contrairement aux habitudes des Jeudistes, tous les convives n’avaient pas droit au même vin, celui-ci étant servi dans la qualité correspondant à celle du convive. Il est l’heure de commencer la randonnée. Nous retournons au bord du Rhin et le suivons pendant une bonne heure. Peu avant d’arriver au restaurant, nous dégustons une excellente bouteille d’Auvernier, offert par notre ami Jacques. Merci ! Il est 13 :10, nous avons faim et sommes contents de nous assoir pour dîner au restaurant Gasthof zur Saline, le bien nommé, car situé à côté de l’actuelle saline. Au menu : salade ou soupe ; vol au vent, petits pois et frites ; eau du robinet, mais payant, merlot, à prix doux, et café. Rassasiés, nous retournons au bord du Rhin. Très bientôt, nous longeons le site industriel de Schweizerhalle et nous traversons finalement les gigantesques installations portuaires de Pratteln et Birsfelden. Mais oui, nous sommes quelques peu étonnés de l’absence de toute mesure de sécurité. Pendant tout ce trajet, le Rhin constitue la frontière entre la Suisse et l’Allemagne. Mais nous sommes maintenant en face de Grenzach, et c’est l’endroit où l’autre rive du Rhin commence à faire partie du canton de Bâle-Ville. Nous bifurquons maintenant vers l’intérieur des terres pour pénétrer dans la forêt Hard. 20 minutes plus tard, nous arrivons à la station du tram, qui nous emmène, avec un changement, à la gare de Bâle. Nous y arrivons une heure plus tôt que prévu, mais malheureusement le train est supprimé. Peu importe, c’est le moment de prendre le verre de l’amitié, et de rentrer malgré tout une demi-heure plus tôt que prévu.
Nous avons fait environ 13km en 3h30, les visites non comprises. Le temps a été ensoleillé, mais frais, surtout le matin.
Un grand merci aux amis Jeudistes, qui ont eu le courage de participer à cette course quelque peu inhabituelle, et pour l’ambiance joyeuse et amicale. Merci également à Jacques I., qui m’a secondé efficacement.
Alfred
Org. Alfred Strohmeier, Jacques Isely
Course A et B du 23 octobre 2025 : Schaffhouse, chutes du Rhin, Stein am Rhein
Les prévisions météo pour ce jeudi étant excécrables, nous devons renoncer d’aller admirer les mélèzes en feu au Lötschental (d’autant plus que la pluie les aurait de tout façon éteintes). Nous entreprenons donc une course d’école. 17 courageux partent en train à Schaffhouse. Pendant le trajet, Alfred rappelle quelques faits géographiques et historiques. Schaffhouse est situé tout au nord de la Suisse. Le canton est constitué de deux parties : une partie centrale, et deux exclaves, dont Stein am Rhein, que nous visiterons l’après-midi. De plus, la partie centrale inclut une enclave allemande ! Le canton compte environ 80'000 habitants, dont plus de la moitié réside dans la capitale. Schaffhouse a rejoint la Confédération en 1501, en même temps que Bâle, à la suite de la guerre des Souabes. Une première averse nous surprend lors de la visite de la vieille ville de Schaffhouse. Elle ne nous empêche pas d’admirer les superbes peintures des façades. Alfred rappelle à cette occasion la légende du pélican qui nourrit ses petits en s’ouvrant avec son bec le cou pour que le sang coule sur eux, rappelant bien sûr le sacrifice du Christ. Mais manifestement, le peintre a attribué le sacrifice du pélican à un cygne, comme le font remarquer plusieurs participants. Bien des maisons comportent de jolis oriels, des fenêtres en encorbellement ; il paraît qu’il y en a 171. Ne vous en faites pas, si je connaissais le terme Erker en allemand, l’équivalent français oriel m’était inconnu avant la visite de Schaffhouse. La pluie se calme heureusement, et nous montons donc à la forteresse Munot, en traversant une magnifique vigne ; ici, le Riesling remplace notre cher Chasselas. La salle de garde souterraine est monumentale et la vue depuis la terrasse sur les toits de la ville est magnifique. C’est l’heure de partir en direction des chutes du Rhin en suivant ce fleuve majestueux. Malheureusement, durant ce trajet d’une heure, le ciel se déchaîne et il n’y a pas un seul randonneur qui s’en sort avec des chaussettes sèches. Arrivés aux chutes, la pluie se calme et nous pouvons les admirer d’abord de la rive droite, puis de la rive gauche. Il est environ 13 heures quand nous embarquons dans le train à la gare Schloss Laufen, juste à côté des chutes, pour nous rendre à Stein am Rhein, via Schaffhouse. Avant ou après le trajet, chacun se débrouille pour pique-niquer, bien à l’abri à la gare ou dans les transports. Il est 14 heures quand nous arrivons à Stein am Rhein. Nous nous rendons dans le joli centre de la vieille ville. C’est l’occasion de nous enfiler dans un salon de thé cossu, servant des pâtisseries non moins dodues. Une fois requinqués, nous terminons le tour de la vieille ville, encore fois avec de nombreuses façades peintes ; cette fois-ci, le pélican de la maison du « Pelikan » est effectivement un oiseau de cette espèce. Nous nous rendons ensuite à l’Abbaye St. Georgen (St. George). Les appartements des moines y sont très bien conservés, en distinguant par sa richesse celui de l’abbé. Nous admirons en particulier les peintures de la salle d’apparat relatant le combat des Romains contre Hannibal, situant la scène à l’époque de la bataille de Marignan, le thème étant celui de la loyauté. Entre temps, le ciel s’est éclairci et sous quelques rayons de soleil, nous nous rendons à la gare. Nous partons un peu après 16 heures de Stein am Rhein, dans un compartiment de conférence, pour arriver via Winterthour à Neuchâtel un peu après 19 heures.
