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Zeige Album

2020-01-04-crte-de-lodze

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Chasseral ++

Récit Kiental ++ du dimanche 05.01.2020

La course prévue initialement à Chasseral est déplacée dans le Kiental, la neige ayant déserté le Jura. La fine équipe du jour: Manu chef de course, Lucie cheffe de course, Manu (un autre), Déborah, Sylvain, Christophe.



C’est par un soleil radieux que les participants rejoignent Griesalp avec comme objectif du jour: Bundstock et Schwarzhore dans la foulée. Après les taquineries habituelles, les bâtons cachés etc… nous voilà dans le vif du sujet… Manu comme à son habitude démarre à bloc et après 30 minutes plus personne ne parle ou presque…



Dans le bas de la vallée, la neige est là, mais en petite quantité, slalom entre les cailloux en montant puis la trace devient régulière. La pente raide sous le Bäretritt est bien gelée et l’utilisation des couteaux s’avère utile. Les skieurs avec du matériel plus lourd se rendent compte que la journée sera longue mais gardent le sourire.



Au col, nous déposons les skis et entamons la partie sommitale à pied. Au sommet du Bundstock, chacun se congratule. Chacun en prend plein la vue à 360°, Blumlisalphorn, Doldenhorn, Altels etc… Au loin le Chasseron nous fait un clin d’œil… Bien contents, nous retournons à la dépose des skis. La descente de la Warmuetflue s’avère irrégulière. Chacun cherche la meilleure orientation pour y trouver la meilleure qualité de neige. Les mollets de pinson commencent à brûler mais tous s’éclatent dans ces conditions incroyables…



Dans le haut du Hohtürlihang, nous repeautons, mangeons un biberli et nous préparons à monter les 600 m restants. La pente est raide, chacun laisse les 15 mètres de délestage indispensables. Le silence est de mise ou presque… Manu trace raide, les conversions sont délicates.



Dans un rythme soutenu mais régulier, le groupe atteint le Schwarzhore. Le soleil nous y accueille. Jusque sur la courbe des 2000 m, la descente est d’anthologie, par contre depuis cette altitude le carton remplace la poudreuse puis, certains passages sont délicats, la prudence est de mise…



Au final : 2300 m de D+ avec une belle équipe et dans des paysages à couper le souffle. Bières, frites bien grasses, mayonnaise et ketchup terminent cette course bien sympa.



Merci à Manu et Lucie pour l’organisation et pour votre indémodable jeunesse…



Christophe


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Alpiglemäre (2044m)

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La Boissaude - Mont d'Or

 

Bonjour à tous,



 



Prévue à ski de fond et en raquettes, la course s’est déroulée à pied et en raquettes selon l’enneigement rencontré le long du parcours. 



 



André, nouveau jeudiste et fin connaisseur de la région nous conduit du parking de Super Longevilles, à travers des pâturages ensoleillés et par des chemins de forêt bien sélectionnés. Après  2h1/2 de marche, nous atteignons le restaurant de la Boissaude. La température est particulièrement haute pour la saison. Nous prenons l’apéritif sur la terrasse et le repas à l’intérieur bien aménagé de cette ancienne ferme alpage. Pour le retour, nous optons pour l’itinéraire 1h1/4 de marche.



 



Données GPS : 11,5 km, +/-340 m, 3h45



 



Merci à André pour le café et la conduite de la course, à Philippe J. qui offre généreusement l’apéritif et à François pour les photos.



 



Nombre de participants : 24



 



Liens sur la galerie : ici



 



Nous reviendrons dans ce magnifique domaine d’activités nordiques de Métabief Mt-d’Or avec de la neige !



 



Amicales salutations

Jacques









 



 



Le 7 janv. 2020 à 21:35, Isely Jacques a écrit :



Bonsoir à tous,



 



Suite à la reconnaissance effectuée ce jour avec André, fin connaisseur de la région, l’option ski de fond est abandonnée. Seules deux pistes sont partiellement ouvertes et le fond de la trace est en glace.



 



Aussi nous vous proposons de parcourir ces pâturages enneigés et ensoleillés enraquettes. Par endroit il faudra les porter ou les fixer sur le sac pour utiliser les deux bâtons par prudence car il y a quelques plaques de glace sur la route au départ et à l’arrivée. 



 



A l’ancienne ferme devenue restaurant de la Boissaude, l’eau du toit n’est pas servie à table. Je vous suggère de prendre assez à boire pendant l’effort :-))



 



Amicales salutations.



 



Jacques



 



Lien sur la course cliquer ici.


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Tête de la Payanne (2452m)

Presque parfait!

Ce devait être la Tête de Payanne au Valais, ce fut l’Albristhorm près de la Lenk.



Nous devions être 13, nous fûmes 10.



Il devait faire beau. Il fit beau une bonne partie de la montée, mais la descente se fit en partie en jour blanc.



On espérait atteindre le sommet après 1300m de montée. Il manqua 100m dans le brouillard!



On espérait de la poudre, sans trop y croire après 15 jours de beau et chaud. On en eut au bas des pentes raides avec le haut en neige dure.



Quelques membres craignaient la raideur de la pente en haut, le jour blanc la cacha.



Mais l’enthousiasme et la convivialité furent au rendez-vous et Christelle eut même droit à son Gluewein.



Bravo à Nathalie, Iris, Patrick, Maryline, Claudine, Pascal, Anne-Lise, Christelle et Jean pour leur optimisme.



Jean-Michel


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Aussemont par 1, 2 ou 3 côtés

Aussemont nous attendait dans cette matinée de janvier, lieu inconnu, de la soussignée, qui n’avait pas soupçonné, si elle n’avait eu la curiosité de se pencher sur la carte, que ce mont était situé au-dessus du lac de l’Hongrin. 

C’est un paysage féérique, paisible, et surprenant de blancheur qui contraste avec le paysage herbeux à plus basse altitude que nous venons de quitter. C’est presque en solitaire, que notre petit groupe gravit Aussemont, puis rallonge sur le dit “Grand Tour”. Peautage, dépeautage,.. Juste de quoi s’imaginer faire une randonnée au long cours. Le temps est magnifique, le monde est à nous, le cœur est heureux. Quant à la neige elle est tantôt bonne, tantôt carton, mais qu’importe, puisque l’euphorie nous gagne quant au départ une paire de ski fût oubliée et qu’à l’arrivée nous gagnons une reine ! Et oui, notre cheffe de course a poussé le détail à confectionner une galette des rois, distribué selon le rite familial. 



Merci à nos deux chefs de course, dont c’était la première….  



Noëlle Christine