Les Courses > 2022
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Zeige Album

Boudry - ferme Robert et retour

Pourquoi partir par un temps de pluies? Parce que les lunettes de soleil et la crème solaire ne sont pas nécessaires!

Une veste de pluie, des chaussures étanches et éventuellement un parapluie suffisent.



Toute l’équipe a apprécié la marche dans les feuilles, voir les gorges de l’Areuse depuis les hauteurs et partager ce moment en toute simplicité.



Un peu humide mais heureuses!



Les 9 randonneuses


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"Sécurité et culture du débriefing" pour CdC

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Alte Aare Weg : Aarberg – Büren an der Aare

Course A du 24 novembre 2022 : Alte Aare Weg

Aarberg – Büren an der Aare



13 Jeudistes ont participé à cette randonnée. Déplacement en train jusqu’à Aarberg. Le café-croissant dans la vieille ville au tea-room Steffen a été apprécié par tout le monde. Ensuite en route pour le pont en bois d’Aarberg, puis en suivant l’ancienne Aar jusqu’à Studen. Un excellent repas nous y attend au restaurant Florida dans un cadre confortable, avec une jolie vue sur une mare et des flamants roses. L’ancien cours de l’Aar étant à 50m, la reprise du chemin est facile. Nous arrivons avec un peu d’avance à Büren an de Aare, pour y reprendre le train, qui nous conduit à Neuchâtel, avec des changements à Lyss et Kerzers.



Temps nuageux dans l’ensemble, avec quelques gouttes à peine remarquées, et quelques percées bien timides du soleil. Température agréable pour une randonnée.



Nous avons parcouru environ 18.5 km en 4h30.



Merci aux participants pour la belle ambiance amicale et à Jean-Pierre Baer d’avoir œuvré comme photographe et de m’avoir secondé efficacement.



Alfred



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Alfred Strohmeier, alfred.strohmeier@gmail.com



Fixe : +41 32 725 51 68 / Mobile : +41 79 241 64 49



 


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2022-11-25-souper-fin-dannee-dames

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Onnens-Vaumarcus et sylviculture

Vaumarcus-Onnens

Mercredi 30 novembre : c’est un jour maussade, mais non pluvieux, éclairé tout de même par les dernières feuilles jaunes ou ocres encore agrippées aux arbres de la forêt. Nous avons marché de Vaumarcus à Onnens en passant par les gorges de la Vaux dont les berges raides sont couvertes de magnifiques langues-de-cerf et avons rejoint ainsi, sur les hauteurs, Martial de Montmollin, ingénieur forestier, qui nous a accueilli avec un généreux café-croissant et nous a présenté la station expérimentale qui se situe dans son arrondissement.



Au vu du dérèglement climatique, de l’augmentation de la température subséquente, plus importante en Suisse que la moyenne mondiale (une prévision d’une augmentation de 1° au niveau mondial, se traduit par une augmentation de 2° en Suisse), un certain nombre de questions se posent : quel est l’avenir de nos essences forestières ? Par quelles essences exotiques peut-on ou doit-on les remplacer ? Les arbres sont essentiels non seulement pour agrémenter nos promenades en forêt et favoriser la biodiversité, mais aussi pour la possibilité de leur exploitation– sait-on par exemple que l’utilisation du béton dans la construction nécessite des coffrages en bois en quantité comparable à celle du béton ? En réalité la grande difficulté consiste à planifier la plantation d’essences qui, d’une part doivent pouvoir s’adapter au climat actuel et qui, d’autre part, doivent pouvoir résister, se développer et constituer nos forêts jusque dans les 100-200 prochaines années.



Les expériences menées sur les plantations au sud de Mutruz incluent des essences telles que le Hêtre d’Orient (originaire des rives sud de la Mer Noire), le Tilleul argenté (originaire de l’Europe du Sud-Ouest), la Pruche de l’Ouest et le Thuja géant (tous deux originaires de la côte ouest des USA et du Canada), le Sapin de Turquie (originaire d’Anatolie du nord et proche du sapin de Nordmann - celui qui égaie nos Noëls !), et finalement le Cèdre du Liban (originaire d’Anatolie du sud). Certaines essences se sont très bien adaptées, notamment la pruche et le thuja. Les arbres vivant en symbiose avec des champignons, le sapin de Turquie a eu de la peine à démarrer entre autre car il n’aurait pas trouvé dans notre sol les espèces de champignons qui lui conviennent. Le cèdre a mal vécu la transplantation à racines nues, il a été replanté en container; il présente aussi un problème de dessèchement du bourgeon terminal. Toute la surface expérimentale est clôturée pour éviter l’abroutissement par les chevreuils dont le nombre sera peut-être un jour régulé par les meutes de loups…



La marche s’est poursuivie dans les bois jusqu’à Mutrux, puis par le contournement des Bioles en passant par de charmants sentiers tel celui de l’Epinette…Une journée magnifique, extraordinairement riche grâce à la présentation de Martial de Montmollin que nous remercions très, très chaleureusement !



Et surtout un très grand merci aux initiatrices et organisatrices, Danièle et Doris.



 



                                                                       Denise



 


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Mont Fourchon

De Solalex en direction du Col des Chamois

Beau temps, -10°, danger d'avalanches 3= neige fraîche / neige ancienne dès 2000 à toutes les expositions



Première course de l’année dans le but d’aérer les peaux. La destination initiale était le bien connu Mont Fourchon en ce début de saison. Après de nombreux rebondissements météorologiques, la course est reportée d’un jour. Nous optons pour un plan D, et oui D (!), merci aux chefs de courses pour leur persévérance face aux conditions compliquées.



Cap sur le Col des Chamois depuis le parking de Cergnement Solalex pour cette première sortie de l’année. L’équipe est constituée de 7 personnes. Les deux chefs de courses Jérôme et Monica, Pierre, Christine, Alexandre, Cristina et le soussigné. Pascal retenu par une formation et Maud malade manquent à l’appel. Le col des Chamois est une longue course. Vu l’enneigement précaire, nous doutons d’arriver au but. Néanmoins la neige fraiche tombée les deux jours précédents, nous permet d’espérer une descente agréable même si le fond n’est pas encore là. Prudence requise à la descente ! 



Les conditions hivernales étaient parfaites, magnifiques paysages du début à la fin. Les conifères remplis de neige. A la cabane Barraud nous avons renoncé à poursuivre en direction du Col des Chamois. Nous avons préféré jouer avec la poudreuse d’une belle pente vierge et ensoleillée en direction de La Poyerette. La neige était tellement bonne et légère que nous sommes remontés une deuxième fois pour en profiter. Après le pique-nique au soleil en contemplant le massif des Diablerets, nous sommes redescendus par le vallon de montée. Après un arrêt obligatoire à la très bonne crêperie Bretonne du plateau de Cergnement nous nous sommes sépares pour revenir sur Neuchâtel.



Nicolas