Mais oui, le temps à été par moment terrible, avec des grosses averses et des coups de vent, mais nous avons eu du plaisir à découvrir ou redécouvrir un coin de Suisse rarement visité depuis Neuchâtel, et de vivre cette aventure ensemble. Merci aux participants de leur bonne humeur et de leur amitié. Merci à Denis P. de m’avoir aidé à suivre le parcours prévu malgré le (contre-)temps. Merci à Jean-Pierre B. pour les photos. Merci à Jacques I. de m’avoir secondé efficacement.
Alfred
Course spéciale mercredi 8 et jeudi 9 octobre 2025 : Melchseefrutt
Org. Alfred Strohmeier, Rolf Revilloud, Jacques Isely
10 Jeudistes et 2 Dames ont participé à cette course de deux jours. En train et autocar postal, nous nous rendons à Stöckalp. De là, nous nous rendons successivement à pied à Melchseefrutt, au Bonistock, à Tannalp, au Jochpass, et à Trübsee, d’où nous descendons en cabine à Engelberg, pour y prendre le train de retour.
Premier jour
En transport public, nous nous rendons à Stöckalp, pour y trouver le soleil à 10 :18. Après le café, généreusement offert par Marc D., nous chemins se séparent. Sous la direction de Jacques, une équipe franchit presque 1000m de dénivelé pour monter à Melchseefrutt. Les autres participants prennent la cabine pour s’y rendre ; arrivés à Melchseefrutt, ils montent au Bonistock pour jouir de superbes vues sur le Titlis et les Alpes uranaises. Le plateau est recouvert d’un épais brouillard. Au premier plan, émerge le Pilate. A l’horizon, on peut deviner la Ballon d’Alsace et Chasseral. Après une descente assez technique, ils retrouvent l’autre équipe au Tannensee. Ensemble, nous contournons ce lac par le sud, pour arriver peu après 16 heures à notre hébergement, le Berggasthaus Tannalp. C’est l’occasion de prendre des rafraîchissements au soleil sur la terrasse. Nous prenons ensuite nos quartiers, de jolies chambres doubles. A 18 :30, c’est l’habituel verre de Chasselas, appelé Fendant pour cette fois. Puis, c’est le souper : salade mêlée, poulet Stroganoff sur couronne de riz, et comme dessert une crème brulée (à ne pas confondre avec une crème Catalane, n’est-ce pas, cher Rolf !), le tout arrosé de Primitivo, comme il se doit. En fin de repas, une surprise nous attend. Deux marcheurs Thurgoviens jouent une sérénade avec leurs cors des Alpes « du voyageur ». Il s’agit d’un instrument de même tonalité que le cor des Alpes, mais replié en lacets, et ne pesant que 700g. En remerciement, nous leur offrons un verre de leur choix, et ce fut des Appenzeller ! Merci à Hansueli d’avoir incité les deux musiciens de jouer pour nous.
Ce premier jour, nous avons profité d’un soleil magnifique et d’une température parfaite pour une randonnée. Le premier groupe a parcouru 11,17 km, +980m, -79m, et le deuxième 8.3km, +373m, -325m.
Deuxième jour
Petit déjeuner à 8 heures. Nous partons à 9 :15 sous le soleil, munis du thé du marcheur et du pique-nique préparé par l’aubergiste. Nous prenons la direction du Engstlensee. Le lac est un miroir, et notre vue s’étend jusqu’aux Finsteraarhorn et Schreckhorn. Nous attaquons ensuite la montée vers le Jochpass. Hélas, le brouillard nous rattrape peu à peu. Arrivés au col, un point de situation s’impose. Alfred craint la neige sur le chemin de descente. Avec d’autres, il prend donc le télésiège pour descendre à Trübsee, et passer du temps en contournant ce joli lac. Les moins craintifs, descendent à pied, en constatant que la prudence d’Alfred n’était pas justifiée. Nous nous retrouvons tous au restaurant de la télécabine pour y prendre le verre de l’amitié. C’est ensuite la descente en cabine à Engelberg. Comme, il reste un peu de temps, quelques-uns en profitent pour faire le détour jusqu’à l’abbaye d’Engelberg et son église baroque.
Ce deuxième jour, nous l’avons commencé sous le soleil, pour être rattrapés par le brouillard au sommet du Jochpass. Les uns ont fait 9.6km, +462m, - 649m, les autres 8.7km, +482m, -237m, et c’est bien à la descente qu’il y a une différence.
Nous prenons le train à Engelberg comme prévu à 15 :02. Grâce au stratagème de Jean-Pierre B. nous prenons le sous-voie à Lucerne pour atteindre en moins de 5 minutes la tête du train. Et c’est ainsi que nous arrivons à Neuchâtel à 17:37
Merci à tous pour l’ambiance joyeuse et amicale. Merci à mes deux coorganisateurs Jacques et Rolf. Merci à Willy d’avoir offert une bouteille ; encore une fois, bon anniversaire ! Merci aux photographes et en particulier à Jean-Pierre B. qui en connaisseur de technologie, a réussi à superposer les noms des sommets à la photo.
Alfred
Org. Jacques Isely, Fédéric Ecklin
Le coup d’oeil matinal depuis le point de vue des Roches-de-Moron est tout simplement époustouflant, avec une visibilité à perte de vue et le brouillard épais qui traîne encore sur le Lac de Moron. Le thermomètre indique 4 degrés et va monter à 10 degrés à l’ombre pendant la journée.
Nous sommes 18 et nous avons le plaisir d’accueillir Pierre Daenzer pour sa première sortie de jeudistes. L’occasion pour lui de nous offrir le café-croissant dans ce cadre magnifique du restaurant Les Roches-de-Moron. Il en est vivement félicité et remercié.
La course s’est déroulée comme prévu en partant d’un bon pas à neuf heures cinquante. Quelques arrêts pour admirer la vue en chemin et la chute du Saut du Doubs vue du Plat du Saut et nous attaquons le sentier des faux-monnayeurs pour arriver vers une heure moins le quart au lieu du pique-nique. Après avoir admiré la vue du Belvédère des Recrettes, dix d’entre-nous prennent le sentier de Pillichody - que six parcourent pour la première fois - alors que huit d’entre-nous rentrent par le sentier facile de la côte de l’Escarpineau et son très beau point de vue.
