Les Courses > 2020
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Zeige Album

Trois jours avec le Glacier d'Aletsch

Un joyau à découvrir ou redécouvrir ! Le glacier d’Aletsch.

Bruno a été obligé de modifier, pour la troisième fois, l’heure de départ qui s’est avérée trop matinale pour certaines participantes.



Sous un soleil radieux, nous commençons la randonnée par un café à la terrasse de l’hôtel Belalp d’où nous admirons le Cervin,  Les Mischabel, Le Dom et bien d’autres sommets enneigés.



La randonnée commence par la descente d‘un chemin de transhumance qui nous mène au fond des gorges de la Massa. Nous croisons chèvres et moutons qui finissent l’estive.



Nous franchissons  la passerelle de la Massa (124 de longueur et 80m de haut) pour atteindre la forêt d’Aletsch dans laquelle nous découvrons un vieux four à chaux.   



La montée continue  dans le mélézin où nous sommes accompagnés par le Casse noix moucheté, oiseau emblématique des lieux.



Arrêt à la Villa Cassel (Riederfurka), bâtiment d’exception (propriété de ProNatura) où nous dégustons thé des glaciers et délicieuses tartes aux pruneaux.



Puis nous descendons sur Riederalp pour passer la nuit à la Toni Berghaus.



Le deuxième jour commence par une variante qui nous mène au sommet du Riederhorn où nous avons failli perdre Christelle qui nous revient les lèvres bleuies par les myrtilles.  Puis nous nous  engageons sur la crête de la moraine  pour commencer notre face à face avec le glacier d’Aletsch qui se terminera en fin de journée à Märjelenseen.



Nous logeons à la Gletscherstube au pied de l’Eggishorn.



Nous entamons le troisième jour par un petit détour à La Platta pour contempler une dernière fois le glacier d’Aletsch et les sommets environnants. Revenant sur nos pas, nous descendons par un joli sentier qui nous mène au pied du glacier de Fiesch. Nous continuons  la descente à travers les roches moutonnées de la moraine pour finir notre randonnée à Fieschertal.



Toutes les participantes remercient chaleureusement Bruno pour sa parfaite organisation et toutes ses explications sur la glaciologie et le félicite pour ces progrès en suisse allemand !



Pour finir, nous remercions tous le soleil de nous avoir accompagné durant ces trois jours.



L’équipe


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TC 10 La Vue-des-Alpes - Lignières

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Wiwannihorn

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4 jours à Cogne (parc nat. du Gd. Paradis)

Mardi 8 septembre : 6 jeudistes prennent la route pour le petit village de Lillaz 1600m, dans la vallée de Cogne. De là, nous montons au lago de Loie 2350m pour un arrêt piquenique et repos. Nous passons un petit col à 2400m, redescendons  par  l’alpage de Bardonnet sur Lillaz. En route un sentier fermé nous fait faire un détour d’une demi-heure (accepté avec bon humeur par des jeudistes dynamiques). Nous redescendons par les cascades de Lillaz pour nous retrouver à Lillaz, reprenons les voitures pour rejoindre Gimillan 1800m où se trouve notre hôtel.

Mercredi 9 septembre : Départ pour le point le plus haut de notre séjour : La Punto Tsa Sètse…. Sur le terrain elle n’existe pas, par contre nous trouvons la pointe sèche, et encore un autre nom que j’ai oublié…. Il faut dire que nous sommes au carrefour de 3 langues : l’italien, langue officielle, le français, langue parlée couramment par les autochtones et un patois franco provençal encore utilisé fréquemment par les gens de la vallée. C’est sûrement pour cela que, arrivés sur un petit col, nous pensions avoir atteint notre but. Grâce à un jeudiste explorateur, nous nous sommes rendu compte qu’il nous restait encore quelques pas à faire avant notre destination, culminant à 2824m.



