Les Courses > 2021
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Trek sur le chemin des Walser en 5 étapes (trek 1)

Magnifique semaine dans des paysages grandioses, des logements typiques et une équipe homogène et très sympatique. Merci à toutes et à tous pour votre contribution à ce bon déroulement de la semaine et aux récits ci-dessous:

Jour 1: Voyage Neuchâtel – San-Bernardino Village



Voyage sans problème avec juste une petite angoisse lorque Michel et Désirée ne trouvent pas le car postal  à Coire. Il serait intéressant de pouvoir organiser le transport des bagages à Hinterrhein et de faire la première étape déjà le premier jour.



Jour 2: San Bernardino – Hinterrhein



9H, chacun sa route. Les bagages d’un côté et nous 12 clubistes prêts pour la variante Walser du jour. Philippe nous a concocté le passage par les sentiers du haut plateau, aux belles couleurs automnales, avec sa rivière et ses pâturages entremêlés de buissons et rhodos. Cet itinéraire nous emmène vers le col à 2066m et l’hospice San Bernardino, assez déglingué, avec pour seule mission une terrasse pour le passage. Bien sûr, là-haut, sur fond de petit vent frisquet, les nuages l’emportent sur le soleil pour notre picnic. C’est sous un soleil généreux que nous passons le beau pont de pierres datant de 1692 et arrivons au petit village de Hinterrhein. Le bistro self-service bien garni de boissons et de

glaces, nous tend les bras pour étancher les assoiffés et régaler les gourmands. « La Rothaus » gîte très rustique avec ses lits d’antan génère rires et exclamations. Les lits sont pittoresques et petits. Nos bagages y sont déjà. Après un chaleureux accueil au bistro, le gérant nous emmène vers une superbe cave voûtée à l’ambiance feutrée avec ses réchauds aux 8 bougies. Une excellente raclette termine cette belle journée.



Jour 3: Hinterrhein –  Vals



Après une nuit à Hinterrhein dans une ambiance d'une autre époque avec une chambre datant de 1772, on attaque fraîchement la montée poussé par le foehn sur le col de Valserbärg à 2'503m caché dans le brouillard. Heureusement, le soleil et des températures plus clémentes sont de retour après celui-ci pour le picnic  au pied du Valser Horn. Dans la descente en balcon, après être passés devant une superbe cascade colorée par la quarzite, nous arrivons enfin à  Vals, notre destination, après 5 heures d'effort pour découvrir les dernières déclarations de notre conseil fédéral au sujet du pass sanitaire et la queue des retardataires se faisaient vacciner en urgence dans un bus juste devant nôtre hôtel. Le séjour à l'hôtel Alpina fût parfait, tant au de niveau de l'accueil, des chambres et de la nourriture. 



Jour 4: Vals – Turrahus



On ne le saura que plus tard, c’est une des plus belles parties du trek. Nous partons bien équipés sous une pluie fine qui nous abandonne un quart d’heure plus tard. Nous continuons en t-shirt. La rando s’effectue sur le sentier des Polonais qui date de 1941. Après avoir traversé une très belle forêt, nous atteignons un plateau – marais et longeons la rivière sinueuse aboutissant à une chute d’eau qui a creusé profondément dans la roche. Deux autres marais nous attendent plus haut. Le bon rythme de notre guide Philippe nous permet de faire les 1200 m de montée sans trop le sentir et d’admirer le magnifique paysage que nous traversons. Pic nic au col Tomül à 2411 m d’altitude. Nous descendons ensuite à travers des prairies de bruyères et de plantes aux couleurs automnales. Le traditionnel apéro est pris au soleil sur la terrasse du Thurahus.



