Les Courses > 2020
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Zeige Album

Tour du canton, 7ème étape La Brévine/Les Brenets

Départ sous un soleil radieux et un ciel sans trace de nuages. Certaines de boucler ces 6h de marche sans problèmes, nous longeons la frontière au rythme des bornes restaurées qui longent le sentier. Après un pic nic au sec nous poursuivons notre route sous les premiers grondements de tonnerre en espérant que l’orage daigne ignorer notre groupe et passe son chemin. Le ciel en a décidé autrement et nous patientons un bon quart d’heure, stoiques, de moins en moins protégées par le couvert forestier. C’est à regret que nous avons du interrompre la course à 30mn du col des Roches et sauter, trempées jusqu’aux os, dans le premier car postal croisé. Malgré ces conditions, une belle sortie dans une ambiance très chaleureuse.

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Aig. Baulmes-Suchet (1587m)

Une jolie course avec un itinéraire original, deux sommets, des sentiers bordés de fraises des bois, myrtilles, framboises (pas encore mùres) et thym serpolet, et une équipe dynamique et pleine de bonne humeur, ainsi qu un soleil généreux. Pas besoin d’aller loin pour être heureux !

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Visite à la Cabane du Vélan (2642m)

IlNiSuite à plusieurs désistements, les trois participantes restantes décident de mettre les bouchées doubles et de faire non pas un, mais deux jours de randonnée autour de Bourg-St-Pierre. 

Le premier jour, nous nous mettons en route pour la cabane du Vélan comme prévu. Dès le début de notre randonnée, les prairies fleuries nous en mettent plein la vue. Passé l'alpage de Cordonna, nous admirons quelques "stars" alpines : rhododendrons, orchys tachetés et vanillés, asters, arnicas et last but not least lys martagons, et nous rendons compte que les Alpes nous ont bien manqué pendant trois mois ! Nous poursuivons notre randonnée au milieu de troupeaux de vaches bienheureuses et sommes contentes des installations mises en place pour traverser les torrents qui s'en donnent à cœur joie en cette saison. Après avoir traversé le torrent du Valsorey, nous pique-niquons adossées contre une dalle, avant d'entamer le raidillon qui nous amène à la cabane du Vélan.



Les gardiens sont toujours d'excellents cuisiniers et c'est avec délectation que nous dégustons leur fameuse tarte aux abricots du Valais ! 


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Augstmatthorn en boucle

La crête du Chasseral en remplacement

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Chaîne panoramique Uranaise

Chaîne panoramique uranaise 2020_07_06-08 ; rapport.

7 participants Jeudistes jouissent d’un beau temps pour cette randonnée alpine T4 en trois jours : 2 nuitées à la Salbit, puis Voralphütte et un passage à la Bergseehütte.



Gare CFF de Neuchâtel : suppression du train ICN : Nous arrivons avec 1h de retard au cœur de la Suisse en prenant le chemin des écoliers avec patience et masqués en changeant 7x de moyens de locomotion.



Le 1er jour nous effectuons de Goeschenen (1120m) la montée raide et constante à la Salbithütte (2100m) dans les 3h 20 prévues (↑1033m, ↓30m).



Nous assistons proche de la Salbithüute au Gruebenseeli l’après-midi du 1er jour au subit encombrement de la vallée de Goeschenen par des nuages denses et basses, impressionnantes sans pluie durant quelques heures dues à un phénomène météorologique : la forte bise sur le plateau suisse encombre cette vallée.



Le 2e jour équipement avec baudriers et longes (en location pour certains),  nous quittons avec un dernier regard sur la vallée d’Andermatt. Nous empruntons le passage sous les fameux Salbitschijen des varappeurs. Le chemin noous mène en bleu/blanc sur le pont suspendu qui fête cette année ses 10 ans d’existence, divers échelles dont une de 45 mètres et des passages à câble et même avec encore un névé glacé (le 7.7. !). Le passage est mal sécurisé car dans ce couloir des chutes de pierres endommagent facilement toute intervention humaine. Avec l’entraide entre nous, nous passons péniblement cet endroit scabreux. Le bivouac des grimpeurs est fermé pour des raisons de sécurité sanitaire dues au Covid. Nous prenons tout notre temps et des pauses à travers des prairies fleuries et des pierriers à petits blocs granitiques pour atteindre  la Voralphütte en envoisinant 7 heures (↓↑850m).



