Les Courses > 2023
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Cours grimpe alpine - Initiation

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Zumsteinspitze 4562 m

Recit Course Zumsteinspitz 4569

 



Jour1



Route vers la Monte Rosa Hutte



Après un voyage où les membres de l’équipe se sont petit à petit retrouvés dans le train, on a commencé notre préparation au glacier sur le panoramaweg qui porte à la cabane.



 



Jour2



Réveil sympa à 1h50 pour le déjeuner des champions à 2h.



L’équipe se prépare pour un départ à 3h muni de lampe frontale. Après une petite approche d’une heure on rejoint le glacier, qui sera notre copain de course jusqu’au sommet, 1809 mètres plus haut. 



On a un peu perdu le nord dans le noir entre les crevasses - chose qui nous a permis de nous entraîner à la cascade de glace (bonus pour une seule cordée, la cordée emmène par Jeanda)



Trois faux sommets nous ont accompagné tout au long de la montée, éclairée par les premiers rayons du soleil.



Vers les 3800 on a commencé à sentir les effets de l’altitude et du hors-piste dans les crevasses initial, c’est là où  il y eu un mélange de style entre une cordée du kilomètre vertical vs la cordée des conversions.



 



Finalement arrivés dans le soleil tant désiré On a été accueillis par des rafales de vent qui dégageaient bien le ciel mais qui menaçaient aussi de nous ramener à Zermatt en un temps record.



 



On cherchait la force dans l’espoir d’un spritz à la Capanna Margherita 



 



Pour rejoindre le col il y a eu quelque bouchon entre les cordées qui descendaient et d’autre qui montaient mais une fois arrivés sur la crête il n’y avait plus personne et le sommet était que pour nous.



Au sommet vierge de monde/désertique nos espoirs d’un Zumsteinspritz se sont métamorphosés en fée verte, merci Jeanda (d’avoir assouvi notre soif).



 



M



 



12h30, plus tard, à 15h30, après quelques ponts de neige évités, on a finalement franchi notre deuxième objectif de la journée : le retour à la cabane. Hamac, panachés et shocoladenkuchen nous attendaient.



 



Quelques-uns d’entre nous, pas rassasiés par la course du jour, ont décidé d’aller faire une cryotherapie au lac… la mare « proche »  de la cabane.



 



Jour3



Magnifique retour sous la pluie et l’orage, en 3h15. Les cordées se sont formées de nouveau pour une dernière marche sur glace entre les crevasses.



Arrivés pile poile pour le déjeuner, le groupe A bien décidé de couronner les trois jours sur glacier par une fondue à Zermatt.



Rédactrices/eur Tania, Corinne, Aline, Oskar


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Trail - Mürren (BE) / Kandersteg

Dû aux flocons de neige dans le jours précédents à la Blüemlisalp, nous avons changé l’itinéraire et fait une partie du Chemin de Crêtes du Jura, depuis Balm bei Günsberg jusqu’à Bienne, en finissant par les gorges du Taubenloch.

L’orage nous a tombé dessus, et cette eau a fait que les gorges étaient superbes, un vrai plaisir de les avoir parcourus dans ces conditions.


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Plaine de la Greina et Piz Terri (3149m)

Retour dans la magnifique région de la Greina pour tenter une nouvelle fois l'ascension du Piz Terri.

Après 5h de transports publics, sommes tous contents de nous dégourdir les jambes avec la montée à la cabane Motterascio depuis le lac de barrage de Luzzone. Après avoir déposé nos sacs à dos à la cabane et nous êtres désaltérés avec une bonne bière, nous partons avec nos maillots de bain à la découverte des alentours : baignade dans le petit lac situé derrière la cabane et balade jusqu'à une forêt de cairns. Retour à la cabane pour un bon souper tessinois de risottos.



Le temps est toujours avec nous pour le deuxième jour et nous nous mettons en route pour l'ascension du Piz Terri. Montée d'env. 1h½ jusqu'à un col où nous faisons un dépôt de quelques affaires inutiles pour gravir le sommet. La suite est plus engagée et expo avec un peu d'escalade facile, une petite cheminée et le parcours sur l'arête ouest du Piz Terri, où il ne faut pas faire de faux pas. Au sommet, nous sommes récompensés de nos efforts par une vue époustouflante à 360°. Nous restons bien concentrés pour la descente jusqu'au col, qui se fait par le même itinéraire. Pique-nique et petite sieste au pied de notre sommet du jour, avant de descendre par le Val Canal et son splendide lac de montagne jusque dans la Plaine de la Greina et de rejoindre la cabane Terri. Pas de baignade ce soir, mais nous profitons de la tourte aux noix des Grisons et d'un apéro convivial, avant un nouveau souper risotto.