Nous nous retrouvons tous dans la bonne humeur traditionnelle, sur la terrasse cette fois, du restaurant Les Roches-de-Moron.
Je remercie tous les participants, en particulier Frédéric mon co-organisateur avisé pour cette course appréciée de tous dans des conditions automnales de rêve.
Jacques I.
12 Jeudistes partent de la Mottaz avec 2 minutes d’avance en direction de St-Siverster, en passant par le magnifique pont de la Poya.
Après le café, nous débutons notre rando vers Gross Schwand, tout en admirant les Highlands du coin.
Et c’est parti pour une montée fulgurante dans un décor sauvage et stupéfiant , direction Chrützflue.
De là, belle vue vers le sud et la Berra, mais pourquoi le brouillard nous cache le panorama du côté Nord ?
A Undere Wusta, nous piqueniquons à l’abri du vent. Puis nous descendons et longeons l’Argera (la Gérine dès Marly).
Dès Roggeli, nous empruntons un sentier forestier, plein de passerelles et d’un escalier métallique artisanal.
Après un arrêt à la grotte Muelers et de la belle et dernière montée, nous retournons aux voitures.
Parcours de 16,7km effectué en 04h30, dénivelé de +-700m. Félicitations à toute l’équipe.
Un grand Merci aux donateurs du jour : Heinz Hügli pour les cafés et André Duvilard pour les boissons en fin de rando.
Guy
Org. Jean-Claude Lalou, Jacques Isely
1 fois non, 2 fois non, 3 fois OUI !
Enfin, les Jeudistes bénéficient des conditions météo nécessaires pour cette course alpine exigeante. Ce n’est pas tous les jours que l’on chatouille le T3 en course A.
12 courageux randonneurs sont au rendez-vous; 1h30 de route nous amène à Ried pour café-croissant avant de grimper (à 4 roues) jusqu’à Elsigbach ou la télécabine nous emmeène jusu’à Elsigenalp (1800m). Un rytme raisonnable nous permet d’atteindre le Golitschepass en un temps correct et en n’entamant pas trop nos forces. La traversée sous le Stand met à l’épreuve ceux qui n’aiment pas trop le vide, puis la raide grimpée au sommet du Stand (2321m) commence à fatiguer les mollets. Redescente à la large selle entre les deux sommets puis attaque du First et ses quelques passages un peu acrobatiques. La colonne s’étire de plus en plus mais se regroupe au sommet (2548m) pour un pique-nique bienvenu au soleil et sans trop de vent. La longue descente prend du temps dans les passages escarpés, puis nous rappelle que nos cuisses ont déjà bien travaillé…
Une boisson et le règlement des comptes nous occupent jusu’au départ de la télécabine à 17h. Retour dans les foyers vers 19h, ou un peu plus tard pour certains…
Finalement 6 heures de marche et 7 heures au total pour les modestes 10km et les moins modeste 875m de dénivellation.
Merci à Jacques qui a su rameuter l’arrière-garde jusqu’au but, à Silvio pour sa tournée d’anniversaire et aux 3 chauffeurs pour avoir gardé assez d’énergie après la randonnée pour nous ramener à bon port.
Récit de la course B du jeudi 11 septembre 2025 : Grenchenberg – Weissenstein
17 Jeudistes se retrouvent à la gare de Neuchâtel pour prendre le train à 7 :53 en direction de Grenchen-sud. En attendant le bus, nous prenons l’habituel café dans le restaurant de la Migros, juste en face de la gare et à côté du quai C des bus. Départ du bus une demi-heure plus tard en direction de Unterer Grenchenberg, où nous arrivons une bonne demi-heure plus tard. Début de la randonnée à 9 :35. Le ciel est couvert, il fait frais et le vent est par moment carrément froid. Ce sera ainsi toute la journée. Nous commençons par admirer l’impressionnante falaise calcaire au nord de Grenchen, que vous avez tous déjà vu depuis l’autoroute. En longeant ensuite la crête en direction du Weissenstein, nous avons de magnifiques vues sur le plateau suisse, les méandres de l’Aar, les trois lacs, et bien sûr, le Jura. Si dans l’ensemble le chemin est bon, il y a également des passages très glissants, ce que l’organisateur n’avait pas prévu, à ce point. Félicitations aux participants de les avoir affrontés avec « maestria » ! En route, nous surprenons une belle famille de chamois. Nous les contournons à une bonne distance, mais méfiants, ils préfèrent disparaître dans la forêt sous la crête. Un peu avant la Hochmatt, nous pique-niquons, assis confortablement sur les bancs de la cabane du ski-club de la région. Pour ne pas tirer sur la corde, nous contournons le plus haut sommet du canton de Soleure, pour arriver enfin au Weissenstein. Il reste un peu de temps pour « un jus » au restaurant, puis nous descendons en cabine à Oberdorf. Comme les trains entre Moutier et Soleure ne circulent qu’une fois de l’heure, nous décidons de prendre le bus qui part du centre d’Oberdorf. Comme prévu, nous prenons le train d 16:26 à Soleure pour arriver à Neuchâtel à 17:07, les yeux et le cœur pleins d’images de notre beau pays et de la belle nature du Jura soleurois.
Nous avons parcouru 12km, en environ 4h30, y compris de fréquents arrêts pour profiter des vues, tout en montant 437m et en descendant 484m, sans compter un kilomètre parcouru en 15 minutes, séparant la station inférieure de la télécabine et l’arrêt du bus. En résumé, disons que c’était une course B+. Un grand bravo à tous les participants.
Merci à François G. d’avoir assumé le rôle de photographe. Merci à Frédéric E. de m’avoir secondé efficacement. Merci à tous les participants pour leur bonne humeur et leur amitié.
Alfred
10 Jeudistes se retrouvent au Robinson, et repartent pour Monthey. Le voyage en voitures se passe sans encombre. Arrêt aux Ilettes pour un café-choco-croissant, offert par Laurent C. dont on le remercie vivement.
