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Estavayer-Le-Lac - La grande Cariçaie

Course annulée la cause le mauvais temps

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Aération des peaux : Diemtigtal/Simmental/Valais

Arête du Gurbsgrat, proche du Cheibehorn dans le Diemtigtal. (1080m de dénivelé).

Après les pluies importantes de samedi passé, le ski en basse altitude paraissait compromis.



Erreur.



Nous avons trouvé assez de neige, même s’il manque un fond. Neige légèrement croutée et farineuse en-dessous, conditions moyennes à correctes selon les participants, peu de touchettes de cailloux, car les pentes sont plutôt herbeuses.



J’avais choisi des pentes orientés à l’Est. Hélas les sommets environnants nous ont souvent caché le soleil à l’approche du jour le plus court de l’année.



Bravo à toutes et tous les participants pour cette reprise, particulièrement aux clubistes qui recommençaient après 2 à 25 ans sans skier!



Et un immense merci à Jean-Michel pour l’organisation du ravitaillement avant et après la course : café, thé, biscuits, chocolats...la grande classe. Avec toutes les précautions d’usage liées au covid.



Jean-Michel


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2020-12-20-dent-de-morcles-2969m

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Ski noël à l'Hospice St. Bernard

1er jour

Mon récit

8h30, je suis assise au café des 3 Dranses à Sembrancher je vois des voitures et un bus avec les plaques NE. Pile à l’heure, les membres du CAS Neuchâtel sont très ponctuels. Pierre, Christine, Jérôme, Patrick, Carlos, Vincent et Jeanda, les présentations sont faites, j’espère me souvenir de tous les prénoms. Après un petit café, Jeanda nous briefe et nous montons nous parquer au Super Saint-Bernard. Nous nous équipons et c’est parti. Nous pouvons chausser les skis au parking mais il n’y a pas des masses de neige. Nous montons jusqu’au col de Barasson, malheureusement par manque de neige,  nous ne pouvons pas redescendre côté italien. Nous redescendons sur nos traces mais la poudre est bonne c’est un régal. Nous déposons quelques affaires à l’Hospice et mangeons une petite soupe et repartons. Il faut profiter de cette belle journée, demain il annonce de la neige et du vent. Nous montons prudemment jusqu’au col de Fenêtre d’en haut. Un vent très fort nous accueille froidement. Nous redescendons rapidement dans une belle poudreuse. Chacun peut faire une belle trace. Nous sommes gâtés, pour le soir du Réveillon nous avons droit à un vrai repas de fête: crevettes et légumes en entrée, magret de canard, pommes dauphine et endives braisées, et un Paris-Brest pour le dessert.

Frère Raphäel nous offre du vin pour ce repas.

Vendredi matin nous entendons le vent taper aux fenêtres et il neige à l’horizontal. Dame météo ne s’est malheureusement pas trompée. Jeu de carte et jeu d’échec seront les occupations du matin. Nous descendons ensuite chercher Melanie et Adrien au parking. Nous remontons à l’hospice manger une bonne soupe. Il fait -15 degrés avec des rafales à 68 km/h.

Après un très bon souper, la sœur responsable des relevés météo et d’enneigement nous explique en détail le bulletin d’avalanche et comment elle procède pour faire ses relevés. Elle envoie ses observations tous les jours depuis 15 ans. C’est l’heure d’aller au lit, la météo sera clémente demain et il est tombé 10 cm de fraîche.



Je remercie jeanda pour l’organisation et les parcours magnifiques

La novice de la sortie Stephanie



CAS Neuchâtel – Noël 2020 - Hospice du Grand St-Bernard

3 ème jour – Samedi 26.12.2020



Au réveil, ce samedi matin, le brouillard est bien présent, mais après un délicieux et sympathique

petit déjeuner, nous nous mettons en action vers les 9 heures.

Une fois dehors, un temps radieux nous offre un décor de rêves et ses montagnes majestueuses.

De l’Hospice nous partons en direction de l’Italie pour monter au Mont Fourchon avec enthousiasme

et un énorme bonheur. Que ce panorama est grandiose. Les conditions d’enneigement sont bonnes,

mais il faut être vigilant car il y a quelques cailloux.

Peu avant midi le sommet est atteint avec une grande satisfaction. Virus oblige, le check remplace les

poignées de mains et autres signes de félicitations.

La descente s’effectue avec une neige fraîche et un manteau blanc encore bien immaculé.

De retour à l’Hospice, une soupe frugale et excellente est avalée avant de repartir pour une autre

destination….

Nous quittons donc les chanoines en début d’après-midi, dont les prénoms n’ont plus de secrets pour

certains d’entre nous �� et partons en direction du Mont Mort afin d’atteindre le Col de Barasson.