Jour 5: Turrahus –  Glaspass



Pour cette 4ème étape, nous partons avec le soleil. En arrivant à Thalkirch, nous admirons les clôtures inclinées, réalisées sans aucun clou ou vis, au sein desquelles le croisement avec un troupeau de vaches n’est pas des plus aisés. Ensuite, nous remontons dans les pâturages et pouvons admirer de belles bâtisses en bois, typiques des Walser, arrivés dans cet endroit dès le 14e siècle.Après avoir traversés de très belles forêts de sapins/ mélèzes et parcourus d’agréables sentiers, nous arrivons à Camanaboda, où Philippe retrouve avec émotion une école transformée en hôtel lui rappelant des souvenirs d’un Nouvel-An. Après une petite pause, nous entamons la descente sur Safien-Platz. Depuis cette localité de fond de vallée, nous attaquons une montée abrupte aux 36 contours pour finalement rejoindre notre Gasthaus située sur le Glaspass. Un excellent repas clos cette 4ème journée de marche.



Jour 6: Glaspass – Thusis – Neuchâtel



Après une nuit réparatrice, un plantureux petit déjeuner nous attendait. D’excellents produits du terroir, servis par le patron du lieu (Gasthaus Beverin), un motard, géant débonnaire et plein d’humour, nous ont donné l’énergie nécessaire pour attaquer cette dernière journée. Comme cette étape consistait en une longue descente, Philippe nous a proposé de faire une variante, soit la petite ascension d’un pré-sommet du Piz Beverin (Hoch Büel). Un spectacle inoubliable s’offrit à nos yeux, lorsque le léger brouillard qui enveloppait les cimes se déchira.  La descente était très agréable. Elle longe tout d’abord une crête herbeuse puis s’enfonce dans une forêt de sapins. Pierres moussues, fougères et suintement des eaux de surface créent  une ambiance mystérieuse. Le sentier recouvert d’aiguilles était souple et agréable. Dès Tschappina, 3 km avant l’arrivée à Thusis, retour à la civilisation avec ses routes en dur. Ainsi se termine notre périple « walserien »et tous les participants n’ont qu’une envie, découvrir d’autres étapes dans un avenir pas trop lointain.



Merci à Philippe notre parfait organisateur.


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Du Gantrisch au Stockhorn par le sentier panoramiq

Du Gantrisch au Stockhorn par le sentier panoramique

La course a dû être annulée en juin à cause d’une quantité de neige incroyable pour la saison.

C’est sous un soleil radieux et une température estivale que l’équipe se déplace en train jusqu’à Thurnen. La région du Gantrisch est tellement appréciée que 3 cars postaux se déplacent en direction de Gurnigel /Wasserscheide, notre point de départ.

Première montée jusqu’au Leiterenpass où nous continuons jusqu’au sommet Hohmad à 2076m. Pique-nique au point le plus haut de la journée avec une magnifique vue sur le plateau, le Jura, les Préalpes et les Alpes bernoises. Nous poursuivons notre chemin et atteignons le Möntschelespitz à 2021m.

Une participante essaye à plusieurs reprises d’identifier les rapaces en dessus de nous à l’aide de ses jumelles. En vain, ces grands oiseaux s’éloignent trop dans les airs. Les jumelles autour du cou, elle poursuit la marche ; on ne sait jamais ! Un bruit, un cri et les jumelles roulent en bas du talus. Bien heureusement l’endroit est accessible et le seul clubiste masculin du groupe se propose spontanément pour aller les récupérer.

La halte pour se désaltérer au « Sirupbar » de l’Oberi Walalp est bienvenue et méritée ! Nous sommes au pied du Stockhorn qui semble tout près, mais notre but final Chrindi est la station intermédiaire du Stockhorn. Plus que 1h30 de marche faite de montées et de descentes, dans les myrtilliers, en passant au bord des 2 lacs de montagne Ober- et Hinderstockesee.

Enfin, le téléphérique nous descend à Erlenbach. La gare en chantier est à une bonne trotte et peu accueillante !

Quelle magnifique journée dans une région que j’ai découverte et appréciée pour la première fois.

Merci aux 2 organisatrices pour ce beau parcours exigeant, mais très varié !

