Les Courses > 2018
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Vallon de Réchy- Pas de Lovégno- La Borgne

Du Crêt-du-Midi à Vercorin par l’Alpage de Mase

Dimanche 9 et lundi 10 septembre 2018



Organisateurs: Nadia Hügli et Claude Stettler



Après avoir regardé les magnifiques photos majoritairement prises par Claude, aurez-vous encore besoin de ce récit ? Mais parole donnée à l’arrivée du soleil, je ne peux me défiler, je me mets à l’ouvrage….



Départ d’Auvernier dimanche matin à 7h où nous avons rendez-vous avec Claude co-organisateur; 2 voitures, 10 clubistes, nous roulons agréablement vers Chalais sur une route déserte ou presque. Montée en télécabine à Vercorin où nous attendent Nadia et Denis puis continuons toujours par les airs jusqu’au Crêt du Midi (2332m). En buvant qui un thé, qui un café, nous admirons tout autour de nous le panorama grandiose.



Nadia prend la tête du groupe et nous emmène vers le versant oriental du bas-vallon de Réchy ; nous traversons une forêt d’aroles où Odile, passionnée d’ornithologie, nous rend attentifs au vol du cassenoix qui mange les fruits de l’arole et les transporte dans son jabot pour se constituer des réserves pour l’hiver, réserves qu’il cache dans les arbres et un peu partout. Nous descendons vers le Pichioc et la tumultueuse cascade de la Rèche. Passé ce premier palier du vallon de Réchy, nous gagnons l’Ar du Tsan, large cuvette marécageuse où serpentent les méandres de la rivière. De là, le haut vallon encore bordé d’edelweiss, nous mène au lac du Louché pour le pique-nique et une belle pause à se tremper les pieds, et nourrir les alevins avant de voir passer quelques belles truites et admirer les linaigrettes. Sieste terminée, nous montons vers le Pas de Lovegno, au pied de la Maya. Nous basculons sur le Val d'Hérens ; la Maya, jusque-là bloc, devient effilée. Pause pour les yeux après les Réchasses, nous atteignons notre gîte à l’alpage de Mase dans les écuries de la Louère très bien aménagées en gîte confortable. L’accueil se fait dans la confusion mais la bière désirée finira par arriver, tout rentrera dans l’ordre et chacun trouvera un lit et pourra bénéficier d’une douche. Heinz nous rejoint à vélo pour le repas. Le gérant nous raconte sa jeunesse passée comme ouvrier lors de la construction de la raffinerie de Cressier. La lumière du soir enflamme les montagnes alentours, magnifique panorama. Au menu, salade, pâtes du chalet accompagnées du Sang des Reines. Au dessert, glace suivie d’un verre de génépi offert par le gérant.

4h de randonnée et environ 12 km.



Après une bonne et longue nuit nous repartons par la Combe, la Tête des Planards. La descente sur le chalet du Mont Noble nous permet d’attraper ici et là quelques myrtilles et d’essayer de comprendre la différence entre myrtilles et airelles bleues, car différence il y a. La myrtille étant plus sucrée, son feuillage prend des couleurs automnales alors que l’airelle moins sucrée garde un feuillage vert foncé, mais toutes deux sont comestibles bien que l’airelle ne se cueille pas. Beau Sentier des Charbonniers au pied de la tour de Bonvin. La descente par le sentier de l’Artillon est fermée pour cause d’éboulement, nous continuons sous le Mont Noble et pique-niquons au pied de la cascade. Une belle vache d’Hérens très sociable vient nous rendre visite et s’intéresse au sac d’Hélène ce qui accélère notre départ vers la buvette de La Lé. De là nous longeons le bisse de Vercorin pour terminer cette magnifique randonnée sur la terrasse de l’hôtel-restaurant des Mayens.

6 h de randonnée et 18km.



Un tout grand MERCI à Nadia notre GO et à Claude notre co-GO et excellent photographe, tous deux grands connaisseurs de ce magnifique vallon de Réchy, un vrai coin de paradis



Mary-Jeanne


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Le Noirmont- Theusseret- Les Sommêtres- Le Noirmon

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Lac d’Arnon

Belle course de remplacement!! Merci à toute l’équipe de votre participation!

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3 jours de rando

Tout a commencé avec le coup de fil inespéré de René. :

- Bonjour,  il y a de la place pour la randonnée dans le Grand Paradis !



