Les Courses > 2023
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Zeige Album

Ärmigchnubel en traversée

Une traversée, c'est toujours une superbe course : monter par la vallée de kandersteg et redescendre dans le kiental, forcément une belle promesse si la météo et la neige sont de la partie.

Dans le train qui nous emmène au départ les discussions sur la météo vont bon train: jour blanc ? Brouillard? Ou grand beau ? 



Au départ à mitholz grand beau (mais froid) du coup on ne traîne pas. La montée d'abord à l'ombre est magnifique  avec les cascades de glace et cette neige immaculée.



Lorsque nous arrivons au soleil après 2h de montée il est temps d'apprécier la première pause. Nous réaliserons plus tard que ce fut aussi la dernière en effet, 30min plus tard en nous retournant nous voyons les nuages monter de la vallée donc pour éviter le jour blanc à la descente on accélère. Sous le sommet la bise se joints au soleil pour nous frigorifier empêchant le pique nique. Juste le temps de faire la photo et nous entamons la descente dans une poudreuse non tracée



Oui vous avez bien lu : soleil neige poudreuse non tracée. Mais où est l'erreur ? Simplement l'absence de sous couche : les virages magiques sont ponctués des scrrrrr caractéristiques mais pas se quoi gâcher la bonne humeur.



Enfin nous arrivons au passage clé de la course, un couloir raide étroit mais court. Par chance, les nuages nous atteignent juste au moment où nous avons trouvé son entrée. Le temps de voir Suzanne descendre en petit virages, les autres descentes s'effectueront dans le secret de chaque skieur même si le dérapage semble avoir été la technique favorite de la majorité.



Fin de l'histoire.



Enfin non, ensuite s'ensuivit un supplice pour les skis / un slalom spécial ski caillou qui nous ramène à une route



Dans le dernier champs, les techniques sont variées : qui ski normalement, qui ski lentement en essayant de deviner la position des cailloux. Personnellement j'opte pour la descente à pied: aussi rapide et préservant les skis des requins.



Nous arrivons à 14h45 à kiental, le temps d'engloutir nos pique niques et de sauter dans le bus: la bière attendra Berne!



Un grand merci à Laurence et Suzanne pour ce bon ski (mis à part la fin)  et ces beaux paysages !


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Marche puis visite du « Festival des Lumières » Mo

Fêtes de lumières à Morat

Sortie un peu hors des sentiers battus, quoique!!!



Le chemin, nous l’avons emprunté après un court trajet en train. La vingtaine de participants a marché au bord du lac dans la forêt dénudée entre Sugiez et Morat juste avant la tombée de la nuit. Puis avec le plan reçu, chacun a pu déambuler dans la ville selon ses envies et au gré des couleurs et des musiques douces de la fête.



L’ambiance feutrée et agréable nous a permi d’apprécier toutes les performances des différents artistes.



Le retour s’est fait en train avec des souvenirs plein les yeux.



Les participants



 


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Pointe d'Euzanne (2326m)

L’aventure commence au café à Bex, seule femme, la serveuse incite fortement un membre à m’offrir le croissant. Choc et fou rire, encore merci, hi.

La suite, c’est une montée entourée de grands sportifs, qui papotent toute la montée sur le chemein de forêt, de vrais pipelettes, hi.



Des convertions au milieu des mélèzes, dans une belle neige, offrent un peu de sueur à certains… et nous ammène devant un panorama éblouissant avec en deuxième plan, un joli croissant de lune. Une pause thé et fruits secs, la dernière avant le sommet.



Des convertions sur le triangle de neige qui nous mène au sommet de la pointe d’Euzanne, magnifique et vertigineux. Nous profitons d’un magnifique panoram avec devant nos yeux, tout près, le grand et le petit Muveran, la dent Favre et d’autres encore. Après les sandwiches et le thé, on s’équipe pour la decsente avec très peu de place et le vide au dessous, faux pas déconner, deux ski c’est mieux pour descendre.



Une neige magnifique pour descendre, un peu de carton, un peu de dure et surtout une tonne de poudre… comme moi, je vole pas sur la neige, je souffre un peu des cuisses et genoux à brasser toute cette neige… d’autres planent sur la neige…



et ne pas oublier, la bière artisanale à la Brasserie des mines à Bex.



Encore un joyeux anniversaire à Pascal.



et merci à notre super guide et son adjoint ( je déplore une petite réflexion sexiste quand même, hihih), à l’écoute de son équipe et même pas besoin de réclamer les pauses thé-biscuit, elles arrivaient à point nommé. Merci pour cette joyeuse et magnifique sortie. Bises



Janine



 


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Schwalmere

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Dent rouge par le col des Pauvres

Dent Rouge.

