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De Soleure au château de Buchegg

Course A du 29.11.2018: De Soleure au château de Buchegg

31 participants ont pris le train, la plupart avec un billet dégriffé, pour aller à Soleure. Nous commençons par une rapide visite de la vieille ville de Soleure : Cathédrale Urs et Victor, siège de l’évêque, église des Jésuites et tour de l’horloge, indiquant les 24 heures sur son cadran, pour ensuite prendre le café dans un « tea room » bien confortable. Vers 10 heures, nous sommes prêts pour retraverser l’Aar et nous diriger vers Tscheppach. Après une randonnée par monts et vaux, nous y arrivons un peu après 13 heures. Dans une salle confortable, car sans échos dérangeant les conversations, nous prenons notre dîner bien mérité : soupe, salade, saucisse à rôtir, röstis et légumes. Départ vers 15:10. Nous décidons d’abréger quelque peu la fin de la course et arrivons donc bien à l’heure au Château de Buchegg. Depuis là, comme prévu : bus, puis train jusqu’à Neuchâtel, avec changement à Soleure.



Distance 20,3km, +450m/-360m, 5heures de marche sans pauses



Température agréable, parfaite pour randonner. Ciel voilé, voire nuageux, mais nous avons malgré tout pu voir aussi bien le Weissenstein que les Alpes bernoises. 



Merci à François Godet et José Canale d’avoir assuré le service photographique, y compris pour ce dernier, le relevé du parcours.



Merci à Jacques Isely pour son assistance aimable et efficace. Merci à tous les participants pour l’ambiance chaleureuse.



Alfred



 


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La Sauge-Sugiez-Mt Vully-La Sauge

Photos de Nathalie Veber

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Fête de fin d'année - chalet des Alises - Chaumont

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Dans les méandres de la Sarine

Dans les méandres de la Sarine, jeudi 6.12.2018

Une belle sortie sous la pluie, au début, au soleil l’après-midi. La météo l’avait prédit : à 10 heures fini la pluie ! Comme nous étions plus tôt, une petite halte au bistro s’imposait donc.



Mais voilà, si nous voulions rentrer à temps, il fallait se mettre en route! Au gré du temps qui passait, parapluies et imperméables disparaissaient dans les sacs. Nous entendions même les oiseaux : troglodytes, mésanges bleues, buses, milans royaux, pic noir. Bien sûr, ce n’était pas le printemps, mais c’était agréable aux oreilles et rendait le pas plus léger.



A l’abbaye d’Hauterive nous pique-niquons, bien à l’abri sous un auvent. Auparavant, nous visitons la crèche et Dieu sait si elle est belle ! la perspective, les paysages, les personnages, Bethléhem elle-même, sont exactement comme nous les imaginons à l’époque de Jésus, c’est grandiose. Une merveille. Cette crèche seule vaut le déplacement.



Nous poursuivons notre route sur le sentier du silence qui entoure le parc de l’abbaye. Cette fois, comme  les précédentes, je n’ai pas « entendu » le silence. C’est vrai que notre rando n’avait pas pour objectif la méditation. C’est plutôt un moment convivial que nous chérissons.



Aujourd’hui, nous aurons longé trois rivières en une seule balade, il faut le faire ! la Sarine, la Glâne, la Gérine. Les canards se tenaient sous couvert des arbres et de petits oiseaux, que nous avons pris de loin, pour des grèbes castagneux, plongeaient allègrement dans le courant.



Le sentier nous a conduit sous le pont de Pérolles. Un chemin certes plus attrayant que la route goudronnée et bruyante, mais qui devrait, selon certains, être interdit aux randonneurs. En effet nous avons eu 250 marches à gravir de l’autre côté (!) par contre, nous n’aurions pas découvert le magnifique mur de grimpe installé là, à mon avis, une manière astucieuse d’utiliser l’architecture en béton. Trois équipes s’y adonnaient avec joie.  



On peut dire que la journée a profité à celles et ceux qui ont eu le courage d’affronter la pluie. L’adage : pluie du matin n’arrête pas le pèlerin – s’est révélé parfait.



Nous avons eu la joie d’être accompagnés aujourd’hui par notre présidente Carole ainsi que par deux messieurs.



Pour récompenser les valeureux marcheurs que nous étions, les organisatrices ont  prévu une étape à la chocolaterie Villard ou presque tout le monde a succombé à de douces tentations.



La journée fût belle, douce, comme nous les aimons. Nous avons eu beaucoup de plaisir : merci à nos deux organisatrices !



Au nom des 18 participants (à la marche et au texte)



Irène



 



 



 



 



 



 


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A fond au Simplon

Les enragés, saison 2.

Voilà, voilà, la météo exécrable annoncée ce confirme. La sortie est maintenue, nous nous engageons sur la piste de la petite station de Rothwald puis montée en direction du Mäderlücke. Je stoppe vers 2600m la visibilité se réduit fortement, le terrain devient très raide et une petite plaque à vent achève de me convaincre qu'il est temps de redescendre. Aujourd'hui le degré d'avalanche est à 3. Deux remontées au sommet des 2 téléskis nous permettent de boucler 1000m de dénivelé.



Vincent pour le récit de samedi.



 



Dimanche 9 décembre, la météo venteuse avec des précipitations nous incite à la prudence. Rothwald s'avère une bonne solution de repli, bénéficiant en partie de l'abri de la forêt. Trois montées et quelques 1300m plus tard, nous décidons de rejoindre la voiture, heureux d'avoir eu quelques moments d'éclaircie et surtout queques virages dans la poudreuse. Merci à Vincent pour ce super weekend et bravo d'y avoir cru malgré tout !



Christine



 


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Aération des peaux : Diemtigtal/Simmental/Valais

Encouragé par l’annonce de la récente poudreuse et gonflé d’optimisme à la perspective d’une lucarne de météo favorable, nous visons le Mont Fourchon. Au départ le plafond de nuages est élevé, mais au fur et à mesure qu’on s’approche de l’Hospice du Saint Bernard, nous naviguons tel un  bateau ivre dans un jour blanc tenace.

Mais après une soupe ravigorante à l’Hospice, le renforcement du vent, le jour blanc désespérant et le degré 4 de danger d’avalanche nous incite à renoncer à aller plus loin. Pourtant l’ambiance est joyeuse et optimiste. Merci à tous et toutes d’y avoir crû.



Récit sans photo pour illustrer le jour blanc.



Jean-Michel