Encore 20 minutes de déplacement pour accéder aux Cerniers au-dessus des Giettes. Et voilà, c’est parti pour une montée (+360m ) maitrisée en 01h00. Nous continuons jusqu’à Magidor par un chemin vallonné et agréable.
Et c’est depuis là que cela se corse par une ascension de +250m, avec des passages exigeants franchis hauts la main par nos supers grimpeurs ( Bravo !). En Passant sous la dent de Valère et au-dessus de la pointe de l’Erse,
nous arrivons au point 2046 (grande Cairn ) pour le pique-nique. Après notre repas, nous suivons la crête jusqu’à la dent de Valerette ( photo souvenir), et descendons à Chindonne pour une boisson méritée.
Il nous reste encore 45 minutes de marche jusqu’à les Cerniers et retour en voiture sans problème pour Colombier. Je remercie beaucoup mon aide Etienne et évidemment nos chevronnés du jour, ainsi que pour l’agréable compagnie.
Parcours de 12,6km en 05h00 avec +-965m de dénivelé. Malheureusement, le brouillard nous a faussé ce beau panorama, et nous a caché les imposantes dents du Midi.
Une joyeuse équipe de 11 Jeudistes s’est retrouvée à 7h au Robinson. Le déplacement en voiture nous amène à Levron pour le café traditionnel. Merci beaucoup à Philippe Fabbri de nous offrir les boissons et les croissants. La route étroite et sinueuse nous conduit au col de Lein. La randonnée débute par un large chemin en pente douce. Puis nous suivons un sentier de montagne jusqu’au pied de la Pierre Avoi. Pour le dernier tronçon (environ 40 m) nous grimpons un escalier en bois, suivi d’une échelle métallique, puis des marches taillées dans la roche et sécurisées par des chaînes pour atteindre le sommet. La vue est magnifique sur 360°. Il fait beau, pas un nuage, la température est agréable. La descente nous conduit au col de la Marlène où nous cassons la croûte. Pour le retour descente en passant par La Vouarde et La Vatse, puis l’Ancien Bisse de Saxon jusqu’à la route (point 1510). A ce point, dans la voiture déposée le matin même, en deux trajets, nous montons jusqu’au col de Lein. La buvette et ses boissons sont bienvenues. Merci à tous les participants pour la bonne ambiance et à André de m’avoir secondé
T3, 12.6 km, D+937 m, D-1066 m, 6h15 arrêt comprit.
Adrien
Org. Jacques Isely, Jean-Claude Schnoerr, Christian Jeanneret
Nous nous retrouvons au Chalet de Grange Neuve près du Col de l’Aiguillon. Le café nous est aimablement servi spécialement vers 9h00. Faute de croissants, certains apportent biscuits et tresse ce dont nous les remercions.
Nous sommes dix, dont un « nouveau » : Simon Vonmoos que nous accueillons avec grand plaisir. Fidèle à la tradition, Simon nous offre les cafés et nous lui en sommes reconnaissants.
Vers 9h40 nous nous mettons en route pour rejoindre La Côtelette et descendre vers La Pierre à Bollet, le plus gros bloc erratique du Jura qui se trouve à près de 1200 m d’altitude. De là, nous montons jusqu’au sommet du Suchet, 1588 m, avec vue panoramique à 360 degrés.
Après le pique-nique, nous descendons sur Grange Neuve. Les rafraîchissements, accompagnés de meringues pour certains, sont offerts par Roland H. pour nous féliciter de notre descente abrupte hors sentiers sur la Pierre à Bollet. Nous le remercions vivement.
Le temps est de saison, ciel bleu avec une bonne visibilité. Que demander de plus ?
Bon rétablissement à Jean-Claude Schnoerr, l'initiateur et l'organisateur de la course. Merci à Christian J. de se proposer comme adjoint.
Un grand merci à tous pour cette agréable journée.
Jacques I.
Marche de remplacement dans la forêt et champs des Geneveys-sur-Coffrane
Après le café, gracieusement offert par Dominik, dont nous le remercions infiniment, nous partons pour l’aventure.
13 Jeudistes passent devant l’anneau d’athlétisme des Geneveys-sur-Coffrane, La Rasereule, et Le Louverain. Willy Buss en a profité
de nous expliquer les fameux travaux de fouilles à la recherche de source. Nous continuons dans cet agréable forêt, remontons par
le sentier Tribole, puis rejoignons la place de pique-nique de l’Oselière. Après le dessert et suite votations , nous partons gaiement
aux abords des champs bien fleuris. Petit arrêt à la stèle de la bataille de Coffrane, et repartons à notre point de départ.
Nous profitons encore d’un arrêt boisson, et réalisons qu’on a fait le bon choix de ne pas partir à Aeschiried ( plein d’orage).
Parcours de 15,3km, effectué en 04h15, avec un dénivelé de +-590m.
Je remercie beaucoup le team du jour, de m’avoir accompagner dans cette randonnée originale, ainsi que pour la super ambiance.
Merci Jean-Mi et nous irons en Juin 2026 admirer la cascade de la Suld.
Org. Jacques Isely et Philippe Chapuis
La journée promet d'être chaude, jusqu'à 26 degrés à l'ombre. Nous ne sommes pas déçus de l'agréable chemin en forêt pour monter jusqu'aux Pontins, des sentiers secs toujours en forêt et des allées d'arbres du Vallon de St-Imier, en partie le long de la Suze.
Le voyage en train jusqu'à St-Imier permet aux 22 jeudistes de monter successivement à toutes les gares. Au Café ou plutôt au Shop "avec" de la gare de St-Imier nous sommes aimablement accueillis. Les croissants commandés sont prêts. Nous faisons nos cafés chauds à la machine ou nous nous servons dans le frigo de cafés et de boissons chocolatées.
Vers 9h30 nous nous mettons en marche en descendant de la gare sur Les Longines que nous traversons. Ponctué de petites pauses, le chemin monte en zigzag vers les Pontins (P. 1097). Un bon sentier, partiellement raide, permet de descendre jusqu'aux Ruines du Château d'Erguel et à sa place de pique-nique.
