Les Courses > 2020
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Le Montoz (1328m)

18 kilomètres, 1000m de dénivelé positif, 5h.15 de marche effective

Après une sortie anticipée du train à Frinvillier et un brin de réflexion, la joyeuse équipe s’élance sur le chemin longeant la Suze jusqu’à Péry-Reuchenette, en traversant les impressionnantes installations d’une des plus importantes entreprises de ciment en Suisse. Quittant Péry en direction nord, après avoir remonté le cours d’eau Le Pichoux jusqu’à la cascade, puis jusqu’au point 845 par un sentier raide et glissant, nous obliquons à l’est en direction des fermes d’alpage Les Cerisiers, Chamalle, Les Planchettes, La Verrière. Entre sapins et arbres feuillus joliment jaunis par l’automne, à travers les pâturages, nous rejoignons la crête et le Montoz. L’air est frais, le temps nuageux et le pique-nique rapide. Nous poursuivons à l’ouest jusqu’à la métairie de Werdt. Dans la plaine, on aperçoit les lacs de Bienne et Morat, brillants de soleil. Descente par La Vanne jusqu’à la gare de La Heutte, où nous achevons de manger nos piques-niques et faisons la “putz” des chaussures bien terreuses dans la Suze… (et non à la Suze !). MC


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Étape n°2 tour du canton

Nos pas nous mènent par le sentier des écoliers du littoral du lac de Neuchâtel au val de Travers en suivant au mieux la ligne qui borne les limites du canton. Depuis Vaumarcus nous nous engageons dans le vallon de la Vaux. Sa fraicheur et le calme qui s’en dégage nous charment instantanément. Peut-être aussi que le côté sauvage que lui confèrent ses multiples fougères n’y est pas indifférent. Au pont des polonais nous optons pour poursuivre jusqu’à Provence. Nous passons à côté d’un enclos de sangliers… à moins que ce ne soit celui des porcs hirondelle qu’élèvent les frères Alcala de Vaumarcus pour en produire une Pata Negra 100% suisse !

Une route agricole nous mène jusqu’à la Prise-Frédéric Porret. De là nous alternons entre le chemin des écoliers, dont nous suivons les panneaux indiquant « la Baronne », et la route goudronnée. La montée s’infléchit vers 1300m. Un petit coup d’œil à la cabane Perrenoud nous informe de l’avancement des travaux. Albertino et Dominique, ainsi que 3 autres membres du CAS, nous font les honneurs du chantier. Nous en repartons avec une meilleure vue d’ensemble et contentes à l’idée des belles nuitées/torées que nous pourrons y faire.



Un vent corsé nous cueille au sommet ; nous décidons de nous abriter derrière le muret en pierre en bordure du Creux du Van pour pique-niquer. La vue y est plutôt plaisante !



Nous contournons la ferme du Soliat et descendons en pente douce vers la cabane du Club jurassien dite « La Banderette ». Aucune d’entre nous n’étant membre, nous ne pouvons y déguster une petite boisson. Dommage car l’extérieur est joliment arrangé. Nous terminons notre périple à la gare de Travers en nous quittant sur une idée de recette de tarte à la bière, à défaut d’avoir pu en boire une…



Merci les amies de votre présence à mes côtés pour cette randonnée.



Nath


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Gemmenalphorn, Brame du cerf et Surprise

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Mont de l'Arpille (2085m) et ses mélèzes dorés

Randonnée dont la réalisation a été malmenée et compromise à  plusieurs reprises en cette période mouvementée. Mi-octobre, c'est tout d'abord la météo qui s'en mêle avec des prévisions de brouillard dans la région du Mont de l'Arpille. Les mélèzes n'étant par ailleurs pas encore prêts à nous accueillir parés de leurs plus beaux atours, décision est prise de renvoyer la course de deux semaines. Certains participants ne sont pas disponibles à la nouvelle date proposée, mais d'autres s'inscrivent : finalement, nous sommes un groupe de 14... lorsque le gouvernement valaisan annonce que désormais, en raison de l'explosion des cas de coronavirus dans le canton, les rassemblements de personnes sont limités à 10. Alors, que faire ? Qu'à cela ne tienne, je propose à Adrien de diviser notre grand groupe en 2 groupes plus petits qui feraient la randonnée séparément. Proposition acceptée par mon désormais coorganisateur, ce sont désormais les prévisions météo qui nous occupent à nouveau : l'avant-veille de la course, un front froid traverse la Suisse et laisse derrière lui une dizaine de centimètres de neige sur le Mont de l'Arpille et quelques nuages qui peinent à s'évacuer et toussotent encore quelques faibles précipitations sur la région. La veille du jour J, j'envoie un long courriel aux participants pour leur expliquer notre "plan de protection" en deux groupes, pour leur demander de ne pas venir s'ils ne se sentent pas très bien, et si malgré tout ils décident de venir, de se munir d'un bon équipement avec de bonnes chaussures de marche, des guêtres et des bâtons.

Le lendemain matin, départ pour la gare de Neuchâtel sous une fine pluie... En raison de quelques désistements de dernière minute, nos deux groupes peuvent finalement se réunir en une équipée de 10 personnes. Arrivés à Martigny, nous découvrons avec joie que le fameux soleil du Valais a décidé de s'attaquer aux nuages récalcitrants.


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Dombresson- Chasseral par la combe biosse- Dombres

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Cours pratique du "trad"