-Qui ? Quoi ? Le paradis ? Déjà ? Ah oui…la course du club alpin. Oui oui ca m’intéresse



-J’aimerais savoir si tu marches régulièrement car ce sont des longues courses avec pas mal de dénivelé



-Mais bien sûr ! Quelle question ! J’ai fait le col de la gare de Neuchâtel et même Chaumont moi !



-Ah bon…Ben alors rendez-vous Samedi 15 Septembre



Samedi arrive et cela faisait longtemps que je ne m’étais pas réveillé aussi tôt le matin ! 05 :00 oh la la…Heureusement mon sac était déjà prêt la veille et Pierre et Christine sont venus me chercher à la gare de Neuchâtel pour adoucir ce réveil matinal.



-Alors ça fait longtemps que tu es au CAS ?



-Oui, au moins 1 an et demi…mais c’est ma première course



Malgré le risque que cela peut représenter de passer 3 jours avec un inconnu, j’ai été vraiment bien accueillit et je me réjouissais déjà de faire la connaissance de 9 nouvelles (pour moi personnes). A 6.30 on était déjà sur la route dans la voiture de Nathalie et Grégoire avec Ida et Verena. La longue route nous a permis de faire déjà connaissance et faire passer le temps très vite. Aussi vite qu’à 10.00 on était déjà en train de prendre le café avant d’arriver a Cogne. Au départ de Gimillan on a commencé notre ascension vers le lac Coronas. Le beau temps était au rendez-vous et les paysages se dévoilaient dans leur plus belle tenue. Un mosaïque de couleurs méritant largement la montée. Piquenique au bord du lac et à l’attaque pour la descente passant devant des hameaux en pierre typiques. J’ai préféré la version courte avec Verena qui a permis de garder des forces pour le plat principal du lendemain. Arrive à l’hôtel la bière était bien méritée avant de se préparer pour un festin royal (souper à l’italienne) et retrouver le lit pour le lendemain.



Habitué au réveil matinal lendemain matin j’avais hâte de rebrousser chemin. Apres un bon petit déjeuner, on a gagné les voitures pour partir à Epinel d’où on est monté sur une pente douce au colle del Drinc. La montée s’est effectuée dans la brume mais ce n’est pas pour autant qu’on a perdu notre bonne humeur. Le long de la crête on a pu s’imaginer le Mont Blanc et le Cervin qui se cachaient bien derrière des épaisses couches de nuages. Malgré le temps moyen, c’était un plaisir d’arriver au Cole Tsa Setse, point culminant de notre course a 2815 mètres. Le long du chemin on a pu admirer des edelweiss perches par ci par là qui nous rappelaient la beauté de la montagne malgré la fin de la saison d’été. Sur la descente le temps a commencé à se dégager déjà et on s’est arrêté le long d’un ruisseau glacé (mais vraiment !) pour reprendre nos forces et contempler sur le paysage. Connaissant le gout de la bière qui m’attendait la descente s’est faite en précipitation. Le festin royal était au rendez-vous et le recyclage des plats des collègues dans mon estomac aussi. J’aurais pu continuer à marcher toute la nuit avec toutes ces calories…Retour à la chambre, rigolade nocturne avec les colloques, le plus jeune membre de la randonnée Ida, la Japonaise Sanae aux expressions suisses et ma voisine du dessus toujours souriante Verena.



Le dernier jour est arrivé plus vite que prévu. On a quitté ce magnifique hôtel, pour conduire jusqu’à Lilas. Une montée régulière nous a emmené au lago di l’Oie ou certains courageux ont savouré la fraicheur de ses eaux ! Vers la descente dans le vallon de Bardoney on a croisé des groupes de chamois qui descendaient à toute allure. Une vraie beauté ! La vue tout au long vers la cascade de Lillaz était époustouflante avec même un aperçu du Mont Blanc. A l’arrivée a la cascade les mêmes courageux se sont jetés dans l’eau alors que d’autres sont descendus en précipitation vers le bar pour la bière de clôture de cette randonnée.



Une vraiment belle expérience et une grande chance d’avoir partagé cette première randonnée, pour moi avec un tel groupe. J’ai été vraiment ravi de faire partie de ce groupe tellement hétéroclite et assorti à la fois. Car la montagne est toujours plus belle quand on la partage !