Du point de vue au pied des ruines, nous admirons le Vallon de Saint-Imier et ses paisibles villages. Le bruit de quelques bouchons qui sautent donne le signal de l'apéritif. Chacun trouve un coin à l'ombre pour pique-niquer. Avant de reprendre la marche, Philippe, qui a passé sa jeunesse à St-Imier, donne quelques informations historiques sur ses habitants, ses noms successifs, son industrialisation et sur Bakounine. Il cite le roman de Daniel de Roulet "Dix petites anarchistes" parties en Amérique du Sud à la fin du XIXème pour bâtir une autre vie. Cette aventure a inspiré Cyril Schäublin avec le film "Unrueh". Les légendes du château sont évoquées.
Il est temps de continuer notre boucle en descendant jusqu'au bord de la Suze et de remonter à la gare de St-Imier. Les rafraîchissements se prennent sur la terrasse juste à côté de notre quai après 11 km de rando T1 et un dénivelé de +/- 440 m.
Un grand merci à Philippe pour son initiative et son engagement, aux habituels porteurs de bouteilles, de chocolat... Une belle course de plus comme on en redemande.
Jacques
Org. Alfred Strohmeier, Jacques Isely
21 Jeudistes se sont rendus en train et bus à Därligen sur la rive sud du lac de Thoune. Après une montée de 250 mètres, effectuée en une petite heure, nous arrivons à l’hôtel-restaurant Meielisalp. Une magnifique vue se dégage en direction de Thoune, avec des vues sur le Niesen et le massif du Stockhorn. Nous prenons le café et autres bibines sur la terrasse. Merci à François Godet de partager sa fête d’ anniversaire en nous offrant les consommations. Nous reprenons la randonnée sur des chemins variés dans la forêt et à travers des pâturages pleins de fleurs. Les jolis sentiers sont entrecoupés de passages sur du dur, ce qui permet de converser sans fixer ses pieds. Peu de temps après le pont suspendu sur le Spiessigraben, nous arrivons à notre place de pique-nique. C’est un peu tôt, mais nous choisissons le confort des bancs. Pleins d’énergie, nous reprenons la randonnée. Encore quelques montées et nous arrivons au point culminant du parcours. Nous entamons ensuite la descente, parfois assez raide, mais c’est effectivement plus joli de descendre la gorge du Gröbelbach plutôt que de suivre la pente douce du Panorama Weg. Encore 20 minutes sur le bord du lac, et nous voici à Faulensee See (ce n’est pas un pléonasme, car il y a aussi Faulensee Dorf), où nous attendons patiemment le bateau. Naviguer tranquillement jusqu’à Thoune est la cerise sur le gâteau. Les vues sur le Niederhorn, le Niesen, le Stockhorn, mais aussi sur les belles maisons, châteaux et cultures du bord du lac sont magnifiques et reposantes. Malheureusement, les Bernoises restent cachées par des nuages. Puis nous prenons le train à Thoune et arrivons à Neuchâtel, contents de cette belle journée ensoleillée dans le ciel et dans les cœurs.
Un grand merci à Jacques Isely qui m’a secondé et qui s’est occupé de l’achat du billet collectif, en surmontant les aléas de la bureaucratie ferroviaire avec patience.
Merci à tous, pour l’ambiance joyeuse et amicale.
Alfred
PS : 13.5km et +/-620m en 4h15
Course A : 1.5.2025 Reuchenette – Montoz – La Heutte
Rdv : 07h40 Halle de la gare de Neuchâtel
Départ du train Neuchâtel 07h53 voie 5 - Bienne – Reuchenette-Péry à 08h30.
Reuchenette – Rière Prau – Les Planchettes – La Verrière – Cabane La Rochette – Montoz - Métairie de Malleray – Werdtberg – La Vanne – Reuchenette.
Retour en train Reuchenette-Péry 15h30 – Bienne - Neuchâtel à 16h07.
T2, 16.4 km, +/-928 m, 5h45 au total.
C’est à Péry-Reuchenette que nous descendons du train. Le restaurant La Fontaine nous accueille pour le café traditionnel. Merci beaucoup à Freddy Moret de nous offrir les boissons et les croissants. L’itinéraire de montée suit de bons sentiers en partie raides. Les arrêts-boissons sont les bienvenus. Arrivés sur la crête, proche de la cabane La Rochette, nous suivons le chemin jusqu’au sommet du Montoz que nous atteignons à 11h40. Nous cassons la croûte tout en admirant la vue et en appréciant le calme. Il fait chaud, le ciel est bleu, que demander de plus. Pour le retour nous revenons par La Rochette et continuons sur un large chemin jusqu’à La Werdtberg. Puis un sentier descend jusqu’au-dessus du village de la Heutte. Là nous devons choisir soit de continuer jusqu’à la gare sans possibilité de boire un verre, soit de prolonger le parcours d’un km jusqu’à Péry-Reuchenette où nous pouvons acheter une boisson au magasin Volg. La seconde solution est privilégiée ! Le train de 15h30 nous ramène à Neuchâtel.
Adrien Ruchti et André Pahud.
9 Jeudistes partent de la gare des Brenets sous la pluie en direction de la Douane par un chemin original.
De là, nous allons à la recherche des fritillaires aux abords du marais de Goudebas, puis nous longeons la rivière la Rançonnière.
Et voilà que ça monte vers la Caroline et la tour de Jürgensen (construit en 1870 et rénové en 1970) et son brumeux panorama.
Depuis Chatelard, nous entamons la montée vers l’Augémont et commençons sous un épais brouillard, un gymkhana pour trouver
La Saignotte, ferme des aïeux Isely. Il nous reste 10 minutes ( X4 ) afin d’accéder à la cabane des Recrettes, pour un repas bien mérité.
Le retour aux Brenets, se fait par la sauvage combe à l’ours et un arrêt à la boulangerie.
Parcours de 15,5km, maitrisé en 04h35, dénivelé +- 657m
Merci beaucoup à Jacques Isely pour les boissons offertes et les souvenirs de la Saignotte, ainsi qu’au super job de notre adjoint Philippe Fabbri.
