Les Courses > 2023
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Ski de fond

Par une belle journée ensolleillée, dans la forêt du Risoux français entre Bois d’Amont et les Rousses, nous avons parcouru les 24 km au programme pour certains en classique et pour d’autres en skating dans de bonne condition d’ennneigement. Nous avons passé par les chalets des Ministres, Bonnefoy (pause de midi) et chalet Rose. Cet intinérair à recommandé quand les conditions de neige sont limites. Un grand merci aux participants pour le partage de cette magnifique journée.

André


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Tête à Josué 2131m

14.02.2023  /  Tête à Josué (2131m) en remplacement des Monts Chevreuils

Suite à une reconnaissance de l’itinéraire des Monts Chevreuils qui a permis de constater les mauvaises conditions de neige, Claudine et Andrew nous ont proposé d’aller à la Tête de Josué depuis l’Etivaz.



Une nouvelle interdiction de circulation sur la route qui mène à Pâquier Mottier nous contraint de commencer à pied peu après l’Etivaz (1160m).



Beau temps, -2 degrés, pas de vent, une sympathique équipe de sept personnes motivées : la journée s’annonce sous de bons augures.



La montée, au début sur un large chemin, est facile avec, toutefois, une neige très tassée et parfois dure. Depuis le Chalet des Crosets (1623m) jusqu’au sommet la pente se redresse et la neige compactée par les nombreux passages impose de bien utiliser les carres et contraint à quelques conversions héroïques, mais sans danger. Cela n’a pas empêché de discuter et d’apprécier le magnifique paysage.



Au sommet, sans vent, nous nous offrons une longue pause en espérant que la neige se transforme en neige de printemps. En fait, la descente se fait plutôt sur une neige dure comme sur une piste de ski. Quelque-unes-uns affrontent les pentes zèbrées par de nombreuses traces de ski avec un succès mitigé ! Il faut même parfois descendre en chasse-neige sur d’étroits chemins, ce qui maltraite un peu les cuisses.



Un arrêt roboratif à L’espace Gourmand à Villars-sous-Mont a agréablement clôt cette sortie.



Bravo et merci à Claudine et Andrew d’avoir su trouver une belle course faisable malgré les conditions de neige qui se péjorent en raison du réchauffement des températures.



Jean-Michel


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Ski de fond sur la GTJ franco-suisse

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Wiriehore (2308m)

Dent de Morcles en remplacement 

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Aiguille des Sasses



Comme avant tout décollage , ça commence par un café au calme dans le val de bagne , retrouvaille d’anciennes têtes et découverte de nouvelles , direction l’Italie.

Le départ est lancé par la longue et monotone marche direction la porte d’embarquement vers l’étranger , l’hospice du grand saint Bernard .

Avec sylvain  nous connaissions les machines bien huilées que sont Christophe et Manu , le décollage est toujours bien rapide , et nous étions prêts à enclencher le rupteur , mais cela peut parfois étonner  les nouveaux passagers.

Premier dépeautage et passage de frontière avec une jolie descente bucolique en direction de saint Rhemy , une impression de voyager dans le temps à travers ces postes frontières, vieux hôtel et restaurant abandonné , c’est magique.

Deuxième décollage direction aiguilles de Sasse , et là c’est partit pour le long courrier , attacher bien vos peaux et chauffer vos mollets de pinsons... (comme dit le pilote).

Le mal de l’aire ( et les crampes ) de Maryline ne la quitteront pas du voyage , mais son courage et sa détermination la mèneront à bonne destination , Éric de retour sur ces terres natales chantonne comme un bon hôte de l’aire, Manu a son énorme valise bien rangée et étonnamment , une fois n’est pas coutume, bien réglé sur ces épaules et Christophe en pilote dicte le rythme et la direction.

L’arrivée au sommet est magique , un super panorama sauvage sur la France , l’Italie et la suisse s’offre à nous en toute solitude !

Nous allons profiter d’un calme atterrissage, pour perdre un peu d’altitude, sur une jolie moquette parsemée de quelques turbulences neigeuses.

Avant le 3 eme décollage , et repeautage, nous avons même le temps pour une pause casse croûte sous le soleil italien.

Dernière correspondance direction l’hospice  sous un doux et brûlant soleil avant un dernier atterrissage direction la bière aux grappefruit ( c’est important de s’adapter aux coutumes locales ) et les frites mayo-ketchup (c’est important de garder ces vices suisses).

Une grand merci à tous pour ce beau samedi de  voyage et je me réjouis déjà des prochaines destinations ,

Déborah

 

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Eison-Cabane des Becs de Bosson-Sasseneire

Il fait chaud, chaud, chaud et la neige est rare à basse altitude; impossible de débuter notre week-end à Eison comme initialement prévu. On prend les installations à Grimentz et on bascule dans le Val de Réchy par le col du Louché. De là, nous descendons jusqu'à mi-longueur du vallon vers un pont sur la Rèche à 2333m. Nous remontons sur le flan opposé, puis cassons la croûte confortablement assis sur les rochers sans neige du sommet sans nom entre le Mont Gautier au nord et la Pointe de Massery au sud. On skie une belle pente ouest donnant sur le Val d'Hérens avant de remettre les peaux pour rejoindre la cabane des Becs par le Pas de Lovégno.

Le soir après souper, on découvre que l'université n'est plus du tout une garantie pour savoir chibrer, et que la formation hiver des chefs de course comprend, en plus des savoirs sur la conduite de courses en montagne, également quelques techniques roublardes pour jouer avec les cartes écornées des cabanes (“Celle-ci là, t'as quand même compris que c'était l'As de trèfle ou bien?”).



Le lendemin matin, quelques bancs de nuage nous gardent au frais jusque vers neuf heures, puis à nouveau grand beau toute la journée. Nous montons sur le Sasseneire depuis le Basset de Levron en gravissant la face est. Nous rejoignons l'arète sud qui est bien déneigée et le passage se fait sans difficultés. Le panorama est somptueux : Weisshorn, Dent Blanche, Pigne d'Arolla, Aiguilles rouges, Mont-Blanc, en veux-tu en voilà. Alexandre nous déniche de jolis pans encore non skiés au NE, on remonte au Basset de Levron et on s'offre le sommet du Diablon pour midi et redescendons direction lac de Moiry sur une assez belle neige encore pas trop printanière.



De retour à Grimentz, on prend presque tout de suite le car postal pour Sierre car il n’y a pas plus d'une correspondance toutes les deux heures, ce serait trop facile (rhaa ces Valaisans!!). Mais pour le plus grand plaisir du plus jeune, on fait un plan typiquement étudiant : un 6-pack glacé pris au Volg de Vissoie et on boit la bonne bière de chantier au fil des épingles à cheveux dans un bus bondé. Merci à tout le monde pour ce chouette week-end et à nos chefs de course Alexandre et Bernard !



Tobias