Les Courses > 2018
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Zeige Album

Folliu Borna (1839m)

Météo oblige, nous sommes allés aux Savagnières plutôt que dans les Préalpes. Départ à neuf dans un magnifique décor blanc. Nous montons gentiment dans la forêt, on n’est pas pressés et après les explications de Christelle nous profitons pour exercer les conversions. Coup de talon, chien qui pisse, à chacun sa technique pourvu qu’on y arrive !   La visibilité n’est pas bonne et il n’y a pas assez de neige pour monter au Chasseral et faire du hors-piste. On profite de la piste qu’on dirait réservée rien que pour nous pour descendre. Arrivés en bas on remet les peaux et après un petit pique-nique on repart vers le sommet. Comme il n’y a pas deux sans trois, on refait une troisième montée ! Cette fois la descente finira devant le bistrot où nous prenons une boisson bien méritée après quand-même 990 m de dénivelé.

Merci Christelle pour cette belle sortie improvisée.



Barbara


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Safiental

Sortie du 2 au 4 février au Safiental

 



Une joyeuse équipe de 8 skieurs se retrouvent de bon matin à la gare de Neuchâtel, bientôt accompagnée de 3 rescapés retrouvés dans le train à Bienne.



Un long voyage, coupé par quelques correspondances « vite sur le quai x pour ne pas la rater » nous amène au fond du Safiental, à Tura.



Juste le temps de poser les sacs (nous avions piqueniqué dans le dernier trajet en bus), de nous cogner sur des poutres pour faire connaissance avec notre dortoir,  et nous voilà parti pour notre premier sommet……  Mais il est où ?



Nous montons, virons à gauche, passons à droite derrière une bosse, de nouveau à gauche …




  • Eh chef il est où ce sommet ?

  • Plus loin, on ne le voit pas



Nous continuons sur un terrain parsemé de petites collines, on part  à gauche, on monte tout droit, on contourne une grosse bosse




  • C’est celuilà ?

  • Non on le verra depuis le col

  • Le col c’est celuilà ?

  • Non il est un peu plus loin.



A force de tourner et retourner dans une neige vierge …. « Merci aux 2 chefs pour une superbe trace », nous arrivons au col.




  • Alors c’est celuilà à gauche ?

  • Non : celuilà on le grimpera en redescendant, on monte à droite.

  • C’est le sommet qu’on voit là ?

  • Non il est un peu derrière.



Enfin nous voilà tous au Tomülgrat.



Il fait un froid de canard, donc quelques photos, les peaux de phoques dans le sac, nous attaquons la première descente dans une belle neige sans trace.



Nous repeautons  pour gravir le Strätscherhorn en quelques grandes foulées, pour  entamer une magnifique descente jusqu’au fond de la vallée. Une traversée de ruisseau plus tard, nous rejoignons la piste de ski de fond pour rejoindre notre pension, la Turahus.



Bravo à nos chefs, qui, malgré un voyage de 4 heures ont encore réussi à nous concocter une superbe randonnée.



Le lendemain, le premier accident survient : Laurent, très rapide et un peu trop grand fait la connaissance brutale d’une poutre du plafond de notre auberge et un choc violent le renvoie directement, couché sur le dos dans le couloir. Heureusement, il se relève, ….. un peu … beaucoup sonné, mais participera à notre sortie.



Départ 9H pour le Tällihorn. Là c’est plus facile : rapidement nous voyons le sommet quelque part, là-haut dans un ciel bleu….. Enfin, facile pour le groupe, mais nos chefs se relaient pour nous faire une jolie trace dans 30 cm de neige. Ce jour là, même un canard aurait eu froid et le sommet ne sera visité que par  9 courageux skieurs, 2 frileux sont restés quelques dizaines de mètres plus bas.



A nouveau une magnifique descente dans une pente vierge de toute trace nous amène sur la route de la vallée. Là se pose la question : Est-ce que nous marchons env. 1,5 km sur la route ou nous remontons 350M pour redescendre sur notre pension ? Par chance une terrassa au soleil nous invite à prendre le temps de la réflexion. Après quelques boissons rafraichissantes, l’achat de viande séchée « bio de la vallée », Patrick emmène 2 courageuses skieuses dans une remontée alors que le reste de la troupe rejoint l’auberge par la route.



A l’auberge : nouvel accident : Doriana, en fermant une porte recule un peu trop et descend une rampe complète de l’escalier sur le dos. Là également, plus de peur que de mal. Décidément, l’auberge est plus dangereuse que la montagne.



Au troisième jour, le Pitz Tomül, point culminant de notre séjour, nous attend dans un ciel sans nuage. Malgré un thermomètre toujours nettement sous zéro, la température est pour la première fois agréable, dû au grand soleil et un air sans vent. Une montée débonnaire nous amène au col. Nous suivons ensuite une longue arrête, fixons les couteaux pour arriver sur le sommet. En raison d’une douce température,  nous profitons de la vue et mangeons une morce avant d’attaquer une descente de rêve dans une neige vierge. Eh oui, malgré la grande fréquentation de ce sommet, notre chef nous a trouvé une pente « rien qu’à nous ».