Félicitations à toute l’équipe pour leur courage et pour leur compréhension à cette étonnante reconnaissance.
Org. Hansueli Weber et Jean-Claude Schnörr
Six Jeudistes de 72-92 ans participent à cette virée. Ils se lèvent tôt et viennent en transport public Neuchâtel – Saxon.
Café croissant dans la Locomotive et nous gagnons de la hauteur dans une foule bigarrée -aussi fada que nous- pour découvrir les Adonis. La balade se fera néanmoins au calme, croisant par-ci, par là un couple ou des randonneurs.
Après le torrent des Croix et sa chute d’eau le chemin nous mène à flanc de côteaux sur un sentier herbeux, parfois très exposé, à travers un terrain steppique avec des chênaies qui alternent avec des champs d’abricotier en fleur, des sous-bois fleuris avec des cerisiers sauvages en fleurs et des touffes d’adonis en abondance de part et d’autre du chemin. Nous sommes en plein au moment de la floraison luxurieuse.
Petite escapade vers la Croix de Vison/Charrat et ascension vers la Gîte : Voici un immense champ d’abricotiers centenaires avec leur écorce noir et tous en fleurs. La bise du plateau helvétique se mue en vent valaisan et les fleurs d’abricotier dansent comme des tatouillards. Pique-nique sur un banc avec un verre de blanc.
Le retour se fait sur les chemins goudronnés à travers des cultures d’abricotiers et de vignes : la taille est très diverse et le sol aride, pauvre et très en pente. Nous profitons de l’expérience professionnelle de notre vigneron neuchâtelois.
Le verre de l’amitié se fera à la Locomotive et une heure plus tôt que prévue nous rentrons à casa. Coût 52.- CFF.
Merci aux donateurs de café, croissant, vin blanc, bière et al.
Merci au co-organisateur Le premier des trois Jean-Claude
T2, 3h15, 11km, 500 de dénivelé.
Ce sont 15 jeudistes matinaux qui se sont retrouvés à la gare de Neuchâtel à 7 :10 pour se diriger vers Laufon après changement à Bienne. Les explications du chef de course, Alfred Strohmeier, ont permis aux participants de se réveiller complètement et de parfaire leurs connaissances de l’histoire de Soleure et de la région bâloise depuis la fin du moyen-âge en savourant la tresse offerte par Alfred. Le train régional nous a ensuite conduit à Aesch (BL), où notre marche a débuté. Le temps magnifique nous a permis d’apprécier une montée douce et régulière sous le couvert forestier, qui a culminé au Blauenberg à 824 m. Au passage nous avons pu pique-niquer dans une belle clairière avant d’admirer la borne triangulaire qui marque la frontière entre les cantons de Bâle-Campagne/Soleure et anciennement Berne, puisque le district bernois de Laufon a rejoint Bâle-Campagne en 1994.
Sur proposition de Heinz, soutenu par l’ensemble des participants, Alfred nous a conduits dans la descente des gorges très pittoresques du Chälengraben, avant de retrouver l’itinéraire initial et de rejoindre le monastère de Mariastein, qui est le deuxième lieu de pèlerinage en Suisse, après Einsiedeln. Une visite de l’église baroque a précédé la descente dans la grotte dédiée à Marie avec ses très nombreux exvotos. Au sortir d’une bière bien méritée, le tram nous a mené de Flüh à la gare de Bâle en nous permettant d’admirer une bonne partie de la ville rhénane avant de rejoindre Neuchâtel en changeant à Bienne. Finalement, compte tenu de tous les extras, la marche effective a été de plus de 4h30 et le dénivelé d’environ 686m pour une distance de 17km. Un cameraman/président nous ayant accompagné, de nombreux souvenirs vidéo de cette belle sortie devraient être bientôt disponibles. Encore merci à Alfred !
Phillippe Jeanneret, accompagnateur du jour.
Org. Guy Fehlmann, Jacques Isely
17 randonneurs se sont retrouvés dans le train, destination La Chaux-de-Fonds. Continuation pour la Sombaille dans le Bus 310, bien rempli.
Au café des Jardins , les boissons – Croissants ont été offerts par Laurent Colin, ce dont nous le remercions infiniment..
Départ pour la Joux-dessus sur une route goudronnée et descente vers la combe de la Sombaille par un sentier escarpé et glissant.
De là, nous commençons la montée sur la Grébille et suivons la route jusqu’à Derrière – Pouillerel avec une jolie vue .
Dans la forêt juste avant Les Planchettes, chaque Jeudiste montre son agilité vers un passage délicat occasionné par une coupe de bois.
Après un excellent repas et service impeccable , nous entamons une belle montée (+180m)pour accéder au Maillard.
Par un beau soleil, nous poursuivons notre marche jusqu’à l’arrêt de Bus Blaise Cendrars .
Parcours de 13km en 03h50 , avec un dénivelé de +- 560m. (1,7km en 20min. et dénivelé-80m, jusqu’à la Gare.)
Félicitations à tous et merci pour la super compagnie, ainsi qu’à Jacques pour le job d’adjoint.
Guy
Org. Jean-François Zürcher, Jacques Isely
Ce sont 10 jeudistes qui se sont retrouvés à Champ Rond à Bôle avant de se rendre à La Brévine pour prendre le café. Une fois équipé pour se protéger de la pluie, nous marchons en direction de Chobert, puis traversons la frontière pour retrouver la ferme des Charmottes. Nous poursuivons en direction Nord pour descendre au lieu-dit Petit Châteleu. Là, nous retrouvons le « chemin Michel Hollard » qui a été balisé et documenté récemment par la pose de panneaux explicatifs. Ceux-ci décrivent dans le détail les 98 trajets effectués par Michel Hollard durant la 2ème guerre mondiale pour informer l’ambassade britannique de Berne des projets allemands en France. C’est en particulier grâce à lui que les Anglais ont pu détruire les bases de lancement des V1 qui pointaient sur Londres. Nous suivons ce chemin pour remonter en direction de l’Auberge du Vieux-Châteleu. Après un petit détour dans une clairière enneigée qui nous a permis de nettoyer nos chaussures… nous arrivons au restaurant juste avant une forte averse de neige. Le retour aux voitures s’est effectué rapidement en suivant le sentier qui longe la frontière avant de retrouver le quartier de Chobert puis La Brévine.