Après une nuit animée par le vent, nous nous mettons en route sous un ciel couvert, après avoir ajusté nos pèlerines. Montée de la magnifique plaine de la Greina avec quelques faibles pluies et pas mal de vent qui s'engouffre dans nos pèlerines. Au Col de la Greina, nous renonçons à faire le détour par l'arche, qui est dans le brouillard, et rejoignons la cabane Scaletta pour un petit café, le temps que le gros des précipitations passe son chemin… Descente le long du Brenno de la Greina et de ses superbes cascades avec des éclaircies de plus en plus généreuses. Nous accélérons un peu le rythme dans la dernière heure de marche pour attraper le bus de 15h à Campo. La glace (plutôt que le verre) de fin de course se dégustera pendant le long voyage en transports publics qui nous ramène à Neuchâtel.



Bravo à toute l'équipe pour l'ascension du Piz Terri et merci pour votre très agréable compagnie pendant ces trois jours. On se réjouit déjà de revenir dans cette superbe région pour d'autres aventures alpines !



Christelle



 


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La Ruinette (3875) avec approche à VTT

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Gehrihore - Sattelhore

Chers lecteurs et chères lectrices,

Par ces quelques lignes, je souhaite partager avec vous la magnifique journée de ma randonnée au Gehrihore – Sattelhore , accompagnée par six filles bien sympathiques.



Nos guides, Christine et Geneviève ont eu la chance de choisir le seul jour de la semaine ensoleillé et sans pluie. Quel flair ! L’aventure commence…



Le télésiège rustique de Kintal nous amène très lentement à Ramslauenen (1405 m), le lieu de notre départ.



La vue sur les montagnes de l’Oberland bernois est bien dégagée. Blüemlisalp est bien enneigé, lac de Thoune se présente dans toute sa splendeur et Niesen, que l’on dirait un peu fâché, nous montre son côté moins connu.



En voyant le Gehrihorn (2130m), la première corne qui ressemble à une dent de requin, je me suis posée la question, « à quelle sauce serai-je mangée » ?



Suivant les pas agréables de Christine, nous traversons les pâturages et les forêts de Rüederigs.



La montée, un peu raide et en grande partie exposée au soleil, nous fait transpirer.



Après une heure de marche et 400 m de dénivelé, un entracte s’impose. Le groupe est bien homogène, la cadence parfaite. Bravo les filles !



Posées à l’ombre, entourées d’herbes fraiches et quelques petites chanterelles, rafraîchies par un doux vent de crête et bercées par les cloches des vaches, nous admirons le paysage.



C’est idyllique !



L’ascension du Gehrihorn se poursuit encore sur 200 m. Ça y est ! Nous y sommes.



Après un court laps de temps, suivant cette fois-ci la bienveillante Geneviève, nous descendons.



La descente en T3 est assez exposée, bien aménagée (les cordes, les câbles et l’échelle) tout pour me plaire. Elle continue sur les pâturages des moutons, sous la crête vers Grathütte – une petite cabane momentanément fermée (2079m).



Le temps de pique-nique ne nous permet pas seulement de nous sustenter mais également de nous émerveiller devant d’incroyables vues sur le Kandertal et le Entschligetal.



Entre le Gehrihorn et le Giesegrat (2306 m), nous marchons sur des flancs escarpés. Un petit passage technique avec des cordes et une courte échelle verticale nous permet rapidement de gravir notre dénivelé. En peu de temps, marchant sur les pentes herbeuses nous nous retrouvons sous la grosse bosse de le Sattelhorn (2376m)



Contentes d’arriver à notre point culminant, nous admirons les massifs de Doldenhorn, de Balmhorn.



La descente dans la vallée du Bachligrobe est très longue et laborieuse cela dû au passage des troupeaux de vaches, aux barbelés omniprésents, par-ci par-là, et aux genoux déjà bien fatigués.



Depuis l’alpage Ober Gumpel nous descendons sur des gravats et des caillasses, cherchant désespérément les chamois craintifs mais nous croisons que des chèvres intrépides.



Suivant le ruisseau, complètement asséché et sa gorge tristement vide, j’ai envie de crier, hurler même. Au secours !!!



Nos derniers pas, traversent la forêt magique du lutin Kien Zappu qui espère fortement que la nature va reprendre ses droits…



Merci à Titine et Gene, d’avoir été là pour nous.



Prenez soin de vous et profitez de la vie...



Amicalement.



Malgorzata