Dans les deux cabanes l’accueil est chaleureux et Covid-compatible avec isolation social des tables, un service individualisé et de la place dans les dortoirs et chambres ( !). Les repas étaient bons et la cave à vin des deux cabanes bien ravitaillée). Il y a moins d’occasion de faire des connaissances entre les équipes de montagnards, d’échanger et de fêter le soir sauf pour nos i-phones….



Au râtelier de recharge électrique dans les deux cabanes par Bluetooth interposé nos engins (2e cerveaux, téléphone d’urgence de la REGA et GPS) se béquettent durant des heures et mettent l’application SwissCovid à rude épreuve.



Le 3e jour nous partons tôt craignant les deux névés (à neige ramollie) restants avant les deux cols à franchir. Depuis la Voralphütte (2130m) le soleil levant sur le Sustenjoch et la chaîne du Sustenhorn. Des abondants ruisseaux glaciaires sont franchis et montée constante au Horefellistock (2581m). Le chemin est entouré de Soldanelles et leurs jupons jonchent  le sol du chemin.



Nous traversons une longue cuvette avec de la roche moutonnée et de la rocaille jusqu’au Bergseeschijen avec vue sur le chemin panoramique de la 2e journée et la vallée de Voralp. Quelques Cressons de chamois épars. Dernière ascension périlleux ou chacun cherche son bonheur de voie, car le bleu/blanc indiquant le chemin est toujours noyé dans la masse de neige. (Lors de la reconnaissance une semaine plus tôt le même chemin m’avais pris 3h de plus qu’indiqué, les névés ont noyé tout le tracé).



A travers la lucarne du Col Bergseeschijen (2600m), vue sur le Damma-et Galenstock et en contrebas sur le Goescheneralpsee. 60 m de descente vertigineuse câblée puis des champs d’immenses rochers , puis de la caillasse que chacun franchi à sa guise(comme du temps de saute-mouton).Après la soupe à la Bergseehütte descente rapide en serpentins à travers une flore abondante et généreuse et des rochers moutonnés en forme de baleine à eau lisse jusqu’au barrage (1780m) en 6h 40 (↑810m,↓1140m).



Nous arrivons à Neuchâtel à l’heure prévue sans heurts, sain et sauf avec seulement un Steristrip moins dans la réserve sanitaire. Merci à tous de votre compagnie et bienveillance.



Hansueli Weber                                       St-Aubin – Sauges, le 14.7.2020


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Combe de Biaufond

Mercredi 8 juillet : boucle La Chaux-de-Fonds – Biaufond - Cul des Prés - La Chaux-de-Fonds

Bas les masques… Après un trajet en transport publics, nous découvrons le visage de nos compagnons du jour! Vers 9h00, la joyeuse équipe quitte l’hôpital de la Chaux-de-Fonds et part à travers les pâturages et champs du Valanvron jusqu’à la Roche Guillaume. Une petite pause, le temps d’admirer le magnifique coup d’œil sur la Rasse, au bord du Doubs et Fernet-Blancheroche en France voisine, et nous voilà repartis en direction de Biaufond. 



Nous longeons ensuite la Ronde, dont la forêt aux arbres moussus semble enchantée.  Nous pique-niquons au-bas des échelles de la Combe de Biaufond. La montée sur ces échelles bien aménagées est agréable. Nous bénéficions toute la journée de la fraîcheur de la forêt. Nous débouchons sur le Cul des Prés et son petit lac, sur la commune des Bois. 



Christelle, notre cheffe de course, nous guide ensuite à travers la Combe du Valanvron pour rejoindre La Chaux-de-Fonds, les pieds fatigués mais heureux d’avoir partagé une si belle journée en bonne compagnie!



Martine Rouiller