Distance parcourue 8.6 km, +/- 310 m en 3h00.
Merci à Jacques pour m’avoir efficacement secondé et à tout le groupe pour sa bonne humeur, malgré les conditions météorologiques peu favorables.
Jean-François
6 février 2025 Course A pour Jeudiste. Raquettes.
C’est par le car postal de la ligne B380, allant de Neuchâtel au Locle, que tous sont arrivés à 8h01 à l’arrêt Les Petits Ponts, les Attis. La météo n’est pas formidable : la visibilité est réduite à cause du brouillard, le vent du sud-est souffle et il fait froid. Les raquettes sur le sac, nous marchons direction nord-est, passons par la Pourie, la Combe-des-Fies, le point 1333, et arrivons proche de la métairie du Grand Coeurie (invisible tant il y a de brouillard). Nous mettons les raquettes et poursuivons par la métairie de la Grande Sagneule et montons sur la crête. Là, le vent est plus fort. Nous longeons la crête pour atteindre le Mont Racine sans faire d’arrêt. Arrivés à une ferme sans nom aux Grandes Pradières, nous profitons de cet abri pour casser la croute…vite fait. Puis, nous continuons par la loge des Pradières Dessus, les Grandes Pradières, lieu de tirs de l’armée, où nous remettons les raquettes sur la sac. Le cheminement se poursuit à travers la forêt pour arriver à la gare des Hauts-Geneveys. Bravo aux courageux participants pour avoir affronté ces conditions très hivernales.
15 km, +520 m, - 715 m, 6h15 avec les arrêts. 13 personnes.
Adrien Ruchti
Organisateurs : Jacques Isely et Jean-François Zürcher
Jeudi 30 janvier 2025
Vu les conditions d’enneigement, la course B prévue en raquettes aux Breuleux et au Mont Crosin s’est transformée en randonnée T1 (par conditions difficiles). Le matin 11 jeudistes ont parcouru 9 km, +/- 190 m, en 2h35 au total.
Après le café à l’hôtel de la Balance, nous sommes partis avec un temps nuageux et de légères pluies partielles. La randonnée était variée sur routes, chemins, sentiers et à travers de beaux pâturages. Des parties enneigées, verglacées, boueuses avec quelques clôtures parfois en barbelé ne nous ont pas posé problèmes.
De retour à l’hôtel de la Balance, nous avons été accueillis pour le repas de midi. Contrairement aux prévisions des jours précédents, la pluie s’est mise à tomber sérieusement. La démocratie a décidé de donner congé pour l’après-midi aux organisateurs et de prolonger agéablement les discussions à table.
Merci aux participants et à Jean-François pour avoir apprécié cette aventure!
Jacques
Valangin - Montmollin - Vauseyon, (re)découverte de la forêt de Peseux
Bien sûr on a regretté la neige disparue, mais la course de remplacement a permis à chacun de (re)découvrir la forêt de Peseux. Un départ retardé nous a permis d'éviter complètement les pluies matinales et la brusque amélioration météo vers midi a dégagé le ciel et a même amené le soleil.
Après le café au Relais du Château à Valangin offert par notre nouveau membre Gerhard (remreciements), la randonnée commence par la montée au Gibet de Valangin où sont évoquées les atrocités de la justice médiévale. L'itinéraire conduit ensuite successivement par la forêt de Peseux et par la Serroue jusqu'à Montmollin et le restaurant de la Gare où l'assiette du jour nous est servie. L'après-midi, retour vers l'Est selon un itinéraire plus au sud nous conduisant, après une descente finale dans le gorges du Seyon, jusqu'à Vauseyon où le groupe se disloque.
Merci à Roland pour sa contribution à la conduite de la course et à toute l'équipe pour le bon déroulement.
Heinz
Mercredi 15 nous nous retrouvons à La Vattey. Deux groupes se forment pour parcourir différentes distances. Nous nous retrouvons à midi pour un repas “d’usine”. L’après midi certains repartent à l’assaut des pistes tandis que d’autres allaient rejoindre l’hôtel.
Jeudi 16: Ski de fond dans la forêt du Massacre au depart de Lajoux, et retour par la combe des Chèvres . A nouveau 2 groupes qui se retrouvent pour le repas de midi.
Vendredi 17: ski de fond au départ des Trois Cheminées pour atteindre la Borne au Lion et le chalet de la Pesse où les 2 groupes se retrouvent pour un repas.
Samedi 18 : ski dans la forêt du Risou où différentes distances sont parcourues selon les capacités et les envies.
Tout c’est bien passé et à part quelques chutes sans gravités, tous sont rentrés en pleine forme
Ce que la météo annonçait depuis une semaine est malheureusement arrivé, deux jours de tempête pour mercredi et jeudi. En conséquence, la course a été reprogrammée en sortie raquettes seulement. Ainsi ce jeudi, après le café offert par Jacques en guise de sésame jeudiste, 14 raquetteurs se sont retrouvés vers 10h au départ de l'itinéraire raquettes en boucle de 7.5 km aux Cernets, un itinéraire officiellement balisé et inventorié par l'office du tourisme*.
Bien que les balises eussent fait cruellement défaut, l'équipe parcourut la boucle sans se perdre et put jouir de ce beau parcours sous un ciel toujours pluvieux mais relativement bienveillant. Au moment de rejoindre le restaurant des Cernets pour le repas, chacun rangea instinctivement ses raquettes directement dans les voitures, l’idée de poursuivre encore l'après-midi l'expérience humide et venteuse du matin s'étant collectivement évanouie.
Un grand merci à Étienne pour la coorganisation et à Gilbert et Roland pour leur disponibilité à participer à la coorganisation d'une sortie mixte SkF/Raq malheureusement abandonnée.