Une bonne boisson nous attend à notre auberge et nous prenons le chemin du retour, peut-être les moments les plus stressants de notre périple :



Le retard de notre premier train fait qu’à la gare de Coire, nous devons faire un pas de course pour attraper notre correspondance sur Zürich. Ouf, tout le monde est dans le train, mais dans 3 wagons différents : les sprinters sur les sièges réservés par les CFF, les trotteurs au milieu du train et les adeptes du nordic  walking quelques wagons un peu plus loin.



Rebelote à Zürich où nous avons 2 minutes pour trouver le quai 31. C’est une drôle d’équipe, courant  sac au dos, souliers de ski dans une main et skis dans l’autre qui pique un sprint phénoménal, fendant la foule compact et, grâce au blocage de porte par Patrick, monte in extrémis dans le train. Décidément, notre journée de sport n’est pas terminée ….. Mais où est Adrien ?



Ce gentleman a attendu sa moitié …. Qui avait pris un autre chemin pour grimper dans un autre  wagon…..



Le pauvre en sera quitte pour prendre la correspondance suivante !



 



Encore un grand merci à Erich et Patrick pour cette super  sortie, et nous l’espérons tous : à la prochaine.



 



 



René Miorini


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Val de Cogne

Au vendredi matin, le 02.02.2018, l’équipe s’est trouvée en Martigny pour discuter la suite. Le chef de course était Cédric Singele et Martin von Arx. Il y avait trois cordées : Eric Maillard et Martin von Arx (cordée 1), Florence Christe et John Park (cordée 2) et Cédric Singele et Patrick Wagner (cordée 3).

Vers midi l’équipe est arrivée en la village de Lillaz, Val de Cogne en Italie (1600 m). Cordée 1 a fait quelques longueurs de la voie « Cold couloir » (WI4+) in Valeille. Cordée 2 a fait « pattinaggio artistico » (WI3+), aussi in Valeille. Cordée 3 a fait le tour classique de Val di Cogne, « Cascata di Lillaz » (WI3) qui était très fréquenté. A contrario les deux autres cordées n’ont vue presque personne. Après une petite bière en le bar Licone, Cognes, on est allés au Hotel Belvedere en Gimillan.



Pour le deuxième jour l’équipe est allez vers 7 heures au Valnontey (1660 m). La cordée 1 a fait une décision très bien et est allez le plus loin à la vallée (environnement 2 heures d’approche) jusqu’au la route « coupé money » (WI4+). Cordée 2 est allez le moins loin jusqu’au « monday money » (WI4) et il y a avait en total huit cordées dans et avant la route. Aussi la route « flash estivo » (WI3) était très fréquenté. Cordée 3 a commencé comme première équipe ce jour, mais il y avait quatre plus qui ont attendu. A cause des températures assez froid (environment -20° C) et vêtement de Patrick pas bien adapté, la route était abandonné. Cordée 3 a terminé le jour avec trois longueurs de la route « cascata di Valmiana » (WI3) au soleil. Pour l’apéro, les trois cordées s´ont trouvés au café « la Clicca ».



Pour le dernier jour, les chefs de course ont décidé pour faire une route tranquille et aussi ensemble : La cascade « ociano polare » en vallé de Grauson. On est parti directement de l’hôtel en 1800m jusqu’au 2200m, environnement 1.5 heures de marche. La cordée 1 a fait la route plus directe (deux longueurs, WI4+), la cordée 2 a fait la route avec une traversé en haute (trois longueurs, WI3) et la cordé 3 a fait la même route sans la traverse (2 longueurs). Les trois cordées ont bien travaillé à cause des températures froides et glace dure. Le cours a fini avec un panini en el café du centré, Cogne. 



Patrick


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Vue-de-Alpes - Cabane du Mont-d'Amin et retour

c’est avec beoucoup de plaisir que j’ai pu me joindre à cette belle compagnie de dames qui m’on accueillie trés chaleureusement,pour raquetter vers le Mont-d’Amin .une belle journée ,soleil,neige,et bonne humeur.

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Brisen (2404 m)

Brisen → Männliflue (2652 m) en remplacement.

Danger marqué pendant la semaine, nous décidons de remplacer le Brisen en Suisse Centrale par une course dans le Diemtigtal. Les conditions favorables le vendredi soir et le samedi matin nous permettent d'envisager le Männliflue. L’équipe du jour: Susanne, Suzanne, Isalyne, Christelle, Sam.

Bon enneigement depuis le parking de Vordere-Fildrich, peu après Grimmialp. Erreur de parcours au début, nous manquons la traversée du ruisseau à Steibode. Nous revenons en arrière et perdons un peu de temps. Après un petit slalom entre les sapins nous passons devant la ferme du point 1721.  Les nuages laissent place à un soleil très généreux en début d’après-midi. Nous faisons une petite pause “diner” proche d’Oberberg avant d’attaquer la partie plus raide menant au plateau d’Oberbal en observant une distance de sécurité entre nous. Les 300 derniers mètres menant au sommet sont assez raides avec pas mal de conversions et quelques plaques de glace. Couteaux conseillés ! Au sommet nous imaginons le beau panorama masqué par une couche de brouillard qui passe par la au même moment. Neige un peu compliquée à skier dans la première partie de la descente, bien meilleure dans la partie inférieure.



Sam



 



 



 


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