Les Courses > 2021
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Zeige Album

Arête des Sommêtres aux couleurs d'automne

Quelques jours avant la course, les prévisions météo étaient à la pluie pour le 3 octobre, et il n'était donc pas sûr que l'activité puisse avoir lieu. Mais la veille, les prévisions de pluie n'étaient plus que pour le courant de l’après-midi, et la décision a été prise de faire la course en partant tôt.



Nous avions rendez-vous à 8 h 30 au Noirmont. Après une marche d'environ 30 minutes, nous avons atteint le début de l'arête. Nous étions 6 participants. Christelle, notre cheffe de course, nous a organisés en 2 cordées de 3 personnes, l'une conduite par Jérôme, l’autre par elle.



Les couleurs d'automne n’étaient pas encore là, mais nous avons eu toutes sortes de temps au cours de la journée. Au début, il y avait un vent fort qui faisait qu’il était difficile de s’entendre entre les deux cordées. Par la suite, le vent a diminué et nous avons eu des moments plus chauds au soleil. Plus tard les nuages sont revenus et quelques gouttes de pluie nous ont rappelé qu’il ne fallait pas trop traîner. Mais au final nous avons atteint le bout de l'arête sans pluie significative, vers 15 h, avec une très belle vue panoramique sur la région et le Doubs.



L'arête des Sommêtres a été très amusante à parcourir. Elle comporte des sections avec différents niveaux de difficulté, ce qui rend la course intéressante et variée. Les parties où il y a besoin de faire plus d'attention sont celles où il faut désescalader, qui ont ajouté un peu d'adrénaline à la course.



Nous nous sommes tou-te-s bien amusé-e-s. Merci beaucoup Christelle pour l'organisation et pour cette belle journée sportive !


Arturo


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Hohtenn-Eggerberg par les bisses Stügeru et Lügjer

 

Hohtenn-Eggerberg, rampe sud du Lötschberg par les bisses Stügeru et Lügjer



Org:Ida



Après les nuages épais, sombres et bien bas au nord des Alpes, c’est un soleil radieux et un ciel immaculé qui nous attendent dès la sortie du tunnel à Goppenstein ! Arrêt à Hohtenn et descente sur le village du même nom sous une belle lumière matinale, l’étonnante formation de l’Illgraben étant visible au loin. On s’engage sur le chemin 61 de SuisseMobile, que nous suivons à l’exception de deux échappées, dont l’une nous évite la traversée du pont de chemin de fer au-dessus du Bietschbach. Le chemin suit des bisses d’abord à sec avec quelques passages où il s’agit de ne pas perdre l’équilibre, le versant côté plaine étant raide. Le Jolibach près de Gattuvolch se traverse en montant un escalier métallique et en passant un pont suspendu. Très jolie vue depuis là sur la plaine du Rhône : on en profite pour l’arrêt bananes. En bordure du chemin, nous longeons des buissons d’argousier en fruits et dans les quelques prés bien ensoleillés, nous repérons les feuilles gris-blanc de l’absinthe (mais est-ce la bonne ??).  La plus grande partie du parcours se fait le long des bisses (aux noms impossibles) dont la plupart sont alimentés et les plus exposés sont aménagés avec des mains courantes. Creusé la plupart du temps dans le sol, l’un d’eux au moins est fait de tronc d’arbres évidés dont on a ajusté les courbures. A Ausserberg, il y a quelques hésitations sur la suite du trajet, car le temps passe et il s’agit de ne pas rater le train à Eggerberg. On admire rapidement les chalets de bois et les mazots et un connaisseur de la région nous indique un chemin sauvage plus court (deuxième échappée) qui nous évite de devoir prendre inutilement de l’altitude avant de redescendre sur la gare de Eggerberg. Juste avant l’arrivée on aperçoit les Mischabel et la pointe émoussée du Cervin au fond de la vallée au-dessus de Viège. On gagne encore du temps en prenant le train direct pour Berne depuis Viège. 5 heures de marche, 1 h de pause : très belle randonné. Merci à Ida.



                                                                              Denise


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2021-10-09-wildhorn-pilier-ne-germannrippe

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Eggiwil-Oberdiessbach

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Les lapiés de la Schrattenflue

Jeudi, nous avions rendez-vous en gare de Neuchatel tôt dans la matinée, juste le temps de déguster un café à l’emporter puis départ pour Sörenberg via Berne, le trajet était long mais avec un très beau lever de soleil sur les montagnes alpines. 

Arrivés sur place, nous nous sommes mis en route pour l’ascension du Hengst, la montée a duré plusieurs heures, l’occasion d’échanger sur les semelles de chaussures Vibram et d’admirer le paysage légèrement enneigé de la veille qui se dessinait au fil de nos pas. Nous avons traversé un marais très joli avant d’arriver sur un lapiaz (roches calcaires creusées par l’eau au fil des décennies). 



À midi nous avons pique-niqué à l’abri du vent froid d’octobre. La descente était quelque peu escarpée et exigeait de la concentration pour éviter la chute, c’était un agréable moment riche en dialogues intéressants. En bas nous nous sommes arrêtés à un snack disponible en self-service très sympathique. 



Durant le retour à Neuchatel, tout le monde semblait fatigué, nous avons retrouvé deux autres randonneuses du CAS-Neuchâtel, l’occasion de bien rigoler. 



En bref cette sortie a été un succès dirigé par Christelle, bravo à elle et à toutes et tous pour cette marche pas évidente par endroits. 



Merci beaucoup.  



Arnaud Zuber


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Widdergalm (2174m)-Schafarnisch (2109m)

Rapport de course

Course spéciale jeudistes : B,T3, +/- 1080 m, 4h45, 10,4 km.



La course A du 7 octobre a été renvoyée à cause de la météo au vendredi 15 octobre et modifiée en course spéciale. Six jeudistes maintiennent leur inscription et sont rejoints par Marie-Claude. Malgré une neige légère tombée 3 jours avant, je décide de maintenir la course et de tenter le coup, d’autant plus que nous sommes une petite et très bonne équipe.



Après un co-voiturage du domicile, nous nous retrouvons au restaurant Zollhaus. De là nous allons à Chänel Gantrisch, 1499m, au-dessus de Sangernboden avec accès et possibilités de parcage limités.  



Montée au Widdergalm par Chüearnisch, 1825m. Retour à ce col pour monter au Schafarnisch. De là au Chänelpass, 1790m, puis descente raide à Chänel Gantrisch. 



Ces deux sommets sont peu connus et pourtant visibles de chez nous. Il semble que c’est une première dans l’histoire des jeudistes. Nous avons tous apprécié la variété du paysage et des vues époustouflantes à 360 degrés. On distingue aussi bien la chaîne du Jura et les Alpes que le Plateau fribourgeois et les Préalpes.



Le débriefing se fait à l’Alpkäserei Gantrischli. Nous buvons un pot à notre santé et à celle de René, généreux donateur ayant eu un empêchement de dernière minute 3 jours avant et fait le bonheur d'une remplaçante. De plus nous nous partageons 2 ou 3 Gantrischli-Riesennussgipfel irrésistibles...



Jean-Claude Lalou et moi avons fait une très utile reconnaissance le 1er octobre.



Nombre de participants : 7  y compris l’organisateur.



Jacques Isely