Heinz
*https://www.j3l.ch/fr/V2362/a-faire/sport-loisirs/raquettes-a-neige/les-cernets
Noël à la cabane Perrenoud
Quelle super bonne idée de la part d’Albertino d’organiser un repas de Noël à la cabane Perrenoud.
Et en plus, cerise sur le gâteau, avec des conditions de neige et de météo incroyables ! Cela faisait de nombreuses années que nous n’avons pas connu un Noël sous la neige.
8 clubistes sont partis de la Porrette en raquettes, emportant les provisions nécessaires avec eux, aux alentours de 16h30 le 24 décembre pour cheminer, et faire la trace, dans un paysage enneigé et immaculé. En cours de route, nous avons admiré le coucher de soleil et sommes arrivés à la tombée de la nuit à la cabane Perrenoud.
Nous avons juste eu temps de décharger les provisions et nous installer, que l’apéro nous tendait déjà les bras devant un feu dans le poêle.
Ensuite Albertino, nous a régalé avec un repas de Noël « poissons ». Après le dessert, deux courageux ont entrepris une randonnée en raquettes munis de leur lampe frontale.
Le lendemain matin, après avoir admiré le lever de soleil sur la mer de brouillard avec les Alpes en toile de fond et englouti un solide petit-déjeuner, nous sommes partis pour une balade en raquettes jusqu’à la Grand Vy et retour par les crêtes. A relever que le PAC (Plan d’Affectation Cantonal) du Creux du Van, maintenant en vigueur, restreint drastiquement les possibilités de balade et qu’il n’y a actuellement aucun balisage en place… donc à chacun d’être attentif pour éviter d’être en infraction.
De retour à la cabane, Albertino, nous a concocté sa célèbre paëlla. En fin d’après-midi, nous avons rejoint en raquettes nos véhicules à la Porrette et chaque participant a regagné son foyer avec le souvenir d’un Noël réussi à tous points de vue. Encore un grand merci à Albertino pour cette super organisation et aux participants pour leur bonne humeur.
Yves Bovay
15 Jeudistes se retrouvent dans le train direction Sugiez. A l’hôtel de la gare, nous prenons le café offert par notre nouveau membre Denis Pellaud, que nous le remercions infiniment.
Départ pour notre marche vers Bellechasse, ou nous suivons la Bibera par un chemin rectiligne jusqu’à Chiètres. Après le passage sous l’autoroute et l’évitement d’Agriswil, nous rejoignons
la Biber, afin d’atteindre Biberenbad. Après un repas copieux et un bon dessert (compris au menu que le Jeudi),nous entamons notre périple plein de zig-zag et quelques bosses direction Galmiz.
Randonnée de 18,6km, parcourue dans la grisaille en 04h30, avec un dénivelé de +- 250m .
Retour en train pour Chiètres et arrivée comme prévue,16h27 à Neuchâtel.
Merci au coorganisateur Pierre-Alain, ainsi qu’à l’équipe pour la super et agréable compagnie.
Guy
Récit : Ski de piste des Jeudistes du lundi 9 au vendredi 13 décembre 2024 aux Ménuires
12 Jeudistes ont participé à la petite semaine de ski aux Ménuires, station française située dans les 3-Vallées, constituées des villages de Courchevel, Méribel et Val-Thorens. Par un temps radieux et avec de la neige magnifique, nous avons skié du lundi après-midi jusqu’au vendredi midi. Il y a eu pour tous les goûts, les caïds dépassant 70km en une journée, alors que d’autres se délassaient sur des pistes bleues. Nous commencions les soirées par l’apéritif. Mardi, Frédéric Ecklin l’a offert à l’occasion de son 79e anniversaire, mercredi, ce fut le tour de Dominique Gouzi, qui, en atteignant 75 ans, pouvait enfin et dès ce jour profiter du tarif super-sénior pour les remontées mécaniques. Un grand merci à ces généreux donateurs et tous nos vœux de santé et de nombreux jours de plaisir sur les lattes ! Rolf, le GO de service, a égayé et animé les apéritifs par des jeux collectifs. Un jour, il a fallu humer des arômes présents dans des vins ; nous avons pu constater que certains avaient plus de nez que d’autres, et nous ne parlons ici pas de vins. Le lendemain, nous avons dû identifier des logos d’entreprises et d’autres organisations. Si Lufthansa, Amazon et Nestlé et bien d’autres étaient faciles à reconnaître, il y en avait qui étaient moins évidents à deviner. Mais chatGPT nous est venu au secours, ce qui prouve que les Jeudistes sont des vrais geeks. Après l’apéritif, nous avons soupé dans divers restaurants du site, toujours dans une belle ambiance joyeuse. Après la journée de ski intensif et quelques heures conviviales passées ensemble, nous étions contents de rejoindre nos chambres pour une nuit de repos bien mérité. Aussi bien le voyage aller, départ à 8 heures à Boudry, que celui de retour se sont très bien passés : environ 4h30 à l’aller avec quelques ralentissements du côté de Genève et avec un arrêt café vers Annecy, que le retour effectué en 3h30 environ. Un grand merci aux quatre conducteurs, Rolf, Dominique, René et Jean-Pierre, de nous avoir conduits sains et saufs. Merci à Jean-Pierre B. d’avoir œuvré comme photographe et d’avoir confectionné une jolie vidéo. Merci à Rolf d’avoir assumé le rôle de coorganisateur, d’avoir tenu la caisse et d’avoir organisé des jeux. Merci à Gilbert par ceux qui avaient besoin d’un rafraîchissement de technique de ski et d’encouragements. Merci à tous pour la belle compagnie joyeuse, conviviale et sportive.
Alfred
PS : Jean-Pierre Baer a confectionné une jolie vidéo que vous pouvez visionner par le lien ci-dessous. Un grand merci à lui et félicitation pour ce travail bien fait :
https://www.mycloud.ch/l/L0071308D3C501E5E1BC0A7C048907FA23F8AC199CE9D7570F03F145BB0DF4CDD