La montée se fait avec quelques nuages et surtout un vent très fort, surtout au Col. Le temps de

ranger les peaux et d’effectuer les photos indispensables pour graver ce panorama dans nos coeurs,

la première partie de la descente se réalise dans une neige de « velours ».

La fin de la descente, jusqu’au Col du Grand St-Bernard est réalisée avec un froid glacial.

Arrivée sans encombre au parc, nous prenons la direction du Bivouac de Napoléon à Bourg St-Pierre,

pour une soirée et une nuit bien agréable.

Un immense MERCI à Jeanda pour l’organisation sans faille de cette splendide journée et pour sa

confiance.

Cette sortie fût ma première en tant que nouveau membre du CAS Neuchâtel. Je tiens à exprimer à

toute l’équipe mes vifs remerciements pour le magnifique accueil et pour la bonne humeur durant

cette journée. Ce fût un réel bonheur de partager ces instants avec vous.



Adrien Aubry



Dimanche 27 décembre.



La nuit était clair et le matin froid, avec une tempête de fœhn qui s’approchait. Après un excellent petit déjeuner au Bivouac de Napoléon, Jeanda nous communiquait le détails des la sortie que nous allions faire. Nous avions parlé de 2 alternatives pendant le souper de la veille: Crêta de Vella, en face, où Mont Rogneux; finalement nous allions faire ce dernier. Il y aura assez de neige?, c’était la question après avoir touché quelques petits cailloux au tour du Grand Saint Bernard...



 



Avec les conditions météorologiques prévus et en dimanche, le parking était plein, comme prévu, mais nous avons trouvé de la place. Il y avait assez des groupes qui montaient, même de trailers à pied... pourquoi pas. Mais il avait beaucoup de neige; la decisión de Jeanda était excellent !



 



Suivant les recommandations Covid, nous avons fait 2 groupes ,comme les jours précédents. La montée se fait par de chemins jusqu’à la cabane Brunet pour continuer dans les traces en direction au Mont Rogneaux, avec le fœhn qui commençait à monter. Au milieu de la montée à ce sommet, que on ne voit pas jusqu’à que on arrive, Jeanda décida de faire demi tour  pour profiter de la poudre avant le vent. Et la descente était excellente, sur des bosses de neige ! Une belle fin pour notre sortie de Noël, la dernière pour beaucoup de nous d’une année spéciale.



Merci beaucoup à Jean-Daniel pour l’organisation et à tout l’équipe pour le partage pendant ces jours.



Carlos


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Le Chantonnet (2576m)

Le Chantonnet (2576m)

Org. Christelle Godat et Jean-Daniel Quidort



Mercredi 30 décembre 2020



Le rendez-vous a été fixé au Clou, au fond du val Ferret, à 9h00. Le groupe est divisé en deux



pour respecter les mesures sanitaires du coronavirus.



L’ascension commence en douceur et dans l’ombre. Tout le monde avait froid, heureusement



le soleil nous a réchauffé dans la montée. Après 45 min de grimpette, nos chefs de course



décident de faire une petite pause au soleil. À ce moment-là, Joëlle sort une plaque de chocolat



et la propose au groupe. Jean Da nous surprend en disant qu’il n’aime pas le chocolat, nous



étions tous surpris.



Plus haut, nous passons au pied d’une pente raide, la cheffe du groupe nous demande de



garder une distance de 50 mètres entre nous pour ne pas surcharger la pente. Pendant ce



temps, un randonneur part seul sur un versant très exposé. Nous sommes surpris de le voir.



C’est l’occasion de faire un message de prévention à notre plus jeune participant !



Un fois au sommet le paysage est très beau mais il fait froid et le ciel se couvre. La frontière



avec l’Italie se trouve seulement à quelques mètres de nous.



La descente est superbe, une poudreuse magnifique. La sécurité n’est pas relâchée pour



autant. La deuxième partie de la descente est un slalom entre les cailloux et les touffes



d’herbes. Les 2 groupes dinent sur une terrasse ensoleillée d’un chalet d’alpage à 2 tables



distantes. Une partie du groupe a rendu hommage à John, une bougie a été allumée.



Pour terminer la journée, nous allons boire un verre de vin chaud à la station de la Fouly.



Merci pour cette belle sortie.



