Les Courses > 2021
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Visite à la Cabane du Mont Rose

Les prévisions météo pour le 1er août n’étant pas favorables, Christelle a proposé de repousser notre randonnée glaciaire à la Cabane du Mont-Rose aux 2-3 août.

Trois personnes n’ayant malheureusement pas pu se libérer pour la journée du mardi, ce sont donc six participants qui se retrouvent à la gare de Neuchâtel lundi matin aux aurores pour effectuer le trajet en train jusqu’à Zermatt, puis Rotenboden. Notre randonnée débute en descente tranquille. Après une heure de marche, nous chaussons les crampons pour nous lancer sur le Gornergletscher. Les premiers pas sur le glacier, en pente douce, nous permettent de prendre confiance dans nos crampons, avant d’affronter quelques sauts de crevasses moins rassurants. Une fois sortis du glacier, c’est sans difficultés particulières que nous traversons plusieurs moraines pour arriver à la Cabane du Mont-Rose. Cette cabane nous séduit tant par son architecture extérieure que par son beau réfectoire en bois clair et ses dortoirs avec vue sur les sommets alentours.



Mardi à 8h, départ sur l’ancien itinéraire qui passe à proximité du Gornersee et rejoint par un beau sentier alpin le fond du Grenzgletscher. Celui-ci étant parsemé de cailloux, nous n’avons dans un premier temps pas besoin de mettre les crampons, mais notre itinéraire nous conduisant à une partie plus escarpée du Gornergletscher, nous sommes obligés de les rechausser pour la gravir. Nous terminons notre boucle par l’ascension d’une paroi vertigineuse, heureusement bien équipée d’échelles et de cordes.



Après être remontés à Rotenboden, nous reprenons le train en étant reconnaissants pour ces deux jours de météo clémente. Merci à Christelle de nous avoir guidés avec brio lors de cette randonnée au panorama splendide, et bravo à Ida qui, a plus de quatre-vingts ans, saute encore allègrement par-dessus les crevasses !



L’équipe


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Grande Dent de Morcles 2968m

 

Malgré une météo incertaine, Jürg et André ont décidé de maintenir la course à la Grande Dent de Morcles et ils ont eu bien raison! 



Le chemin dans le couloir qui une semaine auparavant était difficile à trouver sous les éboulis de pierres est maintenant bien dégagé pour le grand soulagement des nos guides. Après avoir croisé un troupeau de moutons quelques arrêts s’imposent pour observer des familles de bouquetins , décidément ils sont bien plus agiles que nous sur la roche!!



Pic nic et traditionnelle photo de groupe au sommet. Le soleil fait quelques apparitions pour nous rappeler que nous sommes en été. Un dernier coup d’œil au paysage qui est un peu caché par les nuages avant d’entamer la descente. Nous restons bien concentrés, le couloir est raide. Le long de la Grand Vire nous passons devant des casemates creusés et aménagés par l’armée au début de la première guerre. Passage par le col des Martinets et Col des Perris Blancs direction la cabane de la Tourche où Jürg nous offre généreusement un verre, avant la dernière descente.



Merci à Jürg et André pour cette belle randonnée en bonne compagnie et dans la bonne humeur.



Bárbara 



Photos de Sanae et Jürg


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Cabane de Valsorey (3030m) et sentier panoramique

Samedi matin à 6h, c'est parti malgré des prévisions d'orages pour le courant de l'après-midi. Presque 4h de voyage plus tard (la faute à des travaux entre Vevey et Aigle), nous arrivons enfin à Bourg-St-Pierre. Le vent souffle fort et le ciel est bien foncé du côté du Valsorey. La randonnée démarre donc à un rythme soutenu, l'objectif étant d'arriver à la Cabane de Valsorey avant les orages. L'option du détour par la Cabane du Vélan est abandonnée, au grand dam de Michael qui se réjouissait d'y déguster une bonne tarte aux abricots. Une petite pause à Chalet d'Amont et nous nous remettons en chemin, le pique-nique ne se fera qu'une fois arrivés à la cabane. Heureusement, même si le ciel est bien chargé et qu'il y a de fortes rafales de vent, nous n'entendons pas de coup de tonnerre ni ne voyons d'éclair. Nous pouvons donc ralentir un peu le rythme dans la dernière pente bien raide sous la cabane, où nous arrivons finalement un peu avant 14h et sans avoir essuyé une goutte de pluie : bravo l'équipe pour ce bel effort ! Une heure plus tard, un orage tempétueux se met en route, et nous sommes contents de nous être hâtés de monter et d'être à l'abri, surtout lorsque nous voyons arriver d'autres randonneurs trempés jusqu'aux os !

La Cabane de Valsorey est une cabane "à l'ancienne", avec un confort sommaire... et des toilettes à l'extérieur... Ces petits désagréments sont largement compensés par l'accueil super chaleureux des deux Isabelle, gardienne et aide-gardienne de la cabane. L'absence de réseau de téléphone et le temps exécrable qui sévit dehors nous donne l'opportunité de pratiquer jeux, discussions et autres siestes en attendant le souper. Celui-ci est bien apprécié, aussi bien par les carnivores que par les végétariens, mais certains font quand même attention à ne pas absorber trop de liquide pour ne pas devoir affronter la pluie pour aller aux toilettes pendant la nuit.



Après une nuit réparatrice, nous nous réveillons dans un décor tout différent : il fait grand beau et nous avons une vue magnifique sur le Mont Vélan et le massif du Mont-Blanc ! Il fait bien froid aussi : notre "lavabo" (la fontaine de la cabane) a gelé, et il y a quelques plaques de glace au sol sur lesquelles il faut faire attention de ne pas glisser. Est-ce parce qu'on est dimanche matin ? Ou en raison de la convivialité de la cabane ? Toujours est-il que nous ne sommes pas très pressés de quitter la Cabane de Valsorey... 


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Ballade aux alentours du lac Cul des Prés

Petite ballade de 4 heures entre les hauts de La Chaux-de-Fonds, le petit lac du Cul des Prés,  Les Bois, Biaufond et retour par les échelles.

3 participants, une voiture. Temps idéal, très peu de monde, des grenouilles, un chevreuil, des vaches et beaucoup de chevaux.



Première course de l’organisateur.