Et pourtant tout avait bien commencé…un coorganisateur nommé Guillaume qui ressemblait à Brad Pitt…selon  les messages et photo échangés par messagerie la soirée précédant la sortie. Votre serviteur jaloux comme poux et complexé comme je ne sais quoi, fut en même temps soulagé et déçu quand au matin, il découvrit dans le train Lausanne-Bex, que de un, le dis Brad n’avait rien d’un Pitt, de deux l’épatante naïveté rarissime de votre dévoué, de trois que le ridicule n’a jamais tué personne.



Ce qui ne m’empêcha pas d’aller discrètement bouder quelques minutes dans les luxueuses toilettes ferroviaires. Mais, je sort de la trace. Dans un élan diplomatique indéniable et louable, comme pour effacer la supercherie, le dis Guillaume en montant dans le bus pour les Plans, s’enduisit copieusement de crème solaire indice 200 et avec l’empressement de celui qui cherche à se faire pardonner me proposa le partage de la grosse noix d’enduit solaire (une tradition Lausannoise semble t’il) Devant sa peine à l’étaler et la pâleur soudaine que pris sa figure, je dus à regret décliner sa généreuse proposition.



Sur ces quelques détails de moindres importance, nous entamâmes une montée victorieuse vers les divines hauteurs du vallon d’Euzanne orienté nord et bien à l’abris de l’astre solaire (indice 200, blancheur extrême, rappelez-vous) Ce fut une équipe joyeuse et affamée qui arriva au col des Pauvres (c’est qui le cartographe…) Après un richissime pique-nique et un essai de masque solaire aluminium dernier cri, la montée vers le sommet ne fut plus que du bonheur en bleu et blanc.



Après le selfie sommital traditionnel et dans un même  élan, nous plongeâmes avec volupté dans les dernières parcelles de poudreuse recouverte de givre divin.  Des cuisses en feux pour certaines et des courbes orgasmiques pour d’autre, du tricotage entre les mélèzes dans cette lumière du jour finissant et ce givre (oui je me répète…) métamorphico-magique firent de cette descente un pur moment de plénitude.



Nous nous laissâmes glisser direction  cacao, café et vin chaud en attendant le bus précis et ponctuel. Un train spécial nous attendait en gare de Bex et dans ce joyeux babille typique des fins de journée de ski réussie, nous ne pûmes retenir quelques pieds de nez et autres gestes, d’une audace des plus folle, lorsque nous aperçûmes le gros bouchons, que dis-je l’occlusion, déjà en place sur l’autoroute du Chablais.



Quelques verrées plus tard, nous nous séparâmes de Guillaume et Isabelle, puis Hélène et enfin Fanny, Clara et votre serviteur. Merci à toute et tous pour votre joie de vivre et particulièrement merci à Hélène et Guillaume pour l’organisation.



Vincent


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Noiraigue-Le Couvent

Entre Noiraigue et la Cabane Perrenoud, l’admirable paysage de montagne enneigée récompense l’effort consacré à la montée des 14 contours. La neige bien froide crisse sous les raquettes, les arbres sont recouverts de neige, les arbustes de givre. Sur le plateau du Creux-du-Van, le brouillard porté par la bise se déchire et les lunettes de soleil sont tirées des étuis. Un bouquetin mâle solitaire nous regarde passer, puis semblablement deux chamois. Côté Est du Creux, le brouillard se fait à nouveau dense. Depuis la Baronne, la piste de ski de fond nous guide jusqu’à la Cabane. Chaleur du poêle, accueil amical et soupe bien chaude requinquent les corps et les esprits. Départ pour rejoindre la ferme Vers-Chez-Amiet. Un sac à dos est oublié, vite récupéré. Dans le brouillard, on se perdrait facilement sans l’ami GPS. Direction sud-est à travers les pâturages boisés, des Prés Cornu aux Prés Cretegny, puis Bellevue et le petit sommet du Truchet (1369m). La ligne droite tracée sur la carte n’en est pas une sur le terrain. Charme d’un itinéraire qui fait la part belle à la lecture des creux et des bosses, des bois et des prés. Le soleil réapparaît. Les sapins étincellent. Les appareils de prise de vue crépitent. Virage en direction nord, descente par les Prises Gaille, croisement avec la piste de ski de fond, traversée de la ferme Vers chez Sulpy, et voici enfin Le Couvent. La course a été longue et éprouvante pour les articulations. Une descente à ski la prochaine fois ? Le Bus des Neiges, dont la conductrice a aimablement adapté son horaire au nôtre, nous descend à la gare de Couvet. Merci à toutes et tous de cette belle journée et bonne humeur partagées. Marie-Claude