Léonard Zuber


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Nouvel-An Zinal, Pte. Tourtemagne, Omen Roso

Pointe de Tourtemagne 31.12.2020

Nous voilà parti pour 4 jours d'aventures dans la région de Zinal. Lieu de retrouvailles et présentations des deux petits nouveaux à Vissoie le temps d'un café à l'air frais matinal (Covid oblige). Force est de constater que la neige manque dans la région. Pas grave, direction le Prilet pour débuter notre ascension sur une piste quelque peu glacée avec un passage raide où certains choisissent les couteaux et d'autres (deux femmes têtues) préfèrent grimper les skis en mains. On continue sur des petits chemins de forêts et on décide de pic-niquer sur une petite plaine. Outre le sommet, le défi du jour fut de trouver comment libérer la fourchette intégrée au packaging d'une salade de carotte... La pauvre Tania a dû manger avec les doigts... C'est reparti sur une belle pente raide, on garde la distance et on monte gentiment mais sûrement. Ca y est, on dechausse pour finir à pieds. Petit rayon de soleil, vue à 360 degrés. C'est beau mais il fait vite frais, il est déjà 15h. La descente fut des moins scabreuse, en slalomant autour des cailloux découverts et en essayant de se faire léger sur ceux cachés. Aie, ça fait mal aux s'melles ! La suite s'annonce festive: Tartare d'avocat-saumon suivi d'un rôti de veau sauce champignons, fagot de haricots, roesti et en dessert le moelleux au chocolat. On tient le coup sans peine jusqu'à 23h avant de faire péter la bombe et le champagne pour trinquer au passage à l'an 21. La journée du lendemain ne sera pas des moindre, alors au dodo !

Joanie



CAS Zinal – 2. Tag



Nochdem de Fred äbefalls i eurse Onderkonft in Zinal itroffe esch, gömmer am hötige Fritig met de

ganze Groppe vo Grimentz uf de Corne de Sorebois (2895m). So chömer trotzem wenige Schnee en

cooli Tour mache ond secher uf de Skipiste abefahre.



Nochemene guete z’Morge nämmer am Füüf-ab-halbi-Nüni s’Postauto in Zinal met em Ziel Grimentz,

ond well euse super Korsleiter ou guet cha verhandle, wärde mer sogar gratis metgno (wieso weisi

emmer noni ganz genau, liid öpe a mim Französisch).

In Grimentz heissts de Maske wäg, devör Fäli druf ond mer startet uf de legendäre GrandRaid Abfahrt

rechtig Barrage de Moiry. Es hed ned en huufe Schnee aber mer chömed zögig vorah ond möched

noch 2 Stond Ufsteg en grösseri Pouse näbe de Stoumur.

Noch dere Stärchig näme mer no die rästleche 600hm in Agreff: Do esch de Jeanda chli meh

gforderet, heds doch uf dere Piste de Chamoix komischerwis nor Abfahrts- ond ke Ufstegsspure. Aber

ou das klappet met Helf vo der Harschiise tiptop ond mer erreiched noch 3h30 reine Loufzit de

Gepfel.

D’Abfahrt esch leider ned im Tüüfschnee, aber es paar Schwöng uf de Skipiste schaded secher ou

ned. De Tag ronde mer när met emene Powernap, emene guete Apéro ond emene feine Znacht

(Curry-Poulet met Riis) ab.

Cyrill Kunz



Samedi 2 janvier 2021: Saint-Luc, + 1066 m



Pour cette journée notre chef nous a annoncé un programme plus tranquille, et donc un petit

déjeuner plus tardif.

Au départ du Prilet (1693 m), à Saint-Luc, nous commençons par suivre la piste par le même

itinéraire que l'avant-veille sur quelques centaines de mètres de dénivelé. La neige y est

toujours aussi dure, et Jeanda nous fait exercer la mise de couteaux sans enlever les skis. Une

participante particulièrement douée y arrive même sans utiliser ses mains... moyennant

l'intervention de deux assistants ;-)

Un peu plus haut nous prenons un raccourci bien raide nous amenant à une figure "double

conversion", puis nous débouchons au soleil avant d'arriver à l'incontournable Hôtel Weisshorn

(2337 m) sur la terrasse duquel nous dégustons un café. De jeunes bobeurs parisiens arrivent

tout sourire en ratrak et nous poursuivons notre montée.

Jeanda quitte rapidement la piste tracée pour nous emmener dans un magnifique dédale

d'éboulis rocheux au sortir duquel nous pique-niquons, toujours au soleil. Nous montons ensuite

jusqu'à une bosse vers 2700 m d'altitude près du col de la Forcletta. C'est là que nous

entamons notre descente, qui nous gratifiera de quelques virages dans la poudreuse, mais qui

se déroulera majoritairement sur la trace de montée pour finir sur la piste verglacée. Magnifique

journée cependant, pour les paysages, la météo et la bonne compagnie !

Christine