A l’arrivée, le Garmin spécial course  d‘un participant indiquait un dénivelé de 1'200m



Jeudi 10 septembre : Visite de la vallée du Grauson, sortie à option pour des jeudistes plus ou moins fatigués. Nous rejoignons le lac Coronas 2702m, où nous faisons notre pause repas, certains avec des sandwiches préparés avec amour par notre hôtesse……  Un big mac a l’allure d’un nain à côté de ses sandwiches.  De là, 2 jeudistes redescendent vers le rifugio Grauson pour attendre les 4 autres qui ont fait le détour par le lac Lussert où l’œil de lynx de Hausueli repère des bouquetins sur une crête  lointaine. Regroupement au rifugio  Granson pour redescendre à Grauson dessous, où une nouvelle scission va avoir lieu : 2 jeudistes aux pieds un peu lourds et l’esprit cueilleur descendent le chemin normal vers Gimillan alors que 4 autres, jamais repus de pas, prennent le chemin balcon de la rive gauche.



Vendredi 11 septembre : Dame météo nous incite à un départ un peu plus hâtif que d’habitude, et, bagages chargés dans les voitures, nous partons pour Valnontey, petit village au sud de Cogne. De là, nous nous rendons au rifugio Vittorio Sella, 2600m, dans le but avoué de prendre notre repas de midi avant notre retour  en Suisse. Hélas, dame météo et l’allure guillerette des jeudistes enthousiastes nous ont piégé : en partant plus tôt, nous arrivons à 11h15 au refuge. Ils ne servent à manger qu’à partir de 12h. Nous nous contenterons d’un morceau de tarte et prenons le chemin de la descente, ceci afin d’éviter une pluie annoncée pour le début de l’après-midi. Nous arrivons secs aux voitures et, remontant la vallée d’Aoste, nous nous retrouvons à St Rhémy en Bosse pour goûter les spécialités de la vallée.  Pour Jacques qui a vu sa voiture refuser de retourner en Suisse, les spécialités ont eu un goût un peu amer !



Nous avons laissé Jacques redescendre à Aoste avec la dépanneuse et, un peu serrés dans la 2ème voiture nous arrivons à Neuchâtel vers 19h00.



Jacques sera amené en taxi à Martigny ou le train le ramènera auprès de son épouse.



René Miorini


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Le versant ensoleillé du Rigi

Oh la belle course d’école organisée de main de maître par 2 enseignantes épanouies, heureuses et retraitées qui n’ont pas perdu la main. 

Nous avons pris le train, le bateau, un train à crémaillère et un téléphérique privé (depuis Hinterbergen jusqu’à Vitznau). 



Le versant ensoleillé du Rigi n’était pas trompeur. Le titre de la course était vendeur mais correspondait au descriptif de nos GO.



Jolie montée dans les sous-bois.



Pas de dessert, pas de café mais un Sentier panoramique au dessus du Vierwaldstättersee de toute beauté avec des couleurs bleues sur le lac, dans le ciel, sur les t-shirts et les gentianes asclépiades.



Nous avons également admiré les roches poudingues. 



Le Rigi est aussi appelé la Reine des montagnes. C’est là que le tourisme a commencé avec la construction du train en 1870. La reine Victoria s’y faisait monter en chaise à porteur. 



Les 12 Dames.



 


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Dent de Lys en boucle

Notre course du 10 septembre à la Dent de Lys

Nous sommes 4 personnes. Nous nous parquons au lieu dit les Guédères et grimpons à travers champs en direction du Col de Lys. De là nous



commençons l’ascension par un chemin très étroit assez direct en partie équipé de chaînes. Au sommet à 2014 m d’altitude, belle vue aérienne



sur de nombreuses préalpes : le Moléson, le Vanil blanc et au loin le Grand Combin et Dents du Midi entres autres. Après un casse-croûte,



nous descendons l’autre cîme toujours sur notre sentier étroit et aérien en admirant le paysage grandiose. En bas nous longeons la



réserve du Grand Sex que nous partageons avec un troupeau de chamois et quelques marmottes bizarrement noires. Nous remontons



jusqu’au col de Lys en admirant une ancienne métairie au toit de bardot et rejoignons notre voiture.



Merci à Claudine et André pour cette belle journée ! Jacqueline