Susanne

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En marge des Combins (cols Otanes et Avouillons)

En marge des Combins, mais pas en marge du « plaisir »

Après plus de 3 heures de TP, nous arrivons à Fionnay (val de Bagnes). Petit briefing de Marie-Claude qui prend la tête du groupe pour une jolie et longue montée jusqu'au col des Otanes (2845m). Un soleil radieux, qui se voile par intermittence, nous tient compagnie. En milieu de montée, nous pique-niquons sur les ruines de l'alpage de Bocheresse et avons la chance d'observer 3 gypaètes aux regards perçants. Depuis le col, le Grand Combin nous apparaît majestueux dans sa blancheur immaculée. Le glacier qui s'étend à ses pieds est par contre plus sombre, reflet malheureux de sa lente agonie. Dominés par le massif des Combins, sans oublier de regarder où poser les pieds, nous descendons jusqu'à la cabane FXB Panossière (2644m). L'accueil est sympathique. Deux grands dortoirs permettent de séparer les ronfleurs des autres (croit-on !). Le repas est copieux et la nuit réparatrice pour la majorité d'entre nous. Le lendemain, sous un ciel sans nuage, nous descendons jusqu'à la passerelle de Corbassière (construite en 2014 ; 190m de portée ; 70m de haut) qui nous permet de franchir la langue glacière et le torrent. Une montée courte mais rude, au rythme métronomique d’Adrien, nous amène au col des Avouillons (2648m). Plus bas, longeant la Dyure de Sery, le chemin vers la cabane Brunet nous offre quelques arrêts myrtilles et framboises, le loisir d’observer aux jumelles un superbe aigle et permet à la doyenne de se mouiller les pieds dans l'eau du torrent. On se restaure à Brunet (la fondue et le rôti à la broche seront pour un autre jour !) avant une descente raide qui met nos genoux à rude épreuve jusqu'à Lourtier. Fin de course sur une terrasse de restaurant, par bonheur ouvert, avec boissons et glaces rafraîchissantes et, déjà, nous montons dans le car postal pour le retour. Un tout grand merci à Marie-Claude et Adrien pour l'organisation soignée de ce week-end.



Les clubistes du week-end


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2021-09-11-en-marge-des-combins-cols-otanes-et-avouillons

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Grimpe à Barme et visite de la station ornithholog

Ce samedi 11 septembre, nous sommes 4 familles à nous retrouver sous le pont de Boudry afin de faire connaissance et mettre les voiles en direction du plateau de Barme. Objectif de la journée : Escalade au son des cloches des vaches sous le regard de la dent blanche.

Marylin nous avez vendus une approche facile et en 10 minutes. Nous lui pardonnerons l'imprécision en effet il nous a fallu 5' pour rejoindre le pied des voies en partant de la cantine de la dent blanche.



La journée fut ponctuée de voies faciles mais nombreuses surtout pour Alex, travail de 6a (bravo Johan), de concours de cairns, de conquête de pont par les enfants et d'apprentissage de grimpe en tête.



Après avoir démontré qu'un nœud en bout de corde sauve des vies ( n'est ce pas Josselin, tenter une voie de 30m avec une corde de 50...), tout le monde plie et retourne à la cantine pour l'apéro pour les parents et le trampoline pour les enfants.



Suivra un délicieux souper et une nuit réparatrice.



 



Le lendemain matin, après un bon petit déjeuner, nous partîmes pour le col du Bretolet et sa station ornithologique.



 



Suite à une super balade agrémentée de pause cueillette de myrtilles et dégustation de framboises , les enfants partirent en quête de tritons et autres batraciens dans un point d'eau sous le regard des oiseaux de passage.



 



Oiseaux que nous avons suivi jusqu'à la station ornithologique. Nous fûmes accueillis par Julia qui nous présenta les oiseaux bagués de l'heure (Geai, rouge gorge, mésanges à tête noire, tarin...) ainsi que le fonctionnement du lieu.



Après avoir ramené des informations, des plumes et des autocollants, des vautours apparurent dans le ciel afin de nous souhaiter un bon retour.



 



Malheureusement leurs bons vœux n'empêcherent pas les traditionnels bouchons du Valais. Merci encore à Marylin et Nicolas pour l'organisation de ce très bon weekend.



 



La famille Pollier


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Via Ferrata Tour d'Aï