 



Alexandros Mouskeftaras


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3 jours de rando dans l'Alpstein

RANDO DANS L’ALPSTEIN, 15-17 SEPTEMBRE 2018, CHEFFE DE COURSE : CHRISTELLE GODAT.

 



Participants : Aurélie, Thierry, Stéphane, Michael



 



Rendez-vous est pris ce samedi 15 septembre 2018 à 6h29 à la gare de Neuchâtel pour prendre l’ICN qui doit nous conduire à Zürich. Malheureusement, nous devrons patienter jusqu’à 7h, le train étant annoncé avec un retard indéterminé, c’est finalement avec l’ICN de 6h59 que nous nous rendrons directement à Gossau.



 



A Gossau, nous changerons de train afin de nous rendre jusqu’à Wasserauen.



 



Curiosité de la gare de Wasserauen, un train désaffecté est utilisé comme restaurant.



 



La joyeuse équipe se met en mouvement. Tout d’abord, nous affrontons une montée somme toute légère. Par la suite, nous contournons le lac de Seealpsee. Nous profitons d’acheter du fromage d’alpage et de prendre le repas de midi avant d’attaquer la montée qui doit nous mener à Aescher.



 



Et oui, Aescher, le fameux restaurant situé à flanc de montagne. Nous arrivons péniblement à trouver des places assises, afin de se désaltérer pour les uns, déguster une meringue pour les autres.



 



Par la suite nous traversons une grotte avec des jeux de lumières décrivant soit des animaux (un ours), soit des explications sur l’utilisation de la grotte dans la préhistoire (les hommes l’utilisaient lorsque les ours la quittaient afin de s’engraisser pour l’hiver).



 



Nous continuons notre randonné jusqu’à Schaefler. Le soir venu, Stéphane dégustera une siedwurst, soit une spécialité appenzelloise (saucisse à base de bœuf et de porc), votre serviteur succombera sous les charmes des roestis au fromage.



 



Le lendemain, nous partons aux environs de 9 heures pour une magnifique randonnée alpine. Tout au long de celle-ci, nous aurons une vue splendide sur l’objectif principal de la journée, à savoir le Säntis. Le chemin aux abords du Säntis est équipé de câbles, de marches (genre via ferrata).



 



Arrivés au Säntis, nous profitons de boire et manger, certains feront leurs emplettes au magasin touristique, qui vous propose une grande quantité de produit aux couleurs de la suisse ou avec les motifs des chemises paysannes pour un prix très suisse.



 



Nous poursuivons notre chemin jusqu’à la prochaine auberge où nous passeront la nuit. En chemin, nous nous arrêtons derechef pour casser la croûte et profiteront de la douce musique produite par le cor des alpes.



 



Arrivés à l’auberge, certains en profitent pour gravir l’Altmann. Le début du chemin est équipé de câbles, la dernière partie jusqu’au sommet n’est pas équipé du tout et il faut avoir le pied sûr.



 



Le matin de la 3ième journée, le téléphone portable de Stéphane étant en panne, nous n’avons pas eu la chance d’entendre la sonnerie « chants d’oiseaux » de celui-ci, si bien que le soussigné s’est permis de réveiller ses camarades en imitant le chant d’oiseaux, lesquelles ? Nul ne saurait le dire.



 



Notre troisième journée nous mènera jusqu’à Wasserauen en passant par un magnifique lac bordé de menthe sauvage, nous nous arrêterons au restaurant situé au bord du lac afin de nous rafraîchir (un conseil, le thé maison).



 



Nous poursuivons par une descente plus ou moins raide mais équipé d’escalier.



 



Finalement nous ferons une dernière pause avant notre arrivée à Wasserauen.



 



S’ensuit une longue montée qui nous mènera jusqu’au col depuis lequel nous avons une vue plongeante sur la vallée.



 



A Wasserauen, nous profiterons d’un dernier rafraîchissement avant de prendre le train qui doit nous ramener à Gossau et finalement à Neuchâtel.



 



Cette région méconnue des suisses romands mérite d’être visitée. Tout au long du chemin, nous aurons la chance de voir de nombreuses plantes, aconit, colchique d’automne, sureaux, églantiers, etc.



 



Un grand merci à la cheffe de course et aux participants et plus particulièrement à Aurélie qui a su par son humour égayer nos soirées dans les auberges de montagne.



 



Michael Ledermann


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Escalade avec OJ Lausanne et bonne bouffe

Magnifique journée de grimpette...à Orvin!